29 formations DPC VR FORMATION disponibles

Médecin Généraliste

Mixte

Télésanté et outils numériques au cabinet du médecin généraliste (classe virtuelle)

DPC

Les outils numériques aident les médecins dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charge. Ils génèrent cependant de nombreux défis (e-réputation, impact environnemental, interopérabilité des logiciels métiers…) et exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si les question de la communication numérique en santé, des outils numériques en santé et de la télésanté ont récemment été intégrées au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour en exploiter le potentiel. Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 3, 4 et 5 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : -   Recommander les bonnes pratiques de communication en santé par voie électronique, notamment en rappelant le cadre réglementaire et  les enjeux de la e-réputation -  Permettre de se repérer dans les outils métiers en e-santé, les grands programmes de transformation numérique, les différentes catégories d’objets connectées, les applications de santé, les différents dossiers partagés et les sources d’information probante en santé - Détailler la réglementation de la télésanté et aider à la mise en oeuvre des divers actes (téléconsultation, téléexpertise…) notamment en identifiant leurs risques et enjeux en matière d’éthique et de qualité des soins.

Infirmier

Mixte

Télésanté et outils numériques au cabinet infirmier

DPC

Les outils numériques aident les infirmiers dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charge. Ils génèrent cependant de nombreux défis (e-réputation, impact environnemental, interopérabilité des logiciels métiers…) et exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si les questions de la communication numérique en santé, des outils numériques en santé et de la télésanté ont récemment été intégrées au référentiel de formation des étudiants en santé, les infirmiers en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour en exploiter le potentiel. Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 3, 4 et 5 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : -   Recommander les bonnes pratiques de communication en santé par voie électronique, notamment en rappelant le cadre réglementaire et  les enjeux de la e-réputation -  Permettre de se repérer dans les outils métiers en e-santé, les grands programmes de transformation numérique, les différentes catégories d’objets connectées, les applications de santé, les différents dossiers partagés et les sources d’information probante en santé - Détailler la réglementation de la télésanté et aider à la mise en oeuvre des divers actes (télésurveillance, téléexpertise…) notamment en identifiant leurs risques et enjeux en matière d’éthique et de qualité des soins.

Infirmier

Mixte

Hygiène numérique et gestion des données de santé au cabinet infirmier

DPC

Les services numériques aident les infirmiers dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charges. Ils exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si la question des données de santé et de la cybersécurité a récemment été intégrée au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour assurer leur « hygiène numérique » Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 1 et 2 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : Rappeler la réglementation en vigueur concernant l’identification des parties prenantes du système de santé (INS, FINESS, RPPS…), la protection des données personnelles, le régime spécifique de traitement des données à des fins de recherche et l’utilisation des outils d’accès aux données des usagers (e-CPS, ProSantéConnect…) Clarifier les concepts techniques liés au numérique en santé (données anonymes et données pseudonymes, algorithmes, systèmes d’aide à la décision…) Informer sur les grands enjeux liés aux données de santé et à la cybersécurité (IA, éthique, authentification…) Outiller les infirmiers pour la mise en place de bonnes pratiques d’hygiène numérique sur leur poste de travail et leur téléphone mobile (sécurisation physique et logicielle, bonne gestion de sa messagerie…) Alerter sur les principaux types d’actions malveillantes et proposer des actions à mettre en place pour s’en prémunir ou réagir en cas d’incident.

