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Orthophoniste, Psychomotricien, Médecin Généraliste, + 3 autres


En présentiel

Repérage et conduite à tenir face aux violences et suspicions de violences faites aux enfants

DPC

Résumé : La faible quantité d‘informations préoccupantes transmises à l’autorité administrative et de signalements à l’autorité judiciaire, ne semble pas en rapport avec la réalité des violences physiques ou psychiques faites aux enfants, et ce : - malgré d'une part leurs conséquences délétères connues sur l’état de santé physique et psychique de ces enfants comme sur l'avenir personnel et social d es adultes qu'ils deviendront. - malgré d'autre part les dispositions réglementaires existantes permettant la levée du secret professionnel en cas de présomption de violences sur un mineur. L'action aura pour objectifs : - D'améliorer le repérage et les connaissances de la conduite à tenir pour déclarer les situations de violence suspectée ou faites aux enfants, de mieux connaître le cadre législatif, mais aussi de mieux connaître le plan de lutte contre les violences faites aux enfants et les dispositifs offerts aux professionnels et des usagers. - De mieux se former au positionnement professionnel et aux modalités d’entretien/d’examen/de consultation de l’enfant et/ou des accompagnants, en se formant aux techniques d’entretien adaptées au recueil de la parole de l’enfant et des parents. - Etre mieux informé sur les possibilités de suivi existantes pour l'enfant et/ou les parents et/ ou sur les possibilités thérapeutiques qui parfois s'avèrent nécessaires, sans les développer. - L'action comportera l’étude de situations cliniques, ainsi qu'une séquence sur la rédaction d'une IP (information préoccupante) et d'un signalement.

Médecin Généraliste, Psychiatre


Mixte

Classe virtuelle synchrone : états anxio-dépressifs, fantasmes et délires

DPC

Les états anxiodépressifs sont très répandus à tous les âges de la vie. Et leur nombre a été augmenté par la dernière crise sanitaire de la Covid 19. Avec leur cortège, angoisse, tristesse, inhibition, idées de mort et leur risque suicidaire, ils concernent le psychisme, bien sûr, mais aussi le corps dans leurs conséquences, anorexie, boulimie, insomnie, troubles digestifs, tabagisme et autres addictions, séquelles de comportements dangereux pour soi-même (suicides ou autres équivalents), etc., mais aussi dans leur sémiologie avec, par exemple, des douleurs somatiques dont on ne trouve pas la cause organique ainsi qu'avec leurs éventuelles causes organiques, par exemple les douleurs organiques chroniques et leur cortège de dépression et angoisse qui renforce ces douleurs en retour. Leur diagnostic précoce est important pour parer à tous ces risques. Il est aussi important de repérer les fantasmes et les délires auxquels ils sont articulés : fantasme d'autodépréciation dans les névroses, délire de petitesse, de culpabilité, de ruine, de maladie, de persécution, etc... dans les psychoses ; notamment dans la mélancolie, les états mixtes, le délire de relation des sensitifs, la paranoïa (où les suicides peuvent être gravissimes) ou encore la schizophrénie dysthymique. À tous ces titres, ils intéressent la médecine générale et la psychiatrie. La collaboration généraliste-psychiatre est essentielle dans leur prise en charge et cette action permettra un dialogue enrichissant entre ces médecins qui n'ont pas toujours les mêmes points de vue. Ces échanges amèneront une meilleure compréhension mutuelle à propos de ces états anxio-dépressifs. Objectifs pour les généralistes et les psychiatres : repérer de la manière la plus précoce possible les états anxiodépressifs, leur risque suicidaire et leur gravité (mélancolie ou pas par exemple), leur lien à une névrose, à une psychose ou à une maladie organique, établir une conduite à tenir et traiter. Faciliter les échanges généralistes-psychiatres sur ces états anxio-dépressifs. Plus spécifiquement pour les généralistes : être avertis du fait que des plaintes somatiques peuvent être le symptôme d'un état anxio-dépressif et du risque suicidaire que peut comporter une mélancolie dite simple (sans symptômes bruyants). Plus spécifiquement pour les psychiatres : être avertis qu'un état anxio-dépressif peut être le symptôme d'une maladie organique à diagnostiquer et à traiter.

