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Médecin Généraliste
En présentiel
Prescription de l'Activité Physique Adaptée
DPC
L’activité physique adaptée joue un rôle fondamental dans la prévention de la perte d’autonomie et de la dépendance, contribuant ainsi à améliorer la qualité de vie, quel que soit l’âge ou la présence de pathologies chroniques. Elle vise à renforcer les capacités physiques, psychiques et cognitives, pouvant être utilisée en prévention primaire, secondaire et tertiaire, parfois en complément ou en en alternative aux traitements médicamenteux. Les changements législatifs depuis 2016 autorisant sa prescription viennent appuyer ces constatations. Toutefois, cette pratique reste méconnue des professionnels de Santé de notre territoire, ainsi que des patients. Les objectifs principaux sont les suivants : Sensibiliser les médecins à l'importance de la prescription de l’Activité Physique Adaptée dans le contexte des 7 pathologies suivantes : Cancer, Santé mentale, Diabète et Obésité, Insuffisance cardiaque, Maladies bronchiques (asthme et BPCO) et Lombalgie. Permettre aux médecins de s'approprier les modalités pratiques de prescription de l’Activité Physique Adaptée. Aider les professionnels de Santé à mieux connaître l’offre d’activité physique adaptée disponible dans leur zone d’intervention, facilitant ainsi l’orientation des patients après la prescription et la coordination avec les professionnels spécialisés. Afin de permettre aux participants d'être opérationnels à la fin de la formation, nous avons mis en place un modèle de formation dynamique et interactif comprenant les éléments suivants : Des enseignements théoriques associés à des cas pratiques de prescription de l’Activité Physique Adaptée sur la plateforme dédiée (prescriform) ; Des informations sur les dernières législations autorisant les masseurs-kinésithérapeutes à renouveler les prescriptions ; Des retours d’expériences de deux professionnels exerçant déjà dans le domaine de l’Activité Physique Adaptée, présentant les besoins en information des médecins prescripteurs, les bilans qu’ils effectuent, ainsi que les objectifs de leur prise en charge.
Sage-Femme, Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
En présentiel
Du repérage précoce et intervention brève (RPIB) en tabacologie aux premiers pas dans la prescription des traitements pharmacologiques de la dépendance tabagique
DPC
Contexte : Le tabac demeure une source majeure de cancers, de maladies cardiovasculaires et d'insuffisance respiratoires et tue 73000 personnes chaque année. En France, 13 millions de personnes fument quotidiennement. Près de 60 % des fumeurs actuels déclarent souhaiter arrêter de fumer. C'est pourquoi les fumeurs doivent se voir proposer des aides. Le dispositif « Moi(s) sans Tabac » s'adresse à tous les fumeurs et consiste à engager les fumeurs à arrêter pendant un mois, sachant que cela multiplie par 5 les chances d’arrêt. De plus, La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé autorise, en plus des médecins et des sages-femmes, les médecins du travail, les chirurgiens-dentistes, les infirmiers(ères) et les masseurs-kinésithérapeutes à prescrire les traitements nicotiniques de substitution, et donne ainsi accès à leurs patients au remboursement de ces traitements (remboursement classique à 65 % Les sages-femmes bénéficient d'un élargissement de leurs droits de prescription à l'entourage de la femme enceinte ou accouchée D’où la nécessité de former le plus grand nombre possible de professionnels pour accompagner ces fumeurs pendant le mois de novembre. Grandes lignes de contenu : 1 : les mécanismes de la dépendance tabagique : les récepteurs nicotiniques cérébraux, le circuit de la récompense 2 : le syndrome de sevrage : description des symptômes de sevrage de la nicotine et de leur durée en l’absence de traitement 3 : les marqueurs : la mesure du taux de monoxyde de carbone dans l’aire expiré, quel intérêt, exercice pratique avec appareil. 4 : RPIB en tabacologie : principe et objectif. Mise en application pratique 5 les traitements de la dépendance tabagique : Les substituts nicotiniques : description des différents formes galéniques, quelle posologie, quelles associations, quelle durée de traitement. Effets indésirables fréquents. Les médicaments de deuxième intention : quelles indications, contrindications et effets secondaires.. Modalités de prescriptions Place de la vape dans l’arrêt du tabac. Mise au point que les dernières données validées. 6 : les nouveaux prescripteurs : qui peut prescrire les TSN, Modalités de remboursement. 7 : utilisation du dossier de tabacologie : exemple pratique avec cas clinique Objectifs : Savoir repérer et orienter un fumeur Savoir prescrire les substituts nicotiniques Connaitre les changements dans les modalités de prescription et de remboursement
Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
En présentiel
Douleurs, Quelles prises en charge?
