712 formations DPC AFML disponibles

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Numérique en santé : Définition et Traitement des données de santé

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) L’avancée des logiciels médicaux grâce au Ségur Numérique et la mise en place opérationnelle de « Mon Espace Santé » permettent d’entrevoir un large panel de fonctionnalités pour mieux soigner et communiquer. L’ensemble des professionnels de santé, dont évidemment les médecins, quelque soit leur mode d’exercice, doivent intégrer les enjeux du numérique en santé et participer pleinement à la transformation numérique du système de santé. Pour se faire, ils doivent intégrer les fondements des services numériques, à savoir les données de santé et leurs conditions d’utilisation. Cette formation propose aux participants une montée en compétence sur les thématiques du numérique en santé correspondant à leurs besoins et à l’évolution de leurs pratiques professionnelles. A l’issue de cette action de formation, le participant sera en capacité de caractériser et traiter la donnée à caractère personnel de santé, en appliquant la règlementation. - Il saura définir une donnée à caractère personnel de santé, différencier une donnée anonyme et pseudonyme et décrire le cycle de vie d’une donnée. - Il aura acquis les caractéristiques de base d’un traitement de donnée : ce que l’on peut faire avec les données, ou pas (traitement de données licite ou pas, consentement du patient au traitement de ses données) ; - Il saura à quelles sanctions il s’expose en cas de non-respect de ses obligations règlementaires. b. Objectifs généraux : · Caractériser et traiter la donnée à caractère personnel de santé en appliquant la réglementation. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Objectif 1 : Définir le périmètre des exigences légales à respecter pour le traitement des données de santé Objectif 2 : Expliquer les notions suivantes : donnée à caractère personnel de santé ; donnée anonyme et donnée pseudonyme ; cycle de vie de la donnée de santé numérique Objectif 3 : Enumérer les principes de traitement de données à caractère personnel Objectif 4 : Lister les critères de licéité d’un traitement de données Objectif 5 : Expliquez la notion de consentement du patient au traitement de ses données à caractère personnel de santé Objectif 6 : Citer les sanctions encourues en cas de non-respect du RGPD

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En présentiel

Spécificités de prise en charge du patient souffrant d'un handicap moteur

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) L’amélioration de la santé des personnes en situation de handicap est une des priorités de santé publique. Les actions du Ministère des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées visent à simplifier les parcours et l'accès aux droits pour les personnes handicapées. L’assurance et la continuité des soins constituent pour les personnes handicapées une condition sine qua non de la garantie de pouvoir mener à bien leur projet de vie. Les médecins sont amenés à prendre en charge des patient souffrant d’un handicap moteur. Ils doivent être en mesure d’orienter ces patients vers les services spécialisés adaptés à leur déficience, de les accompagner dans leur parcours de soins et dans leurs démarches afin de faire valoir leurs droits, d’adopter des postures professionnelles adaptées à leurs besoins, dans une écoute active et bienveillante. Cette action de formation permettra aux médecins d’améliorer l’accompagnement de leurs patients souffrant d’un handicap moteur, en prenant en compte les spécificités de leur prise en charge. b. Objectifs généraux : Optimiser la prise en charge et l’accompagnement des patients présentant un handicap moteur. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Maîtriser la Classification Internationale du Fonctionnement, du Handicap et de la Santé (CIF) dans le cadre de la description et l’organisation des informations relatives au handicap moteur 2. Citer les éléments du cadre législatif et réglementaire concernant la prise en charge de la personne en situation de handicap moteur, en lien avec les recommandations de bonnes pratiques 3. Identifier les acteurs de la prise en charge pluriprofessionnelle de la personne souffrant de handicap moteur 4. Adopter sa posture professionnelle aux besoins des patients en situation de handicap moteur

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En présentiel

Communication et outils numériques en santé

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) L’avancée des logiciels médicaux, grâce au Ségur Numérique et la mise en place opérationnelle de « Mon Espace Santé », permettent d’entrevoir un large panel de fonctionnalités pour mieux soigner et communiquer. L’ensemble des professionnels de santé, dont les médecins, doivent intégrer les enjeux du numérique en santé et participer pleinement à la transformation numérique du système de santé. Pour se faire, il doivent intégrer les fondements des services numériques à disposition pour optimiser la communication. Cette formation propose aux médecins, quel que soit leur mode d’exercice, une montée en compétence sur les thématiques du numérique en santé correspondant à leurs besoins et à l’évolution de leurs pratiques professionnelles. A l’issue de cette action de formation, le participant sera en capacité d’utiliser : - les moyens de communication numérique (MSSanté, MSS-C) ; - le Dossier Médical Partagé (DMP) et les services associés de Mon Espace Santé ; - les outils métiers du Bouquet de Services aux Professionnels de santé́ ; - les services numériques de coordination et d’orientation (e-Parcours, Via trajectoire) ; - L’ordonnance numérique b. Objectifs généraux : Communiquer grâce à l’utilisation des outils numériques en santé. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Objectif 1 : connaitre la doctrine technique du numérique en santé Objectif 2 : identifier les moyens de communication numérique Objectif 3 : utiliser les services associés à Mon Espace Santé et au Dossier Médical Partagé Objectif 4 : identifier les outils métiers (logiciels et plateformes) qui composent l’écosystème du professionnel Objectif 5 : utiliser les services numériques de coordination et d’orientation Objectif 6 : maîtriser les règles de bon usage de la e-Prescription

