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Aide-soignant
En présentiel
Assistant de Soins en Gérontologie
DPC
1. Objectifs DF1 - Concourir à l’élaboration et à la mise en œuvre du projet individualisé dans le respect de la personne DF2 - Aider et soutenir les personnes dans les actes de la vie quotidienne en tenant compte de leurs besoins et degré d'autonomie DF3 - Mettre en place des activités de stimulation sociale et cognitive en lien notamment avec les psychomotriciens, ergothérapeutes ou psychologues DF4 – Comprendre et interpréter les principaux paramètres liés à l’état de santé DF5 – Réaliser des soins quotidiens en utilisant les techniques appropriées 2. Résumé Cette formation est mise en place dans le cadre de la mesure 20 du plan Alzheimer 2008-2012. Elle s’appuie sur l’arrêté du 23 juin 2010 relatif à la formation préparant à la fonction d’assistant de soins en gérontologie. L’assistant de soins en gérontologie (ASG) intervient auprès de personnes âgées, en situation de grande dépendance et/ou présentant des troubles cognitifs, nécessitant des techniques de soins et d’accompagnement spécifiques. Son intervention s’effectue dans le cadre d’une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité d’un professionnel paramédical ou d’un travailleur social, soit à domicile au sein d’un service de soins infirmiers (SSIAD), soit en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), notamment dans les unités spécifiques, ou éventuellement à l’hôpital, dans les services de soins de suite et de réadaptation cognitivo-comportementaux (SSR) ou les unités de soins de longue durée (USLD). L’ASG assure avec attention, vigilance, ménagement, prévenance et sollicitude tous les actes qui peuvent concourir à soulager une souffrance, créer du confort, restaurer et maintenir une adaptation de l’individu à son environnement. L’ASG participe à la mise en œuvre des projets individualisés associant soins quotidiens, restauration ou maintien des capacités ainsi que du lien social et lutte contre la solitude et l’ennui. Dans ce cadre, il contribue à l’évaluation des besoins, à la surveillance, à la prévention des complications et au soutien de personnes âgées présentant des déficiences sensorielles, physiques ou psychiques ou des troubles du comportement et de leurs aidants. Il contribue ainsi à restaurer ou préserver l’autonomie des personnes âgées et à maintenir ou restaurer l’image d’elles-mêmes. L’ASG soigne et prend soin, aide et accompagne des personnes dans les actes essentiels de la vie, participe à l’organisation de la vie quotidienne, établit une relation d’empathie, attentive et sécurisante, pour limiter les troubles du comportement, prévenir les complications et rompre l’isolement. 3. Méthodologie S’appuie sur l’analyse de cas pratiques évoqués par les professionnels Facilite l’interactivité et les échanges entre le groupe des participants, et entre les participants et le formateur Initie une réflexion sur les interactions avec les équipes, les personnes et les entourages familiaux Permet le développement des compétences en termes de savoir être en complément des savoir-faire
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Assistant de Soins en Gérontologie
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1. Objectifs DF1 - Concourir à l’élaboration et à la mise en œuvre du projet individualisé dans le respect de la personne DF2 - Aider et soutenir les personnes dans les actes de la vie quotidienne en tenant compte de leurs besoins et degré d'autonomie DF3 - Mettre en place des activités de stimulation sociale et cognitive en lien notamment avec les psychomotriciens, ergothérapeutes ou psychologues DF4 – Comprendre et interpréter les principaux paramètres liés à l’état de santé DF5 – Réaliser des soins quotidiens en utilisant les techniques appropriées 2. Résumé Cette formation est mise en place dans le cadre de la mesure 20 du plan Alzheimer 2008-2012. Elle s’appuie sur l’arrêté du 23 juin 2010 relatif à la formation préparant à la fonction d’assistant de soins en gérontologie. L’assistant de soins en gérontologie (ASG) intervient auprès de personnes âgées, en situation de grande dépendance et/ou présentant des troubles cognitifs, nécessitant des techniques de soins et d’accompagnement spécifiques. Son intervention s’effectue dans le cadre d’une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité d’un professionnel paramédical ou d’un travailleur social, soit à domicile au sein d’un service de soins infirmiers (SSIAD), soit en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), notamment dans les unités spécifiques, ou éventuellement à l’hôpital, dans les services de soins de suite et de réadaptation cognitivo-comportementaux (SSR) ou les unités de soins de longue durée (USLD). L’ASG assure avec attention, vigilance, ménagement, prévenance et sollicitude tous les actes qui peuvent concourir à soulager une souffrance, créer du confort, restaurer et maintenir une adaptation de l’individu à son environnement. L’ASG participe à la mise en œuvre des projets individualisés associant soins quotidiens, restauration ou maintien des capacités ainsi que du lien social et lutte contre la solitude et l’ennui. Dans ce cadre, il contribue à l’évaluation des besoins, à la surveillance, à la prévention des complications et au soutien de personnes âgées présentant des déficiences sensorielles, physiques ou psychiques ou des troubles du comportement et de leurs aidants. Il contribue ainsi à restaurer ou préserver l’autonomie des personnes âgées et à maintenir ou restaurer l’image d’elles-mêmes. L’ASG soigne et prend soin, aide et accompagne des personnes dans les actes essentiels de la vie, participe à l’organisation de la vie quotidienne, établit une relation d’empathie, attentive et sécurisante, pour limiter les troubles du comportement, prévenir les complications et rompre l’isolement. 3. Méthodologie S’appuie sur l’analyse de cas pratiques évoqués par les professionnels Facilite l’interactivité et les échanges entre le groupe des participants, et entre les participants et le formateur Initie une réflexion sur les interactions avec les équipes, les personnes et les entourages familiaux Permet le développement des compétences en termes de savoir être en complément des savoir-faire
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Assistant de Soins en Gérontologie
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1. Objectifs DF1 - Concourir à l’élaboration et à la mise en œuvre du projet individualisé dans le respect de la personne DF2 - Aider et soutenir les personnes dans les actes de la vie quotidienne en tenant compte de leurs besoins et degré d'autonomie DF3 - Mettre en place des activités de stimulation sociale et cognitive en lien notamment avec les psychomotriciens, ergothérapeutes ou psychologues DF4 – Comprendre et interpréter les principaux paramètres liés à l’état de santé DF5 – Réaliser des soins quotidiens en utilisant les techniques appropriées 2. Résumé Cette formation est mise en place dans le cadre de la mesure 20 du plan Alzheimer 2008-2012. Elle s’appuie sur l’arrêté du 23 juin 2010 relatif à la formation préparant à la fonction d’assistant de soins en gérontologie. L’assistant de soins en gérontologie (ASG) intervient auprès de personnes âgées, en situation de grande dépendance et/ou présentant des troubles cognitifs, nécessitant des techniques de soins et d’accompagnement spécifiques. Son intervention s’effectue dans le cadre d’une équipe pluri-professionnelle, sous la responsabilité d’un professionnel paramédical ou d’un travailleur social, soit à domicile au sein d’un service de soins infirmiers (SSIAD), soit en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), notamment dans les unités spécifiques, ou éventuellement à l’hôpital, dans les services de soins de suite et de réadaptation cognitivo-comportementaux (SSR) ou les unités de soins de longue durée (USLD). L’ASG assure avec attention, vigilance, ménagement, prévenance et sollicitude tous les actes qui peuvent concourir à soulager une souffrance, créer du confort, restaurer et maintenir une adaptation de l’individu à son environnement. L’ASG participe à la mise en œuvre des projets individualisés associant soins quotidiens, restauration ou maintien des capacités ainsi que du lien social et lutte contre la solitude et l’ennui. Dans ce cadre, il contribue à l’évaluation des besoins, à la surveillance, à la prévention des complications et au soutien de personnes âgées présentant des déficiences sensorielles, physiques ou psychiques ou des troubles du comportement et de leurs aidants. Il contribue ainsi à restaurer ou préserver l’autonomie des personnes âgées et à maintenir ou restaurer l’image d’elles-mêmes. L’ASG soigne et prend soin, aide et accompagne des personnes dans les actes essentiels de la vie, participe à l’organisation de la vie quotidienne, établit une relation d’empathie, attentive et sécurisante, pour limiter les troubles du comportement, prévenir les complications et rompre l’isolement. 3. Méthodologie S’appuie sur l’analyse de cas pratiques évoqués par les professionnels Facilite l’interactivité et les échanges entre le groupe des participants, et entre les participants et le formateur Initie une réflexion sur les interactions avec les équipes, les personnes et les entourages familiaux Permet le développement des compétences en termes de savoir être en complément des savoir-faire
