138 formations DPC IFOL disponibles
Recherches populaires
HypnosePathologies neuro-musculosquelettiquesDouleursSportAffiner votre recherche
Manipulateur ERM, Chirurgien, Gynécologue, + 3 autres
En présentiel
Journée de la Gynécologie oncologique du Centre Oscar Lambret
DPC
La journée permettra de faire le point sur les nouveautés dans les prises en charge des cancers de l’endomètre, du col utérin, des ovaires. Des présentations synthétiques,des dossiers cliniques, des vidéos commentées seront le support de discussions. A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de favoriser la prise en charge des patientes atteintes d’un cancer gynécologique. Pour ce faire, les objectifs pédagogiques sont les suivants : Comprendre et expliquer le domaine de la cancérologie gynécologique. Distinguer les spécificités de la prise en charge chirurgicale en cancer gynécologique: impact de la nouvelle classification FIGO 2021 pour le cancer endomètre Associer les techniques innovantes aux spécificités du Cancer Utérin : traitement adjuvant des N+ aortiques des cancers du col utérin, Favoriser une réflexion sur les pratiques professionnelles pluridisciplinaires dans le domaine du soin. Améliorer la qualité de prise en charge par une réflexion globale du parcours de soins : lien entre oncologie, chirurgie et radiothérapie.
Aide-soignant, Diététicien, Manipulateur ERM, + 23 autres
En présentiel
Revue des Erreurs MEDicamenteuses
DPC
Tout événement relatif à une erreur médicamenteuse est déclarée au Centre Oscar Lambret, sous le couvert d’une charte de non sanction validée par la direction générale. Après priorisation, selon la gravité, ou la fréquence de l’évènement, une REMED est organisée, avec les acteurs concernés par l’événement et le responsable de la sécurisation du circuit du médicament et le coordonnateur risques. Cette REMED, démarche d’analyse collective et rétrospective d’un cas anonymisé d’erreur médicamenteuse, a pour objectif la mise en œuvre et le suivi d’actions d’amélioration de la prise en charge médicamenteuse des patients. Elle a vocation à promouvoir une culture pédagogique et non punitive de l’erreur médicamenteuse. Comme la REMED s’inscrit dans le cadre de la politique de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse de l’établissement, elle contribue à l’évaluation de nos pratiques professionnelles au même titre que les revues de morbidité mortalité (RMM) ou les comités de retour d’expérience (CREX). En pièces seront apportés : - Le règlement intérieur - Le diagramme de criticité - La trame du Compte-rendu vierge d’analyse de l’erreur
Aide-soignant, Manipulateur ERM, Médecin Généraliste, + 4 autres
En présentiel
Psycho-oncologie de l’enfant et de l’adolescent : Aller à la rencontre de l’enfant et l’adolescent gravement malade
DPC
Cette formation propose de sensibiliser les professionnels de santé, de l’éducation et travailleurs sociaux à la psychologie de l’enfant et de l’adolescent atteint de cancer afin de leur permettre d’optimiser leurs actions auprès de cette population. A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable d’adapter sa posture de soignant auprès d’un enfant ou d’un adolescent atteint d’un cancer. Pour ce faire, les objectifs pédagogiques sont les suivants : Identifier et combattre les idées reçues sur l’enfant et l’adolescent atteint de cancer Comprendre la psychologie de l’enfant et de l’adolescent atteint de cancer en adoptant une relation sereine patient/soignant Distinguer les problématiques des enfants et adolescents atteints de cancer Etre acteur dans l’accompagnement de l’enfant et l’adolescent atteint d’un cancer et de sa famille (savoir-être)
Médecin Généraliste, Cancérologue, Infirmier
Mixte
Les soins palliatifs en cancérologie : Approche pluridisciplinaire
DPC
A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de mettre en œuvre des soins palliatifs personnalisés et de qualité auprès d’un patient atteint d’un cancer.
