28 formations DPC ODPC de gériatrie disponibles
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Aide-soignant, Médecin réanimateur, Dermatologue, + 12 autres
En présentiel
Prise en compte des principes éthiques dans les pratiques professionnelles auprès des personnesâgées
DPC
Résumé Dans le domaine de la santé, les progrès technologiques et scientifiques, la pression médiatique parfois, la montée de l’individualisme au niveau sociétal, la pénurie de professionnels aussi, génèrent des situations de plus en plus complexes. Ces situations interpellent le droit, celui des patients, celui qui encadre les pratiques de soins, mais aussi celui du citoyen. Elles interpellent les valeurs morales des professionnels, des patients mais également de leurs proches. La réflexion autour de ces situations relève du domaine de l’éthique médicale. En effet il n’y a pas de réponse toute faite, ni de réponse simple. Toute situation demande à être évaluée au regard des lois et des règles de la société, à celui de la volonté du patient ainsi qu’au bénéfice estimé par rapport au risque encouru. Ces situations sont de plus en plus fréquemment rencontrées par les acteurs de santé. Les professionnels sont ainsi confrontés au quotidien à des questionnements sur le sens de leurs actions et même de la démarche de soin. Il est nécessaire de permettre aux professionnels d’avoir accès à une formulation de la complexité des enjeux des situations. La diffusion de la culture éthique permet cela, tout en améliorant la qualité des soins par le biais d’une réflexion sur les pratiques de soins. Souvent ce type de démarche est proposé au sein des espaces de réflexion éthique régionaux. Les professionnels n’y ont pas d’accès direct et de fait ne se sentent pas forcément concernés par ce type de réflexion, quel que soit leur grade ou leur lieu d’exercice. Une formation proposant de passer en revue les bases théoriques de l’éthique (définitions, concepts, fondements, valeurs du soin…) et celles du questionnement éthique multidisciplinaire (méthodologie, thématiques, mise en œuvre…) permettrait aux professionnels de gériatrie de s’approprier ces notions clefs et de pouvoir participer, voire organiser une démarche de réflexion éthique dans leurs lieux d’exercice. Objectifs : 1) Connaitre les principaux concepts de l’éthique et les valeurs du soin 2) Connaitre les principes du questionnement éthique 3) Comprendre le positionnement de l’éthique entre la morale, le droit, les bonnes pratiques soignantes 4) Connaitre les grandes lois qui encadrent la pratique du soin 5) Connaitre les droits des patients 6) Prendre conscience des principales problématiques éthiques survenant dans le champ du grand âge 7) Connaitre les prérequis pour initier une démarche de réflexion éthique au sein de son établissement
Dermatologue, Gasto-entérologue, Gériatre, + 6 autres
En présentiel
Promotion de la vaccination chez les personnes âgées
DPC
La vaccination est la thérapeutique la plus efficace et la moins onéreuse en prévention des maladies infectieuses. Les personnes âgées, du fait de leurs comorbidités et de l’immunodépression, sont très impactées par le fardeau des malades infectieuses. La morbi-mortalité de certaines d’entre-elles est particulièrement élevée, notamment les pneumonies à pneumocoques. D’autres ont un impact important sur la qualité de vie comme le zona et les neuropathies post-zostériennes qu’il entraine. Certaines maladies infectieuses sont, à tort, réservées à l’enfant alors qu’il est observé régulièrement des épidémies de coqueluche en institution. La grippe est une des premières causes de mortalité infectieuse de la personne âgée de plus de 65 ans. Par ailleurs, l’épidémie de Sars-COV 19 a entrainé une mortalité essentiellement chez les plus de 50 ans et particulièrement en EHPAD. Pour toutes ces pathologies citées, il existe des vaccins qui ont fait l’objet de mises à jour de la Haute Autorité de Santé et de la Commission Technique des Vaccinations. Malheureusement, force est de constater l’échec de certains programmes de vaccination. Il est actuellement constaté que moins de 20 % des personnes éligibles à la vaccination anti-pneumococcique sont