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En présentiel

Echographie de la pathologie pelvienne de la femme

DPC

Résumé et objectifs généraux : Cet enseignement vise à donner les clés d’analyse des images de la pathologie pelvienne courante de la femme, sur la base d’une description échographique endovaginale précise, permettant ainsi d’aboutir à un diagnostic précis, clair, sans ambiguïté, et fiable sans nécessité de demander tout autre examen complémentaire. L’échographie endovaginale est l’outil principal du dépistage lésionnel en pathologie pelvienne, elle permet une caractérisation tumorale précise et décisionnelle, enfin elle permet une prise en charge rapide, efficace et appropriée des urgences. Les troubles fonctionnels gynécologiques étant très fréquents il s’agit ainsi d’apprendre à éliminer les pathologies organiques, chroniques, graves ou malignes et reconnaître les véritables urgences. La journée de formation se déroulera de façon interactive, selon le mode quiz, illustrant 16 thèmes, à raison par thème de 3 à 6 dossiers cliniques et échographiques. Les objectifs spécifiques étant les suivants : - Différencier un endomètre normal d’un endomètre pathologique. - Caractériser et différencier un kyste lutéal, fonctionnel, versus un kyste organique. - Connaître l’aspect ovarien normal. - Caractériser une masse annexielle. - Identifier une grossesse extra utérine, une salpingite ou une affection génitale haute et une torsion d’annexe. - Donner les clés de dépistage de l’endométriose.

Radiologue


En présentiel

Echographie des urgences ostéoarticulaires

DPC

Résumé et objectifs généraux : Cet enseignement comprend un enseignement théorique basé sur des rappels des méthodes d’exploration en échographie des principales urgences de l’appareil locomoteur et de leurs diagnostics différentiels (2h pour le membre supérieur, 2h pour le membre inférieur). La partie théorique est dispensée sous la forme de présentations PowerPoint commentées. Des ateliers d’échographie en petits groupes de 7 participants sont ensuite proposés (1h pour le membre supérieur, 1 pour le membre inférieur) dans le but de connaître les techniques échographiques essentielles à l’étude des urgences ostéoarticulaires en pratique courante. Une session interactive (1h) est consacrée à l’évaluation de l’apprentissage des connaissances et à la correction du pré-test. Les objectifs spécifiques sont les suivants : - Utiliser l’échographie en complément de l’examen clinique et du bilan radiologique. - Connaître la méthode et les résultats d’une échographie de l’appareil locomoteur en urgence. - Etablir un protocole d'étude échographique pour chaque articulation dans un contexte d'urgence. - Décrire les différents aspects sémiologiques des lésions osseuses, articulaires, ligamentaires et/ou musculotendineuses. - Intégrer l'échographie dans un arbre décisionnel diagnostique dans le parcours de soin - Connaître les forces et limites de l’échographie, et savoir proposer un éventuel examen complémentaire de troisième intention en respectant la pertinence des actes.

Radiologue


En présentiel

Sémiologie échographique de la pathologie pelvienne de la femme : caractérisation tumorale et dépistage lésionnel, urgences algiques

DPC

Ce programme a pour but de donner les clés d’analyse des images de la pathologie pelvienne courante de la femme, sur la base d’une description sémiologique échographique endovaginale précise, permettant ainsi d’aboutir à un diagnostic précis, clair, sans ambiguïté, et fiable sans nécessité de demander tout autre examen complémentaire. L’échographie endovaginale est l’outil principal du dépistage lésionnel en pathologie pelvienne, permet une caractérisation tumorale précise et décisionnelle, enfin permet une prise en charge rapide, efficace ainsi qu’appropriée des urgences. Les troubles fonctionnels gynécologiques étant très fréquents il s’agit ainsi d’apprendre à éliminer les pathologies organiques, chroniques, graves ou malignes et reconnaître les véritables urgences. Cet enseignement se déroulera de façon interactive, selon le mode quiz, illustrant 16 thèmes, à raison de 3 à 6 dossiers, cliniques et échographiques, par thème.

