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En présentiel
Sepsis non bactérien en réanimation
DPC
Le sepsis est un problème de santé publique mondial. Il touche chaque année environ 30 millions de personnes et représente l’une des premières causes d’admission dans les services d’urgences et de réanimation - soins critiques. Malgré l’amélioration de sa prise en charge, la mortalité reste élevée atteignant 40% dans sa forme la plus grave, le choc septique. En France, celui-ci est responsable de 20 000 décès chaque année. En 2016, la définition du sepsis a été révisée lors de la troisième conférence internationale (SEPSIS-3). Il est depuis, défini comme une dysfonction d'organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l'hôte à une infection bactérienne ou non bactérienne. En 2017, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu le sepsis comme une priorité de santé publique et a recommandé de mettre en place des dispositions nationales pour en réduire le poids sanitaire, économique et social. Ainsi, en France, le plan de stratégie nationale 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance est actuellement déployé. Concernant les patients de réanimation - soins critiques, la campagne « Survivre au sepsis » (SSC : Surviving Sepsis Campaign), initiée pour la première fois en 2004 est mise à jour tous les 4 ans. Elle a pour but de réduire la mortalité du sepsis en proposant aux acteurs de la filière de soins critiques un bouquet (bundle) de mesures thérapeutiques fondé sur des objectifs préétablis publiés dans la littérature. Parallèlement à ces avancées dans la prise en charge thérapeutique, des outils diagnostiques plus performants ont été développés, permettant une détection meilleure et plus rapide des pathogènes responsables. Renforcer les connaissances des professionnels sur ces points est donc une priorité et s’intègre dans l’orientation prioritaire 101 « Prise en charge du sepsis » établie par le CNP-MIR. Ce programme s’appuiera entre autres sur l’actualisation des recommandations de la Surviving Sepsis Campaign publiées en 2021 : https://journals.lww.com/ccmjournal/Fulltext/2021/11000/Surviving_Sepsis_Campaign__International.21.aspx Intégrer ces recommandations à la pratique quotidienne est un enjeu majeur de formation. En lien avec les orientations prioritaires de Médecine Intensive Réanimation (Fiche de cadrage 101), les objectifs principaux de cette action DPC seront : • D’identifier précocement les patients répondant à la définition en cours du sepsis (SEPSIS 3) et connaitre les scores pronostiques discriminant une d’une prise en charge en soins critiques • D’améliorer le raisonnement clinique afin d’établir une stratégie diagnostique de l’origine du sepsis (source de l’infection) et de sa nature (agent infectieux). • De connaître les stratégies thérapeutiques ainsi que les principales modalités d’administrations des molécules anti-infectieuses. • De connaitre les recommandations de bonnes pratiques relatives aux soins de support hémodynamique notamment du remplissage vasculaire (quantité et nature des produits de remplissage vasculaire, outils de monitoring) et de l’utilisation des vasopresseurs.
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
En présentiel
Préparer le pire : afflux massif et risque "nucléaire, radiologique et chimique"
DPC
Le contexte actuel, tant sécuritaire qu’épidémiologique ou climatique, impose aux professionnels de Médecine Intensive-Réanimation d’avoir des compétences dans l’organisation de l’accueil et de la prise en charge d’un afflux massif de patients graves ou à risque d’aggravation. Les services de soins critiques coordonnés notamment par la Médecine Intensive-Réanimation sont donc des acteurs clés de la réponse aux situations sanitaires exceptionnelles (comme les anesthésistes réanimateurs et urgentistes). La formation des professionnels de santé est un élément essentiel de la préparation de cette une réponse et comprend le développement de compétences sur la prise en charge de victimes d’accidents collectifs, de catastrophes naturelles ou technologiques, d’exposition accidentelle ou malveillante à des agents NRBC (Nucléaire, Radiologique, Biochimique et Chimique) ou de victimes d’attentats. Les professionnels de Médecine Intensive-Réanimation doivent en particulier être formés à l’identification et à la prise en charge spécifique des défaillances d’organe, mettant en jeu le pronostic vital à court terme de ces patients Le développement de ces compétences est l’objet de cette action de DPC. Les principaux objectifs, en lien avec la fiche de cadrage n°9 sur l’orientation prioritaire nationale intitulée « Préparation et organisation coordonnée, civile et militaire, de la réponse aux situations sanitaires exceptionnelles (SSE) et prise en charge somatique et psychique des victimes induites », seront : • L’accueil, le triage et la prise en charge hospitalière en soins critiques des blessés somatiques d’accidents collectifs ou d’attentats, en particulier la mise en œuvre des gestes et soins d’urgence et les techniques de « damage control » médicales et chirurgicales; • L’organisation logistique inhérente à la montée en puissance des soins critiques adultes pour assurer la prise en charge d’un afflux de patients nécessitant ce type de prise en charge ; • Les risques et prises en charge en soins critiques des patients victimes d’un agent nucléaire, radiologique, biologique et chimique (activités du complexe militaro-industriel, menace terroriste, etc.), y compris les techniques de décontamination et la mise en œuvre et/ou l’administration de thérapeutiques spécifiques ; • La prise en charge en soins critiques des patients atteints d’infection liée à un risque épidémique et biologique et leur diagnostic biologique ; • L’organisation de la réponse du système de santé et la montée en puissance du secteur de soins critiques des établissements de santé prévues dans le dispositif ORSAN.
