Les dysnatrémies sont réputées difficiles à analyser en pratique clinique, découvrez comment mieux interpréter ces troubles de l'hydratation avec un néphrologue qui vous clarifie l'essentiel à savoir. D'ici la fin de l’année, chaque médecin généraliste devra avoir fait au moins une évaluation des pratiques (par exemple ici l'audit clinique) afin de respecter son obligation triennale de DPC (2020-202

2-. L'objectif général de cette formation simple et pratique est d'améliorer la prise en charge diagnostique positive, étiologique et différentielle d'une dysnatrémie au cabinet de médecine générale. Les objectifs spécifiques de cette formation sont : - mieux reconnaître et différencier les causes d'une hypo ou hypernatrémie, - identifier les drapeaux rouges devant orienter le malade au sein d'une structure hospitalière et ainsi améliorer le recours aux urgences hospitalières, - reconnaître les caractéristiques cliniques et les situations justifiant d'un recours adapté au près du spécialiste d'organe néphrologue en médecine de ville, - améliorer la coopération pluri professionnelle entre les différents acteurs de santé (MG, néphrologues) d’un territoire donné au sein d'une CPTS par exemple. Ce DPC commence par une analyse de votre pratique concernant les modalités de la démarche diagnostique face à une dysnatrémie. La phase 1 d'audit clinique vous permettra ainsi de mesurer l'écart entre votre pratique et la recommandation HAS à l'aide d'une analyse retrospective de 10 dossiers tirés de votre patientèle. La phase 2 d'apport de connaissances sera réalisée à l'aide de documents pédagogiques associant textes, schémas de synthèses et vidéos didactiques d'experts. La phase 3 de 2ème tour d'audit clinique vous permettra de ré-évaluer et de mesurer l'impact des actions correctives mises en oeuvre et de les suivre grâce à la fiche de suivi d'actions d'amélioration fournit par guideline.care. QU’EST CE QUE L’AUDIT CLINIQUE ? Il consiste à étudier votre pratique et mesurer son amélioration. En pratique, l’audit clinique se déroule très simplement. Le médecin débute par une séquence explicative sur l’audit clinique en général et sur la méthode simple et efficace de guideline.care pour la réaliser. En effet, notre force est d’avoir su rendre cette obligation de DPC, simple, efficace en incluant des sujets fréquents et dans le quotidien du médecin généraliste. Le MG télécharge les documents nécessaires pour réaliser son audit de façon indépendante : recommandations professionnelles, grille d’audit, plan d’amélioration, fiche de suivi d'actions correctives. (documents fournis au format papier et/ou numérique) Le médecin réalise l’audit clinique initial sur son ordinateur personnel puis choisit ensuite un critère à améliorer. Sur la base de conseils fournis, le médecin met en place des actions d’amélioration dans son cabinet. Le MG réalise ensuite un 2e audit clinique pour mesurer l’amélioration, toujours sur son ordinateur personnel. Enfin le médecin signe son attestation de réalisation à guideline.care qui le transmet au DPC. C’est le seul élément qui est transmis à guideline.care puis au DPC. Les résultats des audits sont stockés sur l’ordinateur personnel du médecin et ne sont transmis ni à la plateforme de guideline.care ni au DPC ou à une quelconque institution.