135 formations DPC Compétences SD disponibles

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En présentiel

Comment mettre en place des entretiens pharmaceutiques dans le parcours du patient bénéficiant d’un traitement par radiothérapie interne vectorisée ?

DPC

La radiothérapie interne vectorisée (RIV) est une discipline en plein essor, utilisant les propriétés physiques d’isotopes radioactifs combinés à une molécule vectrice dirigée spécifiquement sur une cible. Elle permet d’irradier de façon ciblée les cellules cancéreuses au sein de l’organisme tout en ayant un effet toxique limité sur les tissus sains environnants. Il s’agit d’une nouvelle technique pour traiter certains types de cancers (177Lu-analogues de la somatostatine : tumeurs neuroendocrines, 177Lu-PSMA cancers de la prostate, …). Cette prise en charge innovante s’intègre dans le parcours de soins du patient cancéreux. L'accompagnement de façon personnalisée des patients bénéficiant de ce type de traitement est primordial pour sécuriser le traitement de ces patients à risque), améliorer l'adhésion au traitement ainsi que la qualité de vie et l'autonomie des patients (gestion des effets secondaires, radioprotection, ...). Le radiopharmacien doit faire face à un nouveau défi et de nouvelles missions, en tant qu’acteur dans la prise en charge du patient cancéreux : celui de la radiopharmacie clinique avec la mise en place d’entretien pharmaceutique, un des éléments clés de cet accompagnement. Forts de cette nouvelle compétence, les radiopharmaciens pourront plus facilement s'investir dans cette problématique en développant dans leur établissement des entretiens auprès de patients bénéficiant d’une RIV en liens avec les équipes de médecine nucléaire.  Après avoir brièvement présenté les enjeux de la RIV et les missions de pharmacie clinique pouvant être développées, seront exposées les modalités de réalisation d’un entretien pharmaceutique avec un focus sur les patients bénéficiant d'un traitement par RIV (méthodologie de la conduite d'entretien avec le patient selon les référentiels SFPC, posture entretien et intégration du profil du patient, compétences de posture) et un retour d’expérience avec présentation de cas cliniques de 2 centres hospitaliers ayant développés cette activité auprès des patients. Cette action a été élaborée en s’appuyant sur les référentiels SFPC : « Les entretiens pharmaceutiques - Mars 2019 », « La posture en entretien -Février 2022 », « Les Bonnes Pratiques de Pharmacie Clinique - Mars 2022 » et utilisera le vocabulaire et les notions définies au sein du Lexique de Pharmacie Clinique 2021. Les objectifs de cette action sont : -d'améliorer les compétences des pharmaciens en matière d'accompagnement du patient, -d’acquérir les compétences de posture en entretien, -de connaître la méthodologie d’entretien.

Pharmacien

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Pratique de la conciliation des traitements médicamenteux : pour une démarche continue d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins

DPC

La diminution des erreurs médicamenteuses aux points de transition (entrée, transfert et sortie du patient), la lutte contre la iatrogénie médicamenteuse et la promotion du bon usage des médicaments s’inscrivent dans la démarche d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins En effet, la conciliation médicamenteuse est un processus pluri professionnel qui a vocation à garantir la continuité de la prise en charge médicamenteuse entre la ville et l'hôpital. La mise en place de cette pratique vise à prévenir les erreurs médicamenteuses et à réévaluer les traitements médicamenteux aux points de transition qui sont l'admission à l'hôpital, les transferts au sein de l'hôpital et la sortie de l'hôpital et constitue à ce titre une des étapes fondamentales de sécurisation de la prise en charge médicamenteuse des patients. La conciliation des traitements médicamenteux (CTM) dans les établissements de santé est devenue une étape incontournable de la sécurisation du circuit du médicament. Les arrivées du Dossier médical personnalisé (DMP), de logiciels complémentaires aux Logiciels d'Aide à la Prescription (LAP) sont autant d'éléments nouveaux qui améliorent et sécurisent le partage des données. Le guide de la HAS donne les 4 grandes étapes du processus. On constate cependant que le passage à la pratique reste difficile, par insuffisance de moyens, par appréhension, par manque de formation pratique. Afin d’homogénéiser les pratiques la société française de pharmacie clinique (SFPC, 2022) propose un modèle intégratif des actions de pharmacie clinique et positionne dans un processus complet de prestation pharmaceutique, le volet de la conciliation des traitements médicamenteux. Aussi des jeux de rôle, des mises en situation ou simulation permettront de compléter le volet cognitif de cette formation.