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
« Psychiatrie et santé mentale : accompagner au quotidien les personnes atteintes de troubles psychiques »
DPC
1°)À l’issue de cette formation les participants sont capables de Découvrir, se réapproprier et/ou consolider les concepts de base relatifs aux troubles psychiques. S’appuyer sur les potentialités des personnes souffrant de ces troubles pour développer ou perfectionner une prise en charge professionnelle adaptée 2°) Résumé : Les troubles mentaux concernent un nombre important de personnes dans le monde (25 % de la population mondiale sont ou seront concernés selon l’OMS). Or, ces pathologies impactent la vie sociale, professionnelle, ainsi que la santé physique des personnes concernées et de leurs proches. Seront abordés : Les connaissances de base relatives aux troubles mentaux Le « normal », le « pathologique » Inconscient/Préconscient/Conscient, Ça/Moi/Surmoi, l’idéal du Moi et le Moi idéal, mécanismes de défense Névroses, psychoses, états limites ou border-line, différents troubles Les principaux effets des maladies mentales La souffrance psychique : non-compréhension, solitude et enfermement, moments de crise Un rapport perturbé à soi et aux autres Les effets sur les capacités attentionnelles et de concentration Les troubles de mémoire : effets de la pharmacologie Le rôle de la psyché, parole aux « non-dits » et aux maux cachés La prise en charge, une relation d’aide au quotidien La relation d’aide : ce que cherche la personne malade, ce que peut apporter le professionnel L’importance d’un équilibre temporel, spatial, alimentaire Le positionnement professionnel : savoir, savoir être, savoir-faire Les propositions d’accompagnement : activités manuelles et physiques, échanges et communication
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
Soins palliatifs et démarche palliative: Accompagner les personnes en fin de vie, ainsi que leurs proches, en institution
DPC
Objectif Contribuer à l’amélioration de l’accompagnement des patients en fin de vie, et de leurs proches, en institution Améliorer les compétences des professionnels dans ce domaine, individuellement et en équipe Favoriser la mise en place des soins palliatifs en institution Résumé : Les soins palliatifs et les droits particuliers de la personne souffrant d’une pathologie incurable devraient offrir une fin de vie digne et sans douleur. L’accompagnement de la fin de vie consiste en la prise en charge globale d’une personne atteinte d’une maladie grave et évolutive mettant en jeu son pronostic vital, afin de lui assurer la meilleure qualité de vie possible (art. L.1111-13 du CSP). Il se traduit par la mise en place de soins actifs et continus dits « palliatifs », pratiqués par une équipe interdisciplinaire en vue de soulager la douleur, d’apaiser la souffrance psychique, de sauvegarder la dignité de la personne malade et de soutenir ses proches (art. L.1110-10 du CSP). L’accompagnement doit conforter « l’environnement psychologique et social de la personne malade et de son entourage » (art. L.1110-9, L.1110-11 du CSP). Le personnel soignant bénéficie de formations et d’une aide. L’accompagnement du patient en fin de vie s’effectue à l’hôpital, à domicile ou en institution. Médecins,professionnels paramédicaux (infirmiers, aides-soignants, kinésithérapeutes, etc.), travailleurs sociaux, auxiliaires de vie dans les établissements de santé publics ou privés et les établissements médico-sociaux assurent les soins palliatifs de leurs patients. Programme de la formation: Les soins palliatifs - définitions et historique - législation, codes, loi et décrets - représentations liées à la fin de vie et la mort, sociologie - difficultés rencontrées et ressentis des participants face aux situations vécues Comment accompagner au mieux la fin de vie ? - comprendre le patient, approche globale : besoins fondamentaux, mécanismes de défense psychiques, les peurs, les émotions, rituels et rites - comprendre les proches : pré-deuil, deuil anticipé, étapes du deuil, mécanismes de défense face à la souffrance, accompagnement de l’entourage Comment soigner au mieux en institution ? - la mort : représentations et historique de l’institution - accueil de la famille, annonce du décès, accompagnement des autres patients - identifier sa juste distance, sa position éthique, ses mécanismes de défense, les techniques d’écoute active - travailler en équipe : cohérence, entraide, cadre, procédures, rituels