DPC
• le contexte de l’action : o L’équipe pluri professionnelle de Sémaphore santé 92 Nord intervient à domicile afin d’évaluer les patients complexes souffrant de douleurs chroniques. o Au cours de ces interventions, les problèmes couramment observés sont les suivants : Les Médecins débutent un traitement sans titration, en commençant par des patchs de Durogesic par exemple, méconnaissance, problème dans le choix de molécule, le choix de galénique et des dosages. Les infirmières ont des difficultés à évaluer la douleur, la surveiller, transmettre les informations. Les pharmaciens ont un rôle majeur non exploité dans le conseil sur les formes galéniques et les interactions médicamenteuses • ses grandes lignes de contenu : • Définition de la douleur, Douleur nociceptive, douleur neuropathique • Évaluation et surveillance de la douleur • Douleur globale • Grands principes de traitement • Initiation des traitements par antalgiques de Palier III • Réévaluation, réadaptation des doses et des formes galéniques • Place des co-antalgiques et des traitements antalgiques spécifiques • La douleur chez la personne âgée • ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…) : o Savoir évaluer la douleur, la caractériser, transmettre les informations o Savoir prescrire un traitement adapté : savoir initier un traitement, le titrer, l’évaluer, choisir une forme galénique adaptée à la situation du patient
Médecin Généraliste
Mixte
REPERAGE et EVALUATION des CRISES SUICIDAIRES CHEZ L’ADULTE JEUNE PRISE en CHARGE de la DEPRESSION de l’ADULTE JEUNE en classe virtuelle
DPC
REPERAGE et EVALUATION des CRISES SUICIDAIRES CHEZ L’ADULTE JEUNE PRISE en CHARGE de la DEPRESSION de l’ADULTE JEUNE Le médecin généraliste est en première ligne pour la gestion des situations de crises suicidaires et particulièrement chez le sujet jeune (adolescent et adulte jeune). Il convient donc de rappeler leur épidémiologie ainsi que celle des tentatives de suicide et les suicides pour poser l’importance du problème. Leur repérage peut être assez aisé si les idées suicidaires sont verbalisées mais ce n’est pas toujours le cas. Il faut alors souligner les points d’appel qui peuvent alerter le clinicien. Face à ces situations, des outils et éléments d’évaluation sont étudiés comme une aide pour la conduite à tenir. Dans un deuxième temps la pathologie dépressive sera abordée sur un plan épidémiologique, clinique et thérapeutique, en abordant les particularités de certaines populations dont les adolescents et adultes jeunes.
Sage-Femme, Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
Mixte
Du repérage précoce et intervention brève (RPIB) en tabacologie aux premiers pas dans la prescription des traitements pharmacologiques de la dépendance tabagique en classe virtuelle
DPC
Contexte : Le tabac demeure une source majeure de cancers, de maladies cardiovasculaires et d'insuffisance respiratoires et tue 73000 personnes chaque année. En France, 13 millions de personnes fument quotidiennement. Près de 60 % des fumeurs actuels déclarent souhaiter arrêter de fumer. C'est pourquoi les fumeurs doivent se voir proposer des aides. Le dispositif « Moi(s) sans Tabac » s'adresse à tous les fumeurs et consiste à engager les fumeurs à arrêter pendant un mois, sachant que cela multiplie par 5 les chances d’arrêt. De plus, La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé autorise, en plus des médecins et des sages-femmes, les médecins du travail, les chirurgiens-dentistes, les infirmiers(ères) et les masseurs-kinésithérapeutes à prescrire les traitements nicotiniques de substitution, et donne ainsi accès à leurs patients au remboursement de ces traitements (remboursement classique à 65 % Les sages-femmes bénéficient d'un élargissement de leurs droits de prescription à l'entourage de la femme enceinte ou accouchée D’où la nécessité de former le plus grand nombre possible de professionnels pour accompagner ces fumeurs pendant le mois de novembre. Grandes lignes de contenu : 1 : les mécanismes de la dépendance tabagique : les récepteurs nicotiniques cérébraux, le circuit de la récompense 2 : le syndrome de sevrage : description des symptômes de sevrage de la nicotine et de leur durée en l’absence de traitement 3 : les marqueurs : la mesure du taux de monoxyde de carbone dans l’aire expiré, quel intérêt, exercice pratique avec appareil. 