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Médecin Généraliste, Pédiatre
Mixte
Amélioration de la prise en charge des patients enfants et adultes présentant des symptômes prolongés suite à une COVID 19-Classe Virtuelle
DPC
La pandémie de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) a entraîné plus de 600 millions de cas infectés dans le monde, dont la majorité se rétablissent sans séquelles. Cependant, 10 à 30% restent avec des symptômes persistants, qui ont des effets dévastateurs sur leur qualité de vie, conduisent à des incapacités potentiellement graves et ont une charge financière élevée pour eux et la société. On appelle la persistance de ces symptômes « syndrome post Covid » ou « Covid long » ou « Séquelles post-aiguës du SARS-CoV-2 ». Selon la définition de l’OMS (https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Post_COVID-19_condition-Clinical_case_definition-2021.1 ), le syndrome post covid survient chez les personnes ayant des antécédents d’infection probable ou confirmée par le SRAS-CoV-2, généralement 3 mois après le début de la COVID-19 avec des symptômes et qui durent au moins 2 mois et ne peuvent pas être expliqués par un autre diagnostic. Les symptômes courants comprennent notamment la fatigue, l’essoufflement, le dysfonctionnement cognitif, des douleurs, des troubles du sommeil, une anosmie/agueusie et des malaises post effort. Les symptômes peuvent être nouveaux après le rétablissement initial d’un épisode aigu de COVID-19 ou persister après la maladie initiale. Les symptômes peuvent également fluctuer ou rechuter au fil du temps. La prévalence du syndrome post Covid varie selon les populations étudiées. Elle est estimée entre 10 et 30% à 6 mois. Aussi des symptômes prolongés de la Covid-19 ont été décrits chez les adolescents et plus rarement chez les enfants avec une fréquence moins grande que chez l’adulte. Cependant, le diagnostic et la prise en charge précoce des enfants présentant des symptômes prolongés est indispensable. Savoir diagnostiquer et prendre en charge des patients atteints de syndrome post Covid est un enjeu majeur de santé publique. L’HAS a récemment édités et actualisé des fiches pratiques destinées à la prise en charge de ces patients.
Pharmacien
E-learning
Iatrogénie médicamenteuse chez le sujet âgé, optimisation thérapeutique et bon usage des IPP
DPC
Chez le sujet âgé, la polymédication est habituelle et souvent légitime car le médicament est avant tout une chance pour le sujet malade. Cependant la polymédication, le mésusage augmentent le risque iatrogénique, diminuent l’observance des traitements et augmentent les coûts. A ce jour, 30% des hospitalisations des plus de 80 ans, sont liées à un mauvais usage des médicaments. Une amélioration dans ce domaine doit conduire à une baisse de ces hospitalisations indues. La formation des professionnels de santé à l’accompagnement des personnes âgées « fragiles » à travers l'acquisition de connaissances sur les particularités physiopathologiques du sujet âgée est primordiale pour la prise en charge de ces patients. La polypathologie et la polymédication, les déterminants de l’adhésion thérapeutique et de la iatrogénie médicamenteuse sont des enjeux économiques et de santé publique. Il est nécessaire d'acquérir les compétences aux bonnes pratiques d'analyse de prescription et à l’accompagnement des personnes âgées dans leur parcours de soins. L'accompagnement des personnes âgées par le pharmacien passe notamment par l'identification de mésusages de médicament pouvant avoir des conséquences néfastes sur la santé du patient. Le mésusage