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Mixte

Prise en charge du patient âgé en péri-opératoire d’une chirurgie majeure

DPC

Le nombre de patients âgés (75 ans et plus) bénéficiant d’une chirurgie lourde est en constante augmentation. Parmi eux, certains présentent une comorbidité sévère, ou sont susceptibles de développer des complications post opératoires majeures (insuffisance cardiaque, rénale ou respiratoire, accident cardio-vasculaire, choc septique, etc.). Les stratégies de réduction de ces risques, allant de la prise en charge pré à post opératoire, est un enjeu majeur de formation pour la spécialité d’anesthésie-réanimation. Le CFAR a donc développé une formation au format mixte, couplant une partie de formation continue présentielle à une évaluation de pratiques professionnelles sous forme d’audit clinique à réaliser en ligne depuis sa plateforme e-learning. Elle a pour objectif de promouvoir les pratiques anesthésiques et de soins critiques, allant de l’évaluation pré opératoire aux soins post opératoires, susceptibles d’améliorer la prise en charge de ces patients. Cette formation se divise en trois unités : - Séquence 1 : Réalisation d’un premier tour d’audit clinique Réalisation, avant une journée de formation présentielle, d’une évaluation des pratiques professionnelles sous la forme d’un audit clinique relatif à la prise en charge des patients âgés à réaliser en ligne depuis la plateforme e-learning du CFAR. Cette première étape permettra de réaliser un premier autodiagnostic de la pratique du professionnel, qui lui permettra de décider d’actions d’amélioration à mettre en place pour améliorer ses résultats (élaboration/déploiement de protocoles, aides pratiques, etc.).  Les résultats de ce tour d’audit sont ensuite analysés par de manière collective par les experts formateurs qui animeront la journée de formation, afin de déterminer les raisons des écarts constatés entre les résultats du participant et les attendus, notamment celles liées aux pratiques ou à l’organisation des soins. - Séquence 2 : Journée présentielle de formation continue Cette journée abordera les modalités de prise en charge spécifiques à l’anesthésie du sujet âgé telles qu’exigées par l’orientation prioritaire de DPC, présentées par des experts scientifiques sur le sujet. Cette journée abordera l’ensemble de la prise en charge anesthésique, du pré au post opératoire. Les participants auront la possibilité de discuter avec les experts des actions d’amélioration à mettre en place suite à leurs résultats d’audit. Cette étape de formation sera évaluée par QCM avant et après la formation, en même temps que les étapes d’évaluation des pratiques professionnelles. - Séquence 3 : Réalisation d’un second tout d’audit clinique Réalisation, trois mois après la demi-journée de formation, de la seconde partie de l’évaluation des pratiques professionnelles sous la forme d’un audit clinique, à réaliser en ligne depuis la plateforme e-learning du CFAR. Le participant devra justifier des actions mises en place au sein de son service. Après avoir complété le second audit, il pourra mesurer l’évolution de sa pratique.

