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Médecin Généraliste


Mixte

Prise en charge psychologique du patient: orientation et mise en œuvre de psychothérapies de soutien niveau1

DPC

Cette formation se fera sous forme de GAP ( groupe d' analyses des pratiques ): 6  réunions de 1h 30 chacune ( une par mois ) A chaque réunion, un ou deux  participants racontent un cas de patient dans  lequel il se sent en difficulté sur le plan de la prise en charge psychologique. Les autres participants posent des questions pour aider celui qui raconte à comprendre ce qui achoppe. Cette présentation permet d’analyser collectivement la prise en charge et les problèmes rencontrés. Ce faisant,  tant le médecin qui raconte son cas que les autres participants améliorent leurs capacité d'écoute et d'accompagnement,  en apprenant à analyser les situations et en cherchant des solutions adaptées à chacune de ces situations. L’animateur expert cadre la discussion, est garant de l’écoute, de la bienveillance, de la référence au cadre des « trois espaces thérapeutiques ».  selon la conceptualisation de L. Velluet sur la psychothérapie spécifique du médecin de famille, en appliquant les principes rogériens de l'écoute bienveillante et empathique. Les objectifs sont de pouvoir situer les relations en cours dans un des trois espaces thérapeutiques,  d'améliorer les prises en charge actuelles et futures, et de s' approprier les principes rogériens ( développés par le psychologue américain Carl Rogers ) connue sous le nom de thérapie centrée sur la personne afin d'optimiser la prise en charge des patients, « C'est l'individu et non pas le problème qui est au centre. L'objectif n'est pas de résoudre un problème particulier mais d'aider l'individu à se développer afin qu'il puisse faire face aux problèmes actuels et à des problèmes ultérieurs d'une façon mieux intégrée »( Rogers ) -La considération positive inconditionnelle: il s'agit d'une attitude bienveillante et non critique, le médecin accueille le patient avec respect, acceptation  sans porter de jugement sur ses pensées , ses émotions , ses comportements. -L'empathie: le médecin cherche à comprendre et ressentir le monde intérieur du patient. Il fait preuve d'une écoute attentive. L'empathie permet au patient de se sentir compris et soutenu. - La congruence est la capacité du thérapeute à prendre conscience du flux des sentiments et émotions qui le traversent. Elle est presque synonyme de transparence ou d’authenticité en ce sens que le thérapeute ne se présente pas comme un expert mais comme une personne réelle qui ne se cache pas derrière une façade de professionnel. Une recherche bibliographique sera faite en fonction des problèmes posés.

Médecin Généraliste


En présentiel

Repérer et prendre en charge les symptômes liés à une souffrance au travail

DPC

Les plaintes et symptômes apportés par les patients en consultation,  en lien avec la souffrance au travail sont très fréquents. Néanmoins, ces symptômes sont tellement divers (plaintes respiratoires, douleurs de type ostéoarticulaire et fibromyalgie, douleurs abdominales, céphalées, hypertension, troubles mentaux de type anxiodépressif et troubles du comportement dits encore psychopathologies du travail ) qu’ils peuvent  orienter vers  une piste somatique sans élément évident pour  inciter à explorer l’existence de problèmes au travail. De plus, les médecins généralistes ne se sentent pas toujours à l’aise pour prendre en charge ces problématiques liées au travail et utiliser les multiples recours possibles. Notre séminaire va tenter d' améliorer les prises en charge  à partir de cas apportés par les participants. Nous allons nous interroger sur les symptômes, la chronologie et le contexte de leur apparition, leur gravité, leur répercussion  sur l'état de bien être du patient, sa vie au travail et sa vie personnelle. Nous questionnerons ensuite  ce que le médecin a proposé comme prise en charge, l'efficacité des mesures prises et les autres ressources qui auraient pu être  utilisées. Les objectifs: 1. Repérer la part du travail dans les plaintes et symptômes présentés par le patient. 2. Se repérer dans les différentes psychopathologies du travail. 3 . Discuter l’intérêt et les limites de l’arrêt de travail dans ce cadre de la souffrance au travail. 4. Affiner l’usage de l’arrêt de travail pour en potentialiser la pertinence. 5. Aider les patients en situation de souffrance au travail à s'interroger sur leurs modes de défense. 6. Rechercher et utiliser les ressources personnelles du patient. 7 .Mettre en place une prise en charge multidisciplinaire et complémentaire. 8. Connaitre les conditions de prise en charge des consultations de psychothérapie par  l'assurance maladie.

