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Aide-soignant, Infirmier


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SAVOIR IDENTIFIER ET EVALUER LA DOULEUR AIGUE DE LA PERSONNE AGEE

DPC

Phénomène complexe et subjectif, la douleur aigue de la personne âgée, demande sa reconnaissance, son évaluation initiale et en cours de prise en charge pour d’obtenir son soulagement. L’évaluation de la douleur aigue chez les personnes âgées requière l’appropriation par l’ensemble des professionnels de santé des différents outils d’évaluation. Sa mise en pratique systématique et ses échelles contribuent à un repérage précoce de ce type de douleur et permet des réponses adaptées de prise en charge : adaptation du soin, thérapeutiques médicamenteuses ou non médicamenteuses. Tous ces éléments réunis favorisent l’amélioration de la prévention, du repérage et de la prise en charge de la douleur aigue chez la personne âgée. La prise en charge de la douleur, critère de qualité, s’appuie sur des textes législatifs (Loi du 4 février 1995, loi du 4 mars 2OO2, …) des plans (Programme national de lutte contre la douleur : 1, 2, …) des recommandations de bonnes pratiques (Haute Autorité de santé, Société d’Etude et de Traitement de la Douleur, …) qui doit mobiliser tous les soignants et s’inscrire dans le parcours de soins du patient. Afin d’améliorer la qualité de sa prise en charge, ce programme permet aux soignants d’acquérir, d’actualiser, ou de renforcer leurs connaissances autour d’un langage commun sur la douleur et ses effets délétères en s’appuyant sur un travail d’équipe.

Aide-soignant, Infirmier


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GESTION DE L’AGRESSIVITE ET DES TROUBLES DU COMPORTEMENT PERTURBATEURS AUPRES D’UNE POPULATION ATTEINTE DE TROUBLES NEUROCOGNITIFS

DPC

Le personnel soignant est régulièrement victime d’incivilités et de violence à leur encontre sur leur lieu de travail. Selon le rapport de l’Observatoire Nationale des violences en milieu de Santé une augmentation de plus de 25% des signalements ont été constatés sur un an. Qu’il s’agisse d’insultes ou de coups et blessures. Les incivilités et violences produisent des effets délétères sur la qualité de vie au travail des soignants : stress chronique, mal-être, démotivation, dysfonctionnements, absentéisme. De plus elles portent également préjudice à la qualité des soins. Les professionnels du soin et de l’accompagnement se doivent donc d’être en mesure de repérer, prévenir et anticiper au mieux les actions à mettre en place dans le but permanent d’assurer sa propre sécurité et celle des autres en situation d’agressivité. Pour prévenir les violences, il est essentiel de gérer les troubles du comportement de type agressivité par des techniques spécifiques de communication non violente. Pour que le Soin prenne tout son sens, connaître la Personne devient aussi important que connaître sa maladie. Cette formation sur une meilleure connaissance des troubles du comportement, elle vise autant des objectifs de connaissance que des objectifs d’actions. La prise en charge de certaines pathologies ou handicap (troubles psychiatriques, maladies neuro-dégénératives, handicap mental) confrontent les aides-soignants à des troubles du comportement qui peuvent se manifester par de l’agressivité ainsi que de la violence et face auxquelles il convient de mobiliser des compétences adaptées associant des connaissances sur les différentes pathologies et le positionnement relationnel adapté. Au-delà du Savoir-Faire, elle vise des Comportements, des Attitudes un Savoir-être. Cette formation abordera également les notions de base sur les procédures pénales que les professionnels peuvent utiliser quand ils sont victimes d’incivilités et de violences .