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Intoxications graves en Réanimation
DPC
Les intoxications graves représentent une des premières causes d’admission dans les services d’urgences et de réanimation. L’épidémiologie de ces intoxications a grandement évolué au cours des dix dernières années, avec notamment la forte augmentation des surdosages aux opioïdes et la diffusion exponentielle de nouvelles drogues festives de synthèse appelées nouvelles substances psychoactives. Les méthodes analytiques de dépistage et de dosage ont aussi connu des progrès techniques majeurs, donnant désormais la possibilité d’obtenir un diagnostic de certitude dans un délai de plus en plus court. Plusieurs avancées thérapeutiques majeures ont également été réalisées, notamment le recours à des procédures d’assistance circulatoire dans le cadre d’intoxications aux substances cardiotropes. Renforcer les connaissances des professionnels sur ces points est donc une priorité et s’intègre dans l’orientation prioritaire « Perfectionnement dans la gestion des suppléances d’organes » établie par le CNP-MIR. Ce programme s’appuiera entre autre sur l’actualisation des recommandations formalisées d’experts intitulées « Prise en charge des intoxications médicamenteuses et par drogues récréatives » publiées en juin 2020 et réalisées par les experts de la société française de médecine d’urgence, de la société de réanimation de langue française et de la société française de toxicologie. https://www.srlf.org/sites/www.srlf.org/files/medias/documents/RFE035_0.pdf Intégrer ces recommandations à la pratique quotidienne est un enjeu majeur de formation. En lien avec les orientations prioritaires de MIR (médecine intensive réanimation), il est important de faire le point sur l’évolution des outils diagnostiques, sur les principes et recommandations de prise en charge des intoxications graves et les objectifs de transformation des pratiques identifiés (cadrage 139) Les objectifs principaux de cette action DPC seront : • de mieux identifier les patients intoxiqués justifiant une prise en charge en Réanimation ou en Unité de Surveillance Continue • de mieux connaître la démarche diagnostique des intoxications graves • de mieux connaître la démarche de traitement symptomatique des intoxications graves • de mieux connaître la démarche de traitement spécifique des intoxications graves et des défaillances d’organe qu’elles génèrent • de mieux utiliser les ressources spécialisées comme les centres anti-poison Ce programme prévoit pour la formation continue : • Un approfondissement des connaissances en participant à une session d’enseignements théoriques, en lisant en amont un article de référence, en visualisant en ligne un Webinar • Une évaluation des connaissances en réalisant un session de QCM en ligne avant et après la session d’enseignement théoriques (QCM pré et post-test) Une évaluation des pratiques à partir de la présentation de vignettes/cas cliniques. L’impact de cette dernière session sera évaluée en ligne au décours à l’aide de cas cliniques vignettes en lien avec les cas cliniques vignettes présentés en session Un retour d 'information sera assuré - à distance , à la suite du deuxième tour d’EPP : le retour d’information se fait par l’analyse de la progression individuelle des réponses aux quizz/cas cliniques et l’écart individuel par rapport à la moyenne. (radar /araignée )
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Pneumopathie chez l'immunodéprimé en Réanimation
DPC