Aide-soignant
En présentiel
Hospitalisation du sujet âgé : Troubles de la déglution de la personne âgée
DPC
Introduction Boire et manger viennentt en 2ième position dans la classification des besoins fondamentaux de l’être humain de Virginia Henderson. Manger est source de plaisir, partage, désir, senteur, odeur, vue, salivation, goût… C’est aussi déglutir plus de 300 fois par heure lors d’un repas. Et si se nourrir est une nécessité pour tous, un plaisir pour beaucoup, c’est aussi un danger pour d’autres. Le terme « troubles de la déglutition » regroupe différents types de troubles plus ou moins sévères, les uns étant sans conséquences cliniques, les autres pouvant entraîner fausses routes, infections des voies respiratoires inférieures, dénutrition. Avec l’âge l’incidence et la prévalence des principales pathologies responsables des troubles de déglutition augmentent fortement. Aprés avoir rappelé certains fondamentaux (rappels anatomiques et physiologiques, impact du vieillissement, définitions, prévalence) , nous étudierons les différentes causes, leurs conséquences, les symptômes et signes d’appel, l’évaluation. enfin, nous aborderons les différentes approches thérapeutiques, et les Stratégie de repérage, d’évaluation et de prise en charge en Soins de Suite et Réadaptation Gériatrique . Les objectifs de la formation: -En matière de savoir : améliorer et homogénéiser nos connaissances sur les troubles de la déglutition chez la personne âgée. -En matière de savoir faire : faire évoluer nos pratiques professionnelles afin De bien repérer et évaluer les troubles de la déglutition chez la personne âgée. De mettre en place une stratégie visant à prévenir et bien prendre en charge les troubles de la déglutition chez la personne âgée. -En matière de savoir être : connaitre son rôle propre dans la démarche clinique d’évaluation des troubles de la déglutition chez la personne âgée et dans la stratégie de leur prise en charge ainsi que les informations à transmettre aux patients et aux aidants.
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
Hospitalisation des personnes âgées : Troubles de la dépression des Personnes Agées
DPC
L’incidence annuelle de la dépression augmente avec l’âge et est 2 fois plus importante chez la femme que chez l’homme. La prévalence de l’épisode dépressif majeur est proche de 5 % dans la population générale après 65 ans, et celle de l’épisode dépressif mineur comprise entre 15 et 20 %. Ce chiffre monte jusque 40% lorsqu’il s’agit de femmes et hommes internés en maison de repos ! La dépression du sujet âgé constitue un problème majeur de santé publique tant par sa fréquence que son impact : -Diminution de la qualité de vie (personne et entourage) -Isolement -Augmentation des consultations, du nombre des médicaments, du nombre et de la durée des hospitalisations -Aggravation des comorbidités -Surmortalité (50 % dans les 3 ans) -Perte d’indépendance -Troubles cognitifs -Alcoolisme (30 %) -Récidive (10 - 15 %) et chronicité (30 %) à 5 ans -Syndrome de glissement (AEG, déshydratation, I rénale, perte d’appétit puis refus alimentaire, asthénie majeure puis refus de se lever, désinvestissement de l’entourage puis refus de communiquer, faible intensité apparente de l’humeur dépressive, de l’anxiété, de l’idéation suicidaire) -Suicide : Le taux de suicide chez les personnes âgées reste élevé : 28 % des suicides ont concerné des personnes âgées de plus de 65 ans. (Risque croissant avec l’âge, Forte létalité 1/3 (préparation, détermination, faible communication de l’intention, fragilité de l’organisme) , Procédés violents : pendaison 52 %, arme à feu 13 %, précipitation 6 %, Facteurs de risque / facteurs protecteurs, Secondaire à un état dépressif dans 90 % des cas, Disparités régionales). Avant d’évaluer le comportement suicidaire d’une personne âgée, il convient d’établir une relation thérapeutique. Cette formation décrit les particularités de la dépression chez la personne âgée, son repérage (diagnostics différentiels, outils…), son évaluation et les modalités de prise en soin pluridisciplinaires en gériatrie.
