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Sage-Femme


En présentiel

La vaccination : un nouvel enjeu de la coordination pluriprofessionnelle

DPC

La prévention par la vaccination est un enjeu majeur dans notre système de santé. Les professionnels de santé doivent avoir une très bonne connaissance des différents vaccins. Ils doivent pouvoir expliquer les modalités vaccinales, la composition des vaccins, conseiller les patients, prendre en charge des populations particulières (ex : personnes immunodéprimées, femmes enceintes, personnes âgées) et participer activement au suivi vaccinal. Les objectifs seront les suivants : Renforcer les connaissances en vaccinologie - Améliorer l’offre vaccinale, le parcours vaccinal et la couverture vaccinale de la population - Avoir un outil sécurisé de traçabilité de la vaccination et d’aide à la décision de l’acte vaccinal - Favoriser le suivi et la coordination interprofessionnels.

Aide-soignant, Ergothérapeute, Masseur-Kinésithérapeute, + 7 autres


En présentiel

Repérages des Fragilités chez la personne âgée

DPC

Permettre aux acteurs intervenants auprès de personnes âgées vivant à domicile de repérer les fragilités et d’orienter ce public vers différents dispositifs existant sur le territoire. Pour cela, cette formation permettra de  Harmoniser les pratiques de repérage de la fragilité sur un même territoire  Comprendre l’intérêt du repérage des fragilités et son concept de reversibilité  Dédinir un langage commun sur la fragilité en s’appuyant sur l’Evaluation Gériatrique Standardisée courte  Définir la filière gériatrique et gérontologique afin d’orienter les personnes âgées en fonction de leurs fragilités  favoriser l'interconnaissance des professionnels des secteurs sociaux, sanitaires, médico-sociaux, juridique, élus et bénévoles.

Pharmacien, Infirmier


Mixte

Infirmiers/pharmaciens : Accompagner vos patients à l'arrêt du tabac

DPC

La lutte anti-tabac semble enfin porter ses fruits. Même si la France demeure l’un des pays avec le plus de fumeurs en Europe, plus d’un million de fumeurs ont arrêté la cigarette entre 2016 et 2017. Soit la plus forte baisse enregistré au cours des dix dernières années. Mais aujourd’hui, concrètement, un peu plus d’un quart de la population (26,9%) fume encore régulièrement. La réduction de l’épidémie tabagique nécessite une implication forte de la part de nombreux acteurs et d’un consensus général. Une forte volonté de diminuer l’incidence du tabac émane du ministère de la santé avec l’instauration de Moi(s) sans tabac, d’une politique d’augmentation importante du prix du paquet de cigarette… De ce fait, le nombre de fumeur en démarche d’arrêt va augmenter. C’est pour répondre à cette demande d’accompagnement au sevrage tabagique qu’il est proposé aux aux pharmaciens d’officine et leur équipe une formation préparant à des entretiens de sevrage tabagique. La formation pluridisciplinaire permettra aux professionnels de santé concernés de s’impliquer encore davantage dans cette dynamique et de participer à un programme de sevrage tabagique proposé par l’ARS et les URPS pharmaciens et infirmiers des Pays de la Loire Objectifs -Acquérir des connaissances générales sur le tabagisme, son épidémiologie, le phénomène de dépendance, ses traitements. -Acquérir des méthodes à l’aide des techniques de l’Entretien Motivationnel (EM) permettant de mener un entretien de sevrage tabagique -Participer au programme EOL (Entretiens en Officine pour ma Liberté) -S’impliquer davantage dans le sevrage tabagique