est défini par le ministère de la santé comme une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement, ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques. Parmi les médicaments incriminés d'une sur-prescription non justifiées et notamment chez le sujet âgé, on retrouve les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). Les IPP sont en consommation croissante en France atteignant plus de 85 millions de vente en 2015 avec 16 millions de patients (prescription médicale) soit environ 1 quart des Français. Ils font l’objet d’un large mésusage avec des prescriptions injustifiées, hors AMM ou de trop longue durée dans 40 à 80% des cas d’après l’assurance maladie. L’ANSM estime en 2015 que 80% des patients ayant débuté un traitement par IPP en association systématique avec un AINS n’avaient aucun facteur de risque pouvant justifier cette co-prescription « préventive » du risque d’UGD. Le bon usage des IPP est primordial pour l’amélioration de la prise en charge des patients âgés afin que pour un patient donné, le bon médicament soit prescrit pour limiter l’absence d’amélioration clinique et le risque iatrogène. Objectifs généraux : • Amélioration de la prise en charge des patients polymédiqués, • Optimisation de la gestion par les patients de leurs produits de santé, • Réduction de la polymédication, • Prévention de la iatrogénie médicamenteuse, • Réduction des coûts globaux mensuels des traitements
Médecin Généraliste, Pédiatre
Mixte
Amélioration de la prise en charge des patients enfants et adultes présentant des symptômes prolongés suite à une COVID 19
DPC
La pandémie de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) a entraîné plus de 600 millions de cas infectés dans le monde, dont la majorité se rétablissent sans séquelles. Cependant, 10 à 30% restent avec des symptômes persistants, qui ont des effets dévastateurs sur leur qualité de vie, conduisent à des incapacités potentiellement graves et ont une charge financière élevée pour eux et la société. On appelle la persistance de ces symptômes « syndrome post Covid » ou « Covid long » ou « Séquelles post-aiguës du SARS-CoV-2 ». Selon la définition de l’OMS ( https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Post_COVID-19_condition-Clinical_case_definition-2021.1 ), le syndrome post covid survient chez les personnes ayant des antécédents d’infection probable ou confirmée par le SRAS-CoV-2, généralement 3 mois après le début de la COVID-19 avec des symptômes et qui durent au moins 2 mois et ne peuvent pas être expliqués par un autre diagnostic. Les symptômes courants comprennent notamment la fatigue, l’essoufflement, le dysfonctionnement cognitif, des douleurs, des troubles du sommeil, une anosmie/agueusie et des malaises post effort. Les symptômes peuvent être nouveaux après le rétablissement initial d’un épisode aigu de COVID-19 ou persister après la maladie initiale. Les symptômes peuvent également fluctuer ou rechuter au fil du temps. La prévalence du syndrome post Covid varie selon les populations étudiées. Elle est estimée entre 10 et 30% à 6 mois. Aussi des symptômes prolongés de la Covid-19 ont été décrits chez les adolescents et plus rarement chez les enfants avec une fréquence moins grande que chez l’adulte. Cependant, le diagnostic et la prise en charge précoce des enfants présentant des symptômes prolongés est indispensable. Savoir diagnostiquer et prendre en charge des patients atteints de syndrome post Covid est un enjeu majeur de santé publique. L’HAS a récemment édités et actualisé des fiches pratiques destinées à la prise en charge de ces patients.
