66 formations DPC CH LEON-JEAN GREGORY disponibles

Médecin Généraliste, Psychiatre, Infirmier

En présentiel

LA CRISE SUICIDAIRE

DPC

Résumé : Destinée aux professionnels souhaitant acquérir les postures, méthodes, techniques et outils issus des Sciences Humaines, Sociales et Cognitives nécessaires à la prise en charge des suicidants, cette formation vient renforcer l’accent mis sur la relation à l’Autre dans un cadre de soin et de thérapeutique en santé mentale. Elle propose des outils novateurs, pratiques et concrets issus de la suicidologie et de recherches fondamentales et cliniques en Sciences Humaines Sociales et Cognitives (SHS&C), pensés par et pour les soignants. Cette formation vise à contextualiser le geste suicidaire (épistémologie, sociologie et histoire) et questionner les représentations de la mort « volontaire ». Un travail est proposé sur la relation au suicidant pour repérer dans une stratégie préventive les facteurs de risques et les facteurs de résilience, pour ensuite ajuster la relation thérapeutique à la crise suicidaire et penser les différentes stratégies d’intervention du professionnel au regard d’outils cliniques concrets investis au cours d’études de cas expérimentales et qualitatives en travail individuel ou de groupe restreint. Objectifs : Tout en confortant le savoir empirique et les acquis méthodologiques des soignants, il s’agit de renforcer la réflexion, l’analyse et la mise en place de techniques, outils et postures en assurant la prise en charge de personnes en situation de crise suicidaire. Les séquences et modules pédagogiques offrent un espace assurant des allers et retours entre approche théoricoclinique, empirisme et subjectivité. L’espace ouvert a pour but d’amener les professionnels de santé - dans le contexte sécurisé de la formation - à innover, créer et prendre le risque de s'exposer et de s’exercer à de nouvelles conceptualisations et compréhension des paradigmes de l’Autre afin de mieux repérer dans un premier temps les déterminants multimodaux de la crise suicidaire, pour dans un second, intervenir de façon efficiente auprès du suicidant et de son entourage. Dans un climat bienveillant et non-jugeant, les professionnels pourront mettre en place des approches spécifiques assurant la conduite d’un soin technique de la relation au suicidant, efficient et singulier, favorable à l’autonomisation du patient au regard de son problème de santé.

Médecin Généraliste, Psychiatre, Pharmacien, Infirmier

En présentiel

Prévention des erreurs médicamenteuses

DPC

Contexte : Le bon usage des médicaments représente un enjeu de santé majeur, les accidents liés à un mauvais usage du médicament occasionnent chaque année plus de 10 000 décès, dont 7 500 chez les plus de 65 ans. Ils sont la cause de plus de 130 000 hospitalisations et près de1,3 millions de journées d’hospitalisation (1). Alors que dans 45 à 70 % des cas, ces accidents seraient évitables (2). Le bon usage des médicaments est l’affaire de tous ! La sensibilisation des professionnels de santé à la gestion des risques, au bon usage des médicaments ; leur formation à la prévention des erreurs médicamenteuses et à leurs multiples causes constituent un socle essentiel pour lutter contre la iatrogénie (priorité définie depuis la loi du 9 août 2004 relative à la loi de Santé Publique). Cette action de formation se positionne également dans une démarche plus générale de « Bon usage du médicament », un des thèmes majeurs de la Stratégie Nationale de Santé (2018-2022). (1) Rapport Charges et produits pour l’année 2018 de l’Assurance Maladie. (2) Rapport sur la surveillance et le bon usage des médicaments en France. B. Bégaud et D. Costagliola, pour le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Septembre 2013. La documentation française. Objectifs : - Acquérir les méthodes et outils indispensables pour évaluer le circuit du médicament et identifier les axes d’amélioration afin de prévenir tout risque lié aux erreurs médicamenteuses - Intégrer les notions fondamentales dans le domaine de la prévention des erreurs médicamenteuses, se positionner dans une démarche d’analyse des risques en travaillant sur des cas pratiques d’erreurs médicamenteuses

