- Repérer l'érotomane - Choisir un traitement adapté selon la gravité du délire. - Utiliser les psychotropes conformément aux recommandations. A partir de cas cliniques apportés par les participants ainsi que de cas de la littérature, la discussion sous forme de groupe de pairs permettra un échange de pratiques entre participants. L'étude de cas de la litérature issu de la pratique de psychiatre habitué à cette pathologie servira de référence Ces 3 heures de DPC font parti intégrante d'un cycle de rencontres régulières entre les participants. Ainsi la prise de parole est l'éclairage de la réalité de chaque pratique est facilité par la confiance entre praticiens. La « pratique réflexive» amènera les psychiatres à réfléchir sur leur pratique de manière critique et constructive tout en créant des liens avec les connaissances pour analyser l’action clinique et thérapeutique après qu’elle s’est déroulée. La sélection des dossiers ou de situations cliniques s’effectuera de manière explicite unquement sur le thème choisi en raison de la gravité de l'érotomanie, et de la rareté de la pathologie. La recherche bibliographique réalisée pour identifier et sélectionner les données de littérature scientifique et professionnelle en rapport avec l'érotomanie n'a pas permis d’apporter des réponses univoques aux questions posées. De ce fait les expériences professionnelles seront déterminantes, et justifie la méthode de groupe d'analyse des pratiques et d'échanges de pratiques choisie. A titre d'exemple le mot érotomanie n'existe pas dans le Référentiel de Psychiatrie (Psychiatrie de l’adulte. Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. Addictologie Azoulay M, Lasfar M, van Effenterre A. Psychiatres de demain, formation (s) d’aujourd’hui: état des lieux de la formation du DES de psychiatrie. L’information psychiatrique. 2012;88(

2-:139–144. )