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L’infirmière face aux conduites addictives (programme intégré)

DPC

Le tabac et l’alcool sont les deux premières causes de mortalité évitable en France en 2021. La consommation de tabac et la consommation d’alcool sont des déterminants majeurs en santé. Chaque année, 75 000 décès sont dus au tabac et 41 000 décès à l’alcool. Des efforts sont à poursuivre en population générale comme en population spécifique, notamment chez les femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse dans le cadre du repérage des vulnérabilités médico- psychosociales pendant la grossesse, dans la mesure où la consommation d’alcool au cours de la grossesse est considérée comme la première cause de handicap non génétique à la naissance. En ce qui concerne les substances illicites, le nombre d’usagers réguliers de cannabis est estimé à 1.5 million dont 900 000 usagers quotidiens. L’usage problématique des autres drogues illicites concerne environ 350 000 personnes, dont environ 110 000 usagers pratiquant l’injection intraveineuse. La cocaïne/crack est le second produit illicite le plus consommé après le cannabis, avec des niveaux de consommation bien inférieurs mais en hausse chez les adultes (1.6% des 18-64 ans soit près de 624 000 personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne ou du crack dans l’année), des usages qui se diffusent sur le territoire, dans un nombre croissant de catégories sociales, notamment du fait de la baisse du prix ces dernières années, et se traduisent par une hausse marquée du recours aux soins et dispositifs médico sociaux. Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont en effet été multipliées par 6 entre 2010 et 2016 (drogues.gouv.fr). La consommation régulière de MDMA/ecstasy est difficile à évaluer mais le nombre d'expérimentateurs est voisin de celui concernant la cocaïne/crack (1,9 millions). Cette consommation est le plus souvent utilisée en contexte festif, de même que les nouvelles drogues de synthèse (principalement cathinones de synthèse). La poly-addiction, simultanée ou successivement, est très répandue, générant une complexité des prises en charge. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : Définir l’addiction et les différents termes liés aux conduites addictives Cerner les enjeux des pratiques addictives en termes de risque individuel et collectif, incidence sur la santé publique Actualiser les connaissances sur les conduites addictives et les différentes formes Élargir et approfondir les capacités cliniques des participants dans les domaines préventif, curatif et de réhabilitation concernant ces patients Développer les techniques de prise en charge pour les soignants impliqués dans une relation de soins aux toxicodépendants Appréhender les plans nationaux et régionaux de lutte contre la drogue et la prévention des dépendances, les experts de terrain, les actions engagées par les institutions spécialisées et les associations Le tabac et l’alcool sont les deux premières causes de mortalité évitable en France en 2021. La consommation de tabac et la consommation d’alcool sont des déterminants majeurs en santé. Chaque année, 75 000 décès sont dus au tabac et 41 000 décès à l’alcool. Des efforts sont à poursuivre en population générale comme en population spécifique, notamment chez les femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse dans le cadre du repérage des vulnérabilités médico- psychosociales pendant la grossesse, dans la mesure où la consommation d’alcool au cours de la grossesse est considérée comme la première cause de handicap non génétique à la naissance. En ce qui concerne les substances illicites, le nombre d’usagers réguliers de cannabis est estimé à 1.5 million dont 900 000 usagers quotidiens. L’usage problématique des autres drogues illicites concerne environ 350 000 personnes, dont environ 110 000 usagers pratiquant l’injection intraveineuse. La cocaïne/crack est le second produit illicite le plus consommé après le cannabis, avec des niveaux de consommation bien inférieurs mais en hausse chez les adultes (1.6% des 18-64 ans soit près de 624 000 personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne ou du crack dans l’année), des usages qui se diffusent sur le territoire, dans un nombre croissant de catégories sociales, notamment du fait de la baisse du prix ces dernières années, et se traduisent par une hausse marquée du recours aux soins et dispositifs médico sociaux. Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont en effet été multipliées par 6 entre 2010 et 2016 (drogues.gouv.fr). La consommation régulière de MDMA/ecstasy est difficile à évaluer mais le nombre d'expérimentateurs est voisin de celui concernant la cocaïne/crack (1,9 millions). Cette consommation est le plus souvent utilisée en contexte festif, de même que les nouvelles drogues de synthèse (principalement cathinones de synthèse). La poly-addiction, simultanée ou successivement, est très répandue, générant une complexité des prises en charge. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : Définir l’addiction et les différents termes liés aux conduites addictives Cerner les enjeux des pratiques addictives en termes de risque individuel et collectif, incidence sur la santé publique Actualiser les connaissances sur les conduites addictives et les différentes formes Élargir et approfondir les capacités cliniques des participants dans les domaines préventif, curatif et de réhabilitation concernant ces patients Développer les techniques de prise en charge pour les soignants impliqués dans une relation de soins aux toxicodépendants Appréhender les plans nationaux et régionaux de lutte contre la drogue et la prévention des dépendances, les experts de terrain, les actions engagées par les institutions spécialisées et les associations Le tabac et l’alcool sont les deux premières causes de mortalité évitable en France en 2021. La consommation de tabac et la consommation d’alcool sont des déterminants majeurs en santé. Chaque année, 75 000 décès sont dus au tabac et 41 000 décès à l’alcool. Des efforts sont à poursuivre en population générale comme en population spécifique, notamment chez les femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse dans le cadre du repérage des vulnérabilités médico- psychosociales pendant la grossesse, dans la mesure où la consommation d’alcool au cours de la grossesse est considérée comme la première cause de handicap non génétique à la naissance. En ce qui concerne les substances illicites, le nombre d’usagers réguliers de cannabis est estimé à 1.5 million dont 900 000 usagers quotidiens. L’usage problématique des autres drogues illicites concerne environ 350 000 personnes, dont environ 110 000 usagers pratiquant l’injection intraveineuse. La cocaïne/crack est le second produit illicite le plus consommé après le cannabis, avec des niveaux de consommation bien inférieurs mais en hausse chez les adultes (1.6% des 18-64 ans soit près de 624 000 personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne ou du crack dans l’année), des usages qui se diffusent sur le territoire, dans un nombre croissant de catégories sociales, notamment du fait de la baisse du prix ces dernières années, et se traduisent par une hausse marquée du recours aux soins et dispositifs médico sociaux. Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont en effet été multipliées par 6 entre 2010 et 2016 (drogues.gouv.fr). Le tabac et l’alcool sont les deux premières causes de mortalité évitable en France en 2021. La consommation de tabac et la consommation d’alcool sont des déterminants majeurs en santé. Chaque année, 75 000 décès sont dus au tabac et 41 000 décès à l’alcool. Des efforts sont à poursuivre en population générale comme en population spécifique, notamment chez les femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse dans le cadre du repérage des vulnérabilités médico- psychosociales pendant la grossesse, dans la mesure où la consommation d’alcool au cours de la grossesse est considérée comme la première cause de handicap non génétique à la naissance. En ce qui concerne les substances illicites, le nombre d’usagers réguliers de cannabis est estimé à 1.5 million dont 900 000 usagers quotidiens. L’usage problématique des autres drogues illicites concerne environ 350 000 personnes, dont environ 110 000 usagers pratiquant l’injection intraveineuse. La cocaïne/crack est le second produit illicite le plus consommé après le cannabis, avec des niveaux de consommation bien inférieurs mais en hausse chez les adultes (1.6% des 18-64 ans soit près de 624 000 personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne ou du crack dans l’année), des usages qui se diffusent sur le territoire, dans un nombre croissant de catégories sociales, notamment du fait de la baisse du prix ces dernières années, et se traduisent par une hausse marquée du recours aux soins et dispositifs médico sociaux. Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont en effet été multipliées par 6 entre 2010 et 2016 (drogues.gouv.fr). Le tabac et l’alcool sont les deux premières causes de mortalité évitable en France en 2021. La consommation de tabac et la consommation d’alcool sont des déterminants majeurs en santé. Chaque année, 75 000 décès sont dus au tabac et 41 000 décès à l’alcool. Des efforts sont à poursuivre en population générale comme en population spécifique, notamment chez les femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse dans le cadre du repérage des vulnérabilités médico- psychosociales pendant la grossesse, dans la mesure où la consommation d’alcool au cours de la grossesse est considérée comme la première cause de handicap non génétique à la naissance. En ce qui concerne les substances illicites, le nombre d’usagers réguliers de cannabis est estimé à 1.5 million dont 900 000 usagers quotidiens. L’usage problématique des autres drogues illicites concerne environ 350 000 personnes, dont environ 110 000 usagers pratiquant l’injection intraveineuse. La cocaïne/crack est le second produit illicite le plus consommé après le cannabis, avec des niveaux de consommation bien inférieurs mais en hausse chez les adultes (1.6% des 18-64 ans soit près de 624 000 personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne ou du crack dans l’année), des usages qui se diffusent sur le territoire, dans un nombre croissant de catégories sociales, notamment du fait de la baisse du prix ces dernières années, et se traduisent par une hausse marquée du recours aux soins et dispositifs médico sociaux. Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont en effet été multipliées par 6 entre 2010 et 2016 (drogues.gouv.fr). La consommation régulière de MDMA/ecstasy est difficile à évaluer mais le nombre d'expérimentateurs est voisin de celui concernant la cocaïne/crack (1,9 millions). Cette consommation est le plus souvent utilisée en contexte festif, de même que les nouvelles drogues de synthèse (principalement cathinones de synthèse). La poly-addiction, simultanée ou successivement, est très répandue, générant une complexité des prises en charge. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : Définir l’addiction et les différents termes liés aux conduites addictives Cerner les enjeux des pratiques addictives en termes de risque individuel et collectif, incidence sur la santé publique Actualiser les connaissances sur les conduites addictives et les différentes formes Élargir et approfondir les capacités cliniques des participants dans les domaines préventif, curatif et de réhabilitation concernant ces patients Développer les techniques de prise en charge pour les soignants impliqués dans une relation de soins aux toxicodépendants Appréhender les plans nationaux et régionaux de lutte contre la drogue et la prévention des dépendances, les experts de terrain, les actions engagées par les institutions spécialisées et les associations La consommation régulière de MDMA/ecstasy est difficile à évaluer mais le nombre d'expérimentateurs est voisin de celui concernant la cocaïne/crack (1,9 millions). Cette consommation est le plus souvent utilisée en contexte festif, de même que les nouvelles drogues de synthèse (principalement cathinones de synthèse). La poly-addiction, simultanée ou successivement, est très répandue, générant une complexité des prises en charge. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : Définir l’addiction et les différents termes liés aux conduites addictives Cerner les enjeux des pratiques addictives en termes de risque individuel et collectif, incidence sur la santé publique Actualiser les connaissances sur les conduites addictives et les différentes formes Élargir et approfondir les capacités cliniques des participants dans les domaines préventif, curatif et de réhabilitation concernant ces patients Développer les techniques de prise en charge pour les soignants impliqués dans une relation de soins aux toxicodépendants Appréhender les plans nationaux et régionaux de lutte contre la drogue et la prévention des dépendances, les experts de terrain, les actions engagées par les institutions spécialisées et les associations