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Mixte

Gestion des risques liés à l’anesthésie locorégionale

DPC

L’incidence de la mortalité associée à un type d’anesthésie locorégionale (ALR) varie de façon importante selon le type de patient et la nature de la chirurgie. Pour la césarienne, Hawkins et coll. ont estimé l’incidence des décès liés à l’ALR à 1,9 décès par million de césariennes réalisées sous ALR alors que, dans des études hors obstétrique, l’incidence peut être plus élevée. Le programme proposé est de typologie programme intégré, comprenant une journée et demi de formation continue interactive avec les participants, et complétée, pendant et après leur tenue, d’une évaluation des pratiques professionnelles de type Tests de concordance de script (TCS), et conformément aux attendus de l’orientation prioritaire n° 10 « Maîtrise des risques associés aux actes et aux parcours de soins ». Il a pour objectif l’amélioration de la qualité des soins et la sécurité des patients soumis à une anesthésie locorégionale. Il se compose de deux parties, réparties sur trois séquences. La première séquence est une session de Tests de Concordance de Script (TCS) proposée aux participants sous format virtuel, via la plateforme e-learning du CFAR. Ces tests permettent d’évaluer le raisonnement clinique du professionnel qui le réalise, et notamment sa capacité à prendre des décisions pertinentes dans des cas complexes, ou en situation d’«incertitude», en le confrontant aux avis d’un rédacteur expert, et en le mettant en face du raisonnement du reste du groupe d’apprenants (qui est visible sur la plateforme après que le participant ait répondu). Cette méthode permet une auto-évaluation des pratiques. Les TCS ont été rédigés par les orateurs de la journée de formation (séquence 2), ce qui permet de tenir compte des sujets précis abordés lors de la journée. Les réponses aux TCS sont enregistrées dans la plateforme. Une synthèse des réponses est ainsi envoyée au groupe d’experts, qui peut ainsi analyser les faiblesses du groupe, et préciser des éléments clés de prise en charge lors de la journée de formation. La deuxième séquence est une journée de formation organisée et animée par des experts de la thématique, ayant rédigé et analysé les TCS que les participants auront dû complétés au préalable. Les situations abordées dans lors de cette journée de formation déclinent les risques communs et spécifiques liés aux ALR des différents membres. A la fin de la journée, les résultats du premier tour de TCS (Tests de Concordance de Script) sont discutés en séance, avec les experts rédacteurs. Chaque participant est ainsi capable d’identifier ses faiblesses, et de rédiger, en complément des actions suggérées par le panel d’experts, des objectifs d’amélioration et des actions à mettre en place au quotidien pour améliorer sa pratique. La troisième séquence est un second tour de TCS. Ce second tour reprend les risques développés dans le tour précédent, et est organisé trois mois après la journée de formation. L‘écart entre les deux tours de TCS permet alors d’identifier l’amélioration des pratiques, et de mettre en lien cet écart avec les actions d’amélioration mises en œuvre par le professionnel.

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E-learning

Prévention du risque d'intubation difficile

DPC

L’intubation et l’extubation trachéales sont des actes indissociables et courants de la pratique de l’anesthésie-réanimation, mais pour autant elles ne peuvent ni ne doivent être banalisées. Dans un certain nombre de cas, l’intubation et/ou l’extubation trachéales sont difficiles et représentent toujours une cause importante de la morbidité-mortalité en anesthésie-réanimation. L'éventualité d'une intubation difficile, quoique rare, doit être recherchée par un examen pré-anesthésique systématiquement orienté sur sa détection. Enfin, si tout anesthésiste ne peut maîtriser l'ensemble des techniques décrites en cas d'intubation difficile, il doit toujours être capable d'assurer une oxygénation efficace afin d’éviter toute complication thoracique. Ce programme, réalisable entièrement en ligne depuis la plateforme e-learning du CFAR, a pour objectif de prévenir et de sécuriser l’acte d’intubation difficile lors d’une anesthésie. Basé sur les dernières recommandations éditées en 2017, il propose un outil pédagogique, de type Évaluation des Pratiques Professionnelles, structuré de la façon suivante : - Étape n°1 : Réalisation d’un autodiagnostic, puis d’un premier audit clinique centré sur l’intubation difficile sur 10 dossiers (7 dossiers d’intubations difficiles ou potentiellement difficiles prévues, et 3 dossiers d’intubations difficiles non prévues) et rédaction des actions d’amélioration des pratiques à mettre en oeuvre - Étape n°2 : Mise à disposition de documents pédagogiques et d’outils d’aide à l’amélioration des pratiques professionnelles dans le domaine de l’intubation difficile. - Étape n°3 : Évaluation des connaissances et mise en œuvre d'axes d'amélioration par le remplissage d'un dossier progressif individuel, à compléter au fur et à mesure des changements amorcés. - Étape n°4 : Réalisation d’un nouvel audit de clinique sur 10 dossiers (7 dossiers d’intubations difficiles ou potentiellement difficiles prévues, et 3 dossiers d’intubations difficiles non prévues) trois mois après le premier tour. Les résultats seront comparés avec ceux du premier audit pour visualiser la progression du participant.

Médecin réanimateur


En présentiel

ERACS/RAACC - Parcours d’optimisation des soins en chirurgie cardiaque

DPC

Malgré de très nombreux progrès ces dernières décennies, la chirurgie cardiaque est associée à une morbidité et une mortalité postopératoire pouvant varier de 5 à 75% en fonction de la chirurgie réalisée, des comorbidités des patients et de leur fragilité. Le parcours ERACS (Enhanced Recovery After Cardiac Surgery), ou Réhabilitation améliorée après chirurgie cardiaque (RAACC), est une optimisation multimodale et interdisciplinaire de la prise en charge périopératoire du patient dans le but de favoriser le rétablissement précoce de ses capacités après la chirurgie, d’améliorer sa satisfaction, de réduire la morbi-mortalité postopératoire et les durées de séjour. Il s’applique aux trois phases du parcours de soins des patients en chirurgie, à savoir : le pré, le per et le postopératoire. Cette formation a pour objectif d'accompagner les anesthésistes-réanimateurs dans le développement de la chirurgie ambulatoire et de la récupération améliorée après une chirurgie cardiaque, en développant les points spécifiques à connaitre à chaque étape du parcours opératoire.