Médecin Généraliste
Mixte
Développement de l'enfant : Suivi, Dépistage et Prévention
DPC
Les 1000 ers jours de la vie constituent une période critique dans tous les champs du développement de l’enfant et conditionne son Avenir ! Cette formation va permettre aux Médecins généralistes et aux Pédiatres de connaitre les repères de normalité et d’identifier les anomalies et ainsi de s’approprier les messages de prévention dans les domaines : - Du développement psychomoteur - Des déficits sensoriels - Des troubles du langage - Des grands principes nutritionnels Ils pourront aussi apprendre à interpréter les différents examens cliniques et dépister précocement l’amblyopie et les troubles de l’audition. En France, plus de 3% des nourrissons présenteraient une ou plusieurs anomalies de l’examen psychomoteur, dissimulant un potentiel handicap à venir. Le suivi de l’enfant et de son développement psychomoteur préoccupe les autorités sanitaires de chaque pays depuis des années. De nombreux outils et recommandations ont vu le jour, chacun apportant sa pierre à l’édifice. Malheureusement, il persiste aujourd’hui des failles dans le système et chaque année, plusieurs enfants échappent à un repérage de troubles et ne sont pris en charge que tardivement. Par ailleurs on sait que les 3 premières années de la vie de l’enfant constituent une période critique dans tous les domaines du développement qui conditionnent son avenir. Il est important de détecter précocement les retards psychomoteurs de l’enfant afin d’éviter autant que possible les répercussions négatives sur l’enfant, les parents ainsi que toute la famille. Pour identifier les anomalies il faut bien connaître les repères de normalité et plus l’anomalie est repérée précocement et meilleure sera la prise en charge précoce et meilleur sera le pronostic évolutif . Le rôle des praticiens est primordial et ce domaine d’action nécessite une mise à jour régulière des compétences professionnelles. Cette formation va permettre une sensibilisation aux signaux d’alertes inhérents au développement psychomoteur de l’enfant. Les objectifs plus précis de cette formation seront : - De détailler les étapes principales du développement de l’enfant de 0 à 36 mois - De repérer un retard psychomoteur - D’apprendre et d’utiliser les messages de prévention
Préparateur en pharmacie, Sage-Femme, Pharmacien, Infirmier
Mixte
La vaccination : Les nouvelles recommandations
DPC
La complexité du parcours vaccinal constitue un frein majeur à la vaccination. La simplification de ce parcours en permettant notamment aux professionnels de santé autre que les médecins, tels que les infirmiers, les pharmaciens et sages-femmes, de prescrire et d’administrer les vaccins, font partie intégrante des solutions recommandées et mises en œuvre par les pouvoirs publics. Ainsi, depuis le 24 avril 2022, les infirmiers peuvent administrer 15 vaccins aux personnes de plus de 16 ans sans prescription médicale préalable. Les sages femmes peuvent également prescrire et administrer ces mêmes vaccins aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux personnes de leur entourage. Les pharmaciens peuvent administrer les mêmes vaccins, mais sur prescription médicale pour le moment. La pandémie de COVID 19 a permis de démontrer l’importance de former aussi les préparateurs à la vaccination COVID et grippe par dérogation. Aussi, depuis quelques années, les professionnels de santé doivent faire face à une méfiance et une hésitation envers la vaccination. Il est nécessaire aujourd’hui de pouvoir lever les freins, grâce à des outils précis de communication, afin d’améliorer la couverture vaccinale. Nous effectuons une veille régulière quant aux nouvelles recommandations vaccinales. Le but de la formation est d’actualiser les connaissances des infirmiers, sages femmes et pharmaciens sur les différents vaccins présents sur le marché en accord avec la nouvelle réglementation. Sont abordés successivement : les principes généraux de la vaccination avec un bref rappel du système immunitaire, le contexte législatif, l’administration ainsi que les principaux effets secondaires. L’acquisition et la maitrise de connaissances théoriques aboutissent, dans le cadre de la vaccination, à l’amélioration de la prise en charge globale des patients. Objectifs: Renforcer les connaissances générales en vaccinologie Connaitre les principaux vaccins et leurs recommandations Mettre à jour les nouvelles compétences des professionnels de santé Savoir communiquer dans le cadre de la vaccination Définir le protocole de la vaccination et le mettre en place