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Mixte

Raisonnement clinique et bilan de soins infirmiers (BSI) (Classe virtuelle)

DPC

La maladie chronique confronte les patients à une surveillance quotidienne de leur état de santé, à la nécessité de faire face aux crises, de prendre régulièrement des traitements et savoir prendre des initiatives, de s’adapter en permanence à la situation et à l’évolution de la maladie, de trouver un équilibre, d’associer les parents d’un enfant malade, les proches, à cette gestion quotidienne. La gestion quotidienne d’une ou plusieurs maladies chroniques demande au patient des changements ou des adaptations importantes qui peuvent être difficiles à mettre en œuvre sans acquisition de compétences. L’HAS définie qu’un soin est qualifié de pertinent lorsqu’il est dispensé en adéquation avec les besoins du patient, conformément aux données actuelles de la science, aux recommandations de la haute autorité de santé et des sociétés savantes, nationales et internationales. La loi HPST du 21 juillet 2009, à l’article L. 1161-1 du code de la santé publique : « L’éducation thérapeutique s’inscrit dans le parcours de soins du patient. Elle a pour objectif de rendre le patient plus autonome en facilitant son adhésion aux traitements prescrits et en améliorant sa qualité ́ de vie. » L’ANAES définit dans son guide de Mai 2004, « élaboration d’une démarche de soins type à domicile » que : Le maintien à domicile répond à un choix de la personne et de son entourage et nécessite l’intervention coordonnée de plusieurs professionnels. Ce choix doit être soutenu à condition de garantir une réelle qualité ́ de prise en charge à domicile ainsi que des conditions de sécurité ́ , d’hygiène et de confort, satisfaisantes au quotidien. Cette action pédagogique aborde les aspects multi professionnels de la prise en charge et englobe la démarche clinique infirmière. Ce projet de soins peut s’ouvrir aux professionnels du domaine médico- social, social et éducatif. C’est le cas lorsque la situation de dépendance ou de handicap nécessite des interventions de soins et de rééducation. Les réponses apportées à la prise en charge des personnes en situation de dépendance reposent sur une évaluation concertée de leur situation. Elles ne se résument pas à la juxtaposition des interventions des différents professionnels et des aides existantes, mais imposent une coordination. La finalité étant la réalisation à domicile des séances de soins infirmiers, la mise en œuvre d’un programme d’aide personnalisé, ou des activités de coordination afin d’améliorer la pertinence des soins et l’éducation à la santé. Cette action mono professionnelle a pour objectif de faire évoluer les pratiques professionnelles dans la prise en charge du patient à domicile en perte d’autonomie ou de handicap, par le repérage et la prévention de celui-ci. De vous sensibiliser à une pratique réflexive aux projets de soins, à la démarche clinique infirmier (Ière) comme des outils de concertation et de coordination avec les différents professionnels intervenant auprès du patient afin de favoriser la structuration du parcours de soins, le maintien à domicile, la pertinence des soins et de vous sensibiliser à la promotion et l’éducation à la santé. L’INPES définie que l’éducation thérapeutique du patient (ETP) vise à aider les patients à gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique. Elle est un processus continu, qui fait partie intégrante et de façon permanente de la prise en charge du patient. Ces concepts sont renforcés par le dernier avenant conventionnel, qui met en œuvre un outil : le bilan de soin Infirmier (BSI) permettant l’évaluation des besoins en soins des patients. Ce programme s’articule en deux temps : la réactualisation des connaissances et des recommandations puis la présentation des nouveaux outils de coordination, d’évaluation de la dépendance ainsi les diagnostics infirmiers afin d’élaborer un plan de soins pertinent. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Repérer les besoins et les demandes des personnes et des populations en lien avec les problématiques de santé publique · Connaitre et savoir définir les notions de dépendance et de perte d'autonomie · S’approprier les differents outils de mesures des risques et des problèmes réels · Savoir évaluer les risques environnementaux à l'intérieur et à l'extérieur du domicile · Maitriser l’évaluation des besoins selon les 14 besoins de Virginia Henderson · Évaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier · Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers · Initier et mettre en œuvre des soins éducatifs et préventifs · Savoir évaluer ses actions dans l’objectif de l’amélioration des pratiques et de la pertinence des soins donnés · Maitriser les nouveaux outils d’évaluation des besoins en soins des patients

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Mixte

FC Angine et Cystite complète – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de l’angine · Définir et décrire l’angine · Reconnaitre les symptômes de la cystite · Prise en main du logigramme · Utiliser le score de Mac Isaac · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription · Utiliser le test rapide d’orientation · Interpréter le résultat de ce test · Diagnostiquer la cystite selon les cas

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E-learning

FC Angine et Cystite sans TROD – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de l’angine · Définir et décrire l’angine · Reconnaitre les symptômes de la cystite · Prise en main du logigramme · Utiliser le score de Mac Isaac · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription · Utiliser le test rapide d’orientation · Interpréter le résultat de ce test · Diagnostiquer la cystite selon les cas

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Mixte

FC Angine complète – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de l’angine · Définir et décrire l’angine · Prise en main du logigramme · Utiliser le score de Mac Isaac · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription

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E-learning

FC Cystite complète – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de la cystite · Prise en main du logigramme · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription · Utiliser le test rapide d’orientation · Interpréter le résultat de ce test · Diagnostiquer la cystite selon les cas

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E-learning

FC Angine sans TROD – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de l’angine · Définir et décrire l’angine · Prise en main du logigramme · Utiliser le score de Mac Isaac · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription

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E-learning

FC Cystite sans TROD – Délivrance d’antibiotiques en officine

DPC

L’Etat est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Après cette formation, les pharmaciens pourront délivrer certains antibiotiques pour la cystite et l’angine. A l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Reconnaitre les symptômes de la cystite · Prise en main du logigramme · Diagnostiquer l’angine selon les cas · Élaborer la prescription · Interpréter le résultat de ce test · Diagnostiquer la cystite selon les cas

Infirmier


Mixte

Le sevrage tabagique du patient suivi par une infirmière libérale (Classe virtuelle)

DPC

La France compte 1/3 de fumeurs et plus de 700 000 consommateurs réguliers de cannabis : des chiffres qui restent stables malgré les multiples campagnes de prévention des dernières années. La prise en charge des addictions des patients est un enjeu de santé publique et de réduction des Inégalités Sociales de Santé. Au plus près de la population au quotidien, les infirmières libérales sont des acteurs privilégiés pour repérer des personnes en situation d'addictions, intervenir auprès d'elles et/ou les orienter. Depuis la loi du 26 janvier 2016 sur la modernisation de notre système de santé, elles bénéficient d'ailleurs d'un élargissement de leurs droits et sont en mesure de prescrire des traitements nicotiniques de substitution. Depuis le 1er janvier 2019, ces traitements de substitution sont remboursés sur prescription à 65 % par l'Assurance Maladie et pour le reste par la mutuelle (sans avance de frais). Cette formation propose une actualisation des connaissances sur le sevrage tabagique et l'acquisition d'un savoir-faire/savoir être avec le patient dépendant au tabac et/ou cannabis : ceci afin de l'accompagner dans une démarche de changement, de réduction des risques et d'arrêt temporaire ou définitif de la consommation . À l’issue de la formation, le participant sera capable de : ▪ Connaître la place du tabagisme en Santé publique ▪ Connaître les moyens de prévention et de contrôle du tabac ▪ Connaître les mécanismes de la dépendance et de la pharmacologie de la nicotine ▪ Connaître les effets somatiques et psychologiques du tabagisme ▪ Connaître les rôles et les missions des infirmières dans le sevrage tabagique en lien avec leur rôle autonome. ▪ Maîtriser la prescription des substituts

Infirmier


Mixte

Promotion de la santé sexuelle par l’infirmier (Classe virtuelle)

DPC

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : « La santé sexuelle est un état de bienêtre physique, émotionnel, mental et social en matière de sexualité, ce n’est pas seulement l’absence de maladie, de dysfonctionnement ou d’infirmité. La santé sexuelle exige une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelles, ainsi que la possibilité d’avoir des expériences sexuelles agréables et sécuritaires, sans coercition, ni discrimination et ni violence. Pour atteindre et maintenir une bonne santé sexuelle, les Droits Humains et Droits sexuels de toutes les personnes doivent être respectés, protégés et réalisés ». La première Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030 a été lancée en 2017. Elle définit à l’horizon 2030 les grandes orientations nationales, partagées au niveau interministériel, en faveur d’une meilleure santé sexuelle. La stratégie nationale de santé sexuelle investit le champ de la santé sexuelle et reproductive sous un angle global et positif et dans un cadre partagé au niveau interministériel. Ses orientations stratégiques 2017-2030 s’articulent autour des grandes priorités. Afin d’améliorer la prise en charge des personnes dans le domaine de la sexualité, il est essentiel de fournir aux professionnels de santé, notamment ceux de premier recours, un socle commun de connaissances scientifiques, de compétences psycho-sociales et juridiques sur ces sujets, ainsi que sur les caractéristiques et les besoins spécifiques des populations les plus vulnérables ou les plus exposées. L’infirmier est un professionnel de premier recours, et se trouve à devoir accompagner des patients. Cette action de formation permettra aux IDE de réaliser une actualisation des connaissances et l’apprentissage de nouveaux concepts dans le cadre la santé sexuelle, afin de promouvoir l’accompagnement, améliorer le dépistage et l’orientation des patients dans le parcours de soins. À l’issue de la formation, le participant sera capable de : · Développer le concept de santé sexuelle et de droits humains · Connaitre les indicateurs de santé sexuelle et les populations à risques · S’initier aux différentes approches préventives visant à réduire l’exposition aux IST et VIH · Réactivation de connaissances sur les méthodes de contraception · Promouvoir une communication relative à la sexualité · Dépistage des violences faites aux femmes et mutilations sexuelles