Pharmacien

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Organisation et modalités de lutte contre l’antibiorésistance par la prévention et le bon usage des antibiotiques

DPC

Avec 5 500 décès attribués aux infections à bactéries multi-résistantes en 2015 en France, l’antibiorésistance reste plus que jamais un enjeu majeur de santé publique. Le Programme de prévention des infections associées aux soins 2015 (PROPIAS) laisse sa place au premier Plan nationale 2022-2025 de prévention des Infections et de l’Antibiorésistance alliant les actions de prévention et de contrôle des infections à celles promouvant le bon usage des antibiotiques. Le plan définit des objectifs ambitieux et quantifiables à l’horizon 2025, à commencer par la réduction de la consommation d’antibiotiques en ville en France de 25 % par rapport à 2019. En 2020, la pandémie de Covid-19 a permis d’obtenir une baisse importante de la consommation d’antibiotiques, notamment dans le secteur de ville, démontrant que des améliorations restent possibles. L’étude conduite par la mission SPARES dans 288 EHPAD dotés d’une pharmacie à usage intérieur montre une baisse de la consommation d’antibiotiques en 2020 alors qu’elle était stable depuis 2018 : 34 doses pour 1000 journées d’hébergement (-12%) versus 37 en 2019 et 38 en 2018. Le bon usage des antibiotiques (ou l’usage raisonné) reste l’un des piliers essentiels à une politique de lutte contre l’antibiorésistance Cette formation a pour objectifs : •Connaitre les orientations nationale et l’organisationnel de la lutte contre l’antibiorésistance •Connaitre les pathologies infectieuses les plus fréquentes et maitriser leurs prises en charge en fonction de l’environnement du patient (urgences, institutions, services de soins…) •Savoir identifier les bactéries multirésistante et les BHRe. •Connaitre les principes de prévention contre les infections associées aux soins.

Médecin nucléaire, Neurologue, Pharmacien

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Stupeur et tremblements : point sur la prise en charge des maladies neurodégénératives

DPC

Le diagnostic d’une maladie neurodégénérative entraîne les personnes atteintes dans un long parcours de soins et d’accompagnement. Le repérage précoce des maladies neurodégénératives (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, sclérose en plaque, démence à corps de Lewy) est une priorité dans la prise en charge d’un patient atteint de démence. L’imagerie moléculaire occupe une place centrale dans le parcours de soins des patients atteints de ces maladies, permettant le diagnostic précoce et différentiel, le suivi de l’évolution des biomarqueurs et des effets des traitements. Elle contribue également à la compréhension des processus physiopathologiques indispensable au progrès de la thérapeutique. Ces dernières années sont marquées par le développement conjoint de nouveaux traceurs (notamment dans l’imagerie de la neurotransmission, de la neuroinflammation et pour le dépôt de plaques amyloïdes dans le cerveau) et des médicaments ciblant les lésions cérébrales. Après avoir réalisé de brefs rappels sur les maladies neurodégénératives : maladie d’alzheimer, maladie de parkinson, sclérose en plaque, maladies à corps de lewy, seront présentées les différentes approches diagnostiques et thérapeutiques actuellement utilisées ou en cours de développement. Enfin, un focus sur l’imagerie moléculaire sera effectué avec la présentation des différents traceurs ciblés.

Médecin réanimateur, Gériatre, Médecin Généraliste, + 3 autres

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La maitrise de l’antibiorésistance par la prévention du risque infectieux et le bon usage des antibiotiques

