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Mixte
Prévention des infections et de l'antibiorésistance
DPC
Le contexte : Malgré une baisse continue depuis 10 ans de la consommation d’antibiotiques en ville, la France reste le 4e pays européen le plus consommateur derrière la Grèce, la Roumanie et la Bulgarie. Après une baisse accélérée des prescriptions et de la consommation en 2020, concomitante aux mesures de gestion de l’épidémie de COVID-19 (confinements, adoption de gestes barrière, baisse des consultations médicales), l’année 2021 s’est accompagnée d’une reprise des infections hivernales courantes, des consultations médicales et des prescriptions d’antibiotiques, particulièrement au dernier trimestre. Environ 80% des prescriptions d’antibiotiques s’est faite en soins de ville, comme habituellement, avec un pic en fin d’année dû aux retours des maladies hivernales. Cette reprise concerne toutes les classes d’âge jusqu’à 64 ans mais l’évolution la plus importante des prescriptions et consommations d’antibiotiques est observée chez les enfants âgés de 0 à 4 ans : elles ont augmenté pour revenir quasiment au même niveau qu’en 2019, avant la pandémie de COVID-19. L’antibiorésistance est un grave problème de Santé Publique mondial, qui progresse extrêmement rapidement, et qui s’accélère depuis les années 2000. La résistance aux antibiotiques menace notre mode de vie actuel et compromet toutes les avancées que la médecine a effectuées depuis plus de 70 ans. Si les habitudes de surconsommation d’antibiotiques ne sont pas stoppées, l’antibiorésistance pourrait devenir l’une des principales causes de mortalité dans le monde. En France, l’antibiorésistance est la cause de 5 543 décès par an chez des patients atteints d’infections à bactéries résistantes et 124 806 patients développent une infection liée à une bactérie résistante, selon une étude du centre européen de prévention et contrôle des maladies . Un article récent estime à près de 1,3 millions par an le nombre de décès attribuables à l’antibiorésistance dans le monde en 2019. Outre le coût en pertes humaines, le coût financier des soins pour la société s’élèverait à plus de 1,5 milliards d’euros en Europe et plus de 55 milliards de dollars aux Etats-Unis . Dans le monde entier, l’antibiorésistance pourrait coûter plus de 100 000 milliards de dollars . Thématique portée : La lutte contre l’antibiorésistance repose sur différents axes s’intégrant dans la politique globale du « one health ». En médecine humaine, il s’agit de mieux utiliser les antibiotiques en limitant leur prescription aux infections bactériennes, en réduisant les durées de traitements, en optimisant les posologies et en essayant de limiter l’impact écologique des antibiothérapies nécessaires. Une stratégie de prévention de la dissémination de la résistance semble également indispensable. Cette formation se basera systématiquement sur les recommandations de bonnes pratiques les plus récentes ainsi que sur les recommandations issues des différentes sociétés savantes. Le contenu : Ce programme de 7 heures comporte une unité de 7 heures de Formation continue en classe présentielle virtuelle alternant ateliers et exposés de l’expert modérés par l’animateur traitant de la prescription d’antibiotiques dans 3 domaines différents de la médecine (infections urinaires, pulmonaires et cutanées). Ils seront suivis d’une plénière concernant le bon de usage des antibiotiques et l’utilisation d’outils pour une amélioration des prescriptions, les mesures de prévention et la transmission des agents pathogènes ainsi que la recommandation de sources d’informations et d’outils fiables en matière de prévention, de contrôle des infections et d’un bon usage des antibiotiques. Les objectifs : L’objectif de ce développement professionnel continu (DPC) est d’aborder et de traiter des problématiques d’antibiorésistance à travers 3 situations cliniques différentes (infections urinaires, infections broncho-pulmonaires et infections de la peau et des tissus mous), le but de ce DPC étant de favoriser une méthodologie d’analyse. Pour cela il est important de : 1) Maîtriser les outils de diagnostics rapides des infections (tests de diagnostics rapides : StreptoTest, Antigènurie, PCR…). 2) Connaître les critères de gravité des infections afin de pouvoir orienter au mieux les patients dans leur prise en charge (ambulatoire, hospitalière, soins intensifs/réanimation). 3) Connaître les mécanismes de transmission des agents infectieux et d’acquisition des infections associées aux soins et d’être formé sur les différentes mesures de prévention d’infections (précautions complémentaires, vaccination…). 4) Savoir interpréter les résultats des prélèvements microbiologiques en accord avec les dernières recommandations des sociétés savantes. 5) Connaître l’épidémiologie actuelle des principales résistances aux antibiotiques pour les infections courantes (ORL, infections respiratoires basses, infections urinaires…). 6) Être informé des outils d’aide à la décision diagnostic et thérapeutique (sites-ressources : antibioclic, recommandations de bonnes pratiques…). 7) De connaître les systèmes de surveillance et de déclarations des infections associées à des bactéries multirésistantes.
