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Dentiste
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CBCT au quotidien, dialogue des cultures cliniques
DPC
Depuis l'apparition de la tomographie volumique à faisceau conique ou Cone Beam CT dans le champ odontologique au début des années 2000 cette modalité s'est fortement développée en prenant une place de plus en plus importante dans les phases de diagnostic, de planification et de contrôle des thérapeutiques. Il n'en demeure pas moins souvent un examen de seconde intention. Du fait de l'exposition aux rayonnements ionisants non négligeable qu'elle entraine son utilisation se doit d'être raisonnable et raisonnée. Dans cette séance DPC nous proposons un dialogue original, tour à tour, entre des spécialistes de l'odontologie pédiatrique, de l'endodontie et de la chirurgie orale et un praticien hospitalier en imagerie. Au travers d'un large panel de situations cliniques, des plus simples aux plus complexes ou rares, nous aborderons les indications mais également les bonnes pratiques existant en imagerie 3D CBCT. Prescripteurs et/ou réalisateurs de CBCT, les praticiens pourront sécuriser leur exercice dans le respect des nouvelles recommandations ALADA IP, à savoir des examens raisonnés, adaptés aux indications et aux patients, en privilégiant un équilibre entre un risque d’exposition au rayonnement et un bénéfice clinique.
Dentiste
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LA MALADIE CARIEUSE EN 2023 : PREVENTION - EDUCATION - VALORISATION
DPC
Depuis plusieurs décennies, la bonne santé orale de nos patients reste un des objectifs majeur des pouvoirs publics. Bien que l’indice CAOD soit en régression, en France, l’objectif zéro carie n’est toujours pas atteint en 2023, et ce, malgré de nombreuses campagnes de prévention. Nous ne pouvons pas évoquer la « maladie carieuse en 2023 », sans présenter le guide clinique édité par le consortium CariesCare International en 2019, le CC4D. Il a pour but de promouvoir l’approche contemporaine préventive de la gestion de la maladie carieuse centrée sur le patient et en tenant compte de son risque carieux. Ce guide est une synthèse des dernières données acquises de la science. La prévention est la pierre angulaire de nos thérapeutiques en cariologie et en parodontologie. Une méthode commune centrée sur le patient est indispensable pour qu’il devienne acteur de sa santé orale. Pour ces 2 disciplines, les éléments fondamentaux restent l’enseignement à l’Hygiène Orale , ainsi que le nettoyage des surfaces dentaires. Bien que sous-entendue dans ce guide elle n’y est encore que trop peu développée. De plus la prophylaxie en cariologie peine à s’imposer en France notamment car les codifications et les prises en charges ne s’appliquent qu’à une tranche d’âge étroite. Au cours de cette séance nous reprendrons cette nouvelle démarche de prise en charge personnalisée en fonction du risque carieux des patients. Ensuite, toutes les stratégies pour l’éducation thérapeutique et la motivation du patient seront décrites . Dans une dernière partie nous vous montrerons comment valoriser auprès de vos patients les séances d’intervention minimale en cariologie (entretiens et thérapeutiques médicales non-invasives) permettant la préservation tissulaire dans le respect du gradient thérapeutique.
Dentiste
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A propos des étapes clefs en prothèse complète : De l’examen clinique à l’enregistrement de l’occlusion
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Le traitement de l’édentement complet par la prothèse amovible reste une solution thérapeutique d’actualité en 2022. Elle constitue pour certain patient la prothèse définitive, ou bien, c’est une étape transitoire déterminante vers une solution de prothèse amovible à complément de rétention implantaire. Dans tous les cas, le succès de ces réhabilitations prothétiques est indissociable d’une prise en charge attentive à chacune des étapes de cette thérapeutique. Les étapes clefs de l’examen clinique à la réalisation des empreintes, puis à l’enregistrement des paramètres de l’occlusion et leur transmission au laboratoire de prothèse, sont indissociables. Elles sont essentielles au succès et à la pérennité de la future prothèse. Ces différentes étapes cliniques seront présentées au travers leurs points clefs et la conduite à tenir face à diverses situations cliniques particulières.
