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Gynécologue, Médecin Généraliste


En présentiel

Stratégie du dépistage du cancer du col de l'utérus à la lumière des nouvelles recommandations

DPC

Les nouvelles recommandations sur le dépistage des cancers du col de l’utérus entraînent de nouvelles stratégies et attitudes pour les professionnels de santé concernés. La mise en place du dépistage organisé sous l’égide des Centres Régionaux de Dépistage des Cancers, justifie une information et une sensibilisation à l’intérêt de cette démarche de santé publique Objectifs généraux : Améliorer la prise en charge du dépistage des infections gynécologiques par le virus HPV Objectifs spécifiques : - Décrire l’histoire naturelle de l’infection par papillomavirus - Connaître les principales données épidémiologiques de l’infection à HPV - Décrire les moyens actuels de dépistage et leurs modalités de prescription et de réalisation - S’approprier les nouvelles recommandations sur le dépistage du cancer du col - Savoir informer et orienter une patiente en fonction des résultats des examens réalisés

Médecin Généraliste


En présentiel

Les cancers cutanés: dépistage en soins primaires

DPC

D’après l’Institut National du Cancer le nombre de nouveaux cas de cancers de la peau a plus que triplé entre 1980 et 2012. Les carcinomes cutanés représentent 90 % des cancers cutanés diagnostiqués en France. Leur malignité est essentiellement locale, mais leur traitement peut être à l'origine d'importantes rançons cicatricielles. Moins fréquents, les mélanomes sont les plus dangereux du fait de leur fort potentiel métastasique. Une détection précoce offre de meilleures chances de guérison. Les médecins traitants, les infirmiers et les kinésithérapeutes, en raison de leur pratique, sont amenés à examiner la peau de leurs patients et peuvent identifier une lésion suspecte. Tous ces intervenants concourent au diagnostic et à la prise en charge précoce de ces cancers. Le recours au dermatologue sur conseil de ces professionnels de santé permet d’intervenir avant l’extension de ces cancers. Objectif général : Optimiser le réperage précoce des cancers cutanés Objectifs spécifiques : Sensibiliser les acteurs de santé à l’intérêt de l’examen cutané régulier de leurs patients Connaitre les caractéristiques cliniques des différents types de cancers cutanés ( mélanome et épidermoïde ) Repérer les personnes à risque Eduquer les patients à risque à pratiquer un autoexamen cutané et les sensibiliser aux réflexes de protection solaire. Repérer les caractéristiques cliniques des différents types de cancers cutanés pour adresser précocement le patient vers un dermatologue

Médecin Généraliste


En présentiel

Télémédecine : s’en approprier les modalités pour l’intégrer à sa pratique professionnelle

DPC

Selon une étude récente (2020) de la DRESS, 4 millions de français vivent dans une zone sous dotée en MG. Les délais d’accès à tous les spécialistes retardent la prise en charge des patients pouvant ainsi compromettre la sécurité des soins. La télémédecine apparait dans ce contexte comme un outil novateur pour faciliter l’accès aux soins. Cette technologie nouvelle nécessite pour les professionnels de santé une réflexion sur sa place dans leur pratique (intérêt / limites ) et une appropriation de ses modalités pratiques Objectifs généraux : - Faciliter l’accès au soin et la coordination des soins, en zone sous-dotée. - Intégrer la télémédecine comme outil complémentaire dans sa pratique. Objectifs spécifiques : - Différencier téléconsultation et télé-expertise - Décrire les modalités règlementaires de bonne pratique de la télémédecine - Identifier les éléments facilitateurs et les réticences vis-à-vis de cette pratique - Simuler une téléconsultation à son cabinet médical pour un patient à domicile - Connaitre les différentes modalités organisationnelles à la disposition des professionnels de santé

Médecin Généraliste


Mixte

Bon usage de la prescription des antidépresseurs dans le syndrome dépressif chez l’adulte (classe virtuelle)

