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Gynécologue, Médecin Généraliste, Infirmier
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Prise en charge de la douleur pelvi-périnéale chronique et endométriose
DPC
Résumé et objectifs : La prise en charge thérapeutique de la douleur pelvi-périnéale chronique (DPPC) est un enjeu de santé publique. Au-delà de l’endométriose, des nombreuses pathologies gynécologiques sont responsables pour les douleurs pelviennes chroniques : vestibulodynie, névralgie pudendale, douleur périnéale lié à l’accouchement, douleur de règles sans endométriose, douleur musculaire périnéale, douleur vésicale, urétrale, côlon irritable, et ainsi de suite. La prévalence de dyspareunie profonde est de 14 000/10000 (Pitts et al., 2008). Les douleurs vulvaires représentent 4000-4700/100 000 femmes. Les douleurs pelviennes chroniques associées à l’endométriose touchent de 15 000 à 21 500/100 000 femmes, taux comparable à la maladie asthmatique (Kennedy, 1999; Mathias et al., 1996). L’endométriose est responsable à son tour pour environ 1/3 des douleurs pelviennes chez la femme (ces chiffres n'incluent pas les syndromes douloureux urétral, vésical et myofascial). L’endométriose touche 1 femme sur 10 et la douleur pelvienne chronique est retrouvé dans 50 à 91% des femmes atteintes d’endométriose. Parmi ces femmes, 40% développent des douleurs pelviennes chroniques avec une altération de leur qualité de vie. La sévérité du retentissement sur la qualité de vie est essentiellement lié à la symptomatologie douloureuse qui provoque des limites physiques, fonctionnelles, sociales, psychologiques, neurologiques et métaboliques. Le retard de diagnostic est fréquent, avec une moyenne de 5 ans d’errance, ce qui représente le nomadisme médical et entraîne de l’anxiété et de l’invalidité aux patientes, aussi bien que de surcoût des soins de santé. Aux États Unis, le syndrome douloureux pelvien représente 2 millions de visites par an et 84 millions de dollars dépensés (Sibert et al., 2010). En effet, uniquement 20% des gynécologues connaissent le diagnostic de vestibulodynie vulvaire provoquée (VVP) et proposent un traitement de première ligne, tandis que cette pathologie touche entre 10 et 16 % des femmes ayant des rapports sexuels (Graziottin & Murina, 2017; Harlow & Stewart, 2003). D'autres 20% des spécialistes connaissent la VVP, mais estiment que ce n’est pas à eux de recommander un traitement. Compte tenu de la méconnaissance et de la détresse dans ce domaine, nous avons souhaité réaliser une formation dédiée aux professionnels de santé afin de pouvoir leur donner des outils nécessaires pour accompagner ces patientes souffrantes de douleurs pelvi-périnéales chroniques et/ou d’endométriose. Objectif général : Les professionnels de santé doivent accompagner et traiter les patients atteints de douleur pelvi-périneale chronique et/ou d’endométriose en leur proposant un parcours adapté et personnalisé dont l’objectif est d’améliorer leur qualité de vie. Ils doivent pouvoir émettre des traitements de première ligne et établir une prise en charge pluridisciplinaire. Ils doivent pouvoir adresser ces patients à des centres de référence en cas de complexité. Objectifs pédagogiques pour toutes les professions : Comprendre les mécanismes des douleurs pelviennes chroniques ; Comprendre les mécanismes de douleur dans l’endométriose ; Savoir examiner un(e) patient(e) douloureux(se) pelvien(ne) chronique ; Savoir identifier les grands syndromes douloureux chroniques ; Apprendre à communiquer, à informer et à renseigner le patient(e) sur cette pathologie, les objectifs et la motivation mutuelle nécessaire ; Savoir être acteur dans un centre d’expertise pluridisciplinaire ou avoir recours à un centre spécialisé ; Proposer des programmes d’autosoins et d’autocompétences dans le but d’autonomiser le patient : programme d’éducation thérapeutique.