Médecin Généraliste


En présentiel

Psychothérapie des trois espaces. Niveau 1: approche globale du concept

DPC

La psychothérapie pratiquée en médecine générale est définie dans le référentiel métier et par la Wonca : c’est l’ensemble des moyens psychologiques qui peuvent être mis en œuvre dans un but thérapeutique en consultation. Pour chaque psychothérapie il existe une théorie, une technique, des indications et contre indications. Les psychothérapies sont peu enseignées en formation initiale alors qu’elles ont fait la preuve de leur efficacité quand elles sont déclinées en médecine générale. La psychothérapie « des trois espaces » a été conceptualisée et décrite par le Docteur Louis Velluet. Comme les autres psychothérapies, elle se décline comme une relation thérapeutique entre le médecin et le patient et promeut des changements comportementaux, affectifs et/ou émotionnels. Nous avons choisi de centrer notre formation sur la psychothérapie des trois espaces parce qu’elle a été conceptualisée pour la médecine générale autour des spécificités de celle-ci : motifs très divers de consultation, tout âges confondus, intégration dans le milieu de vie du patient, prise de connaissance progressive du contexte de vie et suivi du patient au long cours, induisant de fait une relation psychothérapeutique. Les médecins généralistes pratiquent le plus souvent cette psychothérapie de façon intuitive. La formation a pour but de professionnaliser cette psychothérapie par l'apport et l'appropriation de concept adaptés à la médecine générale. Les concepts de transfert et contre transfert, pare excitation, holding, modes de défense, répétition, autonomisation du patient seront explicités à propos des cas cliniques des participants. Ceci permettra à chacun de percevoir leur pertinence en tant qu’outils réflexifs pour décrypter le type de relation dans laquelle est installée le couple médecin-patient, de se les approprier pour comprendre comment aider le patient à atteindre les changements qu’il souhaite atteindre. D'autres niveaux seront organisés pour décliner la psychothérapie des trois espaces dans le cadre de pathologies fréquentes en médecine générale (maladies chroniques, souffrance au travail...). OBJECTIFS DE FORMATION OBJECTIF GLOBAL : s’approprier les concepts de la psychothérapie des trois espaces pour pouvoir la mettre en pratique avec les patients. QUATRE OBJECTIFS/QUATRE DEMI JOURNEES 1. Développer les connaissances des médecins généralistes concernant les trois espaces psychothérapeutiques en médecine générale. Type de transfert/contre transfert selon l’espace thérapeutique: - Définir et utiliser les concepts de Pare excitation, holding 2. Acquérir les compétences par l’application des connaissances acquises sur des cas cliniques apportés par les participants. - Repérer l’espace dans lequel se situe la relation - Décrire la posture du patient, du médecin, le type de transfert selon le degré d'autonomie spontanée et les possibilités d'évolution du patient. 3. Connaitre les indications respectives des outils de chacun des espaces : écoute, directivité, empathie/compréhension, soutien, reformulation, résonance, raisonnance, reconstruction de l’histoire de vie, roman familial… 4. Connaitre les limites de chacun des trois espaces selon les possibilités d’autonomisation des patients. selon les désirs, les compétences du médecin, selon l'interaction médecin-patient et la rencontre des représentations.