Médecin Généraliste, Psychiatre


En présentiel

Repérage précoce et prise en charge des troubles anxio-dépressifs

DPC

RESUME : Les troubles anxiodépressifs sont parmi les troubles mentaux les plus courants dans la population générale. Outre les adultes de tous âges, les symptômes peuvent arriver relativement tôt dans le développement de l’enfant ou de l’adolescent. Le repérage, l’investigation clinique et la prise en charge  présentent une vraie difficulté car, non seulement ces troubles peuvent se manifester par des symptômes psychiques classiques avec angoisses, variations de l’humeur et du comportement, mais aussi par de seuls symptômes physiques ou encore, chez les enfants, par des difficultés scolaires et relationnelles. C'est pourquoi l'amélioration de la formation au dépistage précoce et à la prise en charge concerne différents publics professionnels de la santé : OBJECTIF GLOBAL : Améliorer la formation et les pratiques des professionnels concernés pour un repérage précoce , une prise en charge initiale et une orientation adaptée des sujets présentant des troubles anxio-dépressifs . Favoriser le lien et la coopération des généralistes et des psychiatres. OBJECTIFS SPECIFIQUES : Pour les généralistes : être avertis du fait que des plaintes somatiques peuvent être le symptôme d'un état anxio-dépressif et du risque suicidaire que peut comporter par exemple une mélancolie débutante. Pour les psychiatres : être avertis qu'un état anxio-dépressif peut être le symptôme d'une maladie organique à diagnostiquer et à traiter. Mieux connaître les maladies organiques à symptomatologie anxio-dépressive, leurs moyens actualisés de dépistage et leur traitement.

Médecin Généraliste, Psychiatre


En présentiel

Angoisse et désir : aspects cliniques et thérapeutiques, intérêt du diagnostic précoce des états anxio-dépressifs Marseille

DPC

Résumé : Les états anxiodépressifs sont très répandus à tous les âges de la vie. Et leur nombre a été augmenté par la dernière crise sanitaire de la Covid 19. Avec leur cortège, angoisse, tristesse, inhibition, idées de mort et leur risque suicidaire, ils concernent le psychisme, bien sûr, mais aussi le corps dans leurs conséquences, anorexie, boulimie, insomnie, troubles digestifs, tabagisme et autres addictions, séquelles de comportements dangereux pour soi-même (suicides ou autres équivalents), etc., mais aussi dans leur sémiologie avec, par exemple, des douleurs somatiques dont on ne trouve pas la cause organique, ainsi qu'avec leurs éventuelles causes organiques. Leur diagnostic précoce est important pour parer à tous ces risques. À ce titre, ils intéressent la médecine générale et la psychiatrie. La collaboration généraliste-psychiatre est essentielle dans leur prise en charge et cette action permettra un dialogue enrichissant entre ces médecins qui n'ont pas toujours les mêmes points de vue. Ces échanges amèneront une meilleure compréhension mutuelle à propos de ces états anxio-dépressifs. Les états anxio-dépressifs empêchent le sujet de suivre les désirs qui l'animent mais ils peuvent aussi être causés par des désirs ressentis comme interdits. Aussi une écoute bienveillante et attentive peut permettre au (à la) patient(e) de dire son angoisse, sa tristesse, ses idées de mort, etc, ainsi que ce qui y est associé pour lui/elle. Cette prise de parole est déjà thérapeutique. Elle est aussi bien évidemment nécessaire pour le diagnostic (notamment celui de gravité) et pour l'orientation thérapeutique. Objectifs pour les généralistes et les psychiatres : repérer de la manière la plus précoce possible les états anxiodépressifs, leur risque suicidaire et leur gravité (mélancolie ou pas par exemple), leur lien à une névrose, à une psychose ou à une maladie organique, établir une conduite à tenir et traiter. Faciliter les échanges généralistes-psychiatres sur ces états anxio-dépressifs. Plus spécifiquement pour les généralistes : être avertis du fait que des plaintes somatiques peuvent être le symptôme d'un état anxio-dépressif et du risque suicidaire que peut comporter une mélancolie dite simple (sans symptômes bruyants). Plus spécifiquement pour les psychiatres : être avertis qu'un état anxio-dépressif peut être le symptôme d'une maladie organique à diagnostiquer et à traiter.