Gynécologue, Médecin Généraliste, Infirmier
Mixte
Prise en charge de la douleur pelvi-périnéale chronique et endométriose
DPC
La prise en charge thérapeutique de la douleur pelvi-périnéale chronique (DPPC) est un enjeu de santé publique. Au-delà de l’endométriose, des nombreuses pathologies gynécologiques sont responsables pour les douleurs pelviennes chroniques : vestibulodynie, névralgie pudendale, douleur périnéale lié à l’accouchement, douleur de règles sans endométriose, douleur musculaire périnéale, douleur vésicale, urétrale, côlon irritable, et ainsi de suite. La prévalence de dyspareunie profonde est de 14 000/10000 (Pitts et al., 2008). Les douleurs vulvaires représentent 4000-4700/100 000 femmes. Les douleurs pelviennes chroniques associées à l’endométriose touchent de 15 000 à 21 500/100 000 femmes, taux comparable à la maladie asthmatique (Kennedy, 1999; Mathias et al., 1996). L’endométriose est responsable à son tour pour environ 1/3 des douleurs pelviennes chez la femme (ces chiffres n'incluent pas les syndromes douloureux urétral, vésical et myofascial). L’endométriose touche 1 femme sur 10 et la douleur pelvienne chronique est retrouvé dans 50 à 91% des femmes atteintes d’endométriose. Parmi ces femmes, 40% développent des douleurs pelviennes chroniques avec une altération de leur qualité de vie. La sévérité du retentissement sur la qualité de vie est essentiellement lié à la symptomatologie douloureuse qui provoque des limites physiques, fonctionnelles, sociales, psychologiques, neurologiques et métaboliques. Le retard de diagnostic est fréquent, avec une moyenne de 5 ans d’errance, ce qui représente le nomadisme médical et entraîne de l’anxiété et de l’invalidité aux patientes, aussi bien que de surcoût des soins de santé. Aux États Unis, le syndrome douloureux pelvien représente 2 millions de visites par an et 84 millions de dollars dépensés (Sibert et al., 2010). En effet, uniquement 20% des gynécologues connaissent le diagnostic de vestibulodynie vulvaire provoquée (VVP) et proposent un traitement de première ligne, tandis que cette pathologie touche entre 10 et 16 % des femmes ayant des rapports sexuels (Graziottin & Murina, 2017; Harlow & Stewart, 2003). D'autres 20% des spécialistes connaissent la VVP, mais estiment que ce n’est pas à eux de recommander un traitement. Compte tenu de la méconnaissance et de la détresse dans ce domaine, nous avons souhaité réaliser une formation dédiée aux professionnels de santé afin de pouvoir leur donner des outils nécessaires pour accompagner ces patientes souffrantes de douleurs pelvi-périnéales chroniques et/ou d’endométriose.
Infirmier
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« Soutien à l’allaitement maternel Alimentation du nouveau-né »
DPC
Dans la mesure où l’allaitement maternel est un enjeu de santé publique (mère et enfant), les professionnels habilités à soutenir le projet d’allaitement des mères doivent avoir les connaissances nécessaires et actualisées pour parfaire cette démarche. Une posture adaptée permettra d’accompagner ce couple au-delà des obstacles fréquemment rencontrés au cours de la mise en place de l’allaitement et durant le premier mois. Les « conseils » contradictoires, la diminution du temps de séjour en maternité et le peu de considération sociale envers l’allaitement maternel entraînent des abandons précoces lors du retour à domicile. Outre des compétences pédagogiques à développer, le soutien ne peut se réaliser sans une réactualisation de ses connaissances et une évaluation de sa propre pratique. Objectif général : Développer une pratique professionnelle efficiente autour de l’allaitement maternel pour accompagner au mieux les mères dans leur projet.
