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Prévention et gestion de l’agressivité

DPC

Contexte de l’action Les personnels des structures de soin, que ce soit en hôpital ou en Ehpad, sont régulièrement exposés à différentes formes d’agressivité de la part des patients/résidents, des familles et/ou de leur entourage. Ces tensions et séquences relationnelles éprouvantes et récurrentes impactent fortement les professionnels, qui peuvent, à leur tour, adopter des comportements tendus, conflictuels, favorisant une agressivité, une maltraitance, voire une escalade vers la violence. Toutefois, au-delà de la relation soignant-soigné, il apparaît que les soignants sont bien souvent déstabilisés et stressés par la qualité délétère de certaines relations entre professionnels. Il est donc important d’inviter chacun à revisiter sa posture professionnelle et sa part de responsabilité dans les échanges avec tous les individus, bénéficiaires de soin ou pas, afin de garantir des prises en soin de qualité et une ambiance professionnelle apaisée pour un travail d’équipe cohérent et adapté. Pour cela, la prise de recul et l’apport d’outils pour pouvoir réguler ces situations et prendre soin de soi est une nécessité. Grandes lignes de contenu Définir ce que sont l’incivilité, l’hostilité, l’agressivité, la violence. Reconnaître l’ensemble des manifestations de l’agressivité et les différentes formes qu’elle peut prendre dans son expression. Assumer sa propre agressivité et ses comportements inadaptés. Revisiter sa façon d’être à l’autre pour prévenir tout débordement relationnel. Expérimenter, au travers de méthodes actives, d’outils de communication comment pouvoir apaiser des situations de forte tension exprimées par les participants. Identifier et communiquer sur les événements indésirables pour qu’ils soient pris en compte, afin d’éviter qu’ils se reproduisent. Cette action de formation est proposée sur 2 jours consécutifs. Quand elle est demandée sur 2,5 ou 3 jours, elle intègre, notamment en plus, la notion de stress et de ses conséquences. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir aux résidents et aux familles un environnement plus apaisé et sécurisant • Participer à améliorer la qualité de vie au travail • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • Se sensibiliser aux mécanismes de l’agressivité dans l’exercice de sa fonction professionnelle, notamment dans la relation soignant/soigné • Réfréner son propre potentiel agressif • Pouvoir faire face aux situations d’agressivité • Utiliser des outils d’apaisement de l’agressivité adaptés à l’interlocuteur : patient/résident, famille, collègue…

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, + 4 autres


En présentiel

Apaiser la douleur et accompagner la fin de vie

DPC

Contexte de l’action Très exposés à la maladie grave, à la détresse, à la souffrance, à la douleur et à la mort, les soignants doivent faire face à des charges émotionnelles intenses. Dans le cadre des soins palliatifs, ils sont confrontés de façon récurrente, notamment en Ehpad, à la fin de vie. Ils se retrouvent bien souvent démunis face aux mourants, aux familles ou aux proches, ne sachant pas vraiment quelle attitude adopter au niveau relationnel et comportemental. Que les décès se produisent de manière successive ou de façon sporadique, qu’ils soient prévisibles ou pas, les professionnels ne bénéficient pas souvent d’espaces de parole pour s’interroger et faire la synthèse des accompagnements qui ont été réalisés, des difficultés rencontrées ou des dysfonctionnements qui ont surgi. Il est donc important de leur donner des outils pour faire face aux difficultés relationnelles et émotionnelles rencontrées au quotidien dans ces accompagnements. Ceci pour permettre à ces professionnels d’opérer les changements nécessaires pour répondre aux obligations techniques et humaines du cadre de la fin de vie. Grandes lignes de contenu Notre intention pour cette formation est que la législation en vigueur pour la prise en soin de la personne en fin de vie soit appliquée et respectée, notamment concernant la gestion de la douleur. Il nous importe d’insister sur la part de responsabilité de chacun, quant à son implication sur une dimension technique et humaine dans sa pratique professionnelle. La mort de l’autre, quand elle s’impose au soignant qui accompagne, le confronte à sa propre finitude. Cette thématique vient donc, profondément, nous questionner à un niveau individuel et collectif. Qu’est-ce que la fin de vie pour celui qui va mourir ? Pour ses proches ? Pour les soignants ? Que faire de la peur de la mort, des fantasmes qu’elle véhicule, des émotions qu’elle suscite, des chagrins qu’elle provoque ? Parler de la mort, de ceux que nous accompagnons au quotidien, de ceux qu’on aime et de sa propre mort, reste un sujet très difficile. Aussi, comment souhaitons-nous faire vivre ces fins de vie ? Comment les soignants peuvent-ils aider les familles et les proches qui souffrent ? Comment se sentent les soignants face à la fin de vie, à la mort ? Accompagner les fins de vie avec qualité est à notre portée. En effet, l’envie, la volonté, l’implication, la remise en question des pratiques existantes ne demandent pas forcément de moyens supplémentaires… Car chacun(e) peut, à sa mesure, donner de sa pleine humanité. La fin de vie est le moment où un soin professionnel peut devenir le geste le plus humain qui soit car porteur de bien plus qu’un simple acte de soin. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir à leurs soignants la possibilité d’optimiser leurs compétences pour mieux accompagner le patient/résident et ses proches lors d’une fin de vie. • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • S’exprimer sur le thème de la mort et de ses représentations • Connaître le cadre légal concernant la fin de vie en France • Etre au fait des définitions et concepts fondamentaux de la démarche palliative • Comprendre le mécanisme de la douleur : rappel physiologique succint pour les AS et clarification pour les ASHFF • S’inscrire dans la prise en charge d’une personne douloureuse, notamment dans le cadre d’une fin de vie (écouter, observer, transmettre, utiliser les outils d’évaluation, utiliser les techniques d’apaisement : balnéo, massages, relaxation...) • Offrir une prise en soin centrée sur la personne en fin de vie dans son contexte familial, social et culturel • Pouvoir accompagner une famille ou des proches dans leur détresse • Assurer une qualité optimale des soins pour accompagner avec justesse la vie jusqu’à la mort • Mesurer l’importance de travailler en équipe