DPC

En France, les bactéries multi-résistantes (BMR) sont responsables de 12 500 décès, et entrainent jusqu'à 440 millions de dépenses de santé (rapport J. Carlet). La mise en œuvre d'une politique de lutte contre l'antibiorésistance nécessite pour les différents acteurs jouant un rôle en antibiologie, des connaissances sur l'évolution récente de la résistance aux antibiotiques, sur la gestion d'une infection associée aux soins, ainsi que les modalités de prise en charge thérapeutique. La stratégie nationale 2022-2025 de Prévention des Infections et de l'Antibiorésistance allie les actions de prévention et contrôle des infections (PCI) à celles promouvant le bon usage des antibiotiques (BUA). L'apparition d'infections à bactéries hautement résistantes émergentes (BHRe) laisse présager un risque majeur pouvant aller jusqu'à l'impasse thérapeutique. Le bon usage des antibiotiques et la connaissance de l'environnement bactérien sont les prérequis à la mise en œuvre d'une action de lutte contre l'antibiorésistance qui commence sur le terrain au plus près du patient, au moment de la prescription. Objectif Conformément à l’orientation prioritaire n°2 : Prévention des infections et de l’antibiorésistance , dans le cadre général des orientations prioritaires de DPC 2023 – 2025 contenues dans l’arrêté du 07 septembre 2022, l’objectif général de cette action de formation est de former les professionnels de santé concernés (médecin ou pharmacien hospitalier, référent en antibiothérapie, pharmacien hospitalier en charge du bon usage des antibiotiques, membre d’un centre régional de comité des anti-infectieux ou membre d’un centre régional d’antibiothérapie (CRAtb) ou tout praticien nécessitant un approfondissement des connaissances du bon usage) à la prévention,  au contrôle des infections ainsi qu’au bon usage des antibiotiques.

Infirmier

En présentiel

Soins de plaies aigues ou chroniques, cicatrisations et pansements

DPC

La connaissance des plaies et des principes de cicatrisation sont nécessaires pour une bonne appropriation des pansements disponibles sur le marché français. SI la diversité et la multitude de marques de pansements sur le marché est un facteur très favorable au bon déroulement du processus de la cicatrisation, c’est aussi un facteur perturbant pour le bon choix de l’arsenal thérapeutique de chaque soignant. Chaque type de pansement doit être adapté à la plaie et à l’évolution du processus de cicatrisation. La connaissance des spécificités de chaque produit est un atout pour une prise en charge optimisée du patient. Cette formation va vous permettre de faire la part des choses entre discours commercial et utilité thérapeutique, adaptation du soin à la prise en charge du patient dans sa plaie pour, au final, savoir choisir le pansement le plus adapté selon les stades et les types de plaies.

Manipulateur ERM, Médecin nucléaire, Pharmacien

En présentiel

Simulation en santé : comment maitriser au mieux les risques associés aux actes en Radiopharmacie ?

DPC

La sécurité des patients est devenue un enjeu majeur de notre société et de nos politiques de santé. Le secteur de la Radiopharmacie est considéré à risque, non seulement pour le patient (erreur de dose, erreur de MRP, erreur d’administration) mais également pour le personnel (risque de surexposition ou contamination en cas de défaut de manipulation). Les déviations aux bonnes pratiques et aux procédures sont parfois observées dans la pratique quotidienne. C’est pourquoi la formation continue du personnel doit être développée et régulièrement réalisée. Dans un contexte où la simulation en santé apparaît comme une méthode de choix pour la prévention et la formation du personnel, la création d’outils adéquats parait une évidence. L’utilisation de ces outils de simulation constitue un moyen d’apprentissage novateur et ludique pour améliorer la formation du personnel radiopharmaceutique. Le but de la démarche est de faire progresser la culture de sécurité et la culture positive de l’erreur chez les professionnels de santé au moyen de différents outils de sensibilisation : radiopharmacie des erreurs, serious game, immersive learning.

Urologue, Endocrinologue, Gasto-entérologue, + 13 autres

En présentiel

Prise en charge médicamenteuse en EHPAD

DPC

L’EHPAD constitue un lieu de vie dont le but est la qualité de vie du résident tout au long de son séjour et ce quelles que soient ses difficultés : dépendance physique, perte d’autonomie… Pour assurer leurs missions, outre la Direction et le personnel administratif, les EHPAD disposent d’une équipe pluridisciplinaire comprenant un médecin coordonnateur, des prescripteurs extérieurs le plus souvent, des infirmières, des aides-soignantes et un pharmacien et des préparateurs si présence d’une pharmacie à usage intérieur L’ensemble des équipes doivent garantir la qualité de la prise en charge médicamenteuse des résidents. Les personnes âgées sont des sujets le plus souvent polypathologiques et polymédicamentés. La prescription en EHPAD comprend en moyenne 7 molécules par jour. Cela présente de lourdes conséquences en matière de santé publique, les effets indésirables potentiels seraient responsables de plus de 10% des hospitalisations et près de 20% chez les plus de 80 ans La gestion du risque médicamenteux en EHPAD constitue un enjeu majeur de santé publique. Les EHPAD sont quotidiennement confrontés au risque d’iatrogénie médicamenteuse du fait de prescriptions non appropriées et surtout insuffisamment réévaluées. Cette formation a pour objectifs : -Sécuriser la prise en charge médicamenteuse -Utiliser des outils ayant pour objectif de guider et d’améliorer la prise en charge médicamenteuse en EHPAD -Instaurer une culture de la prise en charge médicamenteuse en EHPAD : mobilisation des équipes médicales et soignantes, démarche pluridisciplinaire