Médecin Généraliste


En présentiel

Nos pratiques de médecins généralistes au regard du concept de bientraitance

DPC

« La bientraitance est une démarche globale de prise en charge du patient ou de l’usager et d’accueil de l’entourage visant à promouvoir le respect de leurs droits et libertés, leur écoute et la prise en compte de leurs besoins, tout en prévenant la maltraitance. » La bientraitance s’adresse donc aux professionnels de santé. Ce concept, qui apparait d’abord comme une évidence, nous permet de porter attention à des situations particulières qui, le plus souvent, ne portent pas sur l’aspect biomédical du soin mais où notre éthique est sollicitée. Il ne s’agit plus de savoir quel antihypertenseur nous allons prescrire, encore que ne pas prescrire un diurétique à un patient incontinent relève aussi de la bientraitance, mais plutôt dois-je prévenir la famille du problème que je perçois, dois-je m’atteler à convaincre cette personne de changer de comportement… La has propose des outils plutôt vers les institutions mais un de ces outils nous semble particulièrement adapté au mg : le questionnaire d’auto évaluation de la bientraitance ; la HAS identifient globalement 6 situations dans lesquelles se posent le problème de la bientraitance/maltraitance ; ces situations souvent nous semblent adaptées à notre posture de médecin généraliste : • mobiliser à nouveau les professionnels autour de la promotion de la bientraitance • se saisir des plaintes et réclamations pour promouvoir la bientraitance CRUQPC-CVS • construire une collaboration entre professionnels et usagers. Notre séminaire va se centrer sur l’approche balintienne qui interroge l’influence des représentations du médecin sur ses convictions et ses préconisations, avec le risque que son désir de bien faire puisse devenir maltraitant. Le concept de bientraitance pointe son nez lorsque le patient n’est pas tout à fait autonome, du fait d’un handicap physique ou cognitif. C’est la vulnérabilité du patient qui le met à l’ordre du jour. Nous ne sommes pas forcément à l’aise devant les situations de perte d’autonomie, handicap, dépendance ou d’emprise potentielle, qui impliquent souvent des tiers, que ce soit la famille, le conjoint ou l’institution. Nous nous interrogerons sur les moyens du repérage d’un risque et la conduite à tenir, entre risque d’intrusion et d’autoritarisme ou à l’inverse de risque de démission, avec cet objectif prioritaire de reconnaître la personne dans toutes ses décisions. 4 séquences Quels sont les patients concernés, quels sont les patients à risque Comment faire la part de nos représentations dans nos convictions ou nos préconisations Comment faisons nous  en pratique dans ces situations Que pourrions nous faire d’autre ou autrement  ; Quels recours ?

Médecin Généraliste


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Prise en charge psychosomatique des douleurs rebelles inexpliquées

DPC

Contexte : D'importants progrès ont été réalisés ces vingt dernières années dans la connaissance , la prise en charge et le traitement de la douleur . Pourtant , aujourd'hui nombreux praticiens se retrouvent démunis devant des patients présentant des plaintes douloureuses , rebelles aux traitements proposés. La vie quotidienne de ces patients est tout entière envahie par les douleurs, avec retentissement personnel , professionnel et social important. Souvent l'intensité de la plainte douloureuse et ses répercussions paraissent disproportionnées par rapport au substrat somatique identifiable. Ces plaintes douloureuses entraînent la réalisation de nombreux examens complémentaires, voire d'hospitalisations itératives. L' échec des traitements, les conflits avec les professionnels de santé , le nomadisme médical, le sentiment de non reconnaissance de la souffrance sont fréquents. L' évolution de la société laisse présager d'une augmentation de ces symptômes. Ces situations relèvent de plusieurs causalités impliquant des facteurs prédisposants, précipitants et d'entretien de nature physiologique , psychologique, comportementale et sociale Le plus important , c'est la qualité de la relation médecin patient : prendre le temps , écoute empathique , rechercher la souffrance cachée , mettre des mots sur les maux . Il y a les patients qui sont prêts à reconnaître les liens entre la douleur qui les amène et leur vie psychique. La difficulté vient quand les patients résistent à reconnaître que ces douleurs qui leur gâchent la vie ( ne relève pas d'une maladie répertoriée ), ne peuvent pas disparaître avec un médicament , sans avoir à se pencher sur leur vie psychique et leur intimité. Objectifs généraux : Repérer rapidement ce type de situation , pour favoriser une prise en charge optimale Objectifs spécifiques : Évoquer rapidement le diagnostic pour éviter la multiplication des examens complémentaires avec risque de surmédicalisation et d' incidentalome. Aider le médecin à sortir de sa démarche diagnostique classique . Mettre en place une prise en charge non médicamenteuse Donner quelques outils pour faciliter la relation médecin patient . Gérer les situations difficiles face à ces patients

