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Attitude quaternaire : la médecine non nécessaire. Des plaintes médicalement inexpliquées au soin médicalement pertinent.

DPC

Sensibiliser les praticiens à l’existence de l’attitude quaternaire. Prendre conscience que les situations de prévention quaternaire sont quotidiennes dans notre exercice. Détecter les patients à risque d’excès de procédures médicales et leur proposer une alternative acceptable. Réflexion sur la médecine non nécessaire : « action menée pour identifier un patient ou une population à risque de surmédicalisation, les protéger d’interventions médicales invasives, et leur proposer des procédures de soins éthiquement et médicalement acceptables ». Le principe « primum non nocere » est central à l’exercice médical. Empêcher l’excès d’interventions médicales est une obligation particulière à la médecine. Dans un monde obsédé par la question de la santé et la tentation de « faire », il est indispensable d’évaluer la pertinence des actes médicaux. Ceci impose de repenser les objectifs et la philosophie sous-jacente des soins de santé primaire. Haut degré d’incertitude, faible prévalence, maladies graves, voici les ingrédients de la tâche la plus difficile des médecins, celle de décider de « ne pas faire » et de protéger les patients de la médecine non nécessaire. Cette attitude se fonde tant sur l’analyse des probabilités des études cliniques que sur l’histoire individuelle de nos patients.

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Attitude quaternaire : la médecine non nécessaire. Des plaintes médicalement inexpliquées au soin médicalement pertinent.

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Sensibiliser les praticiens à l’existence de l’attitude quaternaire. Prendre conscience que les situations de prévention quaternaire sont quotidiennes dans notre exercice. Détecter les patients à risque d’excès de procédures médicales et leur proposer une alternative acceptable. Réflexion sur la médecine non nécessaire : « action menée pour identifier un patient ou une population à risque de surmédicalisation, les protéger d’interventions médicales invasives, et leur proposer des procédures de soins éthiquement et médicalement acceptables ». Le principe « primum non nocere » est central à l’exercice médical. Empêcher l’excès d’interventions médicales est une obligation particulière à la médecine. Dans un monde obsédé par la question de la santé et la tentation de « faire », il est indispensable d’évaluer la pertinence des actes médicaux. Ceci impose de repenser les objectifs et la philosophie sous-jacente des soins de santé primaire. Haut degré d’incertitude, faible prévalence, maladies graves, voici les ingrédients de la tâche la plus difficile des médecins, celle de décider de « ne pas faire » et de protéger les patients de la médecine non nécessaire. Cette attitude se fonde tant sur l’analyse des probabilités des études cliniques que sur l’histoire individuelle de nos patients.