Cardiologue, Chirurgien, Urologue, + 11 autres

En présentiel

Organisation et modalités de lutte contre l’antibiorésistance par la prévention et le bon usage des antibiotiques

DPC

Avec 5 500 décès attribués aux infections à bactéries multi-résistantes en 2015 en France, l’antibiorésistance reste plus que jamais un enjeu majeur de santé publique. Le Programme de prévention des infections associées aux soins 2015 (PROPIAS) laisse sa place au premier Plan nationale 2022-2025 de prévention des Infections et de l’Antibiorésistance alliant les actions de prévention et de contrôle des infections à celles promouvant le bon usage des antibiotiques. Le plan définit des objectifs ambitieux et quantifiables à l’horizon 2025, à commencer par la réduction de la consommation d’antibiotiques en ville en France de 25 % par rapport à 2019. En 2020, la pandémie de Covid-19 a permis d’obtenir une baisse importante de la consommation d’antibiotiques, notamment dans le secteur de ville, démontrant que des améliorations restent possibles. L’étude conduite par la mission SPARES dans 288 EHPAD dotés d’une pharmacie à usage intérieur montre une baisse de la consommation d’antibiotiques en 2020 alors qu’elle était stable depuis 2018 : 34 doses pour 1000 journées d’hébergement (-12%) versus 37 en 2019 et 38 en 2018. Le bon usage des antibiotiques (ou l’usage raisonné) reste l’un des piliers essentiels à une politique de lutte contre l’antibiorésistance Cette formation a pour objectifs : •Connaitre les orientations nationale et l’organisationnel de la lutte contre l’antibiorésistance •Connaitre les pathologies infectieuses les plus fréquentes et maitriser leurs prises en charge en fonction de l’environnement du patient (urgences, institutions, services de soins…) •Savoir identifier les bactéries multirésistante et les BHRe. •Connaitre les principes de prévention contre les infections associées aux soins.

Anatamo-pathologiste, Médecin réanimateur, Cardiologue, + 31 autres

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Le processus de la prise en charge médicamenteuse et son responsable du management de la qualité (RSMQ)

DPC

Le Responsable du système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse (RSMQ de la PECM) pilote la mise en œuvre du système de management de la qualité autour de ce processus, rend compte à la direction et à la CME du fonctionnement de ce système. Après avoir abordé le contexte réglementaire et les risques liés au processus complexe de la PECM, les missions et responsabilités du RMSQ seront détaillées et, des outils et pistes de travail pour améliorer chaque étape du processus seront proposés. Un focus particulier sera effectué sur la gestion des risques en lien avec la PECM, des méthodes et outils pour la dynamiser dans l’établissement de santé seront donnés. La 2ème journée véritablement pratico-pratique avec : - de l’analyse de pratiques au travers de la réalisation d’exercices de mise en situation pour, en lien avec des erreurs médicamenteuses, animer une RMM selon la méthode ALARM et piloter un CREX - une discussion-débat avec un RSMQ de la PECM, notamment dans le cadre d’un retour d’expérience de ses échanges avec les experts visiteurs au décours de la certification V 2020 Les objectifs de cette action de formation seront : -Connaitre les cadres réglementaires du processus de la PECM et de la gestion des risques en établissement de santé - Comprendre le positionnement du RSMQ de la PECM dans l'établissement de santé et ses missions - Identifier les principaux risques des 3 grandes étapes de la PECM et des pistes pour les prévenir - Être capable de mettre en oeuvre une démarche de retour d'expérience de type CREX ou de type RMM