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En présentiel
Prévention des infections et de l'antibiorésistance - Présentielle
DPC
Le contexte : Malgré une baisse continue depuis 10 ans de la consommation d’antibiotiques en ville, la France reste le 4e pays européen le plus consommateur derrière la Grèce, la Roumanie et la Bulgarie. Après une baisse accélérée des prescriptions et de la consommation en 2020, concomitante aux mesures de gestion de l’épidémie de COVID-19 (confinements, adoption de gestes barrière, baisse des consultations médicales), l’année 2021 s’est accompagnée d’une reprise des infections hivernales courantes, des consultations médicales et des prescriptions d’antibiotiques, particulièrement au dernier trimestre. Environ 80% des prescriptions d’antibiotiques s’est faite en soins de ville, comme habituellement, avec un pic en fin d’année dû aux retours des maladies hivernales. Cette reprise concerne toutes les classes d’âge jusqu’à 64 ans mais l’évolution la plus importante des prescriptions et consommations d’antibiotiques est observée chez les enfants âgés de 0 à 4 ans : elles ont augmenté pour revenir quasiment au même niveau qu’en 2019, avant la pandémie de COVID-19. L’antibiorésistance est un grave problème de Santé Publique mondial, qui progresse extrêmement rapidement, et qui s’accélère depuis les années 2000. La résistance aux antibiotiques menace notre mode de vie actuel et compromet toutes les avancées que la médecine a effectuées depuis plus de 70 ans. Si les habitudes de surconsommation d’antibiotiques ne sont pas stoppées, l’antibiorésistance pourrait devenir l’une des principales causes de mortalité dans le monde. En France, l’antibiorésistance est la cause de 5 543 décès par an chez des patients atteints d’infections à bactéries résistantes et 124 806 patients développent une infection liée à une bactérie résistante, selon une étude du centre européen de prévention et contrôle des maladies . Un article récent estime à près de 1,3 millions par an le nombre de décès attribuables à l’antibiorésistance dans le monde en 2019. Outre le coût en pertes humaines, le coût financier des soins pour la société s’élèverait à plus de 1,5 milliards d’euros en Europe et plus de 55 milliards de dollars aux Etats-Unis . Dans le monde entier, l’antibiorésistance pourrait coûter plus de 100 000 milliards de dollars . Thématique portée : La lutte contre l’antibiorésistance repose sur différents axes s’intégrant dans la politique globale du « one health ». En médecine humaine, il s’agit de mieux utiliser les antibiotiques en limitant leur prescription aux infections bactériennes, en réduisant les durées de traitements, en optimisant les posologies et en essayant de limiter l’impact écologique des antibiothérapies nécessaires. Une stratégie de prévention de la dissémination de la résistance semble également indispensable. Cette formation se basera systématiquement sur les recommandations de bonnes pratiques les plus récentes ainsi que sur les recommandations issues des différentes sociétés savantes. Le contenu : Ce programme de 7 heures comporte une unité de 7 heures de Formation continue présentielle alternant ateliers et exposés de l’expert modérés par l’animateur traitant de la prescription d’antibiotiques dans 3 domaines différents de la médecine (infections urinaires, pulmonaires et cutanées). Ils seront suivis d’une plénière concernant le bon de usage des antibiotiques et l’utilisation d’outils pour une amélioration des prescriptions, les mesures de prévention et la transmission des agents pathogènes ainsi que la recommandation de sources d’informations et d’outils fiables en matière de prévention, de contrôle des infections et d’un bon usage des antibiotiques. Les objectifs : L’objectif de ce développement professionnel continu (DPC) est d’aborder et de traiter des problématiques d’antibiorésistance à travers 3 situations cliniques différentes (infections urinaires, infections broncho-pulmonaires et infections de la peau et des tissus mous), le but de ce DPC étant de favoriser une méthodologie d’analyse. Pour cela il est important de : 1) Maîtriser les outils de diagnostics rapides des infections (tests de diagnostics rapides : StreptoTest, Antigènurie, PCR…). 2) Connaître les critères de gravité des infections afin de pouvoir orienter au mieux les patients dans leur prise en charge (ambulatoire, hospitalière, soins intensifs/réanimation). 