vaccinées. Concernant le zona, moins de 5 % de la population éligible est vaccinée, alors qu’elle est supérieure à 60 % en Angleterre. Concernant la grippe où l’importance de la vaccination de l’entourage est reconnue, de trop nombreux soignants ne sont pas vaccinés tous les ans, l’objectif OMS de 75 % de vaccinés n’est pas atteint. La vaccination contre la COVID 19 de la personne âgée et de leur entourage, notamment des soignants, est importante pour la protection individuelle mais également à titre altruiste avec une nécessité de casser la chaîne de transmission de ce virus particulièrement morbide chez la personne âgée. Les soignants, qu’ils soient médecins ou infirmiers, connaissent mal les vaccins et ne sont pas outillés pour répondre aux nombreuses interrogations des personnels soignants réticents à la vaccination. Cette formation aura donc comme objectif de les former à la vaccination , leur apprendre et leur donner des outils pour lutter contre les fausses informations, et mettre en place des campagnes de vaccination dans leur institution. Objectif n° 1 : notion générale sur la vaccination. Objectif n°2 : les instances décisionnaires en France. Objectif n°3 : vaccination anti-grippale. Objectif n°4 : vaccin contre le zona. Objectif n°5 : vaccin anti-pneumococcique. Objectif n°6 : autres vaccins chez la personne âgée dont COVID. Objectif n°7 : acquérir des outils pour mettre en place des programmes de vaccination en institution.
Médecin Généraliste, Médecin interne, Rhumatologue, Médecin urgentiste
En présentiel
Ameliorer la prise en charge de la douleur chez la personne âgée
DPC
Les douleurs, qu’elles soient aiguës ou chroniques, se croisent au quotidien lors de la prise en charge des personnes âgées, à domicile comme en institution. Prêt de 45 % à domicile et plus de 75 % des résidents d’établissement s médico-sociaux présentent des problèmes de douleurs. Mais il ne faut pas confondre fréquence et fatalité. Les banaliser serait une erreur car le sujet âgé devient plus vulnérable au fil du temps, avec un sur-risque de morbidité associée et d’inconfort. De plus, quand la douleur se chronicise, elle va rétrécir son « périmètre de vie ». Ce serait par ailleurs une erreur de penser que la douleur des personnes âgées ne concerne que les professionnels de la gériatrie. La moyenne d’âge de la population augmente et celle présentant des pathologies pouvant provoquer des situations douloureuses aussi . Ces situations sont présentes au domicile comme en établissement de santé ou médicosocial . Elles concernent les médecins de beaucoup de spécialités ainsi que les généralistes et d’autres professions notamment les infirmières ou les aide soignantes. Cependant, le sujet âgé reste un acteur essentiel de sa santé ; il communique volontiers et sait exprimer sa plainte quel que soit le mode d’expression utilisé ; il peut participer aux propositions thérapeutiques si le soignant est à l’écoute et les réponses adaptées. Cette compréhension mutuelle est un facteur clef de prévention de chronicisation ou d’aggravation des douleurs. Le médecin doit donc rechercher de principe les pathologies douloureuses les plus fréquentes, comme les maladies de l’appareil locomoteur ou les douleurs neuropathiques en lien avec des comorbidités sévères. Il doit aussi repenser les soins potentiellement douloureux du quotidien (toilette, habillage) comme les plus complexes (douleurs cancéreuses …), en y intégrant une vision élargie des douleurs procédurales sur le plan médico-psycho-social mais aussi sociétal et éthique. Il pourra ainsi mieux les dépister et mieux les évaluer pour la partie diagnostique. Il les contrôlera davantage en proposant une prise en charge thérapeutique dite multimodale, médicamenteuse et non médicamenteuse. La maîtrise du bon maniement des antalgiques limite la iatrogénie médicamenteuse encore trop fréquente à un âge avancé. Et l’implication de différents partenaires de soins peut optimiser le parcours de santé du patient âgé. Les Structures Douleurs Chroniques viennent ainsi en appui des prises de décision quand nécessaire, et s’intègrent en partenariat dans le parcours de soin des patients âgés douloureux