Médecin Généraliste


Mixte

Psychothérapie des trois espaces. Niveau 1: approche globale du concept

DPC

La psychothérapie pratiquée en médecine générale est définie dans le référentiel métier et par la Wonca : c’est l’ensemble des moyens psychologiques qui peuvent être mis en œuvre dans un but thérapeutique en consultation. Pour chaque psychothérapie il existe une théorie, une technique, des indications et contre indications. Les psychothérapies sont peu enseignées en formation initiale alors qu’elles ont fait la preuve de leur efficacité quand elles sont déclinées en médecine générale. La psychothérapie « des trois espaces » a été conceptualisée et décrite par le Docteur Louis Velluet. Comme les autres psychothérapies, elle se décline comme une relation thérapeutique entre le médecin et le patient et promeut des changements comportementaux, affectifs et/ou émotionnels. Nous avons choisi de centrer notre formation sur la psychothérapie des trois espaces parce qu’elle a été conceptualisée pour la médecine générale autour des spécificités de celle-ci : motifs très divers de consultation, tout âges confondus, intégration dans le milieu de vie du patient, prise de connaissance progressive du contexte de vie et suivi du patient au long cours, induisant de fait une relation psychothérapeutique. Les médecins généralistes pratiquent le plus souvent cette psychothérapie de façon intuitive. La formation a pour but de professionnaliser cette psychothérapie par l'apport et l'appropriation de concept adaptés à la médecine générale. Les concepts de transfert et contre transfert, pare excitation, holding, modes de défense, répétition, autonomisation du patient seront explicités à propos des cas cliniques des participants. Ceci permettra à chacun de percevoir leur pertinence en tant qu’outils réflexifs pour décrypter le type de relation dans laquelle est installée le couple médecin-patient, de se les approprier pour comprendre comment aider le patient à atteindre les changements qu’il souhaite atteindre. D'autres niveaux seront organisés pour décliner la psychothérapie des trois espaces dans le cadre de pathologies fréquentes en médecine générale (maladies chroniques, souffrance au travail...). OBJECTIFS DE FORMATION OBJECTIF GLOBAL : s’approprier les concepts de la psychothérapie des trois espaces pour pouvoir la mettre en pratique avec les patients. QUATRE OBJECTIFS/QUATRE DEMI JOURNEES 1. Développer les connaissances des médecins généralistes concernant les trois espaces psychothérapeutiques en médecine générale. Type de transfert/contre transfert selon l’espace thérapeutique: - Définir et utiliser les concepts de Pare excitation, holding 2. Acquérir les compétences par l’application des connaissances acquises sur des cas cliniques apportés par les participants. - Repérer l’espace dans lequel se situe la relation - Décrire la posture du patient, du médecin, le type de transfert selon le degré d'autonomie spontanée et les possibilités d'évolution du patient. 3. Connaitre les indications respectives des outils de chacun des espaces : écoute, directivité, empathie/compréhension, soutien, reformulation, résonance, raisonnance, reconstruction de l’histoire de vie, roman familial… 4. Connaitre les limites de chacun des trois espaces selon les possibilités d’autonomisation des patients. selon les désirs, les compétences du médecin, selon l'interaction médecin-patient et la rencontre des représentations.

