1- Se positionner sur sa pratique professionnelle et adopter une attitude questionnante sur soi-même pour améliorer sa conscience d'une relation respectueuse au quotidien et réfléchir à l'impact des comportements et attitudes des personnes accueillies sur les actions quotidiennes.

2- S'auto évaluer à l'aide d'outils simples utilisables et réutilisables après la formation

3- Permettre de clarifier ce que l'on qualifie de maltraitance et de « bientraitance » sur les plans philosophique, éthique, dans les représentations de chacun en n’occultant pas le débat. Dans les faits , dans les formations sur la bientraitance, les questions sont toujours posées par les stagiaires sur la maltraitance. Car si en général tout le monde s’accorde sur le fait qu’il faut prévenir la maltraitance et favoriser la bientraitance, il s’avère que dans la vie quotidienne la mise en œuvre n’est pas toujours simple. En effet, les actions des salariés sont aussi en fonction de leur contexte social, de leur culture, de leurs limites du bien et du mal, de leurs valeurs morales, de la dynamique d’équipe.

4- Rechercher et valoriser une véritable attitude bienveillante

5- Repérer et comprendre que la souffrance et la dépendance sont des facteurs à risque et réfléchir aux moyens de prévenir l'usure, à la question de la durée du professionnalisme dans le temps à tout ce qui peut donner du sens à la pratique professionnelle.

6- Se centrer et savoir se recentrer sur la personne accueillie et prendre conscience des mécanismes de défense que l'on utilise au quotidien pour se protéger ou déplacer l'important

7- Se questionner sur la bientraitance dans le contexte spécifique de l'intervention au domicile des personnes accueillies