Médecin Généraliste, Psychiatre


Mixte

Classe virtuelle synchrone : Angoisse et désir : aspects cliniques et thérapeutiques, intérêt du diagnostic précoce des états anxio-dépressifs Marseille

DPC

Les états anxiodépressifs sont très répandus à tous les âges de la vie. Et leur nombre a été augmenté par la dernière crise sanitaire de la Covid 19. Avec leur cortège, angoisse, tristesse, inhibition, idées de mort et leur risque suicidaire, ils concernent le psychisme, bien sûr, mais aussi le corps dans leurs conséquences, anorexie, boulimie, insomnie, troubles digestifs, tabagisme et autres addictions, séquelles de comportements dangereux pour soi-même (suicides ou autres équivalents), etc., mais aussi dans leur sémiologie avec, par exemple, des douleurs somatiques dont on ne trouve pas la cause organique, ainsi qu'avec leurs éventuelles causes organiques. Leur diagnostic précoce est important pour parer à tous ces risques. À ce titre, ils intéressent la médecine générale et la psychiatrie. La collaboration généraliste-psychiatre est essentielle dans leur prise en charge et cette action permettra un dialogue enrichissant entre ces médecins qui n'ont pas toujours les mêmes points de vue. Ces échanges amèneront une meilleure compréhension mutuelle à propos de ces états anxio-dépressifs. Ils empêchent le sujet de suivre les désirs qui l'animent mais ils peuvent aussi être causés par des désirs ressentis comme interdits. Aussi une écoute bienveillante et attentive peut permettre au (à la) patient(e) de dire son angoisse, sa tristesse, ses idées de mort, etc, ainsi que ce qui y est associé pour lui/elle. Cette prise de parole est déjà thérapeutique. Elle est aussi bien évidemment nécessaire pour le diagnostic (notamment celui de gravité) et pour l'orientation thérapeutique. Objectifs pour les généralistes et les psychiatres : repérer de la manière la plus précoce possible les états anxiodépressifs, leur risque suicidaire et leur gravité (mélancolie ou pas par exemple), leur lien à une névrose, à une psychose ou à une maladie organique, établir une conduite à tenir et traiter. Faciliter les échanges généralistes-psychiatres sur ces états anxio-dépressifs. Plus spécifiquement pour les généralistes : être avertis du fait que des plaintes somatiques peuvent être le symptôme d'un état anxio-dépressif et du risque suicidaire que peut comporter une mélancolie dite simple (sans symptômes bruyants). Plus spécifiquement pour les psychiatres : être avertis qu'un état anxio-dépressif peut être le symptôme d'une maladie organique à diagnostiquer et à traiter.

Orthophoniste, Psychomotricien, Dermatologue, + 12 autres


En présentiel

Gestion pratique de la demande et des désirs conduisant à de l’agressivité et/ou de la violence du patient et de son entourage

DPC

Résumé : Les faits d’incivilités et de violence verbale et physique à l’encontre des professionnels de santé sur leur lieu de travail sont toujours aussi importants comme le montre le Rapport 2022 (données 2020-2021) de l’Observatoire national des violences en santé (ONVS). Le problème du nombre croissant de RV médicaux pris et non honorés par les patients en est un indice, minimal certes, mais qui conduit  les instances dirigeantes de la santé à envisager de  légiférer pour y remédier. Objectif général : Améliorer l’évaluation, la diffusion et l’appropriation des bonnes pratiques des professionnels de santé en matière de prévention et de gestion de la violence et de l’incivilité des usagers. Mieux connaître les pathologies psychiques et psychiatriques pouvant favoriser ces violences et incivilités, dans le but d'acquérir un positionnement adapté tel qu'il permette au professionnel de prévenir et/ou de désamorcer l'agressivité et la violence. Objectifs spécifiques : -  identifier et comprendre les mécanismes de l’agressivité, - maintenir une bonne relation soignant/soigné - améliorer les réactions des professionnels lors de la survenue de faits d’incivilités ou de violences. - gérer l’agressivité avérée et prévenir les passages à l’acte violents, - gérer l'agressivité dans des cas de pathologies spécifiques (psychiatrie, maladies neurovégétatives - connaître à minima les notions élémentaires de droit pénal et de procédure pénale en cas d’agression d’un professionnel par un usager.