Pharmacien


En présentiel

Comment améliorer la prise en charge de la personne âgée à l'officine

DPC

La crise sanitaire dans laquelle les pharmaciens sont fortement impliqués depuis le début de la pandémie ne doit pas faire oublier que chaque jour, chaque instant, ceux-ci sont confrontés à la prise en charge des personnes âgées, avec les difficultés inhérentes à cette classe d’âge : polypathologies, difficultés cognitives, handicaps, difficultés sociales etc… Lors de cette journée, il y aura lieu de préciser les spécificités des traitements destinés aux personnes âgées ce qui fera l’objet de l’intervention de Nicolas Clere, maître de conférences en pharmacologie à la Faculté de Santé d’Angers avec un rappel sur les classes thérapeutiques les plus à risques pour cette tranche d’âge mais aussi la problématique des insuffisances métaboliques, les modifications de la pharmacocinétique. Ces éléments doivent être particulièrement pris en compte lorsque le pharmacien doit dispenser les médicaments que ce soit sur prescription médicale ou sur conseils pharmaceutiques : adaptation de posologies, interactions médicamenteuses à éviter… Matthieu Corvaisier, exerçant en tant que pharmacien clinicien au sein du service de gériatrie du CHU d’Angers évoquera avec les pharmaciens les problèmes d’inobservance en gériatrie, les redondances médicamenteuses. Il développera les outils mis en place actuellement pour pallier ces problèmes comme la déprescription notamment pour les hypnotiques, et les bilans partagés de médication. Ces outils sont encore trop peu utilisés par les pharmaciens et doivent être développés au sein des officines. Ils favorisent en outre le travail en interprofessionnalité avec les médecins pour une meilleure prise en charge du patient âgé. Jean-Louis Laffilhe, pharmacien chargé de mission au CHU d’Angers évoquera avec les pharmaciens l’outil Hospiville, mis en place pour renforcer le lien ville-hôpital, lors des admissions et des sorties de l’hôpital. Nous le savons, ces moments si récurrents dans la vie des personnes âgées, sont des étapes charnières où bien souvent les officinaux et les hospitaliers ont du mal à échanger sur les traitements mis en place, avec des conséquences parfois très néfastes pour le patient, ou pour le moins inefficaces. L’après-midi sera consacré au travail en atelier (5 ateliers de 20 personnes). A partir de prescriptions proposées par les pharmaciens participant à la journée, il y aura lieu d’en évoquer la pertinence, les difficultés rencontrées, les solutions à apporter et les outils pratiques pour améliorer la prise en charge du patient âgé. Ces ateliers seront animés conjointement par une enseignant de la Faculté d’Angers et un pharmacien exerçant en officine.

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Ergothérapeute, + 25 autres


En présentiel

Annoncer le handicap et l'accompagner. Quelle annonce du handicap ?

DPC

L’annonce du handicap doit être distinguée de l’annonce de la pathologie ou de la lésion. C’est toujours dans la durée et dans l’accompagnement, que se noue le processus d’annonce du handicap. Elle n’est pas l’apanage du médecin. Elle est souvent multidisciplinaire. Le travail d'accompagnement et de soutien du professionnel doit articuler la clinique et les questions centrées sur les déficiences avec la question de l'accompagnement à la participation sociale. L’objectif de ce programme, labellisé par l’ARS Pays de la Loire en 2017 est d’accroitre la compétence des professionnels à communiquer avec la personne en situation de handicap et sa famille lors des étapes du processus d’annonce du handicap.

Cardiologue, Endocrinologue, Gynécologue, + 11 autres


E-learning

« Suivi et accompagnement des personnes guéries d’un cancer survenu dans l’enfance ou dans la période jeune adulte dans l’après-cancer – formation en e-learning»

DPC

Les différents cancers pédiatriques affectent environ 2 500 nouveaux patients chaque année. L’amélioration des thérapeutiques au cours des dernières décennies permettent du guérir environ 80 à 85% de ces patients. On estime à 50 000 personnes vivantes en France qui ont eu un cancer dans l’enfance ou l’adolescence. Mais ces adultes ont un statut particulier comme « d’être à risque » puisque souffrant, par rapport à la population générale, d’une mortalité précoce, d’une morbidité chronique plus fréquente et d’un risque de seconds cancers plus grand. Cet état « d’être à risque » est plus ou moins apparent, avec parfois un certain nombre de complications et/ou d’handicaps ont été diagnostiqués dans les 5 premières années suivant le diagnostic du cancer même. Pour d’autres, un risque significatif existe justifiant un suivi approprié et un dépistage précoce pour limiter la morbi/mortalité. Le risque varie selon les individus, en fonction du type et du degré d’exposition thérapeutique, mais pas seulement puisque d’autres facteurs de susceptibilité aux complications du cancer et de ses traitements peuvent intervenir. Les séquelles somatiques potentielles du cancer et de ses traitements sont fréquentes (entre 50 à 85% selon les cohortes), extrêmement variées dans leur type et leur intensité (~40% de complications sévères, et ~10% souffrent d’un cancer secondaire). Ces séquelles sont susceptibles de toucher tous les organes, plus particulièrement les sphères cardio-vasculaire, endocrinienne, rénale, musculo-squelettique, cutanée, neurocognitive, pulmonaires, digestives, dentaires… et restent source d’une morbi-mortalité encore à ce jour fort préoccupante malgré des progrès incontestables. Les différentes enquêtes en France et à l’international s’accordent sur plusieurs points :un suivi médical personnalisé à long terme est nécessaire, les oncologues ne peuvent assurer seuls ce suivi (démographie croissante, nouveaux patients à prendre en charge, anciens patients ayant besoin de ne plus être suivi en oncologie), les patients et les médecins généralistes ne sont pas assez informés ni formés à ce suivi à long terme. L’objectif principal de cette formation est de sensibiliser en informant et formant les médecins généralistes aux grandes lignes du suivi à long terme des patients ayant eu un cancer dans l’enfance ou à un jeune âge. Au terme de cette formation, le professionnel de santé sera en mesure de : - Identifier les anciens patients ayant survécu à un cancer dans l’enfance ou l’adolescence, - Comprendre l’importance du suivi d’organe proposé et la périodicité de ce suivi, et participer à l’éducation du patient pour obtenir son adhérence sur le long terme, lui rappeler les examens à faire, le conseiller sur les préventions possibles - Etre capable d’initier une démarche décisionnelle adaptée face à un patient guéri d’un cancer pédiatrique ou à un jeune âge et qui n’a pas de programme personnalisé de l’après-cancer et le construire ainsi avec lui de façon personnalisée - Coordonner le suivi et la réalisation de ce plan personnalisé de l’après cancer avec les autres intervenants

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Ergothérapeute, + 24 autres


En présentiel

Annoncer le handicap et l'accompagner. Quelle annonce du handicap ?