Masseur-Kinésithérapeute

Mixte

Télésanté et outils numériques au cabinet du masseur-kinésithérapeute

DPC

Les outils numériques aident les masseurs-kinésithérapeutes dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charge. Ils génèrent cependant de nombreux défis (e-réputation, impact environnemental, interopérabilité des logiciels métiers…) et exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si les questions de la communication numérique en santé, des outils numériques en santé et de la télésanté ont récemment été intégrées au référentiel de formation des étudiants en santé, les masseurs-kinésithérapeutes en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour en exploiter le potentiel. Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 3, 4 et 5 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : -   Recommander les bonnes pratiques de communication en santé par voie électronique, notamment en rappelant le cadre réglementaire et  les enjeux de la e-réputation -  Permettre de se repérer dans les outils métiers en e-santé, les grands programmes de transformation numérique, les différentes catégories d’objets connectées, les applications de santé, les différents dossiers partagés et les sources d’information probante en santé - Détailler la réglementation de la télésanté et aider à la mise en oeuvre des divers actes (télésurveillance, téléexpertise…) notamment en identifiant leurs risques et enjeux en matière d’éthique et de qualité des soins.

Masseur-Kinésithérapeute

Mixte

Hygiène numérique et gestion des données de santé au cabinet du masseur-kinésithérapeute

DPC

Les services numériques aident les masseurs kinésithérapeutes dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charges. Ils exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si la question des données de santé et de la cybersécurité a récemment été intégrée au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour assurer leur « hygiène numérique » Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 1 et 2 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : Rappeler la réglementation en vigueur concernant l’identification des parties prenantes du système de santé (INS, FINESS, RPPS…), la protection des données personnelles, le régime spécifique de traitement des données à des fins de recherche et l’utilisation des outils d’accès aux données des usagers (e-CPS, ProSantéConnect…) Clarifier les concepts techniques liés au numérique en santé (données anonymes et données pseudonymes, algorithmes, systèmes d’aide à la décision…) Informer sur les grands enjeux liés aux données de santé et à la cybersécurité (IA, éthique, authentification…) Outiller les masseurs kinésithérapeutes pour la mise en place de bonnes pratiques d’hygiène numérique sur leur poste de travail et leur téléphone mobile (sécurisation physique et logicielle, bonne gestion de sa messagerie…) Alerter sur les principaux types d’actions malveillantes et proposer des actions à mettre en place pour s’en prémunir ou réagir en cas d’incident.

Médecin Généraliste

Mixte

Bonnes pratiques associées à l’utilisation des outils numériques et des solutions de télémédecine par le médecin généraliste

DPC

La crise de la Covid-19 a accéléré le développement de services en télésanté et d’outils numériques de santé, ainsi que leur adoption par les médecins généralistes. La méconnaissance du cadre juridique applicable et des grands enjeux liés aux données de santé ont poussé certains d’entre eux à adopter une attitude dangereuse (« téléconsultation » sur Whatsapp ou Skype, recueil d’informations par des objets connectés destinés au grand public dont la fiabilité peut être remise en cause…) Si ces sujets ont récemment été intégrées au référentiel de formation des étudiants en médecine, les médecins généralistes en exercice sont confrontés à des informations souvent contradictoires et biaisées car émanant de sociétés commercialisant des solutions liées à la e-santé ou la télésanté. Il apparait essentiel de d’outiller les médecins généraliste au décours d’une action au contenu objectif reprenant le programme proposé en formation initiale aux actuels étudiants en médecine. Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 4 et 5 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : - Sensibiliser aux enjeux juridiques, techniques et scientifiques liés à la e-santé - Présenter un panel d’outils métiers e-santé, et en particulier les logiciels et outils associés aux grands programmes de transformation numérique (DMP, MES…) - Informer sur la catégorisation et les fonctionnalités des objets connectés et applications mobiles et outiller les médecins généralistes pour leur permettre d’évaluer leur fiabilité - Sensibiliser au cadre légal, aux risques et aux enjeux éthiques liés à la télésanté - Permettre de distinguer téléconsultation, téléassistance, télésurveillance, téléexpertise et télésoin et choisir la solution la plus adaptée à sa pratique et aux préférences des usages

Médecin Généraliste

Mixte

Hygiène numérique et gestion des données de santé au cabinet du médecin généraliste

