S’inscrivant dans le cadre général de la santé globale, devenant une des préoccupations des soignants, la santé sexuelle justifie l’intérêt de ceux-ci pour la qualité de vie sexuelle de leurs patientes. Une atteinte à la qualité de vie sexuelle peut recouvrir les maladies, les dysfonctions, les troubles, les problèmes ou simplement l’insatisfaction. Ouvrir la question de la sexualité en complément de la prise en charges de la contraception et de la prévention des IST, suppose savoir quoi faire de la plainte qui peut surgir. En matière de sexualité, le médecin généraliste est susceptible d’être interrogé sur des sujets personnels qui vont bien au-delà des troubles organiques. A condition que le médecin soit formé et prêt à l'entendre, la consultation pour contraception est l'occasion d’aborder la sexualité. Être aimé, s'aimer, aimer, faire l'amour: tout semble simple et tout est parfois si compliqué. Les objectifs de la journée seront après avoir abordé la psychophysiologie de la réponse sexuelle de: 1. Citer

Les 4 phases de Master et Johnson: EPOR

Les 3 phases d’hèle Singer Kapla, DEO

Le modèle de satisfaction subjective de Zilbergeld et Elison 2. Evaluer les troubles sexuels, donc les connaître et en recueillir l'anamnèse 3. Citer les types de difficultés sexuelles en considérant le couple :

Désir: Hypoactif - Aversion

Excitation: absence d’excitation chez la femme - Et dans le cadre du couple: Troubles de l’érection chez l’homme

Orgasme: anorgasmie - Ejaculation précoce - Ejaculation retardée

Douleurs: vaginisme - dyspareunies; psychotraumatisme? 4. Orienter ou prendre en charge. Les fréquences des difficultés sexuelles supposent de proposer une prise en charge par le soignant. L'apport de l'hypnose à la sexologie sera évoqué par l'intervenant sexologue et hypnothérapeute.