Médecin Généraliste, Radiologue, Rhumatologue


Mixte

Comment optimiser vos demandes d’examen en imagerie médicale (par classe virtuelle)

DPC

Les axes principaux de cet enseignement à destination des médecins généralistes et des médecins spécialistes sont les suivants : - Pourquoi et comment demander un examen d’imagerie médicale ? - Problèmes spécifiques liés à l’utilisation des rayonnements ionisants. - Rôle du demandeur et du réalisateur d’examens dans la justification et l’optimisation des examens d’imagerie. - Utilisation en pratique courante du guide du bon usage des examens d’imagerie médicale. Il présente également une mise à jour des connaissances dans des domaines fréquemment rencontrés en pratique quotidienne : - Les lombalgies. - Les demandes de radiographie de crane, abdomen sans préparation et thorax. - Les demandes d’examen avec injection de produit de contraste. L'objectif de l'action étant de permettre d'améliorer l’état de santé du malade par un acte médical le plus adapté et le plus efficace possible en limitant les risques pour un patient à un moment donné, en sachant demander l’examen d’imagerie le mieux adapté. Le guide du bon usage des examens d’imagerie médicale est en accès libre sur internet. Il peut être utile de le consulter pour définir la meilleure technique à préconiser pour une situation donnée. Les évolutions technologiques apparues depuis les années 1970-1980 nous amènent à reconsidérer les indications des examens afin de les hiérarchiser au mieux en fonction du contexte clinique.

Médecin Généraliste, Radiologue, Rhumatologue


Mixte

Comment optimiser vos demandes d’examen en imagerie médicale

DPC

Les axes principaux de cet enseignement à destination des médecins généralistes et des médecins spécialistes sont les suivants : - Pourquoi et comment demander un examen d’imagerie médicale ? - Problèmes spécifiques liés à l’utilisation des rayonnements ionisants. - Rôle du demandeur et du réalisateur d’examens dans la justification et l’optimisation des examens d’imagerie. - Utilisation en pratique courante du guide du bon usage des examens d’imagerie médicale. Il présente également une mise à jour des connaissances dans des domaines fréquemment rencontrés en pratique quotidienne : - Les lombalgies. - Les demandes de radiographie de crane, abdomen sans préparation et thorax. - Les demandes d’examen avec injection de produit de contraste. L'objectif de l'action étant de permettre d'améliorer l’état de santé du malade par un acte médical le plus adapté et le plus efficace possible en limitant les risques pour un patient à un moment donné, en sachant demander l’examen d’imagerie le mieux adapté. Le guide du bon usage des examens d’imagerie médicale est en accès libre sur internet. Il peut être utile de le consulter pour définir la meilleure technique à préconiser pour une situation donnée. Les évolutions technologiques apparues depuis les années 1970-1980 nous amènent à reconsidérer les indications des examens afin de les hiérarchiser au mieux en fonction du contexte clinique.

Radiologue


E-learning

Intelligence artificielle et Radiologie

DPC

Le progrès technologique est une constante du métier du radiologue et nous constatons une offre croissante d’outils aidant à améliorer le workflow des cabinets de radiologie tout en améliorant la pertinence et la qualité des soins. De façon plus précise, les professionnels de l’imagerie médicale attendent en particulier une intelligence artificielle qui renforce la capacité d’analyse des cas simples et complexes, pour mieux diagnostiquer et mieux soigner. Nous proposons cette formation dont le premier objectif est de comprendre en quoi les outils d’intelligence artificielle vont pouvoir changer la manière de travailler des radiologues. Le deuxième objectif est d’apprendre aux praticiens le regard critique et pratique sur les logiciels d’intelligence artificielle pour éventuellement se lancer en tant qu’utilisateur et acteur du changement. Pour répondre à ces objectifs, la formation est divisée en 3 parties : · la première comprend les concepts généraux et fondamentaux de l’intelligence artificielle · la seconde est consacrée aux sources et à la qualité des données ainsi qu’aux applications pratiques d’intelligence artificielle pour le radiologue · enfin, la dernière partie est dédiée aux aspects légaux et éthiques.

Manipulateur ERM


E-learning

DACS : Comment optimiser la dose patient ?