Infirmier
En présentiel
Prise en charge infirmière des patients porteurs de plaies chroniques
DPC
A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable de prendre en charge les patients porteurs de plaies chroniques. Pour ce faire, les objectifs pédagogiques sont les suivants : Améliorer sa prise en charge des patients porteurs de plaies chroniques Connaître les prises en charges spécifiques du Centre Oscar Lambret Participer à uniformiser les pratiques de soins au sein de l’établissement Maîtriser les pratiques (choix des biomatériaux et techniques)
Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
En présentiel
Accompagnement des patients sous Thérapie Anticancéreuse Orale : Des molécules utilisées aux enjeux de l’éducation thérapeutique.
DPC
- Connaître les principes et méthodes en matière d’Education Thérapeutique - Développer les connaissances sur les nouvelles thérapies orales en cancérologie - Etre capable d’appliquer les méthodes d’éducation thérapeutique à la spécificité de l’accompagnement des patients bénéficiant d’un traitement anticancéreux oral.
Aide-soignant, Manipulateur ERM, Masseur-Kinésithérapeute, + 12 autres
En présentiel
Approche de la santé sexuelle des patients atteints d’un cancer
DPC
Mieux comprendre l’impact de la maladie sur la santé sexuelle des patients pour permettre aux soignants d’aborder sereinement avec le patient et son conjoint les difficultés vécues et savoir orienter si nécessaire vers les relais adaptés. La santé sexuelle des patients atteints de cancer a longtemps été le parent pauvre de la prise en charge en oncologie. Les difficultés sexuelles consécutives à la pathologie elle-même, aux effets secondaires et aux séquelles des traitements étaient largement sous-évaluées, voir totalement négligées. L’allongement de la survie des patients soignés pour un cancer, du fait des progrès médicaux, a permis l’émergence de nouvelles problématiques liées à la qualité de vie pendant mais surtout après les traitements anticancéreux. Certes, les individus demandent à être soignés de leur cancer, mais ils veulent aussi garder ou retrouver une vie de qualité pendant et après leur parcours de soins. Or, la santé sexuelle, telle que la définit l’OMS fait partie intégrante de la qualité de vie. Depuis environ dix ans, la problématique « cancer et sexualité » sort de l’ombre et des voix se font entendre : Celles de trop rares patients qui osent parfois interpeller les soignants, les psycho-oncologues, les sexologues, qui à leur tour, relaient la parole des malades. Les études et les initiatives visant à intégrer la prise en compte de la santé sexuelle se sont développées ces dernières années. Dans notre Centre de Lutte Contre le Cancer (CLCC), une collaboration entre psychologues cliniciennes et onco-gynécologue a permis l’élaboration d’un projet visant à améliorer la prise en compte de la santé sexuelle des patients. Une enquête nous a initialement permis d’identifier plus clairement les difficultés de communication soignant-soigné au sujet de la sexualité, d’en cerner les causes et de recenser les besoins et les attentes des soignants pour améliorer leurs prises en charge en matière de santé sexuelle. Elle a surtout mis en évidence que la sexualité, envisagée sous l’angle du cancer, se retrouve empreinte de représentations négatives et pessimistes, qui vont constituer un véritable et redoutable obstacle à toute tentative de dialogue. Au-delà du sentiment d’incompétence évoqué par les soignants, ce sont ces représentations négatives qui entravent massivement l’intérêt pour la santé sexuelle en oncologie. Ces constats ont abouti à la mise en place d’une formation à l’approche de la santé sexuelle. Au-delà des apports théoriques sur les données sexologiques de base et sur l’impact du cancer et des traitements sur la sexualité, cette formation a pour objectif d’amener les participants à prendre conscience de leurs représentations inadéquates pour favoriser un processus de changement et pouvoir ainsi développer un savoir-être et des compétences relationnelles. Lors des consultations d’accompagnement psychologique, les patients s’autorisent à mettre en mots leurs difficultés sexuelles, soit directement, soit de façon détournée en évoquant leur image corporelle ou la relation conjugale. Ils tendent des perches qu’il faut savoir saisir, racontent des rêves évocateurs, abordent les choses de l’intime souvent avec pudeur. Le psychologue ose les