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Sage-Femme, Médecin réanimateur, Cardiologue, + 24 autres
En présentiel
Sécurité transfusionnelle et hémovigilance
DPC
La sécurité transfusionnelle est une composante de la sécurité sanitaire. Pour assurer la maitrise des pratiques transfusionnelles, la formation et l’évaluation des connaissances en matière de processus transfusionnelle doivent faire partie de la dynamique de suivi des compétences. Cette journée de formation aborde la thématique de la sécurité transfusionnelle en évoquant l’Identitovigilance et l’hémovigilance. Les objectifs Connaitre l’organisation de la transfusion en France : de la collecte jusqu’à la traçabilité post-don, les différents types de dons et de produits sanguins labiles, leur mode de conservation, leur délivrance Comprendre les bases de l’immunohématologie nécessaire pour transfuser Analyser l’acte transfusionnel : de la commande à la réception, les contrôles de vigilance Comprendre les principes de l’hémovigilance
Gériatre, Médecin Généraliste, Pharmacien
En présentiel
Bonnes pratiques de prescription médicamenteuse en EHPAD à destination du médecin coordonnateur
DPC
Contexte : Les résidents accueillis en EHPAD sont de plus en plus polypathologiques et fragiles. Le risque de survenue d’événement indésirable médicamenteux y est associé. Un événement indésirable médicamenteux peut résulter d’une erreur médicamenteuse secondaire à la prescription, la délivrance, la dispensation ou l’administration du médicamentent par un professionnel de santé. L’erreur de prescription résulte soit d’une médication supplémentaire non indiquée («overuse »), d’une prescription indiquée mais non conforme (« misuse ») ou d’une prescription manquante qui serait nécessaire pour traiter un patient âgé selon les recommandations actualisées en gériatrie (« underuse ». Pour lutter contre la iatrogénie en EHPAD, la règlementation a prévu la présence de médecins coordonnateurs au sein des structures. Ils ont entre autres missions, celle de conseiller les prescripteurs libéraux et d’actualiser les connaissances de ceux-ci en thérapeutique adaptée à la personne âgée (décret n° 2019-714 du 5 juillet 2019, art. 2.6°, art.2.7°, art.2.8°) (*) Aussi, le médecin coordonnateur en EHPAD doit actualiser régulièrement ses connaissances dans le domaine des bonnes pratiques de prescription pour pouvoir transmettre des informations pertinentes et acquérir les outils pédagogiques pour favoriser l’adhésion des prescripteurs libéraux, ou salariés. Sur le terrain, il est parfois difficile pour le médecin coordonnateur d’accomplir sa mission, du fait de connaissances non actualisées et surtout de difficultés de positionnement auprès de ses confrères prescripteurs. Aux côtés du médecin coordonnateur l’implication du pharmacien d’officine, ou de la PUI est indispensable, pour travailler en synergie avec le médecin coordonnateur. Ceci explique l’ouverture de cette formation aux pharmaciens. (*)Décret n° 2019-714 du 5 juillet 2019 portant réforme du métier de médecin coordonnateur en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, (…)celui-ci est le « garant des bonnes pratiques de prescription ». Art. 2. 6°, il « …Coordonne la réalisation d’une évaluation gériatrique et, dans ce cadre, peut effectuer des propositions diagnostiques et thérapeutiques, médicamenteuses et non médicamenteuses. Il transmet ses conclusions au médecin traitant ou désigné par le patient… » Art.. 2. 7° il, «...Contribue auprès des professionnels de santé exerçant dans l’établissement à la bonne adaptation aux impératifs gériatriques des prescriptions de médicaments et des produits et prestations inscrits sur la liste mentionnée à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale. Il prend en compte les recommandations de bonnes pratiques existantes en lien, le cas échéant, avec le pharmacien chargé de la gérance de la pharmacie à usage intérieur ou le pharmacien mentionné à l’article L. 5126-6 du code de la santé publique… » Art. 8° il «.. Contribue à la mise en œuvre d’une politique de formation et participe aux actions d’information des professionnels de santé exerçant dans l’établissement (…) » Grandes lignes de contenu : Cette formation s’attachera donc à actualiser les connaissances des médecins coordonnateurs et des pharmaciens en matière de prescriptions médicamenteuses adaptées en EHPAD et à leur proposer des outils de communication nécessaires pour favoriser l’adhésion des prescripteurs aux recommandations actualisées. Seront développés dans le cadre de la formation le risque médicamenteux et les bonnes pratiques de prescription en gériatrie par un expert gériatre et un pharmacien, actualisées dans les champs de