Gynécologue, Médecin Généraliste, Neurologue, Endocrinologue

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Prise en charge globale du risque cardio-vasculaire

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Les maladies cardiovasculaires ou cardio-neurovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde, la deuxième en France. Il s’agit d’une priorité de santé publique qui implique tous les médecins. Nous définirons le risque global cardiovasculaire, son évaluation, sa mesure, et verrons ensuite sur quels déterminants modifiables le patient et son médecin peuvent agir selon une approche pluridisciplinaire. La prise en charge globale du risque se fera par la modification des habitudes de vie et, si nécessaire, les traitements médicamenteux, sur la base de l’éducation thérapeutique et de la décision médicale partagée. Ces patients nécessitent un suivi et une coordination des soins pour prévenir au maximum la survenue d’événements cardiovasculaires. Un accompagnement pluridisciplinaire est nécessaire. L’action s’appuie sur les guides de bonnes pratiques de la HAS et des sociétés savantes. b. Objectifs généraux : Évaluer le risque cardio-vasculaire global d’un patient afin de lui proposer une prise en charge individualisée selon les recommandations actuelles c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1) Lister les situations dans lesquelles l’évaluation du risque cardiovasculaire global du patient est recommandée 2) Énumérer les outils d’évaluation recommandés par les sociétés savantes de santé 3) Identifier les déterminants modifiables du risque cardiovasculaire global du patient grâce à une prise en charge individualisée et pluriprofessionnelle 4) Citer les principes essentiels de l’Éducation Thérapeutique du patient concernant son risque cardiovasculaire global

Médecin Généraliste

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Echographies et urgences vasculaires : gestes techniques utiles en médecine générale

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : L’échographie ou ultrasonographie, longtemps considéré comme un examen complémentaire, est devenu un outil clinique à part entière, moins coûteux comparé aux autres techniques d’imagerie, non irradiant et permettant des examens ciblés. De plus en plus de médecins sont équipés d’un échographe et la pratique de l'échographie est en nette progression auprès des médecins généralistes compte-tenu du maillage sanitaire nouveau qui s'est mis en place en France et du coût de l’appareil. Elle répond au défit sanitaire posé par la difficulté d’obtenir rapidement un rendez-vous surtout en cas d’urgence vasculaire mais aussi de l'éloignement des centres de bilans complémentaires pour être réalisée en milieu rural et semi-rural, tant au niveau des cabinets de radiologie que de médecine vasculaire. Cette action de formation permettra aux participants de mettre à jour leurs connaissances sur l’utilisation de l’échographie de l’aorte abdominale et de l’appareil vasculaire veineux du membre inférieur afin d’améliorer le dépistage et la prise en charge précoce d’éventuelles anomalies. b. Objectifs généraux : L’objectif général de ce séminaire est de former les participants aux nouvelles techniques d’investigation échographique centrées sur la lecture d’images anatomiques échographiques de l’aorte abdominale et des vaisseaux veineux du membre inférieur, normales et pathologiques. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Décrire en la repérant échographiquement l’aorte abdominale 2. Décrire les différentes anomalies de l’aorte abdominale repérables en échographie, afin, notamment, d’identifier un anévrysme de l’aorte abdominale 3. Décrire en les repérant échographiquement les grands axes veineux du membre inférieur 4. Décrire les différentes pathologies des grands axes veineux du membre inférieur pouvant être repérées en échographie

Médecin Généraliste

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Démarche diagnostique devant un patient consultant pour une lombalgie aiguë

