6 formations DPC UNIVERSITE PARIS 13 disponibles

Sage-Femme, Médecin Généraliste

En présentiel

Dépistage du cancer du col de l’utérus : coordonner, communiquer et réaliser

DPC

Objectifs • Appréhender le dépistage du cancer du col de l’utérus, et notamment sa coordination, comme une mission inhérente aux médecins généralistes • Communiquer aux femmes les bénéfices et les risques du dépistage du cancer du col de l’utérus, pour aboutir à une décision partagée • Développer les habiletés techniques à la réalisation du frottis cervico-utérin • Identifier les freins persistant à la réalisation du dépistage • Trouver des stratégies pour la résolution de ces freins

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Dépistage du cancer du col de l’utérus : coordonner, communiquer et réaliser

DPC

Objectifs • Appréhender le dépistage du cancer du col de l’utérus, et notamment sa coordination, comme une mission inhérente aux médecins généralistes • Communiquer aux femmes les bénéfices et les risques du dépistage du cancer du col de l’utérus, pour aboutir à une décision partagée • Développer les habiletés techniques à la réalisation du frottis cervico-utérin • Identifier les freins persistant à la réalisation du dépistage • Trouver des stratégies pour la résolution de ces freins

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Dépistage du cancer du col de l’utérus : coordonner, communiquer et réaliser

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Objectifs • Appréhender le dépistage du cancer du col de l’utérus, et notamment sa coordination, comme une mission inhérente aux médecins généralistes • Communiquer aux femmes les bénéfices et les risques du dépistage du cancer du col de l’utérus, pour aboutir à une décision partagée • Développer les habiletés techniques à la réalisation du frottis cervico-utérin • Identifier les freins persistant à la réalisation du dépistage • Trouver des stratégies pour la résolution de ces freins

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Dépistage du cancer du col de l’utérus : coordonner, communiquer et réaliser

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Objectifs • Appréhender le dépistage du cancer du col de l’utérus, et notamment sa coordination, comme une mission inhérente aux médecins généralistes • Communiquer aux femmes les bénéfices et les risques du dépistage du cancer du col de l’utérus, pour aboutir à une décision partagée • Développer les habiletés techniques à la réalisation du frottis cervico-utérin • Identifier les freins persistant à la réalisation du dépistage • Trouver des stratégies pour la résolution de ces freins

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Dépistage du cancer du col de l’utérus : coordonner, communiquer et réaliser

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Objectifs • Appréhender le dépistage du cancer du col de l’utérus, et notamment sa coordination, comme une mission inhérente aux médecins généralistes • Communiquer aux femmes les bénéfices et les risques du dépistage du cancer du col de l’utérus, pour aboutir à une décision partagée • Développer les habiletés techniques à la réalisation du frottis cervico-utérin • Identifier les freins persistant à la réalisation du dépistage • Trouver des stratégies pour la résolution de ces freins

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Outils et méthodes du suivi gynécologique en soins primaires

DPC

La formation Outils et méthodes du suivi gynécologique en soins primaires poursuite deux objectifs principaux: - Améliorer les compétences des participants dans le suivi gynécologique en soins primaires (dépistage et traitement des IST, dépistage du cancer du col de l’utérus, suivi de grossesse, prévention des grossesses non désirées) - Améliorer les habiletés des participants sur les gestes techniques gynécologiques courants. En effet, le suivi gynécologique pose problème en France: en 2010, la Haute Autorité de Santé estimait à environ 50 % le nombre de femmes dépistées du cancer du col de l’utérus et, parmi elles, seules 8 % étaient correctement dépistées. Le recours à la contraception est également problématique puisque, si 95 % des femmes ne désirant pas de grossesse utilisent une contraception (INPES 2005), une grossesse sur 3 est imprévue (Bajos 2004), en partie liée à une inadéquation entre les méthodes contraceptives prescrites et le désir des patientes (DGS 2007). Ce suivi est actuellement majoritairement par les gynécologues médicaux. Les autres acteurs impliqués sont les médecins généralistes et, plus récemment, les sages-femmes puisque l’évolution récente de la législation leur permet le suivi de la femme en dehors de la grossesse. Or les effectifs de gynécologues médicaux sont en diminution. Ainsi 88 % des gynécologues avaient plus de 55 ans en 2013 (CNOM 2014) et 60 % des gynécologues libéraux du nord de l’Île-de-France envisagent un arrêt d’activité avant 2020 (Demomed 2015). Il apparaît donc pertinent de former les médecins généralistes et les sages-femmes, sur qui se reportera la responsabilité du suivi gynécologique.