Aide-soignant, Infirmier


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ACCOMPAGNER ET SAVOIR ETRE EN SOINS PALLIATIFS

DPC

Mettre en place un projet de soin et d’accompagnement n’est pas chose facile. Il demande aux différents protagonistes (patient, entourage, soignant) de se comprendre, de collaborer pour identifier et mettre en place les soins les plus adéquats. Tous ces soins, examens, moments de vie requièrent d’être réfléchis et élaborés par l’équipe soignante avec le patient et son entourage. Cette équipe soignante pluridisciplinarité apportant connaissances, savoir-faire, savoir-être et soutien. Mais pour mener à bien ce projet de soins, il faut aussi tenir compte de nombreux et divers éléments. Vécu, cultures, représentions (maladies, mort), souffrances, mécanismes de défense tous des points importants à interroger lors de la construction de ce projet de soins, tant sous le prisme du patient que de l’entourage. La démarche palliative socle des soins palliatifs, permet d’aborder ce sujet difficile aidant la parole à circuler et l’élaboration des représentations. Les textes de lois (Loi du 22 avril 2005, loi du 2 février 2016, le Plan national 2021-2024 « Développement des soins palliatifs et accompagnement de la fin de vie », …) et les recommandations de bonnes pratiques (L’essentiel de la démarche palliative (HAS), le guide DPC « soins palliatifs », …) apportent aux professionnels des points de repère et une argumentation pour construire un accompagnement adapté au plus près des besoins et désirs de la personne et de son entourage. Ce programme a pour objectif d’apporter aux participants des éclairages permettant l’élaboration d’un projet de soins en analysant les différents éléments dont il faudra tenir compte lors de sa construction.  Il permet de s’interroger et de s’évaluer ; d’acquérir, d’actualiser, de développer des compétences professionnelles, relationnelles, éthiques.

Aide-soignant, Infirmier


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PRENDRE SOIN ET ACCOMPAGNER EN SOINS PALLIATIFS

DPC

Les soins palliatifs s’exercent en interdisciplinarité dans une démarche centrée sur une approche globale (physique, psychologique, sociale, spirituelle) individualisée et un accompagnement des personnes, de tous âges, atteintes d’une maladie grave, évolutive, mettant en jeu le pronostic vital, en phase avancée ou terminale. Les soins palliatifs nécessitent l’identification des soins à mettre en place ainsi que la mise en œuvre d’un accompagnement adapté. Ils s’appuient sur l’appropriation de la démarche palliative par tous les professionnels de santé, quel que soit les structures et les différents lieux de soins sur l’ensemble du territoire. L’acquisition de la démarche palliative doit mener au repérage des situations de soins palliatifs, à l’amélioration et à l’anticipation des actions et des soins qui en découlent dans une réflexion interdisciplinaire. Les soins palliatifs sont étayés par des textes législatifs (Loi du 22 avril 2005, loi du 2 février 2016, le Plan national 2021-2024 « Développement des soins palliatifs et accompagnement de la fin de vie », …) qui améliorent les droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie et garantissent l’accès aux soins palliatifs et à l’accompagnement de la fin de vie. Les recommandations de bonnes pratiques (L’essentiel de la démarche palliative (HAS), le guide DPC « soins palliatifs », …) quant à elles documentent les connaissances à mobiliser pour mener les réflexions et les actions appropriées. Cet ensemble législatif permet de garantir une prise en charge pertinente et conforme aux souhaits de la personne malade tout au long de son accompagnement dans l’intérêt de celle-ci, de son entourage et des soignants. Ce programme permet aux participants l’analyse de leurs représentations face à la maladie, à la souffrance, à la mort, alimenté par des réflexions individuelles et de groupe. Il permet d’acquérir, d’actualiser, d’accroître des compétences professionnelles, relationnelles, éthiques et de développer un travail d’équipe et de transversalité.

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PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D'ALZHEIMER ET DES MALADIES APPARENTEES - ACCOMPAGNEMENT PLURIDISCIPLINAIRE

DPC

Devant l’avancée en âge de la population Française et avec l’augmentation du nombre de patients atteints de pathologies neurodégénératives, il est essentiel d’un point de vue de santé publique de pouvoir poser un diagnostic et d’informer le patient, l’entourage et les soignants sur ces pathologies. De plus l’objectif de cette formation est de sensibiliser les soignants aux structures existantes, aux accompagnements médicamenteux et non médicamenteux afin de pouvoir prendre en charge les patients et leur entourage de la meilleure façon possible en maintenant autant que possible l’autonomie et la dignité.