DPC

Les services numériques aident les médecins dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charges. Ils exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si la question des données de santé et de la cybersécurité a récemment été intégrée au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour assurer leur « hygiène numérique » Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 1 et 2 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : - Rappeler la réglementation en vigueur concernant l’identification des parties prenantes du système de santé (INS, FINESS, RPPS…), la protection des données personnelles, le régime spécifique de traitement des données à des fins de recherche et l’utilisation des outils d’accès aux données des usagers (e-CPS, ProSantéConnect…) - Clarifier les concepts techniques liés au numérique en santé (données anonymes et données pseudonymes, algorithmes, systèmes d’aide à la décision…) - Informer sur les grands enjeux liés aux données de santé et à la cybersécurité (IA, éthique, authentification…) - Outiller les médecins pour la mise en place de bonnes pratiques d’hygiène numérique sur leur poste de travail et leur téléphone mobile (sécurisation physique et logicielle, bonne gestion de sa messagerie…) - Alerter sur les principaux types d’actions malveillantes et proposer des actions à mettre en place pour s’en prémunir ou réagir en cas d’incident

Médecin réanimateur, Gynécologue, Ophtalmologue, + 7 autres

Mixte

Hygiène numérique et gestion des données de santé au cabinet du médecin spécialiste

DPC

Les services numériques aident les médecins dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charges. Ils exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si la question des données de santé et de la cybersécurité a récemment été intégrée au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour assurer leur « hygiène numérique » Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 1 et 2 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : - Rappeler la réglementation en vigueur concernant l’identification des parties prenantes du système de santé (INS, FINESS, RPPS…), la protection des données personnelles, le régime spécifique de traitement des données à des fins de recherche et l’utilisation des outils d’accès aux données des usagers (e-CPS, ProSantéConnect…) - Clarifier les concepts techniques liés au numérique en santé (données anonymes et données pseudonymes, algorithmes, systèmes d’aide à la décision…) - Informer sur les grands enjeux liés aux données de santé et à la cybersécurité (IA, éthique, authentification…) - Outiller les médecins pour la mise en place de bonnes pratiques d’hygiène numérique sur leur poste de travail et leur téléphone mobile (sécurisation physique et logicielle, bonne gestion de sa messagerie…) - Alerter sur les principaux types d’actions malveillantes et proposer des actions à mettre en place pour s’en prémunir ou réagir en cas d’incident

Pharmacien

Mixte

Hygiène numérique et gestion des données de santé à l'officine

DPC

Les services numériques aident les pharmaciens d’officine dans leur pratique quotidienne et ouvrent des possibilités de coordination des prises en charges. Ils exposent également leurs utilisateurs et les usagers du système de santé à de nouveaux risques (atteintes à la vie privée et au secret médical, conséquences pénales et civiles de violations du RGPD, collecte et exploitation des données de santé par des acteurs malveillants…) Si la question des données de santé et de la cybersécurité a récemment été intégrée au référentiel de formation des étudiants en santé, les professionnels de santé en exercice méconnaissent fréquemment ces sujets et sont souvent mal outillés pour assurer leur « hygiène numérique » Cette action de formation continue, abordant l’intégralité des thématiques des domaines 1 et 2 du référentiel socle et transversal de compétences en vigueur a donc pour objectif de : - Rappeler la réglementation en vigueur concernant l’identification des parties prenantes du système de santé (INS, FINESS, RPPS…), la protection des données personnelles, le régime spécifique de traitement des données à des fins de recherche et l’utilisation des outils d’accès aux données des usagers (e-CPS, ProSantéConnect…) - Clarifier les concepts techniques liés au numérique en santé (données anonymes et données pseudonymes, algorithmes, systèmes d’aide à la décision…) - Informer sur les grands enjeux liés aux données de santé et à la cybersécurité (IA, éthique, authentification…) - Outiller les pharmaciens d’officine pour la mise en place de bonnes pratiques d’hygiène numérique sur leur poste de travail et leur téléphone mobile (sécurisation physique et logicielle, bonne gestion de sa messagerie…) - Alerter sur les principaux types d’actions malveillantes et proposer des actions à mettre en place pour s’en prémunir ou réagir en cas d’incident