DPC

La nouvelle directive Euratom ainsi que la Decision-n-2019-DC-0660-de-l-ASN-du-15-janvier-2019 imposent la gestion de la dose délivrée au patient. Les DACS (Dosimetry, archiving and communication system) sont des outils (logiciels) qui participent à la gestion et à l’optimisation de la dose des rayonnements ionisants délivrés au patient, ainsi qu’au suivi des doses de produits de contrastes administrés. Comprendre les enjeux de l’utilisation des rayonnements ionisants, appliquer les pratiques d’optimisations et utiliser les DACS pour répondre à ces attentes fait désormais partie des pratiques incontournables pour les manipulateurs d’électroradiologie médicale. Ce programme nous permettra de montrer comment les DACS répondent à ces attentes. A l’issue de cette formation en e-learning, le manipulateur identifiera les applications possibles d’un DACS et sera en mesure de participer à la rédaction d’un cahier des charges pour une installation adaptée à son cabinet ou service d’imagerie médicale. Qu’est-ce qu’un DACS ? Pour quelles mesures physiques ? Quel lien avec les directives européennes et recommandations ASN en matière de radioprotection ? Comment recueillir, archiver et analyser les doses reçues par les patients ? Comment évaluer les pratiques ? Quelle exploitation peut-on en faire au quotidien ? Comment évaluer et optimiser le lien qualité/dose ? Quelles autres données sont exploitables en dehors de la dose, par exemple celles concernant le produit de contraste. Et bien d’autres questions à propos desquelles nous fournirons des réponses et des exemples en imagerie de projection, en mammographie, scanner, médecine nucléaire ou interventionnelle, sans omettre les autres modalités même non ionisantes qui pourront être concernées dans un avenir proche (IRM et produit de contraste...)

Manipulateur ERM


E-learning

Formation Santé et sécurité en IRM

DPC

L’entrée en vigueur au 1er janvier 2017 du décret 2016-1074 relatif à la protection des travailleurs contre les risques dus aux champs électromagnétiques impose aux établissements de prendre des mesures matérielles et organisationnelles élargies. L’employeur doit assurer la santé et la sécurité des travailleurs (CSP L. 4121-1), de mettre en œuvre les principes généraux de prévention des risques (CSP L. 4121-2) et de procéder à l’évaluation des risques (CSP L. 4121-3). Cette formation permet aux manipulateurs de mettre en œuvre la démarche de prévention des risques, de dispenser une information claire et précise aux travailleurs et aux patients, d’organiser une formation aux risques liés à l’exposition des champs électromagnétiques pour les travailleurs à leur poste de travail et de mettre en place la signalisation préventive. L'enseignement tend à sensibiliser aux risques liés aux champs magnétiques et proposera des pistes d’organisation en matière de sécurité en IRM (information, gestion des patients et des salariés…). Dans un premier temps les bases théoriques sur les champs électromagnétiques seront abordées afin de comprendre les effets biologiques susceptibles d’être engendrés par les différents champs électromagnétiques. La seconde partie s’attachera à décrypter la réglementation française en présentant en particulier les valeurs limites d’exposition afin de permettre de mettre en place une véritable démarche de prévention des risques. Dans une troisième partie, la sécurité et la gestion des risques en IRM sont abordées. Les causes pouvant conduire à un événement redouté seront présentées afin de définir les barrières de protection à mettre en place ou pour modifier celles existantes dans le but d’empêcher et/ou de limiter la propagation d’une défaillance. Les conséquences potentielles de l’occurrence d’un événement redouté sont envisagées. Les risques pour les patients sont abordés et plus spécifiquement ceux liés à l’utilisation de produits de contraste. Des mesures à prendre pour limiter les risques pour les patients sont présentés. Pour terminer, des études de cas concrets concernant aussi bien la prévention des risques pour les travailleurs que pour les patients sont abordées. A l’issue de la formation, les stagiaires seront en mesure : - D’identifier les champs électromagnétiques (champs électrique et magnétique statiques et dépendant du temps, gradients de champ et les ondes radiofréquences). - De définir les risques et les effets biologiques potentiels pour les personnels et les patients. - De faire le point sur les Directives/Recommandations Européennes, sur la réglementation nationale. - De rédiger leurs propres règles et procédures locales afin d’assurer la sécurité et la gestion des risques en IRM pour les travailleurs et les patients. - De mettre en place une signalisation préventive