4 : RPIB en tabacologie : principe et objectif. Mise en application pratique 5 les traitements de la dépendance tabagique : Les substituts nicotiniques : description des différents formes galéniques, quelle posologie, quelles associations, quelle durée de traitement. Effets indésirables fréquents. Les médicaments de deuxième intention : quelles indications, contrindications et effets secondaires.. Modalités de prescriptions Place de la vape dans l’arrêt du tabac. Mise au point que les dernières données validées. 6 : les nouveaux prescripteurs : qui peut prescrire les TSN, Modalités de remboursement. 7 : utilisation du dossier de tabacologie : exemple pratique avec cas clinique Objectifs : Savoir repérer et orienter un fumeur Savoir prescrire les substituts nicotiniques Connaitre les changements dans les modalités de prescription et de remboursement
Sage-Femme, Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
Mixte
Infections Sexuellement Transmissibles, PREP et Accidents d’exposition sexuelle et au sang, et santé sexuelle quoi de neuf ? Classe virtuelle
DPC
Contexte : Les infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes augmentent en France depuis la fin des années 1990(1). En France, le nombre de personnes vivant avec le VIH a augmenté régulièrement depuis le début de l’épidémie(2). Le développement de la PREP et la possibilité d’un suivi de celle-ci en ville fait partie des stratégies mises en œuvre pour atteindre les objectifs 2030 de l’ONUSIDA(2). Actualisation des connaissances en matière de prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang publiées en 2017(3). (1) Ndeikoundam N, Viriot D, Fournet N, De Barbeyrac B, Goubard A, Dupin N, et al. Les infections sexuellement transmissibles bactériennes. en France : situation en 2015 et évolutions récentes. Bull Epidémiol Hebd. 2016;(41-42):738-44. http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2016/41-42/2016_41-42_1.html (2) Rapport Morlat. Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH. Épidémiologie de l’infection à VIH en France (juillet 2017) (3) Rapport Morlat. Prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang (AES) chez l’adulte et l’enfant (septembre 2017) Grandes lignes de contenu : • PREP : Outils de repérage et orientation des candidats à la PREP. Explications sur la prise en pratique du traitement (continu, discontinu, etc). Retour sur les premières données disponibles sur la PREP de l’étude ANRS Prevenir. Présentation des décrets d’application qui permettent le suivi de la PREP en ville. • IST : Définir les patients à dépister et les modalités du dépistage. Outils pour l’entretien en consultation. Abord de la thérapeutique par le biais de vignettes cliniques. Nouvelles recommandations pour le dépistage de la syphilis 2018 et présentation des modalités de prélèvement anal, pharyngé et autoprélèvement. Point sur la vaccination HPV et sur l’incidence de l’hépatite A chez les HSH. • AES : présentation des nouveaux traitements. Repérage et évaluation du risque de transmission. Point sur la transmission sous traitement anti-rétroviral. • Sexualité et santé sexuelle: comment aborder la question de la sexualité avec son patient? Le dépistage des troubles et des souffrances liées à la sexualité. Le concept de santé sexuelle. Présentation des parcours spécifiques en lien avec l'identité sexuelle. Objectifs : - Savoir dépister et traiter une IST - Connaître l’intérêt de la vaccination anti-HPV - Connaître les recommandations vaccinales chez les HSH - Savoir ce qu’est la prévention diversifiée - Savoir ce qu’est la PREP - Savoir proposer une PREP, orienter et assurer le suivi - Savoir évaluer le risque de transmission après AES - Savoir dépister et orienter les patients ayant des troubles et/ou souffrances dans la sexualité - Connaître et pouvoir utiliser les outils de communication brève relative à la sexualité - Savoir orienter les patients sur les parcours spécifiques d’identité de genre
Sage-Femme, Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
En présentiel
Infections Sexuellement Transmissibles, PREP et Accidents d’exposition sexuelle et au sang, et santé sexuelle quoi de neuf ?