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PREVENTION DE LA MALTRAITANCE ET PROMOTION DE LA BIENTRAITANCE

DPC

Résumé: La maltraitance des usagers à domicile ou en institution, est un fléau qui touche 5% des + de 65 ans et 15% des + de 75 ans. Il est important d'en connaître les facteurs de risque et les retentissements sur la santé et le comportement. Axe majeur de toute politique nationale de santé, l’accompagnement bientraitant est un soin à part entière dans le parcours de soins de la personne accueillie, soignée, handicapée, vulnérable La bientraitance interroge l’ensemble des pratiques d’une équipe sur le prendre de soin, la relation et le souci de l’autre, la sollicitude, la bienveillance. Démarche de soins globale, il s’agit d’une véritable culture de respect des besoins, des droits et attentes des personnes vulnérables, qui se fait par une mobilisation active, engagée, organisée, évaluée de tous les acteurs permettant ainsi de mieux gérer les situations à risque et d’offrir des soins de qualité et respectueux de la personne. L’enjeu est de lutter contre le risque de banalisation et d’invisibilité de la maltraitance et de favoriser la diffusion de pratiques professionnelles bientraitantes. Ainsi des dispositifs de protection sont élaborés et permettent aux acteurs de s’engager dans la promotion de la bientraitance. Objectifs: Repérer la maltraitance afin de la prévenir Identifier les facteurs susceptibles de majorer les risques de maltraitance Reconnaitre l’historique du développement de la bientraitance Repérer les leviers pour une dynamique bientraitante Mettre en pratique les repères de la bientraitance

Aide-soignant, Infirmier


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GESTES ET POSTURES AU SERVICE DE L’INTEGRITE PHYSIQUE DU SOIGNANT – 1 JOUR

DPC

Cette formation est destinée à lutter contre l’épuisement professionnel du soignant en préservant son intégrité physique. Tout au long de sa journée de travail, l’organisme du soignant est soumis à de nombreuses contraintes posturales et physiques : manutentions répétées des patients pendant la réalisation de gestes techniques, lors de l’accompagnements dans les différents actes de la vie quotidienne (toilette, habillage, repas, transferts…) ; réfections de lits ; déplacements de chariots lourds et volumineux (chariots repas)... Cette importante charge physique est le plus souvent accomplie à un rythme soutenu imposé par des contraintes de temps. C’est dans ce contexte d’épuisement professionnel que l’on constate que la manutention manuelle est l’une des principales causes d’accidents du travail, d’apparition de TMS (troubles musculo-squelettiques), de lombalgies et autres pathologies mais également que les actes de maltraitance envers la personne vulnérable peuvent apparaitre. En effet, le professionnel se retrouve à passer en force sans avoir les ressources techniques pour réaliser son soin. La prévention de ces risques professionnels consiste à prendre les mesures nécessaires pour préserver la santé et la sécurité des professionnels : - Accompagner le professionnel dans l’adoption de bonnes postures professionnelles au quotidien permettant de renforcer son organisme et d’aborder sa journée de travail dans de bonnes conditions, - Former le professionnel aux gestes techniques de manutention et d’activation des personnes et des charges en adoptant les positions de sécurité et de confort. Avec cette formation il s’agit d’améliorer les conditions de travail pour apporter sécurité, bien-être et confort aux soignants tout en conservant le potentiel d’autonomie de la personne âgée en lui apportant à elle aussi sécurité, bien être et confort.