DPC

La fréquence des troubles mentaux dans la population européenne est estimée autour de 17% de la population, la France se situant dans le haut de l’échelle avec 18.5% (www.irdes.fr Octobre 2019 La santé mentale en France et dans les pays de l’OCDE). Le syndrome dépressif touche quant à lui environ 4.5% de la population générale, jusqu’à 10 – 12 % de la population de plus de 65 ans. Le bon usage des médicaments antidépresseurs est devenu un enjeu majeur de santé publique pour le médecin généraliste qui dans son rôle de médecin de premier recours est de plus en plus fréquemment confronté à la prescription de cette classe de médicaments, (en particulier depuis la mise sur le marché des IRS, classe réputée plus maniable), et ce en particulier lorsque la prescription s’adresse à des personnes fragiles (âgées, polymédicamentées, …). Une fois le diagnostic de syndrome dépressif posé, la prescription se heurte parfois aux représentations des patients au sujet de cette pathologie dépressive, générant selon les études une inobservance pouvant atteindre 40 à 60 % des patients (Bull, Hu, Hunkeler, Lee, Ming, Markson, et Fireman, 2002; Demyttenaere et Haddad, 2000 ; Lingam, et Scott, 2002)). Quels sont, alors, les éléments à prendre en compte dans le respect du « réflexe iatrogénique » pour assurer une prescription sécure et optimale des antidépresseurs lors de la démarche de soins primaires. Les objectifs de cette formation sont : Généraux : Améliorer la prise en charge médicamenteuse des patients dépressifs en médecine de ville Spécifiques : « A la fin de cette formation, chaque participant sera en capacité de » : • lister les différentes classes pharmacologiques de médicaments antidépresseurs • argumenter les spécificités d’action, si elles existent, entre les différentes molécules à disposition • décrire les effets indésirables principaux potentiels des molécules les plus habituellement prescrites • prendre conscience des risques d’interactions potentielles, en particulier lors de la prescription chez des patients âgés ou polymédiqués • repérer les représentations / réticences d’un.e patient.e à la prescription d’un traitement à base d’antidépresseur pour permettre une alliance thérapeutique avec le patient. • Expliquer à son.a patient.e les modalités de la mise en route, du suivi et de l’arrêt, d’un traitement médicamenteux anti-dépresseur NB : ce projet de DPC est centré sur la prescription de médicament antidépresseur. Les traitements alternatifs ou complémentaires feront l’objet d’un autre projet DPC.

Médecin Généraliste


En présentiel

Les cancers cutanés: dépistage en soins primaires

DPC

D’après l’Institut National du Cancer le nombre de nouveaux cas de cancers de la peau a plus que triplé entre 1980 et 2012. Les carcinomes cutanés représentent 90 % des cancers cutanés diagnostiqués en France. Leur malignité est essentiellement locale, mais leur traitement peut être à l'origine d'importantes rançons cicatricielles. Moins fréquents, les mélanomes sont les plus dangereux du fait de leur fort potentiel métastasique. Une détection précoce offre de meilleures chances de guérison. Les médecins traitants, les infirmiers et les kinésithérapeutes, en raison de leur pratique, sont amenés à examiner la peau de leurs patients et peuvent identifier une lésion suspecte. Tous ces intervenants concourent au diagnostic et à la prise en charge précoce de ces cancers. Le recours au dermatologue sur conseil de ces professionnels de santé permet d’intervenir avant l’extension de ces cancers. Objectif général : Optimiser le réperage précoce des cancers cutanés Objectifs spécifiques : Sensibiliser les acteurs de santé à l’intérêt de l’examen cutané régulier de leurs patients Connaitre les caractéristiques cliniques des différents types de cancers cutanés ( mélanome et épidermoïde ) Repérer les personnes à risque Eduquer les patients à risque à pratiquer un autoexamen cutané et les sensibiliser aux réflexes de protection solaire. Repérer les caractéristiques cliniques des différents types de cancers cutanés pour adresser précocement le patient vers un dermatologue

Médecin Généraliste


En présentiel

Télémédecine : s’en approprier les modalités pour l’intégrer à sa pratique professionnelle