Les complications infectieuses pulmonaires sont fréquentes chez les patients immunodéprimés et souvent responsables de tableaux de détresse respiratoire et/ou d’état de choc septique . Elles représentent une urgence diagnostique et thérapeutique du fait d’une évolution, classiquement rapidement péjorative chez des patients fragilisés. La nécessité de mettre en œuvre le plus tôt possible une démarche diagnostique et thérapeutique justifie ainsi souvent une prise en charge dans une unité de Médecine Intensive Réanimation. Le champ d’investigation doit être bien connu, car il recouvre un vaste panel de pathologies infectieuses communautaires ou opportunistes : virologiques, mycologiques, bactériologiques ou parasitaires. La stratégie diagnostique inclut des prélèvements microbiologiques multiples pouvant être non invasifs (prélèvements sanguins, des voies aériennes supérieures, urinaires), semi-invasifs (fibroscopie bronchique avec LBA) et invasifs (ponction ou biopsies) dont la prescription et l’interprétation peuvent être guidées selon l’histoire clinique, les antécédents thérapeutiques, les pathologies évolutives et les caractéristiques sémiologiques scanographiques. De même, en urgence, la prescription d'anti-infectieux probabilistes nécessite une stratégie adaptée à la gravité du patient, au type d’immunodépression induite par la maladie sous-jacente et aux traitements antérieurement reçus. Enfin, conjointement à la démarche diagnostique et thérapeutique spécifique, le réanimateur va souvent être amené à prendre en charge de manière symptomatique, un tableau d’insuffisance respiratoire aigüe. Chez le patient immunodéprimé, c’est une présentation particulièrement sévère avec une mortalité qui, si elle s’améliore, reste très élevée notamment en cas de recours à l’intubation et la ventilation mécanique invasive. Le développement de modalité d’oxygénation et de ventilation moins invasive a donné lieu ces dernières années à beaucoup de travaux. La prise en charge de ces patients par les praticiens de médecine intensive et réanimation répond à une démarche multidisciplinaire incluant des echanges avec pneumologues, onco-hématologues et microbiologistes-infectiologues. Ainsi, renforcer les connaissances des professionnels exerçant en soins critiques sur ces points est une priorité qui s'intègre dans l'orientation prioritaire prise en charge du sepsis en Medecine Intensive Réanimation Ce programme s’appuiera sur la littérature récente et les pratiques actuelles. Les objectifs principaux de cette action DPC seront : • D’améliorer la connaissance des pathologies microbiologiques communautaires et opportunistes des patients immunodéprimés présentant une détresse respiratoire aigüe. • D’améliorer la prescription d'anti-infectieux probabilistes avec une stratégie adaptée à la gravité du patient, au type d’immunodépression induite par la maladie sous-jacente et aux traitements antérieurement reçus. • D’améliorer la connaissance sur l’utilité, la pertinence et l’interprétation des tests microbiologiques non invasifs et invasifs. • D’améliorer la connaissance sur l’indication d’un lavage broncho-alvéolaire, son l’interprétation et les recherches spécifiques à réaliser. • De mieux définir la place des investigations plus invasives comme les ponctions ou biopsies pulmonaires. • D’améliorer la stratégie de la suppléance respiratoire et de mieux définir la place de l’oxygénothérapie à haut débit, de la ventilation non invasive et de la ventilation invasive chez le patient immunodéprimé avec insuffisance respiratoire aigüe • D’améliorer le travail multidisciplinaire avec notamment les microbiologistes-infectiologues, les pneumologues et les onco hématologues. Ce programme prévoit pour la formation continue : • Un approfondissement des connaissances en participant à une session d’enseignements théoriques, en lisant en amont un article de référence, en visualisant en ligne un Webinar, • Une évaluation des connaissances en réalisant un session de QCM en ligne avant et après la session d’enseignement théoriques (QCM pré et post-test) Une évaluation des pratiques à partir de la présentation de vignettes/cas cliniques. L’impact de cette dernière session sera évaluée en ligne au décours à l’aide de cas cliniques en lien avec les cas cliniques présentés.