3) Connaître les mécanismes de transmission des agents infectieux et d’acquisition des infections associées aux soins et d’être formé sur les différentes mesures de prévention d’infections (précautions complémentaires, vaccination…). 4) Savoir interpréter les résultats des prélèvements microbiologiques en accord avec les dernières recommandations des sociétés savantes. 5) Connaître l’épidémiologie actuelle des principales résistances aux antibiotiques pour les infections courantes (ORL, infections respiratoires basses, infections urinaires…). 6) Être informé des outils d’aide à la décision diagnostic et thérapeutique (sites-ressources : antibioclic, recommandations de bonnes pratiques…). 7) De connaître les systèmes de surveillance et de déclarations des infections associées à des bactéries multirésistantes.
Dermatologue, Gériatre, Gynécologue, + 12 autres
Mixte
Amélioration de la couverture vaccinale-classe virtuelle
DPC
Le Contexte : Malgré une amélioration récente de la couverture vaccinale, un grand nombre de personnes en France reste réticent à se faire vacciner avec pour conséquence un risque de développement d’épidémies et de formes graves de maladies infectieuses. L’arrivée de nouveaux vaccins à ARN messager n’a fait qu’accroitre cette réticence. Par ailleurs, les jeunes adultes ont tendance à beaucoup s’informer via les réseaux sociaux, ce qui pose le problème de la fiabilité des sources et des fausses informations qu’il faut savoir démentir. Chaque année, de nouvelles techniques de prévention des maladies émergent (vaccins à ARN messager, prévention du VRS par l’anticorps monoclonal Nirsevinab, etc), et les recommandations évoluent (généralisation de la vaccination des nourrissons contre le Rotavirus, vaccination HPV chez les garçons etc), rendant la formation régulière des praticiens indispensable. Il est à noter également que la couverture vaccinale des professionnels de santé reste insuffisante pour les pathologies hautement transmissibles à l’origine possible de transmission nosocomiale. Le contenu : Ce programme de FC de 7h comporte 7 séquences permettant aux médecins participants une mise à jour de leurs connaissances sur : - Les maladies à prévention vaccinale inscrites dans le calendrier des vaccinations obligatoires - Les vaccinations recommandées - La liste des grands acteurs institutionnels de la vaccination - Les techniques d’argumentations en cas de réticence vaccinale Les objectifs : 1- Rappeler l’histoire et l’intérêt de la vaccination 2- Rappeler le calendrier des vaccinations obligatoires 3- Faire le point sur les vaccinations recommandées 4- Rappeler les grands acteurs institutionnels de la vaccination et leur rôle ainsi que les ressources à dispositions du public et des professionnels de santé 5- S’approprier les techniques d’argumentation en cas de réticence vaccinale
Dermatologue, Gériatre, Gynécologue, + 12 autres
En présentiel
Amélioration de la couverture vaccinale-classe présentielle
DPC
Le Contexte : Malgré une amélioration récente de la couverture vaccinale, un grand nombre de personnes en France reste réticent à se faire vacciner avec pour conséquence un risque de développement d’épidémies et de formes graves de maladies infectieuses. L’arrivée de nouveaux vaccins à ARN messager n’a fait qu’accroitre cette réticence. Par ailleurs, les jeunes adultes ont tendance à beaucoup s’informer via les réseaux sociaux, ce qui pose le problème de la fiabilité des sources et des fausses informations qu’il faut savoir démentir. Chaque année, de nouvelles techniques de prévention des maladies émergent (vaccins à ARN messager, prévention du VRS par l’anticorps monoclonal Nirsevinab, etc), et les recommandations évoluent (généralisation de la vaccination des nourrissons contre le Rotavirus, vaccination HPV chez les garçons etc), rendant la formation régulière des praticiens indispensable. Il est à noter également que la couverture vaccinale des professionnels de santé reste insuffisante pour les pathologies hautement transmissibles à l’origine possible de transmission nosocomiale. Le contenu : Ce programme de FC de 7h comporte 7 séquences permettant aux médecins participants une mise à jour de leurs connaissances sur : - Les maladies à prévention vaccinale inscrites dans le calendrier des vaccinations obligatoires - Les vaccinations recommandées - La liste des grands acteurs institutionnels de la vaccination - Les techniques d’argumentations en cas de réticence vaccinale Les objectifs : 1- Rappeler l’histoire et l’intérêt de la vaccination 2- Rappeler le calendrier des vaccinations obligatoires 3- Faire le point sur les vaccinations recommandées 4- Rappeler les grands acteurs institutionnels de la vaccination et leur rôle ainsi que les ressources à dispositions du public et des professionnels de santé 5- S’approprier les techniques d’argumentation en cas de réticence vaccinale