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
Soins palliatifs : "Comment préparer l’annonce d’un décès en institution »
DPC
Les soignants doivent tenir compte de ce début de travail de deuil qu’ils provoquent en annonçant le décès et être attentifs à l’expression de leur propre affectivité face à la douleur morale et parfois à la révolte des familles en deuil. Accompagner un patient ou une famille dans son deuil fait partie intégrante de la pratique soignante. Qu’il s’agisse de la perte d’un proche, d’une fonction corporelle ou de l’espoir d’une rémission, nul n’y est véritablement préparé et le soutien du soignant représente une ressource indispensable dans l’épreuve. Quelle attitude peut-il adopter pour aider autrui à traverser une période de deuil ? Comment doit-il se positionner face à une famille endeuillée ? Objectifs •Connaître les étapes et le processus du deuil •Apprendre à accompagner les besoins des patients •Apprendre à accompagner les familles confrontées à la perte et au deuil •Mieux gérer ses propres deuils et pertes dans le cadre professionnel
Aide-soignant, Infirmier
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Education pour la santé et compétences en santé mentale Prévenir, détecter et prendre en soin les personnes en situation de stress, angoisse, burn out
DPC
A l’issue de la formation, les participants sont en mesure de Définir et comprendre le stress Reconnaître les signes du stress dans le quotidien et apprendre à les détecter et les faire formuler Découvrir nos propres dispositions au stress et la réaction que nous lui opposons Trouver des éléments pour permettre d'élaborer une stratégie antistress et acquérir une méthode d’apaisement pour retrouver un mieux-être Objectifs spécifiques Améliorer la capacité d’adaptation et la prise de recul Améliorer les relations de travail et la qualité des soins Diminuer les risques psychosociaux
Aide-soignant, Infirmier
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Hospitalisation des personnes âgées: Spécificité de la prise en charge de la douleur chez les Personnes Agées
DPC
Objectifs : Se perfectionner dans la prise en charge de la douleur chez la personne âgée. Actualiser ses connaissances sur l’étiologie des douleurs, les pathologies, les douleurs méconnues. Reconnaître et comprendre les phénomènes de douleur et de souffrance, en regard des caractéristiques de la personne âgée prise en charge Savoir évaluer la douleur. Maîtriser les bases thérapeutiques. Connaître les étapes indispensables de la prise en charge. Améliorer ses compétences, la qualité et la sécurité des soins. Formation qui favorisera l’analyse de pratique pour affiner l'évaluation de la douleur de la personne âgée et améliorer sa prise en charge. Résumé de l'action : Cette formation a pour objectif d’améliorer des pratiques et/ou des postures professionnelles et d’apporter des outils théoriques et techniques concrets. La douleur est très fréquente chez la personne âgée : dans une étude portant sur 97 patients âgés de 65 à 101 ans, ces personnes âgées présentent au moins une douleur dans 71% des cas. La douleur physique, à l'instar de la douleur morale, est banalisée et trop souvent assimilée au grand âge. La personne âgée, à l'instar de l'enfant, éprouve une difficulté encore plus importante que l'adulte à décrire la douleur Les douleurs chez la personne âgée ne sont pas isolées mais surviennent souvent dans un contexte d'incapacités motrices et mentales rendant aléatoire la communication de la plainte. L'expression de la douleur est différente chez la personne âgée par rapport à l'adulte. Il peut apparaître une lassitude des soignants devant les plaintes répétitives et multiformes, devant la difficulté à obtenir un soulagement, devant les changements de plaintes lorsqu'un symptôme a été soulagé. La personne âgée a souvent des difficultés à isoler sa douleur somatique du champ psychique mais ces douleurs durent souvent depuis plus de trois à six mois et fréquemment depuis des années. Elles résistent, au moins partiellement aux traitements. Elles ont un retentissement psychique constant. Après avoir vu les généralités, repérage et étudié les étiologies, la neurophysiologie des douleurs de la personne âgée, nous verrons les mécanismes et composantes de la douleur du sujet âgé . Ensuite nous verrons les étapes indispensables de cette prise en charge, les différents modes d’évaluation de la douleur, et comment repérer et tracer la douleur. Pour finir nous nous pencherons sur les bases thérapeutiques de cette prise en soin.