complexes. Ces échanges optimiseront notamment les soins aux patients âgés douloureux chroniques. Au-delà d’un changement utile de paradigme, le médecin doit intégrer sans doute, au travers de ses formations, une culture douleur à tous les niveaux de sa prise en charge, pour que les personnes âgées ne restent plus les oubliées de la douleur dans leur vie de tous les jours. Objectifs - Améliorer l’initiation du parcours en soins primaire en augmentant la compétence des médecins de premier recours et celle des spécialistes sur la détection des symptômes - Fluidifier le parcours de santé en le simplifiant et en impliquant les médecins généralistes , les spécialistes ,les soignants et les médicaux non formés à la douleur chronique - Définir les concepts d'auto évaluation et d'hétéro évaluation dans le cadre des douleurs aiguës et chroniques . - Réalisations des premières évaluations cliniques et paracliniques du patient douloureux chronique selon les préconisations disponibles ( HAS, SFETD) - Identifier les situations ou l’évaluation de la douleur est indispensable, notamment chez les personnes âgées non communicantes - Décrire des parcours de soins notamment dans les douleurs cancéreuses et les douleurs liées aux soins. -Définir un projet de thérapie médicamenteuse et non médicamenteuse spécifiques aux personnes âgées.
Aide-soignant, Ergothérapeute, Masseur-Kinésithérapeute, + 6 autres
En présentiel
Promotion de la Bientraitance - Prévention de la Maltraitance chez les adultes âgés
DPC
Résumé La bientraitance est une notion couramment utilisée en gériatrie et gérontologie. Elle se distingue de la bienveillance et est souvent mise en opposition aux notions de négligence et maltraitance. Cependant reconnaitre que la négligence et la maltraitance existent et savoir les identifier sont les premiers pas pour initier une démarche de bientraitance. Il est donc important de maitriser les définitions de ces notions, afin de ne pas les confondre. Au sens large, la bientraitance consisterait en des actions individuelles et collectives au service de la promotion du bien-être de la personne âgée ou du professionnel de santé. Sur le terrain, les pratiques gériatriques imposent souvent un rythme de travail intense avec des actions souvent répétitives (exemple des soins de nursing en EHPAD pour les aides-soignants). Ce genre de comportement peut générer des actions maltraitantes envers nos ainés et il est indispensable de pouvoir les repérer pour agir. La bienveillance suppose également de garder en conscience les concepts de maltraitance et de négligence. La population âgée est à haut risque de vulnérabilité et de maltraitance. Mettre en place des démarches bientraitances dans les institutions, mais aussi à domicile est dès lors primordial. Il est fondamental pour exposer les principes de la bientraitance de considérer les spécificités de la personne âgée (fragilité, vulnérabilité, etc.). Il existe des formes de maltraitances cachées en institution, et un temps de réflexion est souvent nécessaire afin d’analyser les comportements maltraitants involontaires et les pratiques quotidiennes des professionnels. Ces dernières sont souvent contraintes par la politique managériale de l’établissement sanitaire ou médico-social. Cela donne parfois lieu à une véritable maltraitance institutionnelle, qu’il convient de connaitre pour pouvoir l’éviter. Des temps de réflexion sont aussi nécessaires pour aborder la relation soigné-soignant et le lien avec les proches des malades et l’institution sous l’angle de la bientraitance. Etre bientraitant, c’est également savoir s’écouter soi-même en tant que soignant, connaitre ses limites et apprendre à prendre du recul sur les situations complexes rencontrées quotidiennement. Les pratiques éthiques sont donc au cœur de la mise en place d’une politique de bientraitance en établissement gériatrique. Objectifs : 1) Définir la négligence et les situations de maltraitances 2) Comprendre le concept de bientraitance et ses limites 3) Prendre conscience des freins et leviers en lien avec la bientraitance 4) Savoir repérer et alerter en cas de situation de maltraitance ou de négligence 5) Mettre en place des actions engagées vers la bientraitance