Dermatologue, Gériatre, Gynécologue, + 12 autres
Mixte
Amélioration de la couverture vaccinale
DPC
Le Contexte : Malgré une amélioration récente de la couverture vaccinale, un grand nombre de personnes en France reste réticent à se faire vacciner avec pour conséquence un risque de développement d’épidémies et de formes graves de maladies infectieuses. L’arrivée de nouveaux vaccins à ARN messager n’a fait qu’accroitre cette réticence. Par ailleurs, les jeunes adultes ont tendance à beaucoup s’informer via les réseaux sociaux, ce qui pose le problème de la fiabilité des sources et des fausses informations qu’il faut savoir démentir. Chaque année, de nouvelles techniques de prévention des maladies émergent (vaccins à ARN messager, prévention du VRS par l’anticorps monoclonal Nirsevinab, etc), et les recommandations évoluent (généralisation de la vaccination des nourrissons contre le Rotavirus, vaccination HPV chez les garçons etc), rendant la formation régulière des praticiens indispensable. Il est à noter également que la couverture vaccinale des professionnels de santé reste insuffisante pour les pathologies hautement transmissibles à l’origine possible de transmission nosocomiale. Le contenu : Ce programme de FC de 7h comporte 7 séquences permettant aux médecins participants une mise à jour de leurs connaissances sur : - Les maladies à prévention vaccinale inscrites dans le calendrier des vaccinations obligatoires - Les vaccinations recommandées - La liste des grands acteurs institutionnels de la vaccination - Les techniques d’argumentations en cas de réticence vaccinale Les objectifs : 1- Rappeler l’histoire et l’intérêt de la vaccination 2- Rappeler le calendrier des vaccinations obligatoires 3- Faire le point sur les vaccinations recommandées 4- Rappeler les grands acteurs institutionnels de la vaccination et leur rôle ainsi que les ressources à dispositions du public et des professionnels de santé 5- S’approprier les techniques d’argumentation en cas de réticence vaccinale
Gériatre, Gynécologue, Médecin Généraliste, + 3 autres
Mixte
Repérage et prise en charge du risque cardiovasculaire
DPC
Le contexte : Véritable enjeu de Santé Publique, les maladies cardiovasculaires sont responsables de près d’un décès sur trois et représentent la seconde cause de mortalité en France. Leur prévention et leur prise en charge est donc indispensable. Le risque cardiovasculaire est multifactoriel. Il comprend le mode de vie et les facteurs de risque métaboliques associés. Avec l’âge, ces facteurs de risque vont augmenter. Le médecin devra donc intervenir sur le mode de vie, prescrire les traitements pharmacologiques adaptés à chaque patient et savoir évaluer la poly médication. Le contenu : Ce programme de FC présentielle de 7h comporte : - Une unité 1 de 2 heures en présentiel correspondant à une évaluation des pratiques professionnelles à l’aide d’un test d’évaluation initial et de 3 vignettes cliniques. - Une unité 2 de 4 heures de formation présentielle qui traitera des thématiques suivantes : - Évaluation globale du risque cardiovasculaire. - Prise en charge globale du risque (modifications des habitudes de vie, prise en charge médicamenteuse). -Polymédication, réévaluation des stratégies de prise en charge avec un focus sur dernières recommandations en matière de médicaments. - Une unité 3 de 1 heure en présentiel qui aura pour objectif une évaluation finale afin de juger de l’appropriation de la formation par chacun des participant. Elle comprendra un test d’évaluation final et 2 nouvelles vignettes cliniques Ce programme s’appuiera sur les guides de bonne pratique de la HAS. Les objectifs : Les objectifs à atteindre sont les suivants pour la situation clinique visée : 1. Identifier les règles hygièno- diététiques à recommander au patient. 2. Connaitre les médicaments à prescrire en tenant compte de la perturbation des paramètres. 3. Identifier les différents effets secondaires d’une polymédication et savoir réadapter le traitement.