Sage-Femme, Pharmacien, Infirmier
Mixte
La vaccination : les nouvelles recommandations
DPC
La complexité du parcours vaccinal constitue un frein majeur à la vaccination. La simplification de ce parcours en permettant notamment aux professionnels de santé autre que les médecins, tels que les infirmiers les pharmaciens et sages-femmes, de prescrire et d’administrer les vaccins, font partie intégrante des solutions recommandées et mises en œuvre par les pouvoirs publics. Ainsi, depuis le 24 avril 2022, les infirmiers peuvent administrer 15 vaccins aux personnes de plus de 16 ans sans prescription médicale préalable. Les sages-femmes peuvent également prescrire et administrer ces mêmes vaccins aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux personnes de leur entourage. Les pharmaciens sont habilités à injecter tous les vaccins concernés aux plus de 16 ans mais sur présentation d'une ordonnance. Le but de la formation est d’actualiser les connaissances des infirmiers et sages femmes sur les différents vaccins présents sur le marché en accord avec la nouvelle réglementation. Sont abordés successivement : les principes généraux de la vaccination avec un bref rappel du système immunitaire, le contexte législatif, l’administration ainsi que les principaux effets secondaires. L’acquisition et la maitrise de connaissances théoriques aboutissent, dans le cadre de la vaccination, à l’amélioration de la prise en charge globale des patients. Objectifs Renforcer les connaissances générales en vaccinologie Connaitre les principaux vaccins et leurs recommandations Savoir communiquer dans le cadre de la vaccination Définir le protocole de la vaccination et le mettre en place
Sage-Femme, Infirmier
En présentiel
La vaccination : les nouvelles recommandations
DPC
La complexité du parcours vaccinal constitue un frein majeur à la vaccination. La simplification de ce parcours en permettant notamment aux professionnels de santé autre que les médecins, tels que les infirmiers et sages-femmes, de prescrire et d’administrer les vaccins, font partie intégrante des solutions recommandées et mises en œuvre par les pouvoirs publics. Ainsi, depuis le 24 avril 2022, les infirmiers peuvent administrer 15 vaccins aux personnes de plus de 16 ans sans prescription médicale préalable. Les sages-femmes peuvent également prescrire et administrer ces mêmes vaccins aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux personnes de leur entourage. Le but de la formation est d’actualiser les connaissances des infirmiers et sages femmes sur les différents vaccins présents sur le marché en accord avec la nouvelle réglementation. Sont abordés successivement : les principes généraux de la vaccination avec un bref rappel du système immunitaire, le contexte législatif, l’administration ainsi que les principaux effets secondaires. L’acquisition et la maitrise de connaissances théoriques aboutissent, dans le cadre de la vaccination, à l’amélioration de la prise en charge globale des patients. Objectifs Renforcer les connaissances générales en vaccinologie Connaitre les principaux vaccins et leurs recommandations Savoir communiquer dans le cadre de la vaccination Définir le protocole de la vaccination et le mettre en place
Endocrinologue, Médecin Généraliste, Pédiatre
Mixte
Prévention, repérage et amélioration de la prise en charge de l'obésité de l'enfant - Classe virtuelle
DPC
Le surpoids et l'obésité constituent un problème majeur de santé Publique. En effet, en France, en 2013, en grande section de maternelle (enfants âgés de 5 à 6 ans), 9,7 % des filles et 7,3 % des garçons étaient en surpoids, mais n'étaient pas obèses ; 3,8 % des filles et 3,1 % des garçons étaient atteints d’obésité. Plus de la moitié des enfants obèses à l’âge de 6 ans et 70 à 80 % de ceux de plus de 10 ans resteront obèses à l’âge adulte. Il en résulte une surmortalité de 50 à 80 % à l’âge adulte, surtout de nature cardiovasculaire. Par ailleurs l’obésité entraine une baisse de l’estime de soi et empêche l’intégration et l’évolution sociale. Cette augmentation de la prévalence est accompagnée de nombreuses comorbidités telles que le diabète de type 2 ; l’HTA, la dyslipidémie, les maladies cardiovasculaires, métaboliques, articulaires, respiratoires, et