pathologie les plus fréquents en EHPAD (cardio-gériatrie, psychogériatrie, rhumatologie, urologie …) La présentation d’outils à disposition du médecin coordonnateur sera développée (STOPP-START V2 par exemple), puis seront abordées les modalités de communication vis-à-vis des prescripteurs. Les temps d’échange permettront de répondre aux questions des participants Les ateliers pratiques actifs, proposés à partir de cas cliniques issus de situations réelles, permettront ensuite de réaliser en concertation entre pairs une analyse critique des ordonnances et de formuler ensemble des recommandations au médecin prescripteur, en référence aux bonnes pratiques de prescription en gériatrie. Objectifs généraux : Réduire le risque de iatrogénie médicamenteuse liée à la prescription médicamenteuse inappropriée en EHPAD Objectifs spécifiques Pour que le médecin coordonnateur puisse remplir efficacement sa mission, il faut : 1. actualiser ses connaissances dans le domaine des prescriptions en gériatrie et lui donner les outils nécessaires afin de : -reconnaitre une prescription médicamenteuse à risque de iatrogénie -connaître les recommandations actuelles dans les domaines pathologiques les plus fréquents 2. savoir l’accompagner afin d’améliorer et d’adapter sa communication avec les médecins prescripteurs afin d’obtenir leur adhésion aux modifications nécessaires des pratiques de prescription
Aide-soignant, Sage-Femme, Médecin réanimateur, + 26 autres
En présentiel
Les directives anticipées: comment en parler?
DPC
Contexte : Depuis le décret n°2016-1067 du 3 août 2016 relatif aux directives anticipées prévues par la loi n°2016-87 du 2 février 2016, les établissements de santé et les établissements médico-sociaux ont l’obligation d’interroger les patients sur l’existence de directives anticipées. Nous constatons sur le terrain que cette question n’est pas souvent posée par les membres de l’équipe soignante par manque de connaissances et par peur de provoquer de l’angoisse chez le patient ou de générer un questionnement auquel ils ne sauraient pas répondre. Contenu : Phase 1 : formation aux connaissances théoriques à partir de la loi du 2 février 2016 Phase 2 : jeux de rôles Objectifs : L’objectif de cette journée de formation est de connaître la législation actuelle concernant les directives anticipées pour pouvoir en parler. Au terme de cette journée, les participants seront en capacité • de connaître ce que sont les directives anticipées selon la législation actuelle • de s’enquérir de la présence de directives anticipées à l’admission du patient • d’apporter une information adaptée au patient et à son entourage • de repérer les mécanismes de défense du professionnel • d’identifier les personnes ressources
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Manipulateur ERM, + 3 autres
En présentiel
Apprendre à être tuteur de stage : des compétences à la pratique d'accompagnement
DPC
La formation s'inscrit dans la continuité de l'instruction N° DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux. Sa visée est d'actualiser les compétences des tuteurs, au regard de leur pratique d'accompagnement, qui répondent aux exigences du contexte de travail d'aujourd'hui. La formation, qui se veut concrète, propose d'explorer le rôle des tuteurs dans leurs multiples compétences, en mobilisant de façon expérientielle différents concepts liés à la formation. Contexte L’approche par compétences de la formation d’infirmier donne une place centrale au stage. Ce temps de formation clinique constitue un élément primordial dans la professionnalisation des étudiants, l’acquisition de compétences et de postures professionnelles. Cela exige un encadrement et un accompagnement de qualité et une professionnalisation de la fonction de tuteur de stage. Objectifs Faire l'état des lieux du tutorat tel qu'il est vécu et pratiqué par les professionnels Réfléchir aux enjeux de l'encadrement et de la relation pédagogique en stage, face à des stagiaires aux parcours variés Interroger le champ d'action et les attentes de chaque lieu de l'alternance en formation : l'IFSI et le stage. Questionner le positionnement du tuteur, en situation de travail réel, sur un plan organisationnel, évaluatif, éthique, professionnel… S’approprier les compétences attendues du tuteur telles que définies par l'instruction N° DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux. Identifier des situations de travail prévalentes afin de construire des situations professionnelles apprenantes. Mettre à jour leurs connaissances le raisonnement clinique, l'analyse de pratique professionnelle (APP) et l’analyse de situation (ANSI). Analyser les outils et moyens d'évaluation des compétences des tuteurs.
