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Médecin Généraliste
En présentiel
VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE
DPC
Le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans victimes de violences physiques et /ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime au cours d'une année en France est estimé à 220 000. En 2018, 149 personnes ont été tuées dans ces conditions (19% de tous les meurtres recensés). On dénombre en plus 21 décès d'enfants, victimes collatérales de ces drames. Le repérage de situations à risque et la prise en charge initiale sont les deux domaines où les médecins généralistes devraient avoir toute leur place. La coordination et la dynamique territoriale réunissant institutionnel et associatif est un élément clé pour structurer une approche pluridisciplinaire (psychologique, juridique, sociale, culturelle, médicale et sécuritaire...). La poursuite de la formation des médecins généralistes reste l'élément clé pour répondre précocement et efficacement à ces situations de crise. Les objectifs de cette formation sont : - le médecin généraliste devra mieux communiquer pour faciliter le repérage de situation à risque, même en l'absence de signe d'alerte - le médecin généraliste devra s'approprier les critères d'évaluation du danger immédiat et de l'emprise. - le médecin généraliste devra savoir rédiger un certificat médical pour faire valoir les droits de la victime.
Médecin Généraliste
En présentiel
Le médecin généraliste dans le DOCCU (dépistage organisé du cancer du col de l'utérus)
DPC
Près de 80% des personnes (hommes et femmes confondus) sont affectés au cours de leur vie par l'infection à papillomavirus humain. L'infection est transitoire car l'organisme élimine spontanément le virus. Mais dans près de 10% des cas le papillomavirus persiste. S'il s'agit d'un HPV dit à haut risque il peut évoluer en cancer. C'est pourquoi dans le DOCCU le dépistage est maintenu par frottis entre 25 et 30 ans et par typage HPV HR entre 30 et 65 ans. En effet, près de 6000 cancers sont dus à la présence d'HPV hommes et femmes confondus se répartissant ainsi : col de l'utérus (3000), vagin, vulve, anus et ORL. Les objectifs seront : - connaitre les principes généraux de la nouvelle campagne du DOCCU - reconnaitre la qualité d'un frottis, reconnaitre un frottis anormal - orienter la patiente dans le respect des recommandations publiées en articulant le parcours de soins avec les spécialistes afin d'optimiser le suivi des anomalies. Les médecins généralistes vont assurer dans le DOCCU un rôle essentiel dans l’information et dans la réalisation de ce dépistage, en passant par le rendu des résultats et l'organisation de la prise en charge des patientes présentant une anomalie.
Médecin Généraliste
En présentiel
Les vertiges en médecine générale "ça tourne docteur"...
DPC
Les sensations vertigineuses sont un motif fréquent de consultation en médecine générale. Ce DPC doit permettre en premier lieu de déterminer si cette sensation est un vertige vrai, puis d'éliminer une éventuelle gravité qui nécessite un bilan spécialisé en urgence. L'enjeu de cette formation est de permettre par un interrogatoire minutieux et un examen clinique approfondi de différencier les types de vertiges, les éventuelles examens complémentaires à prescrire ou les manœuvres de rééducation. Les objectifs de ce DPC sont - d'identifier le vrai vertige, l'urgence (si elle est présente) et son profil dynamique - connaître la physiologie de l'oreille et de l'équilibre - définir les différents types de vertiges rencontrés en médecine générale - prescrire ou non des examens complémentaires - savoir faire les manœuvres de rééducation simples ou prescrire cette rééducation
Médecin Généraliste
En présentiel
Améliorer la pertinence des prescriptions d'examens d'imagerie médicale
DPC
L’imagerie médicale est au cœur du diagnostic et du suivi thérapeutique. C’est une discipline structurante dans la mesure où la plupart des spécialités y ont recours, et où sa bonne organisation conditionne pour partie la qualité de prise en charge des patients Cependant, les progrès de l’imagerie et le développement des nouvelles techniques rendent plus complexe le choix des examens à réaliser. La diversité de l’offre d’imagerie médicale est source d’inflation des demandes d’examen de la part des médecins et des patients, Parallèlement, les nouvelles techniques scanographiques entrainent une augmentation significative de l’irradiation d’origine médicale, avec un effet cumulatif tout au long de la vie, qu’il convient de maitriser. Or le praticien ne dispose pas de documents « guide officiel » pour l’aider dans la prise en charge des patients. Ainsi un grand champ de pathologies faisant appel à l’imagerie est laissé à l’appréciation du praticien, ce qui n’est pas sans soulever la question : - de leur justification, c’est-à-dire de l’influence des résultats obtenus sur la démarche diagnostique et thérapeutique, en France comme dans d’autres pays (USA, Canada) ; - de leur inflation et de leur coût L'ASN a publié en 2019 une directive visant à justifier les indications des examens irradiants. Cette formation a pour objet une meilleure maitrise des indications des examens d’imagerie, et la sensibilisation aux effets délétères d’examens inappropriés ou injustifiés (irradiation, coût, errance diagnostique).
Médecin Généraliste
En présentiel
La contraception : un choix personnalisé après une information éclairée
DPC
La contraception englobe un grand nombre de méthodes visant à empêcher une grossesse non désirée et de façon réversible. Toutes les méthodes devront être présentées à la patiente. L’efficacité de ces méthodes sera bonne si on respecte les conditions d'utilisation dans le but d'éviter au maximum le risque d'IVG (en augmentation chez les 20/25 ans). Choisir la méthode qui conviendra le mieux, qui entraînera le moins de contraintes pour la personne, qui sera la plus efficace possible, en respectant les contre-indications éventuelles. Pour cela, définir le besoin d'une consultation dédiée (méthode BERCER) à la demande de contraception. Etablir un suivi visant à évaluer : adéquation de la méthode choisie, observance, tolérance et satisfaction de la femme.