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Les lombalgies font partie des motifs de consultation les plus fréquents en médecine générale. La lombalgie est une douleur de la région lombaire n’irradiant pas au-delà du pli fessier. Les lombalgies aiguës sont définies par un délai d’évolution inférieur à trois mois. L’enjeu pour le praticien consiste en un diagnostic rigoureux permettant de dégager les critères de gravité. La démarche diagnostique et la prise en charge thérapeutique sera globale, voire multidisciplinaire. La lutte contre la chronicisation de la douleur est fondamentale compte tenu des conséquences personnelles et du risque de désinsertion socio-professionnelle en cas de lombalgie chronique. b. Objectifs généraux : · Maîtriser la démarche diagnostique à adopter face à un patient se plaignant de lombalgies aiguës, en respectant les référentiels professionnels · Énoncer au patient les thérapeutiques envisagées en fonction du diagnostic retenu tout en luttant contre le risque de chronicisation de la lombalgie c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Identifier les différentes caractéristiques entre la lombalgie aiguë dite commune et la lombalgie symptomatique 2. Identifier les moyens d’investigations nécessaires aux différents stades de la lombalgie aiguë dite commune en respectant la démarche diagnostique recommandée 3. Identifier, dès la consultation d’annonce, les explications à donner au patient sur le risque de chronicisation de la lombalgie aiguë dite commune, avec ses conséquences personnelles, et socio-professionnelles 4. Lister les méthodes thérapeutiques à envisager devant un patient souffrant de lombalgie aiguë dite commune dans le cadre d’une démarche de décision partagée avec le patient

Gynécologue, Médecin Généraliste, Pédiatre, Psychiatre

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L’adolescent et le cannabis : dépistage et modalités de prise en charge du patient à conduite addictive dans le processus de sevrage

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Interrogés sur la représentation qu’ils ont des drogues, les adolescents attribuent volontiers au cannabis une image positive et dédramatisée, opposée aux effets négatifs qu’ils associent au tabac. Décrit comme « plaisant », « convivial », voire « naturel », le cannabis est aussi perçu comme moins dangereux et addictif que la nicotine, cité comme « un produit qui ne fait pas de mal ». Pourtant, les preuves scientifiques s’accumulent sur les risques pour la santé liés à l’usage de cannabis. Les jeunes, dont le cerveau est en maturation jusqu’à 25 ans environ, sont particulièrement concernés. L’impact se mesure en termes de santé physique et psychique mais aussi de réussite scolaire et d’insertion sociale et professionnelle. Il est donc essentiel pour les professionnels de santé de savoir repérer une consommation problématique, puis de délivrer au jeune patient les informations adéquates concernant les risques qu’elle implique et l’amener à résoudre son ambivalence face à cette substance. Il sera proposé au patient une prise en charge pluriprofessionnelle individualisée visant le sevrage. b. Objectifs généraux : Etablir le diagnostic précoce et la prise en charge globale de l’adolescent souffrant d’une addiction au cannabis. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Identifier les mécanismes psychopathologiques en jeu dans les processus d’addiction afin de pouvoir les expliquer au patient, en consultation 2. Lister les effets délétères de la consommation de cannabis sur la santé, afin de pouvoir les expliquer au patient, en consultation 3. Identifier les caractéristiques de la période de l’adolescence la rendant particulièrement favorable à l’installation d’une addiction au cannabis 4. Citer les répercussions psycho-sociales, chez l’adolescent, de l'addiction au cannabis, pour les rechercher si besoin, lors des entretiens avec le patient 5. Maîtriser le repérage précoce et l'intervention brève de consommation de cannabis lors d'une consultation avec un adolescent 6. Identifier, en consultation, les troubles de la santé mentale associés à la consommation de cannabis 7. Lister les caractéristiques de l’entretien motivationnel afin d’utiliser cette technique psychothérapeutique pour amener le patient à résoudre son ambivalence face à son addiction au cannabis pour sa santé 8. Établir une prise en charge pluriprofessionnelle de l’adolescent souffrant d’une addiction au cannabis afin d’accompagner au mieux le patient dans le processus de sevrage

Médecin Généraliste, Pédiatre, Psychiatre

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Dépistage et prise en charge, chez l’enfant, d’un trouble du spectre autistique

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) représentent, en France, entre 0,9 % et 1,2 % des naissances, soit environ 7 500 bébés chaque année. Dans le cadre du suivi habituel de l’enfant, le praticien doit être vigilant et identifier les signes d’alerte évocateurs d’un TSA, en utilisant les outils disponibles pour le repérage précoce de ces troubles. Dès lors que ces signes existent, une consultation dédiée doit être réalisée chez le médecin spécialiste en médecine générale, le psychiatre ou chez le pédiatre afin d’examiner l’enfant et de réaliser des tests standardisés de dépistage de TSA. Il faut suivre les  recommandations de bonnes pratique publiées par la HAS et celles des centres spécialisés dans la prise en charge des TSA selon les dernières données de la science. Très rapidement un complément diagnostique se fera par une équipe spécialisée dans la prise en charge des enfants souffrant de TSA, en coordination avec le médecin habituel. Tous les professionnels s’attacheront à dépister des troubles associés. Enfin, l’annonce du diagnostic aux parents est un moment particulier qui doit être réalisé avec bienveillance et qui a pour but d’assurer le soutien de l’équipe soignante mais aussi la réalisation d’un projet personnalisé d’interventions éducatives. b. Objectifs généraux : Intégrer dans sa pratique, le dépistage d’un trouble du spectre autistique chez l’enfant et organiser sa prise en charge. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Identifier chez l’enfant les signes d’alerte devant faire évoquer un TSA Lister les points clé de la consultation dédiée au dépistage d’un TSA selon les recommandations de bonne pratique Citer les actions à visées diagnostiques à mettre en place en association avec les équipes spécialisées dans la prise en charge des enfants souffrant de TSA Citer les informations devant être délivrée en cours de la consultation d’annonce du diagnostic aux parents d’un enfant souffrant de TSA, selon les recommandations de bonnes pratiques