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REFLEXION ETHIQUE: ACCOMPAGNER LE REFUS DE SOINS

DPC

La personne vulnérable, vivant en institution ou à domicile doit bénéficier d’une prise en soin adaptée à son état. Les facteurs sociaux et culturels, anthropologiques, doivent être pris en compte au même titre que les facteurs médicaux et paramédicaux. Pour que l’accompagnement prenne tout son sens, connaître la Personne devient aussi important que connaître sa maladie. Cette formation vise autant des objectifs de connaissance que des objectifs d’actions. Mais au-delà du Savoir et du Savoir-Faire, elle vise des Comportements, des Attitudes, qui sont seuls capables de transformer un soin technique en Acte d’Humanité. Le degré d’évolution et de compétence d’une équipe soignante s’évalue avec la proportion de respect de la personne et de sa dignité, qu’elle est capable d’introduire dans l’organisation et dans la réalisation des soins, et ceci en tenant compte des pathologies, de leurs évolutions, et de leurs incidences sur la personne soignée. Dans cet environnement social et sociétal plus que jamais ébranlé par la crise sanitaire mondiale de la Covid-19, comprendre le concept et les contextes de refus de soin, en institution ou à domicile, est essentiel pour accompagner au mieux la personne vulnérable et prétendre lui apporter la meilleure qualité de soin possible.

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DÉNUTRITION DU SUJET ÂGÉE

DPC

Malnutrition et dénutrition peuvent concerner toute personne, à un moment ou un autre dans la vie. La dénutrition de la personne âgée, multifactorielle est plus marquée du fait du vieillissement cellulaire et d’une altération du métabolisme. Le maintien d’un bon équilibre nutritionnel est un atout santé majeur, à tous âges. Elle n’est donc pas sans conséquence sur la qualité de vie du sujet âgé. Le soin nutritionnel, le dépistage de la dénutrition sont des indicateurs qualité et de sécurité des soins. Les modifications physiologiques entrainent sarcopénie, ostéopénie en parallèle d’une multitude de facteurs de risques qui se surajoutent (troubles bucco-dentaires, condition économique, dépression, maladie neuro dégénérative, …). S’ajoutent les pathologies chroniques et/ou aigues qui vont demander une prise en charge nutritionnelle plus importante et spécifique, par exemple en présence de plaies chroniques. Au-delà du physiologique, reste primordial la convivialité et toutes les émotions véhiculées lors d’un repas, plaisir des yeux, moment de partage et d’échanges avec d’autres personnes. Aujourd‘hui, 40 % des personnes âgées hospitalisées sortent dénutries. La dénutrition majore de 30% la durée d’une hospitalisation (SFNEP) et doit être considérée comme une pathologie à part entière. Manger mieux c’est lutter et retarder l’entrée dans la dépendance, les chutes, l’asthénie, la grabatérisation, c’est prendre conscience que les besoins alimentaires de nos ainés sont aussi importants que pour les adultes jeunes. Par une politique nutritionnelle adaptée, au quotidien, évitons hospitalisation, fracture du col du fémur, et escarres !

Aide-soignant, Infirmier


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CONNAITRE ET S'APPROPRIER LES DIRECTIVES ANTICIPEES ET SAVOIR LES EXPLIQUER

DPC

La fin de vie est un sujet délicat et tabou dans notre société. Evoquer ses « desideratas » pour sa fin de vie sont des éléments difficiles à élaborer et à parler. La loi du 9 juin 1999 visant à garantir l'accès aux soins palliatifs, a été étayée par la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi Leonetti) qui a introduit, en autre, les directives anticipées. La loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie (dite loi Claeys Leonetti) quant à elle est venue réaffirmer et préciser, ces directives anticipées. C’est aux professionnels de santé, et en particulier aux médecins, qu’incombe le rôle d’informer la personne, qu’elle soit bien-portante ou malade, de ces dispositions et d’accompagner celle-ci dans ses réflexions et interrogations si elle le souhaite. L’objectif de cette formation a pour but de connaitre et de s’approprier les directives anticipées afin être en mesure d’expliquer ces dispositions, qui sont un droit pour le citoyen et un devoir pour les soignants.