Aide-soignant, Médecin réanimateur, Dermatologue, + 12 autres
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Prise en compte des principes éthiques dans les pratiques professionnelles auprès des personnesâgées
DPC
Résumé Dans le domaine de la santé, les progrès technologiques et scientifiques, la pression médiatique parfois, la montée de l’individualisme au niveau sociétal, la pénurie de professionnels aussi, génèrent des situations de plus en plus complexes. Ces situations interpellent le droit, celui des patients, celui qui encadre les pratiques de soins, mais aussi celui du citoyen. Elles interpellent les valeurs morales des professionnels, des patients mais également de leurs proches. La réflexion autour de ces situations relève du domaine de l’éthique médicale. En effet il n’y a pas de réponse toute faite, ni de réponse simple. Toute situation demande à être évaluée au regard des lois et des règles de la société, à celui de la volonté du patient ainsi qu’au bénéfice estimé par rapport au risque encouru. Ces situations sont de plus en plus fréquemment rencontrées par les acteurs de santé. Les professionnels sont ainsi confrontés au quotidien à des questionnements sur le sens de leurs actions et même de la démarche de soin. Il est nécessaire de permettre aux professionnels d’avoir accès à une formulation de la complexité des enjeux des situations. La diffusion de la culture éthique permet cela, tout en améliorant la qualité des soins par le biais d’une réflexion sur les pratiques de soins. Souvent ce type de démarche est proposé au sein des espaces de réflexion éthique régionaux. Les professionnels n’y ont pas d’accès direct et de fait ne se sentent pas forcément concernés par ce type de réflexion, quel que soit leur grade ou leur lieu d’exercice. Une formation proposant de passer en revue les bases théoriques de l’éthique (définitions, concepts, fondements, valeurs du soin…) et celles du questionnement éthique multidisciplinaire (méthodologie, thématiques, mise en œuvre…) permettrait aux professionnels de gériatrie de s’approprier ces notions clefs et de pouvoir participer, voire organiser une démarche de réflexion éthique dans leurs lieux d’exercice. Objectifs : 1) Connaitre les principaux concepts de l’éthique et les valeurs du soin 2) Connaitre les principes du questionnement éthique 3) Comprendre le positionnement de l’éthique entre la morale, le droit, les bonnes pratiques soignantes 4) Connaitre les grandes lois qui encadrent la pratique du soin 5) Connaitre les droits des patients 6) Prendre conscience des principales problématiques éthiques survenant dans le champ du grand âge 7) Connaitre les prérequis pour initier une démarche de réflexion éthique au sein de son établissement
Dermatologue, Gasto-entérologue, Gériatre, + 6 autres
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Promotion de la vaccination chez les personnes âgées
DPC
La vaccination est la thérapeutique la plus efficace et la moins onéreuse en prévention des maladies infectieuses. Les personnes âgées, du fait de leurs comorbidités et de l’immunodépression, sont très impactées par le fardeau des malades infectieuses. La morbi-mortalité de certaines d’entre-elles est particulièrement élevée, notamment les pneumonies à pneumocoques. D’autres ont un impact important sur la qualité de vie comme le zona et les neuropathies post-zostériennes qu’il entraine. Certaines maladies infectieuses sont, à tort, réservées à l’enfant alors qu’il est observé régulièrement des épidémies de coqueluche en institution. La grippe est une des premières causes de mortalité infectieuse de la personne âgée de plus de 65 ans. Par ailleurs, l’épidémie de Sars-COV 19 a entrainé une mortalité essentiellement chez les plus de 50 ans et particulièrement en EHPAD. Pour toutes ces pathologies citées, il existe des vaccins qui ont fait l’objet de mises à jour de la Haute Autorité de Santé et de la Commission Technique des Vaccinations. Malheureusement, force est de constater l’échec de certains programmes de vaccination. Il est actuellement constaté que moins de 20 % des personnes éligibles à la vaccination anti-pneumococcique