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 39 autres
En présentiel
Séances d’analyse d’événements indésirables associés aux soins (EIAS) au cours de Revues de morbi-mortalité (RMM) ou de comités de revue d'expérience (CREX) réalisées en intra dans une structure de soins
DPC
Contexte : Les RMM et CREX sont des outils insuffisamment utilisés par les professionnels de santé dans leur pratique courante pour diminuer les EIAS. Objectifs généraux : Valoriser les séances de RMM/CREX faites dans l’établissement en les rendant éligibles au DPC, et ainsi amener les professionnels de santé à les développer qualitativement et quantitativement. Objectifs spécifiques : Au terme de l'action le professionnel a participé à au moins 3 séances de CREX/RMM dans l'année. Il maîtrise l'outil, en mesure le bénéfice et l'a intégré dans sa pratique clinique. Grandes lignes du contenu Cette action se déroule en intra, dans les établissements de santé qui ont mis en place une politique de gestion des risques et qui veulent inciter leurs professionnels de santé à réaliser régulièrement des CREX/RMM. Elle comporte 4 étapes : 1. PHASE 1 : Vérification des pré requis (cf.ci-dessous le chapitre pré requis pour participer ) 2. PHASE 2 : Campagne d'information sur le projet faite par l'établissement aux professionnels de santé 3. PHASE 3 : Déroulement des RMM/CREX dans l'établissement selon méthode HAS PHASE 4 : Attestation d'action de DPC délivrée individuellement aux professionnels de santé sur présentation des feuilles de présence à au moins 3 séances de RMM / CREX Résumé d’une séance de RMM/CREX : - Suite au signalement d’un EIAS, le Président de la RMM du service de soins organise une séance de RMM : il réunit les professionnels concernés : internes, et éventuellement externes à l’établissement s’il s’agit d'une prise en charge ville-hôpital. - L’analyste fait la recherche bibliographique ,décrit la chronologie des événements et prépare l’analyse de l’EIAS. - En cours de séance, les membres identifient les causes immédiates et profondes de l’EIAS, mesurent les écarts de pratiques par rapport aux référentiels. Ils élaborent un plan d’action (identification des actions, désignation des pilotes, échéances). - Le CGRAS(coordonateur gestion des risques associés aux soins ) et le président assurent le suivi du plan d’action et en mesurent l'efficacité.
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 40 autres
En présentiel
Apprendre à réaliser des Revue de Morbidité et de Mortalité (RMM), Revues des Erreurs Médicamenteuses (REMED) et des Comités de Retour d'Expérience (CREX) pour gérer un Evènement Indésirable Associé aux Soins (EIAS)
DPC
• Contexte de l’action Les RMM/CREX/REMED sont une des méthodes proposées par l’HAS pour gérer les EIAS à posteriori afin d’éviter leur récidive. Mais tous les professionnels de santé n’y sont pas formés. • Grandes lignes de contenu - Apport de connaissances : cette phase apporte les connaissances théoriques requises et les outils organisationnels pour l’identification et le signalement des EIAS et pour la mise en œuvre des RMM/CREX/REMED dans un établissement de santé. - Atelier pratique : le groupe réalise une RMM/CREX/REMED pour mise en pratique immédiate des connaissances acquises. • Objectif général Eviter la récidive d’EIAS par la mise en œuvre des RMM/CREX/REMED par les professionnels de santé • Objectifs spécifiques Au terme de la formation, les participants seront en capacité : - D’identifier et de signaler les EIAS - D’organiser des RMM/CREX/REMED au sein de leur structure - En cours de RMM/CREX/REMED, d’analyser les causes immédiates et profondes des EIAS, de proposer des actions d’amélioration, et d'en suivre la réalisation.