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Optimisation de la prise en charge du sepsis en réanimation
DPC
Le sepsis est une pathologie « phare » de la discipline Médecine Intensive Réanimation. La mortalité hospitalière des états septiques, bien qu’en diminution, reste élevée, de l’ordre de 40%. (La durée de séjour en réanimation de ces patients se situe autour de 14 jours, avec une durée de séjour hospitalier total pour les patients de l’ordre de 30 jours, représentant un coût d’environ 45 milliards de dollars par an aux USA). Le sepsis est responsable de 20 000 morts annuels en France, en augmentation régulière Renforcer les connaissances des professionnels est donc une priorité et a été annoncé comme un objectif prioritaire de l’OMS en mai 2017. La campagne «Survivre au sepsis » (SSC : Surviving Sepsis Campaign), initiée et publiée pour la première fois en 2004 et mise à jour tous les 4 ans, a pour but de réduire la mortalité de ce syndrome en proposant aux acteurs de la filière de soins critiques un bouquet (bundle) de mesures thérapeutiques fondé sur des objectifs préétablis. Cette campagne fait l’objet de réactualisations régulières en lien avec l’évolution rapide de la littérature dans ce domaine. La connaissance, l’évaluation voire l’appréciation critique, et surtout l’applicabilité et l’application de ces recommandations à la pratique quotidienne est un enjeu majeur de formation. En lien avec les orientations prioritaires des MIR (médecine intensive réanimation ) d’AR (anesthésie –réanimation ) et de médecine d’urgence, il est important de faire le point sur l’évolution des outils diagnostiques , sur les principes et recommandations de prise en charge du sepsis et objectifs de transformation des pratiques identifiés (cadrage 51-139-143) (pour rappel en plus des MIR, les AR et médecins urgentistes sont aussi acteurs de cette filière de soins critiques et le sepsis est une défaillance multi viscérale expliquant le lien avec les objectifs prioritaires) Les objectifs principaux de cette action DPC seront : • de mieux identifier les patients justifiant une prise en charge en Réanimation ou en Unité de Surveillance Continue • de mieux connaître la démarche de traitement symptomatique du sepsis à la phase initiale • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie en urgence • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie vis-à-vis du risque de germes résistants • de mieux dépister la présence de germes résistants Document de description/présentation Il s’agit d’un programme intégré (9 heures) comprenant une séquence FMC et EPP (cf document de présentation détaillé) ci joint
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Optimisation de la prise en charge du sepsis en réanimation
DPC
Le sepsis est une pathologie « phare » de la discipline Médecine Intensive Réanimation. La mortalité hospitalière des états septiques, bien qu’en diminution, reste élevée, de l’ordre de 40%. (La durée de séjour en réanimation de ces patients se situe autour de 14 jours, avec une durée de séjour hospitalier total pour les patients de l’ordre de 30 jours, représentant un coût d’environ 45 milliards de dollars par an aux USA). Le sepsis est responsable de 20 000 morts annuels en France, en augmentation régulière Renforcer les connaissances des professionnels est donc une priorité et a été annoncé comme un objectif prioritaire de l’OMS en mai 2017. La campagne «Survivre au sepsis » (SSC : Surviving Sepsis Campaign), initiée et publiée pour la première fois en 2004 et mise à jour tous les 4 ans, a pour but de réduire la mortalité de ce syndrome en proposant aux acteurs de la filière de soins critiques un bouquet (bundle) de mesures thérapeutiques fondé sur des objectifs préétablis. Cette campagne fait l’objet de réactualisations régulières en lien avec l’évolution rapide de la littérature dans ce domaine. La connaissance, l’évaluation voire l’appréciation critique, et surtout l’applicabilité et l’application de ces recommandations à la pratique quotidienne est un enjeu majeur de formation. En lien avec les orientations prioritaires des MIR (médecine intensive réanimation ) d’AR (anesthésie –réanimation ) et de médecine d’urgence, il est important de faire le point sur l’évolution des outils diagnostiques , sur les principes et recommandations de prise en charge du sepsis et objectifs de transformation des pratiques identifiés (cadrage 51-139-143) (pour rappel en plus des MIR, les AR et médecins urgentistes sont aussi acteurs de cette filière de soins critiques et le sepsis est une défaillance multi viscérale expliquant le lien avec les objectifs prioritaires) Les objectifs principaux de cette action DPC seront : • de mieux identifier les patients justifiant une prise en charge en Réanimation ou en Unité de Surveillance Continue • de mieux connaître la démarche de traitement symptomatique du sepsis à la phase initiale • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie en urgence • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie vis-à-vis du risque de germes résistants • de mieux dépister la présence de germes résistants Document de description/présentation Il s’agit d’un programme intégré (9 heures) comprenant une séquence FMC et EPP (cf document de présentation détaillé) ci joint