sont vaccinées. Concernant le zona, moins de 5 % de la population éligible est vaccinée, alors qu’elle est supérieure à 60 % en Angleterre. Concernant la grippe où l’importance de la vaccination de l’entourage est reconnue, de trop nombreux soignants ne sont pas vaccinés tous les ans, l’objectif OMS de 75 % de vaccinés n’est pas atteint. La vaccination contre la COVID 19 de la personne âgée et de leur entourage, notamment des soignants, est importante pour la protection individuelle mais également à titre altruiste avec une nécessité de casser la chaîne de transmission de ce virus particulièrement morbide chez la personne âgée. Les soignants, qu’ils soient médecins ou infirmiers, connaissent mal les vaccins et ne sont pas outillés pour répondre aux nombreuses interrogations des personnels soignants réticents à la vaccination. Cette formation aura donc comme objectif de les former à la vaccination , leur apprendre et leur donner des outils pour lutter contre les fausses informations, et mettre en place des campagnes de vaccination dans leur institution. Objectif n° 1 : notion générale sur la vaccination. Objectif n°2 : les instances décisionnaires en France. Objectif n°3 : vaccination anti-grippale. Objectif n°4 : vaccin contre le zona. Objectif n°5 : vaccin anti-pneumococcique. Objectif n°6 : autres vaccins chez la personne âgée dont COVID. Objectif n°7 : acquérir des outils pour mettre en place des programmes de vaccination en institution.
Gériatre, Médecin Généraliste, Médecin interne, + 3 autres
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Ameliorer la prise en charge de la douleur chez la personne âgée
DPC
Les douleurs, qu’elles soient aiguës ou chroniques, se croisent au quotidien lors de la prise en charge des personnes âgées, à domicile comme en institution. Prêt de 45 % à domicile et plus de 75 % des résidents d’établissement s médico-sociaux présentent des problèmes de douleurs. Mais il ne faut pas confondre fréquence et fatalité. Les banaliser serait une erreur car le sujet âgé devient plus vulnérable au fil du temps, avec un sur-risque de morbidité associée et d’inconfort. De plus, quand la douleur se chronicise, elle va rétrécir son « périmètre de vie ». Ce serait par ailleurs une erreur de penser que la douleur des personnes âgées ne concerne que les professionnels de la gériatrie. La moyenne d’âge de la population augmente et celle présentant des pathologies pouvant provoquer des situations douloureuses aussi . Ces situations sont présentes au domicile comme en établissement de santé ou médicosocial . Elles concernent les médecins de beaucoup de spécialités ainsi que les généralistes et d’autres professions notamment les infirmières ou les aide soignantes. Cependant, le sujet âgé reste un acteur essentiel de sa santé ; il communique volontiers et sait exprimer sa plainte quel que soit le mode d’expression utilisé ; il peut participer aux propositions thérapeutiques si le soignant est à l’écoute et les réponses adaptées. Cette compréhension mutuelle est un facteur clef de prévention de chronicisation ou d’aggravation des douleurs. Le médecin doit donc rechercher de principe les pathologies douloureuses les plus fréquentes, comme les maladies de l’appareil locomoteur ou les douleurs neuropathiques en lien avec des comorbidités sévères. Il doit aussi repenser les soins potentiellement douloureux du quotidien (toilette, habillage) comme les plus complexes (douleurs cancéreuses …), en y intégrant une vision élargie des douleurs procédurales sur le plan médico-psycho-social mais aussi sociétal et éthique. Il pourra ainsi mieux les dépister et mieux les évaluer pour la partie diagnostique. Il les contrôlera davantage en proposant une prise en charge thérapeutique dite multimodale, médicamenteuse et non médicamenteuse. La maîtrise du bon maniement des antalgiques limite la iatrogénie médicamenteuse encore trop fréquente à un âge avancé. Et l’implication de différents partenaires de soins peut optimiser le parcours de santé du patient âgé. Les Structures Douleurs Chroniques viennent ainsi en appui des prises de décision quand nécessaire, et s’intègrent en partenariat dans le parcours de soin