1. Donner les clefs à l’omnipraticien pour réaliser un acte chirurgical en toute sécurité et quiétude. 2. Connaître et savoir gérer les complications per et post-opératoires. 3. Orienter à bon escient les patients vers un confrère ou une consultation spécialisés lorsque ses limites sont dépassées. PROGRAMME 1. Analyse des pratiques professionnelles/connaissances par évaluation avant formation. 2. Savoir organiser son cabinet dentaire, quel matériel utiliser ? o Rationnaliser son activité chirurgicale permet de gagner en temps, en efficacité et en sérénité. 3. Les bilans. o Comment évaluer les difficultés en préopératoire pour prévoir et gérer facilement l’acte chirurgical. 4. Anatomie et anesthésie locale et loco-régionale. o Choisir la technique anesthésique la plus adaptée et réussir son anesthésie : le silence opératoire est la clef d’une chirurgie réalisée en toute quiétude. 5. Les avulsions simples. o Malgré un bilan préopératoire attentif, une avulsion simple peut devenir complexe et chronophage. Des techniques simples permettent de résoudre rapidement la majorité des difficultés. 6. Les avulsions complexes. o Savoir gérer une chirurgie osseuse : l’avulsion de dents incluses, l’exérèse de kystes font appel aux mêmes techniques chirurgicales de base. 7. La gestion des complications per et post opératoires. o Les chirurgiens dentistes renoncent souvent à réaliser des actes chirurgicaux par peur des complications qui peuvent pourtant être gérées facilement la plupart du temps. 8. Quand déléguer ? o Certains actes et pathologies médicales approchent ou dépassent les limites de compétence du chirurgien dentiste omnipraticien et nécessitent une gestion spécialisée. 9. Comment gérer la douleur post-opératoire ? o La gestion des douleurs post opératoires est une obligation. Quelles sont les données actuelles quant à cette analgésie ? 10. Evaluation des connaissances après formation/debriefing.