Aide-soignant, Médecin Généraliste, Psychiatre, Infirmier

En présentiel

Promotion de la santé sexuelle

DPC

Renforcer les connaissances des concepts de santé sexuelle et des droits humains Identifier l'offre de soins et les ressources en santé sexuelle dans le département Actualiser les dernières recommandations de prévention du VIH (HSH, prostitution, migrants...) Identifier les personnes les plus exposées au VIH/IST Savoir proposer une prévention personnalisée Repérer les patients à risque de consommation de produits psychoactifs Chemsex à visée récréative et sexuelle Définir les populations à risque Acquérir les compétences en matière de communication brève relative à la sexualité S'emparer de toutes les circonstances permettant de parler de sexualité Reconnaître les besoins en santé sexuelle des populations spécifiques et particulièrement le patient de psychiatrie Différencier et savoir expliquer les méthodes de contraception y compris masculine Formuler les possibilités de PEC des grossesses non désirées Etre en capacité d'aborder le phénomène de violences envers les femmes Savoir favoriser la parole des victimes de violences Etre en capacité de définir et d'identifier les principaux symptômes évocateurs de l'endométriose Repérer et prévenir les mutilations sexuelles féminines Différencier la diversité sexuelle (genre, orientation, identité) Savoir informer du parcours de transition sexuelle Appréhender la place d'internet et des réseaux sociaux dans la construction de la sexualité et des comportements sexuels des jeunes Acquérir des connaissances sur la dynamique d'addiction sexuelle Repérer les comportements à risque d'addiction sexuelle Réfléchir à la mise en place d'outils de prévention pour les patients hospitalisés en psychiatrie Acquérir des connaissances nécessaires permettant de répondre aux questions de sexualité des patients présentant des troubles psychiatriques

Médecin Généraliste, Psychiatre, Pharmacien, Infirmier

En présentiel

EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT

DPC

Former des intervenants d ’éducation thérapeutique du patient (ETP) selon les articles D1161-1 et D1161-2 du Code de la Santé Publique, en respect du cahier des charges des programmes d'ETP (arrêtés du 02/08/2010 modifié le 31/05/2013 et du 14/01/2015), des orientations nationales (Stratégie nationale de santé 2018-2022 (axes 2 et 4)) et selon les recommandations en vigueur de la Haute Autorité de Santé (HAS)

Médecin Généraliste, Psychiatre, Infirmier

En présentiel

Dépistage et prise en charge du stress post-traumatique

DPC

Objectifs : Améliorer le dépistage et la PEC du trouble anxieux dans les structures hospitalières Outiller les équipes en matière de diagnostic et de PEC du SPT Connaître le dispositif de la prise en charge des urgences médico-psychologiques (CUMP) Résumé : Abord théorique et pratique de la notion de stress Approche de la notion de trauma par l’histoire et les mythes Savoir utiliser l’échelle PCL-5 Maitriser la clinique du trauma Comprendre la notion de dissociation. Prendre en charge les états dissociatifs Mesurer la dissociation Savoir activer et désactiver les mémoires traumatiques, développement de ressources Connaître les approches médicamenteuses dans la prise en charge du trauma Connaître les approches psychothérapiques centrées sur le trauma Maîtriser la prise en charge des urgences médico-psychologiques : les cellules d’urgences médico-psychologiques (CUMP)

Psychiatre

En présentiel

PLACE DE LA FAMILLE DANS LE SOIN : Comprendre pour developper l'alliance thrérapeutique

DPC

CONTEXTE Le modèle systémique est non seulement une théorie vivante, une application concrète mais aussi une éthique basée sur la prise en compte du « monde » dans sa complexité, sa globalité et sa créativité. Au lieu d’être centrée sur l’individu et son symptôme, la systémique propose une approche élargie de la personne en interaction avec son environnement social : famille, quartier, école. L’épistémologie systémique n’est pas un dogme, elle n’exclut pas les autres théories, elle les intègre comme des dimensions participant à notre construction du réel. OBJECTIFS • Comprendre les effets de la maladie sur le fonctionnement familial. • Identifier les besoins de l’entourage pour mieux l’accompagner. • Reconnaître la place et l’implication de la famille pour une prise en charge de qualité. • Améliorer la relation patient/soignant/famille. FORMATEUR Marie-Christine Manuel, psychologue clinicienne et psychothérapeute, a une expérience riche de 30 ans dans les domaines sanitaire, social, éducatif, médico-social et judiciaire. En tant que salariée de différentes institutions (psychiatrie, MECS, Institutions associatives, services AEMO, PJJ, Foyers de vie, FAM, MAS,...), elle a travaillé en équipe autour de l’accompagnement des bénéficiaires : familles, adultes et enfants, dans les entretiens familiaux, synthèses, audiences judiciaires, visites à domicile, thérapies de réseau... Celle-ci accompagne régulièrement les professionnels dans le cadre de formations, groupes de parole, analyse de la pratique, supervision, régulation. Elle reçoit des enfants, adolescents et adultes en consultations individuelles, conjugales et familiales.