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Prévention et gestion de l’agressivité

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Contexte de l’action Les personnels des structures de soin, que ce soit en hôpital ou en Ehpad, sont régulièrement exposés à différentes formes d’agressivité de la part des patients/résidents, des familles et/ou de leur entourage. Ces tensions et séquences relationnelles éprouvantes et récurrentes impactent fortement les professionnels, qui peuvent, à leur tour, adopter des comportements tendus, conflictuels, favorisant une agressivité, une maltraitance, voire une escalade vers la violence. Toutefois, au-delà de la relation soignant-soigné, il apparaît que les soignants sont bien souvent déstabilisés et stressés par la qualité délétère de certaines relations entre professionnels. Il est donc important d’inviter chacun à revisiter sa posture professionnelle et sa part de responsabilité dans les échanges avec tous les individus, bénéficiaires de soin ou pas, afin de garantir des prises en soin de qualité et une ambiance professionnelle apaisée pour un travail d’équipe cohérent et adapté. Pour cela, la prise de recul et l’apport d’outils pour pouvoir réguler ces situations et prendre soin de soi est une nécessité. Grandes lignes de contenu Définir ce que sont l’incivilité, l’hostilité, l’agressivité, la violence. Reconnaître l’ensemble des manifestations de l’agressivité et les différentes formes qu’elle peut prendre dans son expression. Assumer sa propre agressivité et ses comportements inadaptés. Revisiter sa façon d’être à l’autre pour prévenir tout débordement relationnel. Expérimenter, au travers de méthodes actives, d’outils de communication comment pouvoir apaiser des situations de forte tension exprimées par les participants. Identifier et communiquer sur les événements indésirables pour qu’ils soient pris en compte, afin d’éviter qu’ils se reproduisent. Cette action de formation est proposée sur 2 jours consécutifs. Quand elle est demandée sur 2,5 ou 3 jours, elle intègre, notamment en plus, la notion de stress et de ses conséquences. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir aux résidents et aux familles un environnement plus apaisé et sécurisant • Participer à améliorer la qualité de vie au travail • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • Se sensibiliser aux mécanismes de l’agressivité dans l’exercice de sa fonction professionnelle, notamment dans la relation soignant/soigné • Réfréner son propre potentiel agressif • Pouvoir faire face aux situations d’agressivité • Utiliser des outils d’apaisement de l’agressivité adaptés à l’interlocuteur : patient/résident, famille, collègue…

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Apaiser la douleur et accompagner la fin de vie