cela accroit le risque de survenue de certains cancers. Une prédisposition familiale peut favoriser le développement de l'obésité : le surpoids et l'obésité, chez un des parents ou chez les deux, sont des facteurs de risque importants d'un surpoids ou d’une obésité future chez l'enfant. Plus rarement, l'obésité est liée à une maladie génétique ou endocrinienne il est très difficile de modifier des comportements très liés au mode de vie. Le repérage de l’obésité dans l’enfance est un élément prédictif de l’obésité à l’âge adulte afin d’éviter la constitution d’une obésité persistante à l’âge adulte et la survenue de complications, l’HAS recommande de dépister tôt et de proposer une prise en charge précoce pour les enfants à risque d’obésité. Le rôle du médecin traitant est important : grâce à un suivi régulier de l’indice de masse corporelle (IMC) et à l’analyse de l’évolution de la courbe de corpulence, il pourra repérer précocement les enfants et adolescents à risque de développe un surpoids ou une obésité. L’obésité est une maladie plurifactorielle, et sa prise en charge est multidisciplinaire ; Pour tous les enfants, la prise en charge comporte, selon les besoins des enfants et de leur famille des interventions diététiques, psychologiques et d’activité physique. Le Médecin de l’enfant doit pouvoir coordonner toutes ces interventions. Le carnet de santé de l’enfant sera un outil précieux de suivi et de dépistage des troubles liés au surpoids. Objectifs : - Repérer précocement les enfants et adolescents à risque de développer un surpoids ou une obésité et prévenir la survenue d’une obésité ultérieure. - Poser les indications d’examens complémentaires à la recherche d’une cause ou de complications. - Identifier les situations pour lesquelles un avis spécialisé devra être demandé. - Définir avec l’enfant ou l’adolescent une stratégie de changements dans son mode de vie.
Pédicure-Podologue
En présentiel
Dépistage et prise en charge du pied diabétique
DPC
Le diabète est une maladie chronique caractérisée par la présence d’un excès de sucre dans le sang appelé hyperglycémie et mesuré par un taux de glycémie à jeun égal ou supérieur à 1,26 g/l (7 mmol/l) de sang. Il existe deux types de diabète mais seul le diabète de type 2 est dû à une mauvaise utilisation de l’insuline par les cellules de l’organisme. C’est le plus fréquent des diabètes (90 % des diabètes) et touche 4 % de la population en France, soit environ 2,5 millions de personnes. Le diabète de type 2 est une maladie chronique en pleine expansion. Le nombre de cas augmente chaque année, on parle d’une véritable épidémie. Le développement du diabète de type 2 se fait très progressivement, de façon insidieuse sur de nombreuses années et en 3 étapes : insulino-résistance puis hyperinsulinisme et enfin insulino-déficience. Des complications peuvent apparaître par atteinte des artères et des nerfs. Les diabétiques de type 2, malades à haut risque cardiovasculaire, nécessitent la mise en route d’une stratégie thérapeutique optimale ainsi qu’une prise en charge des facteurs de risque associés afin notamment de réduire le risque d’infarctus et d’accidents cardio-vasculaires. Le traitement repose sur l’association d’une prise en charge non médicamenteuse et médicamenteuse, notamment anti diabétiques oraux et insulines dans le cadre d’une stratégie d’insulino-requérance. L'éducation thérapeutique est au centre de ce défi et le pédicure-podologue a un rôle majeur à jouer, notamment sur le pied diabétique, dans le domaine de l’information, du soin et l’orientation vers une prise en charge pluri professionnelle. Objectifs : • Actualiser ses connaissances théoriques sur le diabète de type 2 et ses facteurs de risques • Éduquer son patient sur les habitudes d’hygiène de vie afin de minimiser le risque cardio vasculaire • Diagnostic précoce et conseils thérapeutiques par le pédicure-podologue • Prise en charge préventive et coordonnée du pied diabétique • Prévention de l’apparition des complications et orientation dans le parcours de soins
Pédicure-Podologue
En présentiel
ORTHESE NOCTURNE DE REPOS
DPC
L’objectif de cette formation est de perfectionnerq les connaissances des podologues sur les contentions nocturnes. La maîtrise du protocole de base de fabrication de ce type de traitement orthétique permet de prendre en charge l’ensemble des symptômes dont l’avant pied est le siège.