Aide-soignant, Masseur-Kinésithérapeute, Gériatre, + 3 autres

En présentiel

Traitement de la douleur en santé mentale

DPC

Résumé : La complexité de l’approche de la douleur en santé mentale et dans la pathologie psychiatrique est aujourd’hui bien connue. Cependant bon nombre de professionnels de santé se trouve au quotidien confronté à une pratique sans moyens pertinents. L’approche d’une évaluation fiable de la douleur chez les patients atteints de pathologie mentale est difficilement quantifiable et qualifiable, mais pas impossible. La particularité de la pathologie psychiatrique peut amener à une altération complète de la douleur. Ce programme veut réintroduire des notions sur ce qu’est la douleur en psychiatrie et permettre ainsi aux professionnels de santé de mieux appréhender cette particularité. Il permet également d’accompagner les professionnels soignants dans la prévention de la douleur, d’avoir à disposition des outils d’évaluation et de maîtriser la prise en charge globale de la douleur en santé mentale. Objectifs : 1 - Acquérir les connaissances nécessaires à l’appréhension de la douleur en santé mentale 2 - Identifier les particularités de la prise en charge de la douleur dans les pathologies mentales 3 - Accompagner les professionnels soignants dans l’analyse de leur pratique et la prévention de la douleur 4 – Maîtriser les divers outils méthodologiques d’évaluation, d’analyse et de maîtrise de la douleur dans la prise en charge de patient Ce programme comprend des méthodes d’acquisition théoriques, d’approfondissement des connaissances et d’évaluation continue des pratiques cliniques

Médecin Généraliste, Psychiatre, Pharmacien, Infirmier

En présentiel

ANTIBIOTIQUES ET ANTIBIOTHERAPIE

DPC

Résumé : Dans les années 2000, la France était le premier consommateur européen d’antibiotiques. Cette situation a amené à la mise en place de deux plans nationaux depuis 2002 (2002-2005 et 2007-2010). Un troisième « plan national 2011-2016 d’alerte sur les antibiotiques a été lancé en novembre 2011. Ces actions ont abouti à faire baisser la consommation d’antibiotiques, tant en ville qu’à l’hôpital. Mais depuis 2010, selon le rapport de l’ANESM de 2017, la consommation d’antibiotiques en ville repart à la hausse. L’apparition et la diffusion des résistances bactériennes peuvent conduire à des impasses thérapeutiques, elle est le fruit de la surconsommation des antibiotiques. On estime que 30 à 50% des prescriptions d’antibiotiques provenant de la médecine de ville sont inadaptées. Les données de 2018 indique que la France est le 4ème pays européen le plus consommateur d’antibiotique en ville, avec une moyenne supérieure de 20 % aux données européennes. Selon l’OMS, la résistance aux antibiotiques est désormais une grave menace pour la santé publique. Son contrôle passe par un changement des comportements dans tous les secteurs de soins, en ville, à l’hôpital et dans le secteur médico-social. La formation des professionnels de santé à la problématique de l’antibiorésistance est un levier majeur d’amélioration de pratiques. Ce thème est décliné dans le Programme National d’Actions de Prévention des Infections Associées aux Soins (PROPIAS) tout comme dans la stratégie nationale de santé 2018-2022, dans la feuille de route interministérielle et dans le plan Priorité Prévention. Cette formation a été construite pour donner aux professionnels de santé les outils permettant d’améliorer la pertinence de leur prescription d’antibiotique, de promouvoir les mesures de prévention des infections et de contrôler la transmission croisée des résistances aux antibiotiques. L’objectif pédagogique est d’améliorer les pratiques, d’actualiser et consolider les connaissances et compétences acquises mais également de développer de nouvelles compétences notamment par la promotion des nouveaux outils diagnostic, tel que les autotests et les TROD (Test Rapide d’Orientation Diagnostique) dont l’offre est grandissante. Autrefois réservés aux seuls médecins, certains TROD peuvent maintenant être utilisé par les pharmaciens d’officine. Cette formation doit permettre aux participants de comprendre : - L’importance de prévenir l’émergence et la diffusion de la résistance aux antibactériens - Les risques liés à l’exposition aux antibiotiques tant sur un plan individuel que sur un plan de santé publique - Les démarches diagnostiques optimales et le bon usage des antibiotiques en s’appuyant sur : o les recommandations de prise en charge disponible (HAS, Sociétés Savantes…) o la maitrise et la compréhension des TROD ainsi que leur place dans la prise en charge Objectifs : 1/ Comprendre et être capable de transmettre des connaissances actualisées sur les risques associés à l’antibiorésistance et les mesures à mettre en œuvre pour prévenir leur développement et leur transmission 2/ Prévenir les infections y compris les infections systémiques 3/ Améliorer la pertinence des prescriptions d’anti-infectieux : prescription, surveillance et évaluation de l’efficacité 4/ Connaître les principales recommandations concernant les pathologies couramment rencontrées 5/ Comprendre la place des TROD dans la prise en charge des infections, connaître leur limites (sensibilité, spécificité, condition de réalisation…)