Sage-Femme, Médecin réanimateur, Cardiologue, + 24 autres
En présentiel
Sécurité transfusionnelle et hémovigilance
DPC
La sécurité transfusionnelle est une composante de la sécurité sanitaire. Pour assurer la maitrise des pratiques transfusionnelles, la formation et l’évaluation des connaissances en matière de processus transfusionnelle doivent faire partie de la dynamique de suivi des compétences. Cette journée de formation aborde la thématique de la sécurité transfusionnelle en évoquant l’Identitovigilance et l’hémovigilance. Les objectifs Connaitre l’organisation de la transfusion en France : de la collecte jusqu’à la traçabilité post-don, les différents types de dons et de produits sanguins labiles, leur mode de conservation, leur délivrance Comprendre les bases de l’immunohématologie nécessaire pour transfuser Analyser l’acte transfusionnel : de la commande à la réception, les contrôles de vigilance Comprendre les principes de l’hémovigilance
Gériatre, Médecin Généraliste, Pharmacien
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Bonnes pratiques de prescription médicamenteuse en EHPAD à destination du médecin coordonnateur
DPC
Contexte : Les résidents accueillis en EHPAD sont de plus en plus polypathologiques et fragiles. Le risque de survenue d’événement indésirable médicamenteux y est associé. Un événement indésirable médicamenteux peut résulter d’une erreur médicamenteuse secondaire à la prescription, la délivrance, la dispensation ou l’administration du médicamentent par un professionnel de santé. L’erreur de prescription résulte soit d’une médication supplémentaire non indiquée («overuse »), d’une prescription indiquée mais non conforme (« misuse ») ou d’une prescription manquante qui serait nécessaire pour traiter un patient âgé selon les recommandations actualisées en gériatrie (« underuse ». Pour lutter contre la iatrogénie en EHPAD, la règlementation a prévu la présence de médecins coordonnateurs au sein des structures. Ils ont entre autres missions, celle de conseiller les prescripteurs libéraux et d’actualiser les connaissances de ceux-ci en thérapeutique adaptée à la personne âgée (décret n° 2019-714 du 5 juillet 2019, art. 2.6°, art.2.7°, art.2.8°) (*) Aussi, le médecin coordonnateur en EHPAD doit actualiser régulièrement ses connaissances dans le domaine des bonnes pratiques de prescription pour pouvoir transmettre des informations pertinentes et acquérir les outils pédagogiques pour favoriser l’adhésion des prescripteurs libéraux, ou salariés. Sur le terrain, il est parfois difficile pour le médecin coordonnateur d’accomplir sa mission, du fait de connaissances non actualisées et surtout de difficultés de positionnement auprès de ses confrères prescripteurs. Aux côtés du médecin coordonnateur l’implication du pharmacien d’officine, ou de la PUI est indispensable, pour travailler en synergie avec le médecin coordonnateur. Ceci explique l’ouverture de cette formation aux pharmaciens. (*)Décret n° 2019-714 du 5 juillet 2019 portant réforme du métier de médecin coordonnateur en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, (…)celui-ci est le « garant des bonnes pratiques de prescription ». Art. 2. 6°, il « …Coordonne la réalisation d’une évaluation gériatrique et, dans ce cadre, peut effectuer des propositions diagnostiques et thérapeutiques, médicamenteuses et non médicamenteuses. Il transmet ses conclusions au médecin traitant ou désigné par le patient… » Art.. 2. 7° il, «...Contribue auprès des professionnels de santé exerçant dans l’établissement à la bonne adaptation aux impératifs gériatriques des prescriptions de médicaments et des produits et prestations inscrits sur la liste mentionnée à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale. Il prend en compte les recommandations de bonnes pratiques existantes en lien, le cas échéant, avec le pharmacien chargé de la gérance de la pharmacie à usage intérieur ou le pharmacien mentionné à l’article L. 5126-6 du code de la santé publique… » Art. 8° il «.. Contribue à la mise en œuvre d’une politique de formation et participe aux actions d’information des professionnels de santé exerçant dans l’établissement (…) » Grandes lignes de contenu : Cette formation s’attachera donc à actualiser les connaissances des médecins coordonnateurs et des pharmaciens en matière de prescriptions médicamenteuses adaptées en EHPAD et à leur proposer des outils de communication nécessaires pour favoriser l’adhésion des prescripteurs aux recommandations actualisées. Seront développés dans le cadre de la formation le risque médicamenteux et les bonnes pratiques de prescription en gériatrie par un expert gériatre et un pharmacien, actualisées dans les champs de pathologie les plus fréquents en EHPAD (cardio-gériatrie, psychogériatrie, rhumatologie, urologie …) La présentation d’outils à disposition du médecin coordonnateur sera développée (STOPP-START V2 par exemple), puis seront abordées les modalités de communication vis-à-vis des prescripteurs. Les temps d’échange permettront de répondre aux questions des participants Les ateliers pratiques actifs, proposés à partir de cas cliniques issus de situations réelles, permettront ensuite de réaliser en concertation entre pairs une analyse critique des ordonnances et de formuler ensemble des recommandations au médecin prescripteur, en référence aux bonnes pratiques de prescription en gériatrie. Objectifs généraux : Réduire le risque de iatrogénie médicamenteuse liée à la prescription médicamenteuse inappropriée en EHPAD Objectifs spécifiques Pour que le médecin coordonnateur puisse remplir efficacement sa mission, il faut : 1. actualiser ses connaissances dans le domaine des prescriptions en gériatrie et lui donner les outils nécessaires afin de : -reconnaitre une prescription médicamenteuse à risque de iatrogénie -connaître les recommandations actuelles dans les domaines pathologiques les plus fréquents 2. savoir l’accompagner afin d’améliorer et d’adapter sa communication avec les médecins prescripteurs afin d’obtenir leur adhésion aux modifications nécessaires des pratiques de prescription
Aide-soignant, Sage-Femme, Médecin réanimateur, + 26 autres
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Les directives anticipées: comment en parler?
DPC
Contexte : Depuis le décret n°2016-1067 du 3 août 2016 relatif aux directives anticipées prévues par la loi n°2016-87 du 2 février 2016, les établissements de santé et les établissements médico-sociaux ont l’obligation d’interroger les patients sur l’existence de directives anticipées. Nous constatons sur le terrain que cette question n’est pas souvent posée par les membres de l’équipe soignante par manque de connaissances et par peur de provoquer de l’angoisse chez le patient ou de générer un questionnement auquel ils ne sauraient pas répondre. Contenu : Phase 1 : formation aux connaissances théoriques à partir de la loi du 2 février 2016 Phase 2 : jeux de rôles Objectifs : L’objectif de cette journée de formation est de connaître la législation actuelle concernant les directives anticipées pour pouvoir en parler. Au terme de cette journée, les participants seront en capacité • de connaître ce que sont les directives anticipées selon la législation actuelle • de s’enquérir de la présence de directives anticipées à l’admission du patient • d’apporter une information adaptée au patient et à son entourage • de repérer les mécanismes de défense du professionnel • d’identifier les personnes ressources
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Manipulateur ERM, + 3 autres
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Apprendre à être tuteur de stage : des compétences à la pratique d'accompagnement
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La formation s'inscrit dans la continuité de l'instruction N° DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux. Sa visée est d'actualiser les compétences des tuteurs, au regard de leur pratique d'accompagnement, qui répondent aux exigences du contexte de travail d'aujourd'hui. La formation, qui se veut concrète, propose d'explorer le rôle des tuteurs dans leurs multiples compétences, en mobilisant de façon expérientielle différents concepts liés à la formation. Contexte L’approche par compétences de la formation d’infirmier donne une place centrale au stage. Ce temps de formation clinique constitue un élément primordial dans la professionnalisation des étudiants, l’acquisition de compétences et de postures professionnelles. Cela exige un encadrement et un accompagnement de qualité et une professionnalisation de la fonction de tuteur de stage. Objectifs Faire l'état des lieux du tutorat tel qu'il est vécu et pratiqué par les professionnels Réfléchir aux enjeux de l'encadrement et de la relation pédagogique en stage, face à des stagiaires aux parcours variés Interroger le champ d'action et les attentes de chaque lieu de l'alternance en formation : l'IFSI et le stage. Questionner le positionnement du tuteur, en situation de travail réel, sur un plan organisationnel, évaluatif, éthique, professionnel… S’approprier les compétences attendues du tuteur telles que définies par l'instruction N° DGOS/RH1/2016/330 du 4 novembre 2016 relative à la formation des tuteurs de stages paramédicaux. Identifier des situations de travail prévalentes afin de construire des situations professionnelles apprenantes. Mettre à jour leurs connaissances le raisonnement clinique, l'analyse de pratique professionnelle (APP) et l’analyse de situation (ANSI). Analyser les outils et moyens d'évaluation des compétences des tuteurs.