DPC
Contexte : Les infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes augmentent en France depuis la fin des années 1990(1). En France, le nombre de personnes vivant avec le VIH a augmenté régulièrement depuis le début de l’épidémie(2). Le développement de la PREP et la possibilité d’un suivi de celle-ci en ville fait partie des stratégies mises en œuvre pour atteindre les objectifs 2030 de l’ONUSIDA(2). Actualisation des connaissances en matière de prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang publiées en 2017(3). (1) Ndeikoundam N, Viriot D, Fournet N, De Barbeyrac B, Goubard A, Dupin N, et al. Les infections sexuellement transmissibles bactériennes. en France : situation en 2015 et évolutions récentes. Bull Epidémiol Hebd. 2016;(41-42):738-44. http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2016/41-42/2016_41-42_1.html (2) Rapport Morlat. Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH. Épidémiologie de l’infection à VIH en France (juillet 2017) (3) Rapport Morlat. Prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang (AES) chez l’adulte et l’enfant (septembre 2017) Grandes lignes de contenu : • PREP : Outils de repérage et orientation des candidats à la PREP. Explications sur la prise en pratique du traitement (continu, discontinu, etc). Retour sur les premières données disponibles sur la PREP de l’étude ANRS Prevenir. Présentation des décrets d’application qui permettent le suivi de la PREP en ville. • IST : Définir les patients à dépister et les modalités du dépistage. Outils pour l’entretien en consultation. Abord de la thérapeutique par le biais de vignettes cliniques. Nouvelles recommandations pour le dépistage de la syphilis 2018 et présentation des modalités de prélèvement anal, pharyngé et autoprélèvement. Point sur la vaccination HPV et sur l’incidence de l’hépatite A chez les HSH. • AES : présentation des nouveaux traitements. Repérage et évaluation du risque de transmission. Point sur la transmission sous traitement anti-rétroviral. • Sexualité et santé sexuelle: comment aborder la question de la sexualité avec son patient? Le dépistage des troubles et des souffrances liées à la sexualité. Le concept de santé sexuelle. Présentation des parcours spécifiques en lien avec l'identité sexuelle. Objectifs : - Savoir dépister et traiter une IST - Connaître l’intérêt de la vaccination anti-HPV - Connaître les recommandations vaccinales chez les HSH - Savoir ce qu’est la prévention diversifiée - Savoir ce qu’est la PREP - Savoir proposer une PREP, orienter et assurer le suivi - Savoir évaluer le risque de transmission après AES - Savoir dépister et orienter les patients ayant des troubles et/ou souffrances dans la sexualité - Connaître et pouvoir utiliser les outils de communication brève relative à la sexualité - Savoir orienter les patients sur les parcours spécifiques d’identité de genre
Médecin Généraliste
Mixte
REPERAGE et EVALUATION des CRISES SUICIDAIRES CHEZ L’ADULTE JEUNE PRISE en CHARGE de la DEPRESSION de l’ADULTE JEUNE en classe virtuelle
DPC
REPERAGE et EVALUATION des CRISES SUICIDAIRES CHEZ L’ADULTE JEUNE PRISE en CHARGE de la DEPRESSION de l’ADULTE JEUNE Le médecin généraliste est en première ligne pour la gestion des situations de crises suicidaires et particulièrement chez le sujet jeune (adolescent et adulte jeune). Il convient donc de rappeler leur épidémiologie ainsi que celle des tentatives de suicide et les suicides pour poser l’importance du problème. Leur repérage peut être assez aisé si les idées suicidaires sont verbalisées mais ce n’est pas toujours le cas. Il faut alors souligner les points d’appel qui peuvent alerter le clinicien. Face à ces situations, des outils et éléments d’évaluation sont étudiés comme une aide pour la conduite à tenir. Dans un deuxième temps la pathologie dépressive sera abordée sur un plan épidémiologique, clinique et thérapeutique, en abordant les particularités de certaines populations dont les adolescents et adultes jeunes.