Masseur-Kinésithérapeute, Gynécologue, Infirmier
E-learning
Prise en charge de la douleur pelvi-périnéale chronique et endométriose
DPC
La prise en charge thérapeutique de la douleur pelvi-périnéale chronique (DPPC) chez la femme est un enjeu de santé publique. Au-delà de l’endométriose, des nombreuses pathologies gynécologiques sont responsables pour les douleurs pelviennes chroniques : vestibulodynie, névralgie pudendale, douleur périnéale lié à l’accouchement, douleur de règles sans endométriose, douleur musculaire périnéale, douleur vésicale, urétrale, côlon irritable, et ainsi de suite. La prévalence de dyspareunie profonde est de 14 000/10000 (Pitts et al., 2008). Les douleurs vulvaires représentent 4000-4700/100 000 femmes. Les douleurs pelviennes chroniques associées à l’endométriose touchent de 15 000 à 21 500/100 000 femmes, taux comparable à la maladie asthmatique (Kennedy, 1999; Mathias et al., 1996). L’endométriose est responsable à son tour pour environ 1/3 des douleurs pelviennes chez la femme (ces chiffres n'incluent pas les syndromes douloureux urétral, vésical et myofascial). L’endométriose touche 1 femme sur 10 et la douleur pelvienne chronique est retrouvé dans 50 à 91 % des femmes atteintes d’endométriose. Parmi ces femmes, 40 % développent des douleurs pelviennes chroniques avec une altération de leur qualité de vie. La sévérité du retentissement sur la qualité de vie est essentiellement lié à la symptomatologie douloureuse qui provoque des limites physiques, fonctionnelles, sociales, psychologiques, neurologiques et métaboliques. Le retard de diagnostic est fréquent, avec une moyenne de 5 ans d’errance, ce qui représente le nomadisme médical et entraîne de l’anxiété et de l’invalidité aux patientes, aussi bien que de surcoût des soins de santé. Aux États Unis, le syndrome douloureux pelvien représente 2 millions de visites par an et 84 millions de dollars dépensés (Sibert et al., 2010). En effet, uniquement 20% des gynécologues connaissent le diagnostic de vestibulodynie vulvaire provoquée (VVP) et proposent un traitement de première ligne, tandis que cette pathologie touche entre 10 et 16 % des femmes ayant des rapports sexuels (Graziottin & Murina, 2017; Harlow & Stewart, 2003). D'autres 20% des spécialistes connaissent la VVP, mais estiment que ce n’est pas à eux de recommander un traitement. Compte tenu de la méconnaissance et de la détresse dans ce domaine, nous avons souhaité réaliser une formation dédiée aux professionnels de santé afin de pouvoir leur donner des outils nécessaires pour accompagner ces patientes souffrantes de douleurs pelvi-périnéales chroniques et/ou d’endométriose.
Masseur-Kinésithérapeute
E-learning
REEDUCATION DES TROUBLES POSTURAUX ET DE L’EQUILIBRE APRES UN ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL : DE LA PHYSIOPATHOLOGIE A LA REEDUCATION.
DPC
Après un accident vasculaire cérébral, les troubles posturaux et de l’équilibre sont fréquents et impactent fortement le niveau d’activité des patients, mais aussi leur qualité de vie et leur niveau de participation. Le risque de chutes est augmenté après un AVC limitant la station debout et la marche. La rééducation d’un patient post-AVC se focalise souvent pour une part importante dans la prise en charge de ces troubles posturaux et de l’équilibre. Le contrôle postural est une fonction complexe multifactorielle mettant en jeu à la fois les systèmes afférents, effecteurs et centraux. De cette plurimodalité résulte une variété d’approches en rééducation : certaines plus anciennes et traditionnelles et d’autres plus innovantes (réalité virtuelle …). De très travaux de recherche en rééducation neurologique s’intéressent à ces différentes rééducations et permettent de proposer aux patients une rééducation adaptée et la plus efficace possible. Sur la base des pratiques cliniques actuelles et des apports de la littérature scientifique sur ces questions selon une démarche de preuve scientifique, nous aborderons dans cette formation les diverses méthodes de rééducation des troubles posturaux et de l’équilibre. OBJECTIFS - Comprendre la fonction posturale et l’équilibre physiologiques - Comprendre les troubles posturaux et de l’équilibre après un AVC - Évaluer les troubles de la posture et de l’équilibre chez un patient AVC - Connaître les rééducations des déficiences de l’effecteur - Connaître les rééducations des déficiences des fonctions centrales - Personnaliser la rééducation : les différents stades post-AVC, l’intensité et la fréquence de rééducation et la progression
Infirmier
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Le B.S.I : De l’évaluation des besoins au Plan de Soins personnalisés et adaptés vers un exercice pertinent et coordonné
DPC
