L’action propose pour que la prescription d’examens complémentaires d’imagerie reste à l’initiative du médecin généraliste prescripteur, en complément de son analyse clinique qu’elle ne doit pas remplacer de repréciser l’anatomie, les règles d’Ottawa et les principes d’un examen clinique du genou, en non présentiel. L’action permet au médecin généraliste participant de s’approprier la pertinence de l’indication de prescription et aussi de non prescription : de l’examen inutile ou délétère, au retard diagnostique induit, au sur- diagnostic ou à une prise en charge inadaptée en rappelant les données de la science, les recommandations de la HAS et des sociétés savantes notamment le Conseil national professionnel de radiologie et imagerie médicale , en fonction des spécificités de la situation clinique de gonalgie rencontrée, en non présentiel. Lors de l’action, la place de l’imagerie chez l’adulte, dans l’exploration d’une gonalgie non traumatique (causes infectieuse, tumorale, rhumatismale, ou douleurs projetées).et dans l’exploration d’une gonalgie après un traumatisme (lésions ménisco-ligamentaires, fractures ou luxations) est présentée avec un algorithme de synthèse globale précisant les indications de l’imagerie, le type d’imagerie à réaliser en 1re et 2ème intention ainsi que les principaux éléments de dialogue avec les patients, en présentiel, par un expert, avec échanges interactifs. De plus, l’action propose au médecin généraliste participant d’optimiser son efficience et améliorer sa juste prescription des examens complémentaires d’imagerie au service du juste soin dans la gonalgie de l’adulte en lui permettant, avec d’évaluer sa pratique professionnelle par un audit clinique sur 10 patients gonalgiques, en rétrospectif avant et après l’action. Objectifs : 1 – Identifier le « bon patient » 2- Identifier le « bon moment » 3- Identifier la « juste examen d’imagerie » 4- Reconnaître « la pertinence de prescription » de l’examen d’imagerie