questions, reformule les réponses et invite le patient à se raconter, se dévoiler, dans le cadre sécurisant de l’entretien clinique, où finalement, la sexualité n’apparaît plus comme un sujet tabou. Quand on cherche à savoir s’ils ont eu l’occasion d’aborder le thème de la sexualité avec un soignant, un oncologue ou le médecin traitant, la majorité des patients exprime que la question de la sexualité n’est ou n’a jamais été soulevée avec l’équipe soignante. Parallèlement, nos différents échanges informels avec les équipes et les oncologues nous ont permis de constater que les soignants sont tout aussi mal à l’aise que les patients quand il s’agit de la sphère intime. Rien ne paraît plus antinomique que la sexualité et le cancer. Ces deux réalités apparaissent totalement incompatibles. C’est comme si elles ne pouvaient pas coexister. Pour certains, soignant ou patient, la perte de la sexualité sera le prix à payer pour obtenir la guérison, qui est l’objectif principal des soins. Pour d’autres, un corps abîmé, modifié, ne peut plus être désirable ni désirant. A un stade avancé de la maladie, l’idée même d’un souhait de sexualité peut paraître totalement secondaire, superflue voire malsaine. Le patient ne s’autorise pas à évoquer ses inquiétudes et ses questionnements avec les soignants. La crainte du jugement, le risque de choquer son interlocuteur, le tabou de la sexualité constituent de puissants freins à l’expression du vécu, aussi difficile soit-il. De leur côté, les soignants ne savent pas comment s’y prendre pour parler de sexualité et sont tout aussi mal à l’aise que les patients. Partant de ces constats, et afin de mieux comprendre le vécu des soignants, nous avons réalisé fin 2011 une enquête5 auprès des soignants de notre centre, l’objectif étant d’identifier leurs manques et besoins quant à l’abord de la problématique sexuelle avec les patients. Les résultats de cette enquête ont confirmé les difficultés de communication autour de la sexualité pendant et après les traitements du cancer : 74% des soignants rapportent que les patients n’abordent pas ces questions pendant les soins ou les consultations. 85% d’entre eux ne prennent pas l’initiative d’évoquer ce thème avec les patients, précisant qu’ils attendent plutôt que les patients en parlent. Les soignants évoquent également comme raison la gêne occasionnée par ce thème, ou le fait qu’ils ne le ressentent pas comme une priorité. 45% pensent manquer de connaissances médicales spécifiques à la sexualité, notamment en ce qui concerne les répercussions des différents traitements anti cancer (chirurgie, chimiothérapie, …) et la prise en charge des troubles fonctionnels induits par ces traitements. 67% des soignants disent manquer de relais identifiés pour orienter les patients en difficulté, ce qui les freine pour aborder le sujet. 65% des soignants estiment qu’ils se sentiraient plus aptes à aborder la sexualité grâce au développement des connaissances, d’outils et de relais identifiés pour l’orientation des patients. L’analyse qualitative du verbatim, quant à elle, faisait ressortir des représentations liées à la sexualité et des résistances pouvant entraver l’implication des soignants dans le repérage des difficultés sexuelles des patients (ex : « Est-ce un problème si important dans le cadre de la survie du patient face à son cancer ? », « Ce n’est pas la priorité des patients », « Ils sont trop préoccupés par leur maladie », « Je m’occupe de patients dont le cancer ne touche pas un organe sexuel », « Dans mon service, la moyenne d’âge des patients est de 60 ans, alors…»). Ce type de représentation amène les soignants à se forger des idées préconçues qui permettent d’occulter la problématique sexuelle. En effet, les patients âgés ou vivant seuls sont souvent considérés comme non actifs sexuellement ; il semble donc inutile d’aborder l’intimité avec eux. Le fait que le cancer ne touche pas un organe impliqué dans la sexualité, la gravité de la maladie sont autant d’arguments cités pour justifier le caractère secondaire, voire superflu, de la santé sexuelle au cours de la pathologie cancéreuse. De plus, perçu comme trop intime par certains soignants, ce sujet n’est pas considéré comme une composante de la qualité de vie des patients mais relève tout simplement de la vie privée. Cette enquête nous a permis de mieux identifier la façon dont les soignants de notre centre se positionnent face à la problématique « cancer