Médecin réanimateur, Cardiologue, Gasto-entérologue, + 8 autres

E-learning

AMÉLIORATION DE LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR PAR LES MEDECINS

DPC

Cette action est dérivée de l’action 99BQ2200034. Elle intègre dans ses modules 5 et 9 des contenus additionnels, non pertinents pour les paramédicaux faisant partie des publics ciblés par l’action précitée. Les médecins, quelle que soit leur spécialité, sont confrontés quotidiennement à la gestion de différents types de douleurs : douleurs aigües, chroniques, postopératoires voire neuropathiques, etc… Cependant, force est de constater que de nombreux praticiens n’ont pas forcément les clés pour gérer toutes les douleurs présentées par leurs patients. La gestion de la douleur est une priorité pour les patients. Mais cette priorité est-elle toujours comprise et partagée par les médecins ? Cette action de DPC a pour but de leur donner des cadres pour comprendre, identifier et gérer les différents types de douleurs. Il s’agira également de leur présenter toute la pharmacopée antalgique et de les sensibiliser aux problématiques spécifiques aux antalgiques de palier 3. Nous devrons définir les différents types de douleurs en explicitant leurs processus physiologiques : les douleurs aigües, les douleurs chroniques, les douleurs neuropathiques, etc… Selon la fiche de cadrage 32, « Les patients sont les acteurs actifs de leur prise en charge, eux-seuls sont capables d’indiquer aux soignants ce qu’ils ressentent. Leur participation est essentielle pour évaluer l’intensité de la douleur et l’efficacité des traitements, médicamenteux ou non. Aucun examen, aucune prise de sang, aucun scanner ne permet d’objectiver la douleur : la parole peut être un signal pouvant faire évoluer la prise en charge. Ils doivent donc être informés et écoutés par les professionnels de santé. » Nous pensons que des professionnels de santé susceptibles de savoir gérer des doléances douloureuses et capables d’y faire face n’ont pas toujours intégré cette notion participative du patient et nous essayerons de leur faire prendre conscience de ce point capital. Pourtant, les professionnels de santé sont bien souvent les premiers confrontés à la plainte du patient et donc les premiers acteurs de l’évaluation et de la prise en charge de la douleur. Cette dernière résulte d’une bonne coopération patient algique/soignant : l’adhésion et la participation au projet thérapeutique dépend de l’écoute. Ainsi, l'action a pour objectifs de : - Permettre aux médecins de réévaluer leurs connaissances sur la prise en charge de la douleur et la physiologie des différents types de douleurs, notamment en différenciant douleur symptôme et douleur maladie - Présenter la pharmacopée disponible pour faire face à la gestion de la douleur, que ce soit en accompagnement ou en prévention de ses soins mais aussi pour répondre à des demandes nouvelles dans un contexte de pénurie médicale, notamment l’allégement de la charge des SDC par un décloisonnement ville-hôpital - Sécuriser la prescription et l’usage des antalgiques de palier 3, notamment dans la prise en charge de la douleur aigüe provoquée par les soins de chirurgie et de cancérologie, et diminuer leur risque de mésusage - Faire connaitre aux médecins les possibilités de prise en charge des douleurs chroniques et de leur présenter les structures dédiées. Améliorer leur adressage des patients vers les SDC. - Mener une réflexion sur la pertinence d’approches non médicamenteuses dans la prise en charge de la douleur, notamment pour les donneurs chroniques ou en voie de chronicisation, dont les médecins doivent pouvoir identifier les symptômes Pour atteindre ces objectifs, l’action intégre 9 modules de formation indépendants, correspondants chacun à une problématique. Sous forme de dialogues avec le concepteur de l’action, elle donne la parole à des médecins et des paramédicaux, mais également à une patiente algique.