DPC

L’annonce du handicap doit être distinguée de l’annonce de la pathologie ou de la lésion. C’est toujours dans la durée et dans l’accompagnement, que se noue le processus d’annonce du handicap. Elle n’est pas l’apanage du médecin. Elle est souvent multidisciplinaire. Le travail d'accompagnement et de soutien du professionnel doit articuler la clinique et les questions centrées sur les déficiences avec la question de l'accompagnement à la participation sociale. L’objectif de ce programme, labellisé par l’ARS Pays de la Loire en 2017 est d’accroitre la compétence des professionnels à communiquer avec la personne en situation de handicap et sa famille lors des étapes du processus d’annonce du handicap.

Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Ergothérapeute, + 24 autres


En présentiel

Annoncer le handicap et l'accompagner. Quelle annonce du handicap ?

DPC

L’annonce du handicap doit être distinguée de l’annonce de la pathologie ou de la lésion. C’est toujours dans la durée et dans l’accompagnement, que se noue le processus d’annonce du handicap. Elle n’est pas l’apanage du médecin. Elle est souvent multidisciplinaire. Le travail d'accompagnement et de soutien du professionnel doit articuler la clinique et les questions centrées sur les déficiences avec la question de l'accompagnement à la participation sociale. L’objectif de ce programme, labellisé par l’ARS Pays de la Loire en 2017 est d’accroitre la compétence des professionnels à communiquer avec la personne en situation de handicap et sa famille lors des étapes du processus d’annonce du handicap.

Sage-Femme, Médecin Généraliste


En présentiel

Certains cancers chez la femme sont-ils évitables ? Intérêts de la prévention et du dépistage organisé.

DPC

Ce programme est issu d’un mémoire d’un étudiant sage-femme soutenu en 2016, sur le thème du dépistage organisé chez la femme. Une demande des professionnels émergeait, liée à l’élargissement des compétences des sages-femmes au suivi gynécologique de la femme tout au long de sa vie. Le centre régional de coordination des dépistages des cancers pays de la loire (CRCDC) a également identifié ce besoin auprès des médecins généralistes. Aussi, ce programme favorisera l’implication des médecins généralistes et des sages-femmes dans le dépistage organisé des cancers (col de l’utérus, du sein et du colon). Les professionnels de santé auront un discours commun tout au long du parcours de soin de la patiente et ils pourront améliorer la qualité de l’annonce d’un test de dépistage positif. Les objectifs : - Améliorer l’information et l’orientation des patientes dans le cadre du dépistage organisé du cancer du col de l’utérus, du cancer du sein et du cancer colorectal. - Proposer un atelier pratique pour la réalisation du frottis cervico-utérin et celle de la palpation mammaire - Connaitre les exclusions pour chaque dépistage et la bonne conduite à tenir selon les résultats des tests de dépistage. - Améliorer la qualité de l’annonce d’un test de dépistage positif.

Pharmacien


En présentiel

Formation des pharmaciens d’officine à la vaccination antigrippale

DPC

La couverture vaccinale contre la grippe saisonnière est insuffisante en France. Moins de 50% des personnes ayant reçu leur bon de prise en charge par l’assurance maladie se font vacciner alors que l’objectif national est de 75%. La formation s’inscrit dans le cadre de l’élargissement de l’offre vaccinale et de la simplification du parcours. Deux décrets fixent les conditions relatives à la vaccination par les pharmaciens d’officine : - décret n° 2019-357 du 23 avril 2019 relatif à la vaccination par les pharmaciens d’officine -et arrêté du 23 avril 2019 pris en application de l’article 59 de la loi n° 2018-1203 du 22 décembre 2018 de financement de la sécurité sociale pour 2019. Le pharmacien devient ainsi un acteur de prévention de premier plan. Il a désormais la possibilité d’informer et d’accompagner le public, mais également d’administrer directement le vaccin au sein de son officine. La journée de formation proposée aux pharmaciens d’officine leur permettra de maîtriser les principes de vaccination contre la grippe, d’organiser la pratique de la vaccination en officine et d’acquérir le geste vaccinal et d’acquérir le geste vaccinal. Lors de cette journée des mises en situation à partir de jeux de rôle et la mise en pratique sur manchons de l’acte vaccinal auront lieu au centre de simulation.