Médecin Généraliste, Neurologue, Pédiatre, + 2 autres


En présentiel

Repérage précoce et clinique des désirs conduisant à des pratiques addictives

DPC

Résumé Les désirs conduisant à des pratiques addictives de type tabac, alcool, cannabis, opioïdes, jeux par écrans, achats compulsifs ou sexe sont des déterminants majeurs de santé individuelle et publique. Une première difficulté est que la ligne de partage entre désirs addictifs ET désirs dits normaux est parfois d'autant plus ténue que les deux peuvent viser les mêmes objets qui ne sont pas toujours addictifs (alcool, tabac, jeu, écrans, sexe...). L’objectif sera de renforcer les compétences des professionnels de santé en matière de repérage des désirs addictifs et de stratégies thérapeutiques adaptées qui peuvent s'en déduire, sans négliger les outils de réduction des risques et des dommages Pour cela un retour est nécessaire à une clinique DU et DES désirs afin de dégager le contexte clinique dans lequel s'inscrit une conduite addictive : à savoir la structure clinique mais aussi le contexte familial, le lien aux divers partenaires, sans négliger l'éventuel contexte organique. À partir de là des stratégies thérapeutiques pourront être tirées, en dégageant notamment celles qui impliquent la parole. Le travail se fera à partir d’une série d'exposés théorico-cliniques et de larges plages de discussion où les participants seront invités à présenter de courtes séquences cliniques tirées de leur expérience.

Orthophoniste, Psychomotricien, Médecin Généraliste, + 4 autres


Mixte

Classe virtuelle synchrone : les désirs, aspects cliniques et thérapeutiques

DPC

La question des désirs sexuels infantiles et adultes est souvent posée aux praticiens. Pour y répondre, il s'agit de bien dégager le contexte clinique dans lequel elle s'inscrit, c'est-à-dire la structure clinique et identificatoire, mais aussi le contexte familial et celui du lien à la/au(x)partenaire(s), ainsi que de l'éventuel contexte organique. À partir de là des conséquences thérapeutiques peuvent être tirées, ce seront celles qui impliquent la parole que nous évoquerons. Pour cela il y aura une série d'exposés théorico-cliniques et de larges plages de discussion où les participants seront invités à présenter de courtes séquences cliniques tirées de leur expèrience.

Orthophoniste, Psychomotricien, Médecin Généraliste, + 3 autres


En présentiel

Intérêt du diagnostic précoce des troubles obsessionnels compulsifs

DPC

Cette journée de formation se veut essentiellement clinique et thérapeutique. Elle vise à améliorer la pratique des professionnels devant des troubles obsessionnels tant sur le plan du diagnostic que du traitement. On interrogera, à partir d'exposés théoriques et de séquences cliniques apportées par les intervenants et les participants - dans un temps de parole partagé -, le diagnostic différentiel entre névroses, psychoses. La clinique présentée par les enfants et les adolescents sera mise en perspective avec celle des adultes et nous montrerons l'intérêt de la précocité du diagnostic notamment pour le traitement psychothérapique. Il s'agira alors de faire le diagnostic positif des troubles obsessionnels et le diagnostic différentiel des cas qui relèvent d'une névrose obsessionnelle ou bien des cas qui relèvent de la de psychose afin d'en tirer les conséquences thérapeutiques et ne particulier psychothérapeutiques.

Orthophoniste, Psychomotricien, Médecin Généraliste, + 4 autres


En présentiel

Intérêt du diagnostic précoce en psychiatrie: Avignon

DPC

Cette journée de formation se veut essentiellement clinique et thérapeutique. On interrogera, à partir d'exposés théoriques et de séquences cliniques apportées par les intervenants et les participants, le diagnostic différentiel entre névroses, psychoses et l'intérêt de prendre en compte la singularité du cas pour le traitement. La précocité du diagnostic est essentielle dans le champ psychique car il oriente en grande partie le traitement, notamment le traitement psychothérapique qui doit aussi prendre en compte la singularité du sujet et sa situation familiale. La clinique présentée par les enfants et les adolescents sera mise en perspective avec celle des adultes. Il s'agira de définir ce que sont les névroses, les psychoses et les traits de perversion, de permettre le diagnostic différentiel et positif dans ce champ clinique et d'en tirer quelques orientations psychothérapeutiques qui en tiennent compte.