Dentiste
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Traitement personnalisé de la parodontite
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La parodontite est une pathologie inflammatoire d’origine infectieuse très fréquente dans la population générale adulte. Il est estimé qu’environ 47% de la population est touché par au moins un problème parodontal, avec une prévalence de la parodontite sévère de 11,2% dans le monde. La manifestation clinique de la parodontite est influencée par plusieurs facteurs de risque, notamment le tabac, le diabète, les habitudes alimentaires du patient, le stress et la présence d’autres pathologies systémiques. La nouvelle classification des maladies parodontales, issue du World Workshop de Chicago en 2017, propose un système de diagnostic de la parodontite qui tient compte de plusieurs paramètres cliniques à savoir l’évaluation des facteurs de risque pour pouvoir classifier la maladie en 4 stades (I, II, III, IV) de sévérité et 3 grades (A, B, C) de risque de progression. Ce système permet également d’identifier l’approche thérapeutique la plus adéquate et intégrer dans le diagnostic des notions de pronostic. En plus, la nouvelle classification soutient l’importance de l’évaluation du risque individuel du patient, afin de personnaliser la prise en charge et optimiser les résultats des thérapeutiques proposées. La clé du succès en parodontologie reste la motivation du patient, qui est acteur des soins afin améliorer les habitudes d’hygiène bucco-dentaires quotidiennes et changer les comportements à risque (ex. arrêt du tabac). Le contrôle de plaque professionnel et le débridement sous-gingival représentent la thérapeutique parodontale dite de « step 1 », qui correspond à la première ligne de traitement de toutes parodontites. Cependant, elle doit être adaptée aux caractéristiques du patient et de la maladie, avec des variations dans le protocole à appliquer (ex. nombre de séances, type d’instrumentation) et dans l’utilisation ou pas d’adjuvants (ex. antiseptiques, antibiotiques) afin d’optimiser les résultats en termes de résolution de l’inflammation et réduction de la profondeur de poche. Cette séance de formation vise à décrire l’application de la nouvelle classification pour la parodontite et l’évaluation du profil de risque du patient. Ensuite, toutes les stratégies pour l’éducation thérapeutique et la motivation du patient atteint de parodontite jusqu’à l’observance du traitement à long-terme seront décrites, pour terminer avec les techniques appliquées à la thérapeutique parodontale non-chirurgicale.
Dentiste
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Dermatoquizz, reconnaissance des lésions malignes, démarches diagnostiques, et place du Chirurgien-Dentiste dans la prise en charge globale des patients atteints de cancer
DPC
A l’heure actuelle, on considère qu’une personne sur trois sera touchée au cours de sa vie par un cancer en France. Les pathologies de la muqueuse orales sont diverses et nécessitent une démarche diagnostique claire et précise. Certains diagnostics impliquent une prise en charge rapide. Quelles sont ces lésions, comment agir et avec quelle rapidité ? Outre son rôle primordial dans la détection des lésions de la cavité orale, le Chirurgien-Dentiste doit également savoir adapter ses soins en fonction des thérapeutiques anticancéreuses. A travers plusieurs cas cliniques, cette séance interactive aura pour but de faire un point sur les prises en charge et les thérapeutiques actuelles afin de préciser les actes à risque et les précautions en fonction des situations. L'objectif de la séance est d'orienter le chirurgien dentiste dans l'identification des lésions de la muqueuse buccale à risque de cancer et de préciser les adaptations de prise en charge odontalgique des patients traités pour un cancer.
Dentiste
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« ETAPES ESSENTIELLES DU TRAITEMENT DE L’EDENTEMENT TOTAL : EMPREINTES ET OCCLUSION ».
DPC
Résumé Deux facteurs majeurs concourent à l’organisation de cette séance. D’une part, l’OMS annonce que dans les pays dits « développés » l’édentement total demeure et demeurera une réalité, et ce malgré le développement de la prévention et de la parodontologie. D’autre part, la réponse à l’édentement total a longtemps été la prothèse amovible complète mais l’apparition des implants aurait dû offrir une meilleure réponse thérapeutique aux défis du traitement de l’édentement total. Hélas, il n’en est rien quelles qu’en soient les raisons économiques, personnelles, techniques. Le traitement par prothèse adjointes totales amovibles demeure d’actualité mais avec son cortège de difficultés voire de déception. Au cours de cette présentation trois éléments essentiels de la réalisation de ce type de restauration seront abordés. 1) L’examen clinique : trop souvent négligé il est à l’origine de certaines erreurs. Il incombe au praticien de mettre en évidence les éléments positifs ou négatifs des aspects biomécaniques (stabilité rétention), fonctionnels (mastication, phonation, déglutition), psychologiques (craintes, espérances), sans négliger les problèmes d’ordre général. 2) Les empreintes : cette étape demeure la pierre d’achoppement de toute nos réalisations prothétiques. Si les objectifs sont bien connus la réalisation s’avère toujours délicate : quels matériaux quelles techniques choisir, au niveau de l’empreinte préliminaire ou secondaire. Face aux protocoles habituels quelle est aujourd’hui la place du numérique dans cette phase d’empreinte. 3) L’occlusion : Dès 1923, Wilson écrivait « l’occlusion est la bête noire des dentiste », il est évident que cette affirmation demeure aux yeux d’un grand nombre de praticiens une réalité. Cependant une approche raisonnée et codifiée des déterminations successives du plan d’occlusion, de la dimension verticale d’occlusion permet au praticien d’enregistrer la relation condylienne dans les meilleures conditions. Le numérique prend alors toute sa dimension grâce à la mise en articulateur virtuelle des modèles scannés, au montage informatisé, à l’usinage de la prothèse. Ces éléments recouvrent à la fois un aspect clinique dépendant du praticien et un aspect plus technique lié au laboratoire. Ce sont autant d’éléments qui participent à la bonne réalisation d’une prothèse amovible et espérons-le à la satisfaction du patient.