DPC

Selon une étude récente (2020) de la DRESS, 4 millions de français vivent dans une zone sous dotée en MG. Les délais d’accès à tous les spécialistes retardent la prise en charge des patients pouvant ainsi compromettre la sécurité des soins. La télémédecine apparait dans ce contexte comme un outil novateur pour faciliter l’accès aux soins. Cette technologie nouvelle nécessite pour les professionnels de santé une réflexion sur sa place dans leur pratique (intérêt / limites ) et une appropriation de ses modalités pratiques Objectifs généraux : - Faciliter l’accès au soin et la coordination des soins, en zone sous-dotée. - Intégrer la télémédecine comme outil complémentaire dans sa pratique. Objectifs spécifiques : - Différencier téléconsultation et télé-expertise - Décrire les modalités règlementaires de bonne pratique de la télémédecine - Identifier les éléments facilitateurs et les réticences vis-à-vis de cette pratique - Simuler une téléconsultation à son cabinet médical pour un patient à domicile - Connaitre les différentes modalités organisationnelles à la disposition des professionnels de santé

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Bon usage de la prescription des antidépresseurs dans le syndrome dépressif chez l’adulte (classe virtuelle)

DPC

La fréquence des troubles mentaux dans la population européenne est estimée autour de 17% de la population, la France se situant dans le haut de l’échelle avec 18.5% (www.irdes.fr Octobre 2019 La santé mentale en France et dans les pays de l’OCDE). Le syndrome dépressif touche quant à lui environ 4.5% de la population générale, jusqu’à 10 – 12 % de la population de plus de 65 ans. Le bon usage des médicaments antidépresseurs est devenu un enjeu majeur de santé publique pour le médecin généraliste qui dans son rôle de médecin de premier recours est de plus en plus fréquemment confronté à la prescription de cette classe de médicaments, (en particulier depuis la mise sur le marché des IRS, classe réputée plus maniable), et ce en particulier lorsque la prescription s’adresse à des personnes fragiles (âgées, polymédicamentées, …). Une fois le diagnostic de syndrome dépressif posé, la prescription se heurte parfois aux représentations des patients au sujet de cette pathologie dépressive, générant selon les études une inobservance pouvant atteindre 40 à 60 % des patients (Bull, Hu, Hunkeler, Lee, Ming, Markson, et Fireman, 2002; Demyttenaere et Haddad, 2000 ; Lingam, et Scott, 2002)). Quels sont, alors, les éléments à prendre en compte dans le respect du « réflexe iatrogénique » pour assurer une prescription sécure et optimale des antidépresseurs lors de la démarche de soins primaires. Les objectifs de cette formation sont : Généraux : Améliorer la prise en charge médicamenteuse des patients dépressifs en médecine de ville Spécifiques : « A la fin de cette formation, chaque participant sera en capacité de » : • lister les différentes classes pharmacologiques de médicaments antidépresseurs • argumenter les spécificités d’action, si elles existent, entre les différentes molécules à disposition • décrire les effets indésirables principaux potentiels des molécules les plus habituellement prescrites • prendre conscience des risques d’interactions potentielles, en particulier lors de la prescription chez des patients âgés ou polymédiqués • repérer les représentations / réticences d’un.e patient.e à la prescription d’un traitement à base d’antidépresseur pour permettre une alliance thérapeutique avec le patient. • Expliquer à son.a patient.e les modalités de la mise en route, du suivi et de l’arrêt, d’un traitement médicamenteux anti-dépresseur NB : ce projet de DPC est centré sur la prescription de médicament antidépresseur. Les traitements alternatifs ou complémentaires feront l’objet d’un autre projet DPC.

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Télémédecine : s’en approprier les modalités pour l’intégrer à sa pratique professionnelle

DPC

Selon une étude récente (2020) de la DRESS, 4 millions de français vivent dans une zone sous dotée en MG. Les délais d’accès à tous les spécialistes retardent la prise en charge des patients pouvant ainsi compromettre la sécurité des soins. La télémédecine apparait dans ce contexte comme un outil novateur pour faciliter l’accès aux soins. Cette technologie nouvelle nécessite pour les professionnels de santé une réflexion sur sa place dans leur pratique (intérêt / limites ) et une appropriation de ses modalités pratiques Objectifs généraux : - Faciliter l’accès au soin et la coordination des soins, en zone sous-dotée. - Intégrer la télémédecine comme outil complémentaire dans sa pratique. Objectifs spécifiques : - Différencier téléconsultation et télé-expertise - Décrire les modalités règlementaires de bonne pratique de la télémédecine - Identifier les éléments facilitateurs et les réticences vis-à-vis de cette pratique - Simuler une téléconsultation à son cabinet médical pour un patient à domicile - Connaitre les différentes modalités organisationnelles à la disposition des professionnels de santé