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En présentiel

Nos pratiques de médecins généralistes au regard du concept de bientraitance

DPC

« La bientraitance est une démarche globale de prise en charge du patient ou de l’usager et d’accueil de l’entourage visant à promouvoir le respect de leurs droits et libertés, leur écoute et la prise en compte de leurs besoins, tout en prévenant la maltraitance. » La bientraitance s’adresse donc aux professionnels de santé. Ce concept, qui apparait d’abord comme une évidence, nous permet de porter attention à des situations particulières qui, le plus souvent, ne portent pas sur l’aspect biomédical du soin mais où notre éthique est sollicitée. Il ne s’agit plus de savoir quel antihypertenseur nous allons prescrire, encore que ne pas prescrire un diurétique à un patient incontinent relève aussi de la bientraitance, mais plutôt dois-je prévenir la famille du problème que je perçois, dois-je m’atteler à convaincre cette personne de changer de comportement… La has propose des outils plutôt vers les institutions mais un de ces outils nous semble particulièrement adapté au mg : le questionnaire d’auto évaluation de la bientraitance ; la HAS identifient globalement 6 situations dans lesquelles se posent le problème de la bientraitance/maltraitance ; ces situations souvent nous semblent adaptées à notre posture de médecin généraliste : • mobiliser à nouveau les professionnels autour de la promotion de la bientraitance • se saisir des plaintes et réclamations pour promouvoir la bientraitance CRUQPC-CVS • construire une collaboration entre professionnels et usagers. Notre séminaire va se centrer sur l’approche balintienne qui interroge l’influence des représentations du médecin sur ses convictions et ses préconisations, avec le risque que son désir de bien faire puisse devenir maltraitant. Le concept de bientraitance pointe son nez lorsque le patient n’est pas tout à fait autonome, du fait d’un handicap physique ou cognitif. C’est la vulnérabilité du patient qui le met à l’ordre du jour. Nous ne sommes pas forcément à l’aise devant les situations de perte d’autonomie, handicap, dépendance ou d’emprise potentielle, qui impliquent souvent des tiers, que ce soit la famille, le conjoint ou l’institution. Nous nous interrogerons sur les moyens du repérage d’un risque et la conduite à tenir, entre risque d’intrusion et d’autoritarisme ou à l’inverse de risque de démission, avec cet objectif prioritaire de reconnaître la personne dans toutes ses décisions. 4 séquences Quels sont les patients concernés, quels sont les patients à risque Comment faire la part de nos représentations dans nos convictions ou nos préconisations Comment faisons nous  en pratique dans ces situations Que pourrions nous faire d’autre ou autrement  ; Quels recours ?

Médecin Généraliste


En présentiel

Prise en charge psychosomatique des douleurs rebelles inexpliquées

DPC

Contexte : D'importants progrès ont été réalisés ces vingt dernières années dans la connaissance , la prise en charge et le traitement de la douleur . Pourtant , aujourd'hui nombreux praticiens se retrouvent démunis devant des patients présentant des plaintes douloureuses , rebelles aux traitements proposés. La vie quotidienne de ces patients est tout entière envahie par les douleurs, avec retentissement personnel , professionnel et social important. Souvent l'intensité de la plainte douloureuse et ses répercussions paraissent disproportionnées par rapport au substrat somatique identifiable. Ces plaintes douloureuses entraînent la réalisation de nombreux examens complémentaires, voire d'hospitalisations itératives. L' échec des traitements, les conflits avec les professionnels de santé , le nomadisme médical, le sentiment de non reconnaissance de la souffrance sont fréquents. L' évolution de la société laisse présager d'une augmentation de ces symptômes. Ces situations relèvent de plusieurs causalités impliquant des facteurs prédisposants, précipitants et d'entretien de nature physiologique , psychologique, comportementale et sociale Le plus important , c'est la qualité de la relation médecin patient : prendre le temps , écoute empathique , rechercher la souffrance cachée , mettre des mots sur les maux . Il y a les patients qui sont prêts à reconnaître les liens entre la douleur qui les amène et leur vie psychique. La difficulté vient quand les patients résistent à reconnaître que ces douleurs qui leur gâchent la vie ( ne relève pas d'une maladie répertoriée ), ne peuvent pas disparaître avec un médicament , sans avoir à se pencher sur leur vie psychique et leur intimité. Objectifs généraux : Repérer rapidement ce type de situation , pour favoriser une prise en charge optimale Objectifs spécifiques : Évoquer rapidement le diagnostic pour éviter la multiplication des examens complémentaires avec risque de surmédicalisation et d' incidentalome. Aider le médecin à sortir de sa démarche diagnostique classique . Mettre en place une prise en charge non médicamenteuse Donner quelques outils pour faciliter la relation médecin patient . Gérer les situations difficiles face à ces patients