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Nouveautés pour la prise en charge des pathologies neurologiques en Réanimation
DPC
Les progrès de la réanimation ont complètement modifié l’approche diagnostique et thérapeutique des patients en défaillance neurologique et leur pronostic fonctionnel et vital. De telles évolutions ont permis d’affiner l’évaluation diagnostique et pronostique de ces patients, qui représentent aujourd’hui une composante importante de l’activité des services de réanimation. Les objectifs principaux de cette action DPC sont : • de mieux connaître les bases physiologiques nécessaires à la prise en charge des patients ayant une défaillance neurologique en réanimation • de connaître les nouvelles données diagnostiques et thérapeutiques pour la prise en charge de ces patients • de préciser la prise en charge de l’AVC en réanimation • de préciser les outils diagnostiques et thérapeutiques du delirium en réanimation • de connaître les actualités et les dernières recommandations dans la prise en charge de l’état de mal épileptique • de connaître les nouveautés en termes de neuro-imagerie, neuro-électrophysiologie et neuromonitoring Ce programme prévoit : • Un approfondissement des connaissances en lisant un article de référence, en visualisant en ligne un Webinar , en participant à une session d’enseignement théorique, l’ensemble étant ciblé sur la prise en charge de pathologies neurologiques • Une évaluation des connaissances à travers un pré-test et un post-test réalisés sous la forme de QCMs. • Une évaluation des pratiques professionnelles en participant à une session « Comparons nos pratiques », au cours de laquelle sont présentés plusieurs cas cliniques -TCS avec vote interactif permettant d’engager des discussions entre pairs en présence d'experts du domaine. Une deuxième session de TCS réalisée en ligne et à distance permettant d’en évaluer l’impact.
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Optimisation de la prise en charge du sepsis en réanimation
DPC
Le sepsis est une pathologie « phare » de la discipline Médecine Intensive Réanimation. La mortalité hospitalière des états septiques, bien qu’en diminution, reste élevée, de l’ordre de 40%. (La durée de séjour en réanimation de ces patients se situe autour de 14 jours, avec une durée de séjour hospitalier total pour les patients de l’ordre de 30 jours, représentant un coût d’environ 45 milliards de dollars par an aux USA). Le sepsis est responsable de 20 000 morts annuels en France, en augmentation régulière Renforcer les connaissances des professionnels est donc une priorité et a été annoncé comme un objectif prioritaire de l’OMS en mai 2017. La campagne «Survivre au sepsis » (SSC : Surviving Sepsis Campaign), initiée et publiée pour la première fois en 2004 et mise à jour tous les 4 ans, a pour but de réduire la mortalité de ce syndrome en proposant aux acteurs de la filière de soins critiques un bouquet (bundle) de mesures thérapeutiques fondé sur des objectifs préétablis. Cette campagne fait l’objet de réactualisations régulières en lien avec l’évolution rapide de la littérature dans ce domaine. La connaissance, l’évaluation voire l’appréciation critique, et surtout l’applicabilité et l’application de ces recommandations à la pratique quotidienne est un enjeu majeur de formation. En lien avec les orientations prioritaires des MIR (médecine intensive réanimation ) d’AR (anesthésie –réanimation ) et de médecine d’urgence, il est important de faire le point sur l’évolution des outils diagnostiques , sur les principes et recommandations de prise en charge du sepsis et objectifs de transformation des pratiques identifiés (cadrage 51-139-143) (pour rappel en plus des MIR, les AR et médecins urgentistes sont aussi acteurs de cette filière de soins critiques et le sepsis est une défaillance multi viscérale expliquant le lien avec les objectifs prioritaires) Les objectifs principaux de cette action DPC seront : • de mieux identifier les patients justifiant une prise en charge en Réanimation ou en Unité de Surveillance Continue • de mieux connaître la démarche de traitement symptomatique du sepsis à la phase initiale • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie en urgence • d’améliorer le bon usage de l’antibiothérapie vis-à-vis du risque de germes résistants • de mieux dépister la présence de germes résistants Document de description/présentation Il s’agit d’un programme intégré (9 heures) comprenant une séquence FMC et EPP (cf document de présentation détaillé) ci joint
Médecin réanimateur, Médecin urgentiste
Mixte
Pathologies pulmonaires aiguës et sévères : ce que le réanimateur doit savoir
DPC
