Description synthétique de chaque composante  Phase1 évaluation des pratiques : Les participants recevront, avant la formation présentielle sur site, la première partie d’un audit clinique ciblé sur le theme de la prescription des oestroprogestatifs .(partie non présentielle, à distance).  Phase 2 : Acquisition des connaissances au cours d’une formation cognitive présentielle Formation avec un expert gynécologue qui présentera les différentes parties de ce DPC et qui répondra aux questions des participants  Phase3 évaluation des pratiques :deuxième partie d’un audit clinique Les participants recevront après la formation présentielle sur site, la deuxième partie de l’audit clinique ciblé (partie non présentielle, à distance). Objectifs Objectifs de formation généraux et intermédiaires. Savoir adapter sa prescription de méthode contraceptive à chaque consultante. Etendre le champ de son entretien au-delà des seuls critères médicaux. Identifier les différentes méthodes contraceptives, ses effets indésirables et ses limites. Objectifs pédagogiques. Objectif de l’EPP Systématiser l’interrogatoire devant toute demande de prescription d’oetroprogestatif. Première demi-journée. Identifier les contre-indications et les effets indésirables des oestro-projectatifs. Gérer les oublis de pilules en fonction du dosage de celles-ci. Préciser les interactions médicamenteuses avec les contraceptifs hormonaux diminuant leur efficacité. Deuxième demi-journée. Préciser les indications privilégiées des différentes méthodes autres qu’oestroprojectatifs : implan, DIU méthodes barrières. Maitriser les modalités de la contraception de la jeune fille mineure Résumé En France, la formation des médecins généralistes en gynécologie est un nouvel enjeu pour le système de santé. Elle doit permettre de compenser la pénurie annoncée des gynécologues, et d’assurer un accès équitable au dépistage et aux soins . Ce séminaire a pour but de permettre aux médecins généralistes de mieux aborder les stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Un abord particulier de la prescription de contraceptif pour les adolescentes est à mettre en œuvre pour favoriser une contraception efficace et adaptée. Une des raisons retrouvées dans l’échec de contraception est le mauvais usage de la méthode, lié ou non à des difficultés de gestion quotidienne ou à une mauvaise connaissance de l’utilisation de la méthode. . Le médecin généraliste se trouve en première ligne pour informer les femmes sur les différentes méthodes et particulièrement les jeunes mineures. Une meilleure connaissance des recommandations ne peut qu’améliorer une prescription d’une méthode contraceptive adaptée à la situation de chaque couple.