des patients âgés douloureux complexes. Ces échanges optimiseront notamment les soins aux patients âgés douloureux chroniques. Au-delà d’un changement utile de paradigme, le médecin doit intégrer sans doute, au travers de ses formations, une culture douleur à tous les niveaux de sa prise en charge, pour que les personnes âgées ne restent plus les oubliées de la douleur dans leur vie de tous les jours. Objectifs - Améliorer l’initiation du parcours en soins primaire en augmentant la compétence des médecins de premier recours et celle des spécialistes sur la détection des symptômes - Fluidifier le parcours de santé en le simplifiant et en impliquant les médecins généralistes , les spécialistes ,les soignants et les médicaux non formés à la douleur chronique - Définir les concepts d'auto évaluation et d'hétéro évaluation dans le cadre des douleurs aiguës et chroniques . - Réalisations des premières évaluations cliniques et paracliniques du patient douloureux chronique selon les préconisations disponibles ( HAS, SFETD) - Identifier les situations ou l’évaluation de la douleur est indispensable, notamment chez les personnes âgées non communicantes - Décrire des parcours de soins notamment dans les douleurs cancéreuses et les douleurs liées aux soins. -Définir un projet de thérapie médicamenteuse et non médicamenteuse spécifiques aux personnes âgées.
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Promotion de la Bientraitance - Prévention de la Maltraitance chez les adultes âgés
DPC
Résumé La bientraitance est une notion couramment utilisée en gériatrie et gérontologie. Elle se distingue de la bienveillance et est souvent mise en opposition aux notions de négligence et maltraitance. Cependant reconnaitre que la négligence et la maltraitance existent et savoir les identifier sont les premiers pas pour initier une démarche de bientraitance. Il est donc important de maitriser les définitions de ces notions, afin de ne pas les confondre. Au sens large, la bientraitance consisterait en des actions individuelles et collectives au service de la promotion du bien-être de la personne âgée ou du professionnel de santé. Sur le terrain, les pratiques gériatriques imposent souvent un rythme de travail intense avec des actions souvent répétitives (exemple des soins de nursing en EHPAD pour les aides-soignants). Ce genre de comportement peut générer des actions maltraitantes envers nos ainés et il est indispensable de pouvoir les repérer pour agir. La bienveillance suppose également de garder en conscience les concepts de maltraitance et de négligence. La population âgée est à haut risque de vulnérabilité et de maltraitance. Mettre en place des démarches bientraitances dans les institutions, mais aussi à domicile est dès lors primordial. Il est fondamental pour exposer les principes de la bientraitance de considérer les spécificités de la personne âgée (fragilité, vulnérabilité, etc.). Il existe des formes de maltraitances cachées en institution, et un temps de réflexion est souvent nécessaire afin d’analyser les comportements maltraitants involontaires et les pratiques quotidiennes des professionnels. Ces dernières sont souvent contraintes par la politique managériale de l’établissement sanitaire ou médico-social. Cela donne parfois lieu à une véritable maltraitance institutionnelle, qu’il convient de connaitre pour pouvoir l’éviter. Des temps de réflexion sont aussi nécessaires pour aborder la relation soigné-soignant et le lien avec les proches des malades et l’institution sous l’angle de la bientraitance. Etre bientraitant, c’est également savoir s’écouter soi-même en tant que soignant, connaitre ses limites et apprendre à prendre du recul sur les situations complexes rencontrées quotidiennement. Les pratiques éthiques sont donc au cœur de la mise en place d’une politique de bientraitance en établissement gériatrique. Objectifs : 1) Définir la négligence et les situations de maltraitances 2) Comprendre le concept de bientraitance et ses limites 3) Prendre conscience des freins et leviers en lien avec la bientraitance 4) Savoir repérer et alerter en cas de situation de maltraitance ou de négligence 5) Mettre en place des actions engagées vers la bientraitance