Médecin Généraliste


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Prise en charge psychosomatique des douleurs rebelles inexpliquées

DPC

Contexte : D'importants progrès ont été réalisés ces vingt dernières années dans la connaissance , la prise en charge et le traitement de la douleur . Pourtant , aujourd'hui nombreux praticiens se retrouvent démunis devant des patients présentant des plaintes douloureuses , rebelles aux traitements proposés. La vie quotidienne de ces patients est tout entière envahie par les douleurs, avec retentissement personnel , professionnel et social important. Souvent l'intensité de la plainte douloureuse et ses répercussions paraissent disproportionnées par rapport au substrat somatique identifiable. Ces plaintes douloureuses entraînent la réalisation de nombreux examens complémentaires, voire d'hospitalisations itératives. L' échec des traitements, les conflits avec les professionnels de santé , le nomadisme médical, le sentiment de non reconnaissance de la souffrance sont fréquents. L' évolution de la société laisse présager d'une augmentation de ces symptômes. Ces situations relèvent de plusieurs causalités impliquant des facteurs prédisposants, précipitants et d'entretien de nature physiologique , psychologique, comportementale et sociale Le plus important , c'est la qualité de la relation médecin patient : prendre le temps , écoute empathique , rechercher la souffrance cachée , mettre des mots sur les maux . Il y a les patients qui sont prêts à reconnaître les liens entre la douleur qui les amène et leur vie psychique. La difficulté vient quand les patients résistent à reconnaître que ces douleurs qui leur gâchent la vie ( ne relève pas d'une maladie répertoriée ), ne peuvent pas disparaître avec un médicament , sans avoir à se pencher sur leur vie psychique et leur intimité. Objectifs généraux : Repérer rapidement ce type de situation , pour favoriser une prise en charge optimale Objectifs spécifiques : Évoquer rapidement le diagnostic pour éviter la multiplication des examens complémentaires avec risque de surmédicalisation et d' incidentalome. Aider le médecin à sortir de sa démarche diagnostique classique . Mettre en place une prise en charge non médicamenteuse Donner quelques outils pour faciliter la relation médecin patient . Gérer les situations difficiles face à ces patients

Gynécologue, Médecin Généraliste


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Troubles de la sexualité féminine en médecine générale

DPC

Les femmes se plaignent rarement de leur sexualité auprès de leur médecin traitant, mais nombre de symptômes devraient nous amener à nous y intéresser. Des symptômes tels que douleurs abdominales, troubles génito-urinaires, troubles du sommeil, dépression peuvent être les conséquences de violences actuelles ou passées . Les violences sexuelles favoriseraient des maladies telles que dépression, diabète, cancer, coronaropathie . Les mutilations sexuelles sont un cas particulier, très fréquent dans certaines régions. Elles sont pourvoyeuses de complications spécifiques qu’il faudrait connaitre. Or, nous avons du mal à aborder le sujet, comme tous ceux qui concernent l’intimité des patients pour lesquels nous ne nous sentons pas légitimes ou compétents. « Plus de 80 % des étudiants déclarent ne pas avoir reçu de formation concernant les violences au cours de leur cursus…et considèrent que la prise en charge est inadaptée » L’actualité, avec le mouvement « me too » en particulier, a fait resurgir des traumatismes. C’est une occasion pour adopter une attitude plus adaptée : améliorer notre disponibilité, instaurer une écoute active montrer notre soutien, informer sur les recours. Les objectifs: Dépister et en parler pour accompagner. Mesurer les liens entre plaintes, symptômes et sexualité et violences subies. Analyser ce que la loi de 2018 et les mouvements des réseaux sociaux changent dans notre approche. Approfondir l’approche des troubles de la sexualité par l’histoire personnelle et familiale ( représentations , discordances culturelles, injonctions )