Chirurgien, Dermatologue, Gériatre, + 15 autres

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Promouvoir les vaccinations : une implication nécessaire de la part de tous les médecins

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Malgré son efficacité avérée dans le cadre de la prévention de nombreuses infections, la vaccination ne bénéficie pas d’une adhésion universelle de la part de la population. En France, comme dans de nombreux pays européens, les citoyens expriment de plus en plus de défiance et d’hésitation envers celle-ci. La couverture vaccinale est en diminution contre les maladies infectieuses fréquentes, telles que la rougeole ou le méningocoque. Cela devient insuffisant et préoccupant. La couverture vaccinale des professionnels de santé est aussi insuffisante contre la coqueluche, la grippe. Elle peut être à l’origine de transmission nosocomiale. Il est aussi indispensable face à de nouveaux enjeux en matière de vaccination, en particulier s’agissant de la vaccination contre la Covid-19, la vaccination contre les papillomavirus récemment recommandée chez les garçons, ou encore la vaccination par le BCG. Le médecin a un rôle important dans l’explication et la promotion de la vaccination auprès des usagers, afin d’étendre la couverture vaccinale. Chaque consultation devrait faire l’objet d’une vérification de réalisation des vaccinations obligatoires, d’une délivrance d’informations sur les vaccinations recommandées, et d’une mise au point argumentée afin de lever, du mieux possible, les réticences vaccinales. Cette formation permet aux participants médecins de consolider leurs connaissances scientifiques et réglementaires en termes de vaccinologie pour mieux aborder cette question de prévention primaire individuelle mais aussi altruiste auprès des usagers. b. Objectifs généraux : 1. Renforcer ses connaissances en vaccinologie pour accroître la couverture vaccinale des soignants et des usagers 2. Participer à la promotion de la vaccination en utilisant l’outillage des professionnels de santé visant à lever les freins à la vaccination c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Lister les principes de la vaccinologie afin de délivrer une information éclairée aux patients 2. Maîtriser le calendrier vaccinal, en tenant compte des actualités vaccinales, afin d'expliquer aux patients les recommandations actualisées 3. Citer les freins à la vaccination mis en évidence dans la population générale et chez les professionnels de santé 4.   Identifier l'outillage des professionnels de santé pour lever les freins à la vaccination

Gynécologue, Médecin Généraliste, Pédiatre, + 3 autres

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Tabagisme et grossesse : dépistage et modalités de prise en charge de la patiente dans le processus de sevrage tabagique

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) La prévalence du tabagisme actif par consommation de cigarettes en France avant la grossesse est d’environ 30%, de 20 à 24% au 1 er trimestre de la grossesse et de 14 à 20% au 3 ème trimestre. La grossesse et la visite pré-conceptionnelle devraient constituer des moments particulièrement propices pour que le médecin identifie une consommation de tabac chez la femme ou son conjoint avant la grossesse, ou le plus tôt possible au cours de la grossesse. Les objectifs généraux de cette formation sont de sensibiliser les participants à la recherche du tabagisme lorsqu’une femme les consulte, afin de lui fournir toutes les informations concernant ses effets sur la grossesse et de proposer un sevrage tabagique pendant la grossesse et l’allaitement, permettant d’éviter l’apparition de complications maternelles, fœtales ou néo-natales. L’objectif ultime serait d’obtenir un sevrage au long cours. b. Objectifs généraux : - Repérer une addiction tabagique chez la femme enceinte - Accompagner la patiente, enceinte, dans le processus de sevrage tabagique c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant aura la capacité de : 1. Lister les effets délétères du tabagisme pendant la grossesse 2. Décrire comment informer sa patiente sur les risques du tabagisme pendant la grossesse 3. Maîtriser le repérage précoce et l'intervention brève en tabacologie lors d'une consultation avec une femme enceinte et tabagique 4. Décrire les différentes approches psychothérapeutiques d’arrêt du tabac 5. Citer les bénéfices/risques des substituts nicotiniques sur la santé de la mère et l’évolution de la grossesse 6. Énoncer les informations à fournir à la patiente sur la prescription de substituts nicotiniques 7. Définir quels sont les risques liés au tabagisme passif pour l’évolution de la grossesse 8. Citer les recommandations concernant l’arrêt du tabac dans un contexte d’allaitement