et sexualité » et de mettre à jour certaines représentations négatives, pessimistes, inadéquates qui vont interférer sur les attitudes des soignants et empêcher toute forme d’échange sur ce sujet. Nous n’avons pas trouvé dans la littérature de travaux similaires permettant de comparer les résultats de notre enquête. Par contre, la littérature est unanime quant aux difficultés de communication soignant-soigné sur la sexualité. Les auteurs, qu’ils soient oncologues, psychologues, infirmières, sexologues témoignent du malaise des soignants qui estiment que c’est un sujet délicat et intime, que la sexualité n’est pas la priorité des patients, ni celle des oncologues. Ils ne se sentent pas compétents car non formés à l’abord d’une problématique qui leur semble complexe
ORL, Chirurgien, Urologue, + 18 autres
En présentiel
LE PROCESSUS D’ANNONCE EN CANCEROLOGIE : DE L’ANNONCE DU DIAGNOSTIC A LA PHASE PALLIATIVE
DPC
Cette action visera à optimiser la qualité de l'annonce en cancérologie. Cette action permettra aux médecins de mieux comprendre les réactions lors de l'annonce en cancérologie, afin de mieux adapter sa posture. OBJECTIFS : A l’issue de la formation, le stagiaire sera capable d’adopter une juste posture dans l’annonce d’une mauvaise nouvelle au patient atteint d’un cancer. Pour ce faire, les objectifs pédagogiques sont les suivants : Identifier les spécificités de l’annonce aux différents stades de la maladie Reconnaître les réactions psychologiques et émotionnelles des patients atteint du cancer Intégrer la démarche d’annonce d’une mauvaise nouvelle Développer des capacités comportementales (écoute, empathie, implication émotionnelle…)
Aide-soignant, Infirmier
Mixte
Dispositif d’annonce en cancérologie
DPC
CONTEXTE Depuis 2003 le Plan Cancer a particulièrement souligné la nécessité de faire bénéficier aux patients de meilleures conditions d’annonce de la maladie (mesure 40). La mise en œuvre de cette mesure, sous forme d’un dispositif d’annonce, a un impact organisationnel important. Il prend en compte le temps médical nécessaire à l’annonce du cancer, à l’annonce d’une proposition thérapeutique s’appuyant sur la formalisation et l’avis d’une concertation pluridisciplinaire. Mais également un temps soignant pour le patient (et ses proches), afin de redéfinir avec lui, sa compréhension sur sa maladie, ses traitements, leurs effets indésirables et d’évaluer les besoins des patients avant son traitement spécifique et de l’orienter si besoin. Depuis la mise en œuvre de cette mesure, les consultations d’annonce paramédicales se sont largement développées. Ces consultations nécessitent, une expertise technique et scientifique mais également des compétences relationnelles et organisationnelles. OBJECTIFS : Identifier les problématiques posées dans sa pratique Définir la place du dispositif d’annonce dans le Plan Cancer Définir les objectifs de la consultation infirmière en cancérologie Définir les différents temps du dispositif d’annonce préconisés : un temps médical, un temps d’accompagnement soignant, l’accès à l’équipe des soins de support, un temps d’articulation avec la médecine de ville Etre acteur dans la mise en place de la consultation d'annonce dans son établissement Développer et transmettre des outils : supports d’information proposés favorisant la continuité, la traçabilité et la synthèse de la prise en charge. Développer la pluridisciplinarité dans la prise en charge du patient notamment en soins de support Partager les expériences entre les différents professionnels sur le fonctionnement global du dispositif d’annonce METHODES ET MOYENS PEDAGOGIQUES : Pédagogie active, participative et démonstrative Méthodes ludiques et interactives Exposés théoriques et méthodologiques. Echanges sur les pratiques professionnelles Etudes des cas – Jeux de rôle Plateforme e-learning « Oscar Learning »
Infirmier
En présentiel
Prise en charge des patients stomisés
DPC
Cette action permettra de: Développer les connaissances cliniques pour améliorer la prise en charge des personnes porteuses d’une stomie digestive ou urinaire Maîtriser les pratiques concernant les techniques d’appareillage Uniformiser les soins auprès des personnes stomisées. METHODES ET MOYENS PEDAGOGIQUES Exposés théoriques. – temps dédié Echanges sur les pratiques professionnelles – temps dédié Etudes des cas – temps dédié Audit en amont Clé USB fournie en fin de programme contenant l’ensemble des supports