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Du repérage précoce et intervention brève (RPIB) en tabacologie aux premiers pas dans la prescription des traitements pharmacologiques de la dépendance tabagique en classe virtuelle
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Contexte : Le tabac demeure une source majeure de cancers, de maladies cardiovasculaires et d'insuffisance respiratoires et tue 73000 personnes chaque année. En France, 13 millions de personnes fument quotidiennement. Près de 60 % des fumeurs actuels déclarent souhaiter arrêter de fumer. C'est pourquoi les fumeurs doivent se voir proposer des aides. Le dispositif « Moi(s) sans Tabac » s'adresse à tous les fumeurs et consiste à engager les fumeurs à arrêter pendant un mois, sachant que cela multiplie par 5 les chances d’arrêt. De plus, La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé autorise, en plus des médecins et des sages-femmes, les médecins du travail, les chirurgiens-dentistes, les infirmiers(ères) et les masseurs-kinésithérapeutes à prescrire les traitements nicotiniques de substitution, et donne ainsi accès à leurs patients au remboursement de ces traitements (remboursement classique à 65 % Les sages-femmes bénéficient d'un élargissement de leurs droits de prescription à l'entourage de la femme enceinte ou accouchée D’où la nécessité de former le plus grand nombre possible de professionnels pour accompagner ces fumeurs pendant le mois de novembre. Grandes lignes de contenu : 1 : les mécanismes de la dépendance tabagique : les récepteurs nicotiniques cérébraux, le circuit de la récompense 2 : le syndrome de sevrage : description des symptômes de sevrage de la nicotine et de leur durée en l’absence de traitement 3 : les marqueurs : la mesure du taux de monoxyde de carbone dans l’aire expiré, quel intérêt, exercice pratique avec appareil. 4 : RPIB en tabacologie : principe et objectif. Mise en application pratique 5 les traitements de la dépendance tabagique : Les substituts nicotiniques : description des différents formes galéniques, quelle posologie, quelles associations, quelle durée de traitement. Effets indésirables fréquents. Les médicaments de deuxième intention : quelles indications, contrindications et effets secondaires.. Modalités de prescriptions Place de la vape dans l’arrêt du tabac. Mise au point que les dernières données validées. 6 : les nouveaux prescripteurs : qui peut prescrire les TSN, Modalités de remboursement. 7 : utilisation du dossier de tabacologie : exemple pratique avec cas clinique Objectifs : Savoir repérer et orienter un fumeur Savoir prescrire les substituts nicotiniques Connaitre les changements dans les modalités de prescription et de remboursement
Sage-Femme, Médecin Généraliste, Pharmacien, Infirmier
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Infections Sexuellement Transmissibles, PREP et Accidents d’exposition sexuelle et au sang, et santé sexuelle quoi de neuf ? Classe virtuelle
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Contexte : Les infections sexuellement transmissibles (IST) bactériennes augmentent en France depuis la fin des années 1990(1). En France, le nombre de personnes vivant avec le VIH a augmenté régulièrement depuis le début de l’épidémie(2). Le développement de la PREP et la possibilité d’un suivi de celle-ci en ville fait partie des stratégies mises en œuvre pour atteindre les objectifs 2030 de l’ONUSIDA(2). Actualisation des connaissances en matière de prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang publiées en 2017(3). (1) Ndeikoundam N, Viriot D, Fournet N, De Barbeyrac B, Goubard A, Dupin N, et al. Les infections sexuellement transmissibles bactériennes. en France : situation en 2015 et évolutions récentes. Bull Epidémiol Hebd. 2016;(41-42):738-44. http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2016/41-42/2016_41-42_1.html (2) Rapport Morlat. Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH. Épidémiologie de l’infection à VIH en France (juillet 2017) (3) Rapport Morlat. Prise en charge des accidents d’exposition sexuelle et au sang (AES) chez l’adulte et l’enfant (septembre 2017) Grandes lignes de contenu : • PREP : Outils de repérage et orientation des candidats à la PREP. Explications sur la prise en pratique du traitement (continu, discontinu, etc). Retour sur les premières données disponibles sur la PREP de l’étude ANRS Prevenir. Présentation des décrets d’application qui permettent le suivi de la PREP en ville. • IST : Définir les patients à dépister et les modalités du dépistage. Outils pour l’entretien en consultation. Abord de la thérapeutique par le biais de vignettes cliniques. Nouvelles recommandations pour le dépistage de la syphilis 2018 et présentation des modalités de prélèvement anal, pharyngé et autoprélèvement. Point sur la vaccination HPV et sur l’incidence de l’hépatite A chez les HSH. • AES : présentation des nouveaux traitements. Repérage et évaluation du risque de transmission. Point sur la transmission sous traitement anti-rétroviral. • Sexualité et santé sexuelle: comment aborder la question de la sexualité avec son patient? Le dépistage des troubles et des souffrances liées à la sexualité. Le concept de santé sexuelle. Présentation des parcours spécifiques en lien avec l'identité sexuelle. Objectifs : - Savoir dépister et traiter une IST - Connaître l’intérêt de la vaccination anti-HPV - Connaître les recommandations vaccinales chez les HSH - Savoir ce qu’est la prévention diversifiée - Savoir ce qu’est la PREP - Savoir proposer une PREP, orienter et assurer le suivi - Savoir évaluer le risque de transmission après AES - Savoir dépister et orienter les patients ayant des troubles et/ou souffrances dans la sexualité - Connaître et pouvoir utiliser les outils de communication brève relative à la sexualité - Savoir orienter les patients sur les parcours spécifiques d’identité de genre