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VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE
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Le nombre de femmes âgées de 18 à 75 ans victimes de violences physiques et /ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire intime au cours d'une année en France est estimé à 220 000. En 2018, 149 personnes ont été tuées dans ces conditions (19% de tous les meurtres recensés). On dénombre en plus 21 décès d'enfants, victimes collatérales de ces drames. Le repérage de situations à risque et la prise en charge initiale sont les deux domaines où les médecins généralistes devraient avoir toute leur place. La coordination et la dynamique territoriale réunissant institutionnel et associatif est un élément clé pour structurer une approche pluridisciplinaire (psychologique, juridique, sociale, culturelle, médicale et sécuritaire...). La poursuite de la formation des médecins généralistes reste l'élément clé pour répondre précocement et efficacement à ces situations de crise. Les objectifs de cette formation sont : - le médecin généraliste devra mieux communiquer pour faciliter le repérage de situation à risque, même en l'absence de signe d'alerte - le médecin généraliste devra s'approprier les critères d'évaluation du danger immédiat et de l'emprise. - le médecin généraliste devra savoir rédiger un certificat médical pour faire valoir les droits de la victime.
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Le médecin généraliste dans le DOCCU (dépistage organisé du cancer du col de l'utérus)
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Près de 80% des personnes (hommes et femmes confondus) sont affectés au cours de leur vie par l'infection à papillomavirus humain. L'infection est transitoire car l'organisme élimine spontanément le virus. Mais dans près de 10% des cas le papillomavirus persiste. S'il s'agit d'un HPV dit à haut risque il peut évoluer en cancer. C'est pourquoi dans le DOCCU le dépistage est maintenu par frottis entre 25 et 30 ans et par typage HPV HR entre 30 et 65 ans. En effet, près de 6000 cancers sont dus à la présence d'HPV hommes et femmes confondus se répartissant ainsi : col de l'utérus (3000), vagin, vulve, anus et ORL. Les objectifs seront : - connaitre les principes généraux de la nouvelle campagne du DOCCU - reconnaitre la qualité d'un frottis, reconnaitre un frottis anormal - orienter la patiente dans le respect des recommandations publiées en articulant le parcours de soins avec les spécialistes afin d'optimiser le suivi des anomalies. Les médecins généralistes vont assurer dans le DOCCU un rôle essentiel dans l’information et dans la réalisation de ce dépistage, en passant par le rendu des résultats et l'organisation de la prise en charge des patientes présentant une anomalie.
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Les vertiges en médecine générale "ça tourne docteur"...
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Les sensations vertigineuses sont un motif fréquent de consultation en médecine générale. Ce DPC doit permettre en premier lieu de déterminer si cette sensation est un vertige vrai, puis d'éliminer une éventuelle gravité qui nécessite un bilan spécialisé en urgence. L'enjeu de cette formation est de permettre par un interrogatoire minutieux et un examen clinique approfondi de différencier les types de vertiges, les éventuelles examens complémentaires à prescrire ou les manœuvres de rééducation. Les objectifs de ce DPC sont - d'identifier le vrai vertige, l'urgence (si elle est présente) et son profil dynamique - connaître la physiologie de l'oreille et de l'équilibre - définir les différents types de vertiges rencontrés en médecine générale - prescrire ou non des examens complémentaires - savoir faire les manœuvres de rééducation simples ou prescrire cette rééducation
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Améliorer la pertinence des prescriptions d'examens d'imagerie médicale
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L’imagerie médicale est au cœur du diagnostic et du suivi thérapeutique. C’est une discipline structurante dans la mesure où la plupart des spécialités y ont recours, et où sa bonne organisation conditionne pour partie la qualité de prise en charge des patients Cependant, les progrès de l’imagerie et le développement des nouvelles techniques rendent plus complexe le choix des examens à réaliser. La diversité de l’offre d’imagerie médicale est source d’inflation des demandes d’examen de la part des médecins et des patients, Parallèlement, les nouvelles techniques scanographiques entrainent une augmentation significative de l’irradiation d’origine médicale, avec un effet cumulatif tout au long de la vie, qu’il convient de maitriser. Or le praticien ne dispose pas de documents « guide officiel » pour l’aider dans la prise en charge des patients. Ainsi un grand champ de pathologies faisant appel à l’imagerie est laissé à l’appréciation du praticien, ce qui n’est pas sans soulever la question : - de leur justification, c’est-à-dire de l’influence des résultats obtenus sur la démarche diagnostique et thérapeutique, en France comme dans d’autres pays (USA, Canada) ; - de leur inflation et de leur coût L'ASN a publié en 2019 une directive visant à justifier les indications des examens irradiants. Cette formation a pour objet une meilleure maitrise des indications des examens d’imagerie, et la sensibilisation aux effets délétères d’examens inappropriés ou injustifiés (irradiation, coût, errance diagnostique).
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La contraception : un choix personnalisé après une information éclairée
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La contraception englobe un grand nombre de méthodes visant à empêcher une grossesse non désirée et de façon réversible. Toutes les méthodes devront être présentées à la patiente. L’efficacité de ces méthodes sera bonne si on respecte les conditions d'utilisation dans le but d'éviter au maximum le risque d'IVG (en augmentation chez les 20/25 ans). Choisir la méthode qui conviendra le mieux, qui entraînera le moins de contraintes pour la personne, qui sera la plus efficace possible, en respectant les contre-indications éventuelles. Pour cela, définir le besoin d'une consultation dédiée (méthode BERCER) à la demande de contraception. Etablir un suivi visant à évaluer : adéquation de la méthode choisie, observance, tolérance et satisfaction de la femme.