Radiologue


En présentiel

L'annonce d'une maladie grave, exemple du cancer du sein

DPC

Cette formation vise à apporter les éléments théoriques et pratiques, à l’aide d’outils variés, d’analyses de pratiques et de confrontation à des situations réelles, pour que chaque radiologue puisse mettre en place ou adapter, un parcours-patient de l’annonce à l’adressage au thérapeute dans un cabinet de ville comme en service hospitalier. L’annonce, comme entrée dans une nouvelle (parfois première) étape de la maladie, va conditionner la relation de confiance et la compliance au protocole thérapeutique du patient, pour la suite de son parcours et conditionnera également la fluidité du lien ville-hôpital. Les situations d’annonce en oncologie sont multiples et variées, nécessitant une approche relationnelle soignant-soigné adaptée à chaque patient. Elles sont encadrées, depuis les états généraux des patients en 1998 notamment, par différents textes réglementaires et législatifs que tout professionnel se doit de connaître et d’appliquer, et qui le guident dans sa pratique quotidienne, clinique et organisationnelle. En pratique, la première personne confrontée au diagnostic probable est le radiologue, dans son cabinet privé (majorité forte de radiologues privés à pratiquer les Dépistages Organisés (DO) ou Dépistages Individuels (DI) et ce, sans disposer ni d’infirmière, ni de psychologue. L’hypothèse de malignité survient la plupart du temps sans que personne n’y soit préparé ; et si l’annonce est théoriquement celle du résultat du prélèvement (au titre qu’on ne fait pas de diagnostic sur une radiographie mais sous le microscope), il n’en demeure pas moins que le fait d’avoir dû effectuer ces examens représente bien le début de l’histoire et que la prise en compte de celui-ci sera d’autant plus important que son vécu conditionne les vécus ultérieurs. Les objectifs principaux étant de : - Connaître le cadre déontologique, réglementaire et législatif autour de l’information des patients et de l’annonce en particulier ; connaître les mesures institutionnelles de l’annonce et ses codes ; - Avoir connaissance de la situation épidémiologique du cancer du sein en France ; - Connaître et structurer les différentes situations d’annonce (diagnostic initial, récidive loco-régionale ou métastatique; annonce d'un dommage lié aux soins) ; - Connaître les spécificités de l’annonce en service de radiologie ; - Adapter sa pratique clinique et organisationnelle, en s’appuyant sur l’existant. - Développer et savoir adapter sa communication verbale et non-verbale.

Radiologue


E-learning

Santé et sécurité en IRM

DPC

L’entrée en vigueur au 1er janvier 2017 du décret 2016-1074 relatif à la protection des travailleurs contre les risques dus aux champs électromagnétiques impose aux établissements de prendre des mesures matérielles et organisationnelles élargies. L’employeur doit assurer la santé et la sécurité des travailleurs (CSP L. 4121-1), de mettre en œuvre les principes généraux de prévention des risques (CSP L. 4121-2) et de procéder à l’évaluation des risques (CSP L. 4121-3). Cette formation tend à sensibiliser aux risques liés aux champs magnétiques et proposera des pistes d’organisation en matière de sécurité en IRM (information, gestion des patients et des salariés…). Dans un premier temps les bases théoriques sur les champs électromagnétiques seront abordées afin de comprendre les effets biologiques susceptibles d’être engendrés par les différents champs électromagnétiques. La seconde partie s’attachera à décrypter la réglementation française en présentant en particulier les valeurs limites d’exposition afin de permettre de mettre en place une véritable démarche de prévention des risques. Dans une troisième partie, la sécurité et la gestion des risques en IRM sont abordées. Les causes pouvant conduire à un événement redouté seront présentées afin de définir les barrières de protection à mettre en place ou pour modifier celles existantes dans le but d’empêcher et/ou de limiter la propagation d’une défaillance. Les conséquences potentielles de l’occurrence d’un événement redouté sont envisagées. Pour terminer, des études de cas concrets concernant aussi bien la prévention des risques pour les travailleurs que pour les patients sont abordées. Les objectifs de formation étant les suivants : - D’identifier les champs électromagnétiques (champs électrique et magnétique statiques et dépendant du temps, gradients de champ et les ondes radiofréquences). - De définir les risques et les effets biologiques potentiels pour les personnels et les patients. - De faire le point sur les Directives/Recommandations Européennes, sur la réglementation nationale. - De rédiger leurs propres règles et procédures locales afin d’assurer la sécurité et la gestion des risques en IRM pour les travailleurs et les patients. - De mettre en place une signalisation préventive - D’informer et de former leurs salariés comme l’exige la réglementation.