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Contexte de l’action Très exposés à la maladie grave, à la détresse, à la souffrance, à la douleur et à la mort, les soignants doivent faire face à des charges émotionnelles intenses. Dans le cadre des soins palliatifs, ils sont confrontés de façon récurrente, notamment en Ehpad, à la fin de vie. Ils se retrouvent bien souvent démunis face aux mourants, aux familles ou aux proches, ne sachant pas vraiment quelle attitude adopter au niveau relationnel et comportemental. Que les décès se produisent de manière successive ou de façon sporadique, qu’ils soient prévisibles ou pas, les professionnels ne bénéficient pas souvent d’espaces de parole pour s’interroger et faire la synthèse des accompagnements qui ont été réalisés, des difficultés rencontrées ou des dysfonctionnements qui ont surgi. Il est donc important de leur donner des outils pour faire face aux difficultés relationnelles et émotionnelles rencontrées au quotidien dans ces accompagnements. Ceci pour permettre à ces professionnels d’opérer les changements nécessaires pour répondre aux obligations techniques et humaines du cadre de la fin de vie. Grandes lignes de contenu Notre intention pour cette formation est que la législation en vigueur pour la prise en soin de la personne en fin de vie soit appliquée et respectée, notamment concernant la gestion de la douleur. Il nous importe d’insister sur la part de responsabilité de chacun, quant à son implication sur une dimension technique et humaine dans sa pratique professionnelle. La mort de l’autre, quand elle s’impose au soignant qui accompagne, le confronte à sa propre finitude. Cette thématique vient donc, profondément, nous questionner à un niveau individuel et collectif. Qu’est-ce que la fin de vie pour celui qui va mourir ? Pour ses proches ? Pour les soignants ? Que faire de la peur de la mort, des fantasmes qu’elle véhicule, des émotions qu’elle suscite, des chagrins qu’elle provoque ? Parler de la mort, de ceux que nous accompagnons au quotidien, de ceux qu’on aime et de sa propre mort, reste un sujet très difficile. Aussi, comment souhaitons-nous faire vivre ces fins de vie ? Comment les soignants peuvent-ils aider les familles et les proches qui souffrent ? Comment se sentent les soignants face à la fin de vie, à la mort ? Accompagner les fins de vie avec qualité est à notre portée. En effet, l’envie, la volonté, l’implication, la remise en question des pratiques existantes ne demandent pas forcément de moyens supplémentaires… Car chacun(e) peut, à sa mesure, donner de sa pleine humanité. La fin de vie est le moment où un soin professionnel peut devenir le geste le plus humain qui soit car porteur de bien plus qu’un simple acte de soin. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir à leurs soignants la possibilité d’optimiser leurs compétences pour mieux accompagner le patient/résident et ses proches lors d’une fin de vie. • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • S’exprimer sur le thème de la mort et de ses représentations • Connaître le cadre légal concernant la fin de vie en France • Etre au fait des définitions et concepts fondamentaux de la démarche palliative • Comprendre le mécanisme de la douleur : rappel physiologique succint pour les AS et clarification pour les ASHFF • S’inscrire dans la prise en charge d’une personne douloureuse, notamment dans le cadre d’une fin de vie (écouter, observer, transmettre, utiliser les outils d’évaluation, utiliser les techniques d’apaisement : balnéo, massages, relaxation...) • Offrir une prise en soin centrée sur la personne en fin de vie dans son contexte familial, social et culturel • Pouvoir accompagner une famille ou des proches dans leur détresse • Assurer une qualité optimale des soins pour accompagner avec justesse la vie jusqu’à la mort • Mesurer l’importance de travailler en équipe

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Contexte de l’action Les personnels des structures de soin, que ce soit en hôpital ou en Ehpad, sont régulièrement exposés à différentes formes d’agressivité de la part des patients/résidents, des familles et/ou de leur entourage. Ces tensions et séquences relationnelles éprouvantes et récurrentes impactent fortement les professionnels, qui peuvent, à leur tour, adopter des comportements tendus, conflictuels, favorisant une agressivité, une maltraitance, voire une escalade vers la violence. Toutefois, au-delà de la relation soignant-soigné, il apparaît que les soignants sont bien souvent déstabilisés et stressés par la qualité délétère de certaines relations entre professionnels. Il est donc important d’inviter chacun à revisiter sa posture professionnelle et sa part de responsabilité dans les échanges avec tous les individus, bénéficiaires de soin ou pas, afin de garantir des prises en soin de qualité et une ambiance professionnelle apaisée pour un travail d’équipe cohérent et adapté. Pour cela, la prise de recul et l’apport d’outils pour pouvoir réguler ces situations et prendre soin de soi est une nécessité. Grandes lignes de contenu Définir ce que sont l’incivilité, l’hostilité, l’agressivité, la violence. Reconnaître l’ensemble des manifestations de l’agressivité et les différentes formes qu’elle peut prendre dans son expression. Assumer sa propre agressivité et ses comportements inadaptés. Revisiter sa façon d’être à l’autre pour prévenir tout débordement relationnel. Expérimenter, au travers de méthodes actives, d’outils de communication comment pouvoir apaiser des situations de forte tension exprimées par les participants. Identifier et communiquer sur les événements indésirables pour qu’ils soient pris en compte, afin d’éviter qu’ils se reproduisent. Cette action de formation est proposée sur 2 jours consécutifs. Quand elle est demandée sur 2,5 ou 3 jours, elle intègre, notamment en plus, la notion de stress et de ses conséquences. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir aux résidents et aux familles un environnement plus apaisé et sécurisant • Participer à améliorer la qualité de vie au travail • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • Se sensibiliser aux mécanismes de l’agressivité dans l’exercice de sa fonction professionnelle, notamment dans la relation soignant/soigné • Réfréner son propre potentiel agressif • Pouvoir faire face aux situations d’agressivité • Utiliser des outils d’apaisement de l’agressivité adaptés à l’interlocuteur : patient/résident, famille, collègue…