Les besoins en soins des patients à domicile sont croissants. Pour une prise en charge efficiente et personnalisée, il est indispensable de prendre en compte toutes les dimensions d’une personne : physiologique, psychologique, économique, sociale et culturelle. « L’exercice de la profession d’infirmier comporte l’analyse, l’organisation, la réalisation de soins infirmiers et leur évaluation » d’après le Code de la Santé Publique (Art. R4311-1). Dans le cadre de son rôle propre « l’infirmier a les compétences pour prendre les initiatives et accomplir les soins qu’il juge nécessaires conformément aux dispositions des art. R4311-5, R4311-5-1 et R4311-6. Il identifie les besoins de la personne, pose un diagnostic infirmier, formule des objectifs, met en œuvre les actions appropriées et les évaluent. L’infirmier à domicile constitue un maillon essentiel du maintien à domicile. La Convention Nationale, prévoit dans son dernier avenant la mise en œuvre progressive d’un nouveau dispositif d’évaluation des besoins en soins de patients (à compter du 01er Janvier 2020). Elle renforce la place de l’infirmier libéral et le positionne comme coordinateur de proximité, avec un rôle majeur notamment auprès des patients dépendants souffrant de pathologies chroniques ou étant en situation temporaire de dépendance. Cette formation vous permettra l’appropriation des différents concepts et la diffusion des bonnes pratiques d’évaluation pour une meilleure pertinence des plans de soins, la sécurisation des parcours de soins par la prise en compte des risques, au bénéfice de la qualité des soins. Objectifs Principaux : Ils visent à permettre une meilleure : Efficacité de l’évaluation des besoins du patient par l’infirmier ; De sécuriser les prises en charge par une prise en compte des différents risques ; Une meilleure pertinence des plans de soins pour une efficience des parcours de soins et une coordination efficace Objectifs : Analyse de vos pratiques Comprendre les principes conceptuels et procédures du BSI. Réaliser un bilan de soins infirmiers à partir des items du BSI et le Raisonnement Clinique Infirmier Evaluer les besoins du Patient dans sa globalité (Clinique, Environnementale, ...) Identifier et mesurer la fragilité, les risques et la dépendance des patients Utiliser la grille formalisée d’évaluation et les échelles/ tests proposés dans le BSI Etablir un BSI conformément au cadre conventionnel Elaborer et présenter un Plan de Soins Formaliser une synthèse des soins infirmiers requis et spécifier les observations ou/et les points de vigilance au médecin traitant Evaluer vos acquis et dégager vos axes d’amélioration en matière d’évaluation clinique infirmière Réévaluer l’état du patient pour établir un bilan intermédiaire
Masseur-Kinésithérapeute
E-learning
Prise en charge du rachis pathologique
DPC
Le rachis (ou colonne vertébrale) est composé de vertèbres empilées les unes sur les autres, séparées dans l’ensemble par des disques. Elles sont au nombre de 7 vertèbres cervicales, 12 vertèbres thoraciques (ou dorsales) et 5 vertèbres lombaires. Chaque vertèbre est composée d'un corps, en avant, et d'un arc postérieur en arrière. Entre le corps et l'arc postérieur, passent les éléments nerveux, à savoir la moelle épinière, et les nerfs à destinée de tout le corps. Le disque intervertébral est une structure « élastique », complexe. Il est impliqué dans les propriétés d'amortissement de la colonne. On peut regrouper les pathologies de la colonne vertébrale en trois grands groupes : •Les pathologies dégénératives (hernies discales, etc...) •Les pathologies traumatiques(fractures, luxations, etc...) •Les pathologies tumorales (métastases, etc... ) Dans la population générale française, l'incidence de la lombalgie chronique est en forte progression. C'est la première cause d'arrêt de travail. Il y a 70 % de lombalgies de tout type en France et 25 % des salariés se plaignent de maux de dos. Objectif pédagogique : A partir du bilan et des connaissances du patient, amener une véritable réflexion autour de la remise en activité du rachis pathologique dans ces composantes d’étirements musculaires et somatiques. Objectif de la transformation des pratiques : • Mieux comprendre les principaux mécanismes physiopathologiques • Mieux comprendre les modalités de prises en charge des rachis pathologiques • Prendre en charge le patient atteint de pathologie rachidienne dans sa globalité • Mettre en oeuvre des ateliers adaptés aux différents patients • Mobiliser les différents outils et ateliers à disposition d’aide à la prise en soins du patient atteint de pathologies du rachis
Infirmier
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Plaies et cicatrisation
DPC