Médecin Généraliste, Psychiatre, Infirmier

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LA CRISE SUICIDAIRE

DPC

Résumé : Destinée aux professionnels souhaitant acquérir les postures, méthodes, techniques et outils issus des Sciences Humaines, Sociales et Cognitives nécessaires à la prise en charge des suicidants, cette formation vient renforcer l’accent mis sur la relation à l’Autre dans un cadre de soin et de thérapeutique en santé mentale. Elle propose des outils novateurs, pratiques et concrets issus de la suicidologie et de recherches fondamentales et cliniques en Sciences Humaines Sociales et Cognitives (SHS&C), pensés par et pour les soignants. Cette formation vise à contextualiser le geste suicidaire (épistémologie, sociologie et histoire) et questionner les représentations de la mort « volontaire ». Un travail est proposé sur la relation au suicidant pour repérer dans une stratégie préventive les facteurs de risques et les facteurs de résilience, pour ensuite ajuster la relation thérapeutique à la crise suicidaire et penser les différentes stratégies d’intervention du professionnel au regard d’outils cliniques concrets investis au cours d’études de cas expérimentales et qualitatives en travail individuel ou de groupe restreint. Objectifs : Tout en confortant le savoir empirique et les acquis méthodologiques des soignants, il s’agit de renforcer la réflexion, l’analyse et la mise en place de techniques, outils et postures en assurant la prise en charge de personnes en situation de crise suicidaire. Les séquences et modules pédagogiques offrent un espace assurant des allers et retours entre approche théoricoclinique, empirisme et subjectivité. L’espace ouvert a pour but d’amener les professionnels de santé - dans le contexte sécurisé de la formation - à innover, créer et prendre le risque de s'exposer et de s’exercer à de nouvelles conceptualisations et compréhension des paradigmes de l’Autre afin de mieux repérer dans un premier temps les déterminants multimodaux de la crise suicidaire, pour dans un second, intervenir de façon efficiente auprès du suicidant et de son entourage. Dans un climat bienveillant et non-jugeant, les professionnels pourront mettre en place des approches spécifiques assurant la conduite d’un soin technique de la relation au suicidant, efficient et singulier, favorable à l’autonomisation du patient au regard de son problème de santé.

Médecin Généraliste, Psychiatre, Pharmacien, Infirmier

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Prévention des erreurs médicamenteuses

DPC

Contexte : Le bon usage des médicaments représente un enjeu de santé majeur, les accidents liés à un mauvais usage du médicament occasionnent chaque année plus de 10 000 décès, dont 7 500 chez les plus de 65 ans. Ils sont la cause de plus de 130 000 hospitalisations et près de1,3 millions de journées d’hospitalisation (1). Alors que dans 45 à 70 % des cas, ces accidents seraient évitables (2). Le bon usage des médicaments est l’affaire de tous ! La sensibilisation des professionnels de santé à la gestion des risques, au bon usage des médicaments ; leur formation à la prévention des erreurs médicamenteuses et à leurs multiples causes constituent un socle essentiel pour lutter contre la iatrogénie (priorité définie depuis la loi du 9 août 2004 relative à la loi de Santé Publique). Cette action de formation se positionne également dans une démarche plus générale de « Bon usage du médicament », un des thèmes majeurs de la Stratégie Nationale de Santé (2018-2022). (1) Rapport Charges et produits pour l’année 2018 de l’Assurance Maladie. (2) Rapport sur la surveillance et le bon usage des médicaments en France. B. Bégaud et D. Costagliola, pour le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Septembre 2013. La documentation française. Objectifs : - Acquérir les méthodes et outils indispensables pour évaluer le circuit du médicament et identifier les axes d’amélioration afin de prévenir tout risque lié aux erreurs médicamenteuses - Intégrer les notions fondamentales dans le domaine de la prévention des erreurs médicamenteuses, se positionner dans une démarche d’analyse des risques en travaillant sur des cas pratiques d’erreurs médicamenteuses