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Apaiser la douleur et accompagner la fin de vie

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Contexte de l’action Très exposés à la maladie grave, à la détresse, à la souffrance, à la douleur et à la mort, les soignants doivent faire face à des charges émotionnelles intenses. Dans le cadre des soins palliatifs, ils sont confrontés de façon récurrente, notamment en Ehpad, à la fin de vie. Ils se retrouvent bien souvent démunis face aux mourants, aux familles ou aux proches, ne sachant pas vraiment quelle attitude adopter au niveau relationnel et comportemental. Que les décès se produisent de manière successive ou de façon sporadique, qu’ils soient prévisibles ou pas, les professionnels ne bénéficient pas souvent d’espaces de parole pour s’interroger et faire la synthèse des accompagnements qui ont été réalisés, des difficultés rencontrées ou des dysfonctionnements qui ont surgi. Il est donc important de leur donner des outils pour faire face aux difficultés relationnelles et émotionnelles rencontrées au quotidien dans ces accompagnements. Ceci pour permettre à ces professionnels d’opérer les changements nécessaires pour répondre aux obligations techniques et humaines du cadre de la fin de vie. Grandes lignes de contenu Notre intention pour cette formation est que la législation en vigueur pour la prise en soin de la personne en fin de vie soit appliquée et respectée, notamment concernant la gestion de la douleur. Il nous importe d’insister sur la part de responsabilité de chacun, quant à son implication sur une dimension technique et humaine dans sa pratique professionnelle. La mort de l’autre, quand elle s’impose au soignant qui accompagne, le confronte à sa propre finitude. Cette thématique vient donc, profondément, nous questionner à un niveau individuel et collectif. Qu’est-ce que la fin de vie pour celui qui va mourir ? Pour ses proches ? Pour les soignants ? Que faire de la peur de la mort, des fantasmes qu’elle véhicule, des émotions qu’elle suscite, des chagrins qu’elle provoque ? Parler de la mort, de ceux que nous accompagnons au quotidien, de ceux qu’on aime et de sa propre mort, reste un sujet très difficile. Aussi, comment souhaitons-nous faire vivre ces fins de vie ? Comment les soignants peuvent-ils aider les familles et les proches qui souffrent ? Comment se sentent les soignants face à la fin de vie, à la mort ? Accompagner les fins de vie avec qualité est à notre portée. En effet, l’envie, la volonté, l’implication, la remise en question des pratiques existantes ne demandent pas forcément de moyens supplémentaires… Car chacun(e) peut, à sa mesure, donner de sa pleine humanité. La fin de vie est le moment où un soin professionnel peut devenir le geste le plus humain qui soit car porteur de bien plus qu’un simple acte de soin. Objectifs généraux et spécifiques Pour la structure : • Offrir à leurs soignants la possibilité d’optimiser leurs compétences pour mieux accompagner le patient/résident et ses proches lors d’une fin de vie. • Prendre soin de ceux qui soignent Pour les participant(e)s : • S’exprimer sur le thème de la mort et de ses représentations • Connaître le cadre légal concernant la fin de vie en France • Etre au fait des définitions et concepts fondamentaux de la démarche palliative • Comprendre le mécanisme de la douleur : rappel physiologique succint pour les AS et clarification pour les ASHFF • S’inscrire dans la prise en charge d’une personne douloureuse, notamment dans le cadre d’une fin de vie (écouter, observer, transmettre, utiliser les outils d’évaluation, utiliser les techniques d’apaisement : balnéo, massages, relaxation...) • Offrir une prise en soin centrée sur la personne en fin de vie dans son contexte familial, social et culturel • Pouvoir accompagner une famille ou des proches dans leur détresse • Assurer une qualité optimale des soins pour accompagner avec justesse la vie jusqu’à la mort • Mesurer l’importance de travailler en équipe