Le résumé de la formation : Aujourd’hui en France on estime à 700 000/ an le nombre de patient porteurs de plaies chroniques et complexes. La peau est un organe complexe et le processus de cicatrisation l’est tout autant. La cicatrisation est indispensable car elle permet de rétablir la protection des organes internes face aux aggressions extérieures : mécaniques, chimiques, physiques ou biologiques. De plus la peau joue un rôle essentiel dans la thermo-régulation. Parfois, ce processus de cicatrisation est mis à mal par différents facteurs (malnutrition, infections, certaines maladies métaboliques, atteintes vasculaires ou immunologiques, la sédentarité...). Objectifs généraux : •Répondre aux besoins d’amélioration de la prévention et du traitement des plaies (proposition n°10 de l’assurance maladie, rapport de 2015) par la formation des soignants. Ce rapport propose 2 moyens d’action auxquels cette formation répond par l’apport de connaissances et gestes professionnels : 1. Renforcer les plans de gestion du risque pour la prévention des escarres à l’hôpital : avoir du personnel formé permet d’établir avec professionnalisme et pragmatisme ce type de plan. 2.Améliorer la prescription des dispositifs de prévention par un accompagnement des prescripteurs : des soignants formés à cette spécialité peuvent conseiller avec justesse les prescripteurs grâce à ses connaissances. • Acquérir des savoirs, savoir-faire et savoir-être en termes de prise en charge complète (de la prévention à l’après-cicatrisation) de différentes plaies. • Questionner sa pratique professionnelle pour répondre au mieux aux besoins des patients. • Donner du sens à sa pratique professionnelle. Objectifs spécifiques : • Connaitre la physiologie de la peau et de la cicatrisation • Connaitre les différents types de plaies et la prise en charge qui les incombe. • Adopter les bons gestes professionnels en fonction des plaies et de leurs traitements. • Permettre le travail en équipe pluridisciplinaire. • Améliorer le travail en équipe multidisciplinaire et interdisciplinaire
Infirmier
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Rappels oncologiques et prise en charge du cancer à domicile
DPC
Avec 382 000 nouveaux cas de cancer diagnostiqués par an, et un environ 1,2 million de personnes atteintes de cancer avec une prise en charge qui se centre particulièrement sur le secteur hospitalier, l'intégration des professionnels de ville dévient un point essentiel dans le traitement des patients dans sa globalité. Ainsi le nouveaux Plan Cancer, donne une importance majeur à l’accessibilité aux soins, au dépistage et à l'accompagnement global, pendant et après les traitements. Ces points sont mise à l'honneur à son juste titre, et font partie des constats internationaux, pour cela, les professionnels qui se situent à tous les étapes du parcours de soins, nécessitent être intégrés dans les discussions autour du patient, et pour cela, une connaissance globale des moyens thérapeutiques et des soins de supports est mise à disposition lors de cette formation. Une fois les traitements terminés, les survivants sont presque 2/3 (63,5%) à souffrir des séquelles dues au cancer ou aux traitements, défis encore à soulever par les professionnels de la ville. Objectifs pédagogiques : Dans la continuité et suivi du dernier PLAN CANCER 2021-2031, notamment aux axes II et III : •Développer le dépistage qui doit être à la fois le plus précoce •possible et accessible à tous. Mieux accompagner les patients. Pendant la maladie et après. Cette formation a comme but de permettre aux professionnels de santé qui collaborent dans la prise en charge de ces patients d'avoir une vision et des connaissances actualisées afin d’apporter une expertise à leur savoir-faire et savoir-être qui leur est propre. Les moyens pour développer ces objectifs seront : •Rappeler et approfondir les connaissances de chaque professionnel en oncohématologie chez l’adulte, •Connaître les principales prises en charge des cancers en fonction de son incidence en France, •Accroître les compétences en matière de gestion des effets secondaires, notamment à domicile, •Développer les compétences en matière de soins de supports et de gestion globale du patient oncologique.
Masseur-Kinésithérapeute
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Les contentions souples
DPC
Résumé : Cette formation permet d’acquérir des compétences ainsi que des connaissances en terme de réalisation de contentions souples, qu’elles soient préventives ou curatives. Elle sera composée de rappels anatomiques, biomécaniques et physiologiques, puis de propositions de contention en fonction des pathologies rencontrées. Objectifs pédagogiques Généraux : Mettre à disposition des soignants des outils afin d’optimiser leur pratique en terme de contention. -approfondir les connaissances en médecin du sport -Permettre aux praticiens de pratiquer depuis chez eux des montages spécifiques Spécifiques : -Rappeler l’anatomie -Connaître la biomécanique articulaire, ainsi que les schémas lésionnels. -Découvrir les différents matériaux -Réaliser des montages efficaces -Améliorer la prise en charge des patients