La Médecine Intensive - Réanimation s’est construite autour de la prise en charge de la défaillance respiratoire et du développement des supports ventilatoires. Pneumologues et réanimateurs partagent ainsi depuis longtemps la prise en charge de nombreux patients. Cette étroite collaboration s’est particulièrement bien illustrée dans la sphère de la pathologie respiratoire chronique « en exacerbation », permettant notamment le développement de la ventilation non invasive et la mise en place de parcours de soins aujourd’hui bien définis engageant les compétences des deux disciplines. Dans le domaine des pathologies aiguës, le syndrome de détresse respiratoire aiguë a été un champ d’investigation commun aboutissant non seulement à une bien meilleure compréhension de sa physiopathologie mais aussi aux avancées manifestes des connaissances en matière de ventilation mécanique. Ces dernières situations, ont fait l’objet de nombreuses recommandations et leur prise en charge symptomatique est standardisée. En revanche, la prise en charge spécifique des maladies aiguës du parenchyme pulmonaire s’avère encore complexe. La démarche diagnostique et thérapeutique de maladies aux frontières de l’infectiologie, de l’immunologie, de la médecine interne et de la pneumologie reste un enjeu pour le médecin intensiviste-réanimateur. L’indication et l’interprétation des examens complémentaires notamment d’imagerie, le rôle de la pneumologie interventionnelle, l’indication des nouvelles thérapies et de la plasmaphérèse, la place des nouvelles antibiothérapies, sont autant de paramètres justifiant une coopération toujours plus importante entre pneumologues et réanimateurs. L’objectif de ce parcours de Développement Professionnel Continu est de faire le point sur les résultats les plus importants et les plus récents dans le domaine du diagnostic et de la prise en charge thérapeutique des pathologies pulmonaires rencontrées en réanimation mais aussi de se confronter aux pratiques de chacun. De par sa fréquence d’admission dans les services de réanimation un focus sera fait sur le patient immunodéprimé. Ce programme prévoit • Un approfondissement des connaissances en assistant à deux sessions d’enseignement théorique ciblées sur la prise en charge des pathologies pulmonaires graves et en lisant un article de référence fourni. • Une évaluation des connaissances à travers un pré-test et un post-test réalisés sous la forme de QCMs. • Une évaluation de vos pratiques professionnelles en participant à une session de TCS, au cours de laquelle vous seront présentés plusieurs cas cliniques par la méthode des TCS avec vote interactif permettant d’engager des discussions entre pairs sur leur prise en charge en présence d'experts du domaine. Une deuxième session de TCS est prévue en ligne a distance
Médecin réanimateur, Cardiologue, Gasto-entérologue, + 2 autres
Mixte
Défaillances viscérales : Actualités de la prise en charge
DPC
Quel soit la pathologie à l’origine d’une admission en réanimation, le pronostic vital et fonctionnel de ces patients repose en grande partie sur la qualité de la prise en charge dite « symptomatique » des défaillances viscérales. Cette prise en charge repose d’abord sur une détection et une quantification de la gravité de chacune des défaillances présentes. De nombreux outils diagnostics ont récemment permis d’améliorer la qualité de cette évaluation. Sur le plan thérapeutique par ailleurs de nombreuses modalités de prise en charge symptomatiques ont ces dernières années été proposées. Pour l’ensemble de ces domaines diagnostique et thérapeutique, la médecine fondée sur les preuves connait depuis les années 90 une croissance exponentielle et la discipline Réanimation dispose désormais de très nombreuses recommandations développées et diffusées par les sociétés savantes française, européennes et nord-américaine. Mais l’evidence-based medicine est un outil et sa conjugaison à l’expertise clinique individuelle et au souhait des patients peuvent paraitre de plus en plus difficile. L’objectif de ce programme de Développement Professionnel Continu est ainsi de faire le point sur les résultats les plus importants et les plus récents dans le domaine du diagnostic et de la prise en charge thérapeutique des défaillances viscérales et de les confronter aux pratiques de chacun. Ce programme en 4 étapes est entièrement conçu autour du congrès national de Réanimation. Il prévoit : • Une évaluation et un approfondissement des connaissances à travers la participation à une session d’enseignement ciblé sur la prise en charge d‘une défaillance viscérale (session matinale du congrès ; 1ère étape) , précédée et suivi d’un pré et post test (réalisé en ligne 2ème étape) en lien avec cette session d’enseignement et de la lecture d’un article de référence également en lien avec cette session d’enseignement (réalisé en ligne ; 3ème étape). • Une évaluation des pratiques et des discussion entre pairs lors de la participation aux sessions « Comparons nos pratiques » du congrès, élaborées autour de cas cliniques avec QCM sous la forme de tests de concordance de script (TCS) permettant aux participants de se comparer au groupe mais aussi à un panel expert ayant préalablement répondu à ces QCM (4ème étape).