Médecin Généraliste
En présentiel
Lecture et interprétation de l'ECG
DPC
Le contexte : Les motifs de consultation pour des problèmes cardiologiques représentent une part importante de l’activité des médecins généralistes, en particulier dans le cadre de la permanence de soins et des soins non programmés. L’ECG est un outil incontournable dans l’identification correcte de différentes pathologies (douleur thoracique, malaise, dyspnée, palpitations etc…) pour optimiser le diagnostic, juger le degré d’urgence et pour améliorer la prise en charge. La complexité de nombreux tracés justifie à ce titre une formation régulière afin de se réapproprier un outil particulièrement performant et incontournable pour tous les médecins généralistes dans le but d’optimiser le diagnostic et la prise en charge des patients présentant des pathologies cardiaques. Le contenu : Ce programme de FC de 7h comporte 2 demi-journées en classe virtuelle présentielle qui aborderont dans un premier temps un rappel concernant l’ECG normal et dans un deuxième temps les ECG de patients présentant des douleurs thoraciques et/ou des malaises d’origine cardiaque. Ce programme s’appuiera sur les recommandations de bonne pratique. Les objectifs : Les objectifs à atteindre sont les suivants pour la situation clinique visée : 1. Analyser un ECG de manière rigoureuse et systématique 2. Reconnaître sur un ECG les tracés permettant d’affirmer une atteinte coronaire ST+ et ST- 3. Reconnaître sur un tracé ECG les blocs droit et gauche complets et incomplets 4. Reconnaître sur un tracé ECG un BAV 1, 2 et 3 5. Reconnaître sur un tracé ECG un trouble du rythme supraventriculaire, jonctionnel et ventriculaire.
Pharmacien, Infirmier
En présentiel
Module 1 : Promotion de la vaccination et amélioration de la couverture vaccinale
DPC
Le Contexte : Les compétences vaccinales des infirmiers et pharmaciens ont été étendues par la loi de financement de la sécurité sociale dont les modalités ont été précisées par le décret du 9 août 2023. Malgré une amélioration récente de la couverture vaccinale, un grand nombre de personnes en France restent réticents à se faire vacciner avec pour conséquence un risque de développement d’épidémies et de formes graves de maladies infectieuses. La vaccination est un des aspects où le transfert de compétence peut être assuré sans risque majeur et sans protocolisation excessive à condition que les vaccinateurs suivent une formation préalable et régulière. Diversifier les modes d’accès à la vaccination, c’est aussi œuvrer pour sa promotion et lutter contre l’hésitation vaccinale. C’est aussi profiter de la relation de confiance déjà établi entre le grand publique et les professionnels de terrain. La formation dédiera donc un temps à l’acquisition des attitudes et répondre aux questions légitimes du publique sur les vaccins. Il est à noter également que la couverture vaccinale des professionnels de santé reste insuffisante pour les pathologies hautement transmissibles à l’origine possible de transmission nosocomiale. Le contenu : Ce programme de FC de 12h comporte une première unité de 7 h qui permettra à l’apprenant de s’approprier les maladies à prévention vaccinale inscrites dans le calendrier des vaccinations (principaux signes cliniques, mode de transmission, épidémiologie et population à risque) ainsi que le calendrier des vaccinations et la transmission de l’information. L’unité 2 de 1h permettra une évaluation des connaissances de l’unité 1. Les apprenants ne pourront accéder à l’unité 3 qu’en cas de réussite à cette évaluation (unité 2). L’unité 3 de 4h permettra aux apprenants de savoir prescrire en pratique. Elle sera suivie de 3 cas . Les objectifs : · Faire connaitre pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. · Faire connaitre les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) ainsi que les populations cibles et les contre-indications. · Faire connaitre les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. · Former les professionnels de santé aux : - Informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient. - Différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc...). - Différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur aux médecins traitants. · Permettre aux professionnels de santé de savoir prescrire en pratique.