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Promotion de la Bientraitance - Prévention de la Maltraitance chez les adultes âgés
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Résumé La bientraitance est une notion couramment utilisée en gériatrie et gérontologie. Elle se distingue de la bienveillance et est souvent mise en opposition aux notions de négligence et maltraitance. Cependant reconnaitre que la négligence et la maltraitance existent et savoir les identifier sont les premiers pas pour initier une démarche de bientraitance. Il est donc important de maitriser les définitions de ces notions, afin de ne pas les confondre. Au sens large, la bientraitance consisterait en des actions individuelles et collectives au service de la promotion du bien-être de la personne âgée ou du professionnel de santé. Sur le terrain, les pratiques gériatriques imposent souvent un rythme de travail intense avec des actions souvent répétitives (exemple des soins de nursing en EHPAD pour les aides-soignants). Ce genre de comportement peut générer des actions maltraitantes envers nos ainés et il est indispensable de pouvoir les repérer pour agir. La bienveillance suppose également de garder en conscience les concepts de maltraitance et de négligence. La population âgée est à haut risque de vulnérabilité et de maltraitance. Mettre en place des démarches bientraitances dans les institutions, mais aussi à domicile est dès lors primordial. Il est fondamental pour exposer les principes de la bientraitance de considérer les spécificités de la personne âgée (fragilité, vulnérabilité, etc.). Il existe des formes de maltraitances cachées en institution, et un temps de réflexion est souvent nécessaire afin d’analyser les comportements maltraitants involontaires et les pratiques quotidiennes des professionnels. Ces dernières sont souvent contraintes par la politique managériale de l’établissement sanitaire ou médico-social. Cela donne parfois lieu à une véritable maltraitance institutionnelle, qu’il convient de connaitre pour pouvoir l’éviter. Des temps de réflexion sont aussi nécessaires pour aborder la relation soigné-soignant et le lien avec les proches des malades et l’institution sous l’angle de la bientraitance. Etre bientraitant, c’est également savoir s’écouter soi-même en tant que soignant, connaitre ses limites et apprendre à prendre du recul sur les situations complexes rencontrées quotidiennement. Les pratiques éthiques sont donc au cœur de la mise en place d’une politique de bientraitance en établissement gériatrique. Objectifs : 1) Définir la négligence et les situations de maltraitances 2) Comprendre le concept de bientraitance et ses limites 3) Prendre conscience des freins et leviers en lien avec la bientraitance 4) Savoir repérer et alerter en cas de situation de maltraitance ou de négligence 5) Mettre en place des actions engagées vers la bientraitance
Gériatre
Mixte
Pratique et coordination d’une évaluation gériatrique en EHPAD
DPC
L'article D. 312-158 du code l'action sociale et des familles encadre le rôle du médecin cordonateur d EHPAD dans ses missions de réalisation d'une Évaluation Gériatrique Standardisée à l 'admission : il coordonne la réalisation d'une évaluation gériatrique et, dans ce cadre, peut effectuer des propositions diagnostiques et thérapeutiques, médicamenteuses et non médicamenteuses. Il transmet ses conclusions au médecin traitant ou désigné par le patient. L'évaluation gériatrique est réalisée à l'entrée du résident puis en tant que de besoin ; Il contribue auprès des professionnels de santé exerçant dans l'établissement à la bonne adaptation aux impératifs gériatriques des prescriptions de médicaments et des produits et prestations inscrits sur la liste mentionnée à l'article L. 165-1 du code de la sécurité sociale. Il prend en compte les recommandations de bonnes pratiques existantes en lien, le cas échéant, avec le pharmacien chargé de la gérance de la pharmacie à usage intérieur Ces objectifs correspondent à trois orientations nationales prioritaires de l annexe 1 et à la première orientation des spécialistes en gériatrie de l annexe 2