Pharmacien, Infirmier
Mixte
Module 1 : Promotion de la vaccination et amélioration de la couverture vaccinale
DPC
Le Contexte : Les compétences vaccinales des infirmiers et pharmaciens ont été étendues par la loi de financement de la sécurité sociale dont les modalités ont été précisées par le décret du 9 août 2023. Malgré une amélioration récente de la couverture vaccinale, un grand nombre de personnes en France restent réticents à se faire vacciner avec pour conséquence un risque de développement d’épidémies et de formes graves de maladies infectieuses. La vaccination est un des aspects où le transfert de compétence peut être assuré sans risque majeur et sans protocolisation excessive à condition que les vaccinateurs suivent une formation préalable et régulière. Diversifier les modes d’accès à la vaccination, c’est aussi œuvrer pour sa promotion et lutter contre l’hésitation vaccinale. C’est aussi profiter de la relation de confiance déjà établi entre le grand publique et les professionnels de terrain. La formation dédiera donc un temps à l’acquisition des attitudes et répondre aux questions légitimes du publique sur les vaccins. Il est à noter également que la couverture vaccinale des professionnels de santé reste insuffisante pour les pathologies hautement transmissibles à l’origine possible de transmission nosocomiale. Le contenu : Ce programme de FC de 12h comporte une première unité de 7 h qui permettra à l’apprenant de s’approprier les maladies à prévention vaccinale inscrites dans le calendrier des vaccinations (principaux signes cliniques, mode de transmission, épidémiologie et population à risque) ainsi que le calendrier des vaccinations et la transmission de l’information. L’unité 2 de 1h permettra une évaluation des connaissances de l’unité 1. Les apprenants ne pourront accéder à l’unité 3 qu’en cas de réussite à cette évaluation (unité 2). L’unité 3 de 4h permettra aux apprenants de savoir prescrire en pratique. Elle sera suivie de 3 cas. Les objectifs : · Faire connaitre pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. · Faire connaitre les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) ainsi que les populations cibles et les contre-indications. · Faire connaitre les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. · Former les professionnels de santé aux : - Informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient. - Différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc...). - Différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur aux médecins traitants. · Permettre aux professionnels de santé de savoir prescrire en pratique.
Médecin Généraliste
Mixte
Gestes techniques utiles dans la pratique : Lecture de l'ECG
DPC
Le contexte : Les motifs de consultation pour des problèmes cardiologiques représentent une part importante de l’activité des médecins généralistes, en particulier dans le cadre de la permanence de soins. L’ECG est un outil incontournable dans l’identification correcte de différentes pathologies (douleur thoracique, malaise, dyspnée, etc…) pour optimiser le diagnostic, juger le degré d’urgence et pour améliorer la prise en charge. La complexité de nombreux tracés justifie à ce titre une formation régulière afin de se réapproprier un outil particulièrement performant et incontournable pour tous les médecins généralistes dans le but d’optimiser le diagnostic et la prise en charge des patients présentant des pathologies cardiaques. Le contenu : Ce programme de FC de 7h comporte 2 demi-journées en classe virtuelle présentielle qui aborderont dans un premier temps un rappel concernant l’ECG normal et dans un deuxième temps les ECG de patients présentant des douleurs thoraciques et/ou des malaises d’origine cardiaque. Ce programme s’appuiera sur les recommandations de bonne pratique. Les objectifs : Les objectifs à atteindre sont les suivants pour la situation clinique visée : 1. Analyser un ECG de manière rigoureuse et systématique. 2. Reconnaître sur un ECG les tracés permettant d’affirmer une atteinte coronaire ST+ et ST-. 3. Reconnaître sur un tracé ECG les blocs droit et gauche complet et incomplet. 4. Reconnaître sur un tracé ECG un BAV 1, 2 et 3. 5. Reconnaître sur un tracé ECG un trouble du rythme supraventriculaire, jonctionnel et ventriculaire.