Médecin réanimateur


Mixte

Gestion des urgences obstétricales

DPC

En 2010, la société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) et la société française de médecine d’urgence (SFMU) ont publié des recommandations formalisées d’experts sur les urgences obstétricales extrahospitalières. Depuis, la modification de l’organisation territoriale a directement impacté les prises en charge préhospitalières de ces urgences, en ce qui concerne notamment les transferts inter-hospitaliers. De ce fait, une mise à jour de ces recommandations, et de la formation l’accompagnant, semblait nécessaire. La faible incidence des urgences obstétricales, ainsi que la nécessité de prendre en charge deux patients simultanément (la mère et l’enfant), peuvent être source de difficultés notamment en contexte préhospitalier. Selon l’institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), 5000 naissances sur 784000 (0,6 %) se déroulaient en dehors d’un hôpital ou d’une maternité en France en 2016. Les mères bénéficiaient dans neuf cas sur dix de l’assistance d’un médecin ou d’une sage-femme. Du fait de la gravité potentielle de certaines urgences, avec mise en jeu du pronostic vital de la mère et de l’enfant, et de l’hétérogénéité des structures d’expertise sur le territoire (maternités de type II ou III), les premiers gestes effectués peuvent se révéler cruciaux. Le programme proposé est de typologie programme intégré, comprenant une journée de formation continue interactive avec les participants, et complétée, pendant et après leur tenue, d’une évaluation des pratiques professionnelles de type Tests de concordance de script (TCS), et conformément aux attendus de l’orientation prioritaire n° 45 « Intégration des recommandations dans la pratique médicale ». Il a pour objectif l’amélioration de la qualité des soins et la sécurité des parturientes au bloc obstétrical et en post partum. Il se compose de deux parties, réparties sur trois séquences. La première séquence est une session de Tests de Concordance de Script (TCS) proposée aux participants sous format virtuel, via la plateforme e-learning du CFAR. Ces tests permettent d’évaluer le raisonnement clinique du professionnel qui le réalise, et notamment sa capacité à prendre des décisions pertinentes dans des cas complexes, ou en situation d’«incertitude», en le confrontant aux avis d’un rédacteur expert, et en le mettant en face du raisonnement du reste du groupe d’apprenants (qui est visible sur la plateforme après que le participant ait répondu). Cette méthode permet une auto-évaluation des pratiques. Les TCS ont été rédigés par les orateurs de la journée de formation (séquence 2), ce qui permet de tenir compte des sujets précis abordés lors de la journée. Les réponses aux TCS sont enregistrées dans la plateforme. Une synthèse des réponses est ainsi envoyée au groupe d’experts, qui peut ainsi analyser les faiblesses du groupe, et préciser des éléments clés de prise en charge lors de la journée de formation. La deuxième séquence est une journée de formation organisée et animée par des experts de la thématique, ayant rédigé et analysé les TCS que les participants auront dû complétés au préalable. Les situations abordées dans lors de cette journée de formation déclinent la majorité des champs traités dans les recommandations, à savoir la pré-éclampsie, l’hémorragie du post-partum, les pathologies hypertensives et thromboemboliques gravidiques, la menace d’accouchement prématuré, et l’arrêt cardiorespiratoire. A la fin de la journée, les résultats du premier tour de TCS (Tests de Concordance de Script) sont discutés en séance, avec les experts rédacteurs. Chaque participant est ainsi capable d’identifier ses faiblesses, et de rédiger, en complément des actions suggérées par le panel d’experts, des objectifs d’amélioration et des actions à mettre en place au quotidien pour améliorer sa pratique. La troisième séquence est un second tour de TCS. Ce second tour reprend les risques développés dans le tour précédent, et est organisé trois mois après la journée de formation. L‘écart entre les deux tours de TCS permet alors d’identifier l’amélioration des pratiques, et de mettre en lien cet écart avec les actions d’amélioration mises en œuvre par le professionnel.

Médecin réanimateur


E-learning

Gestion des risques liés aux curares en anesthésie

DPC

La conférence de consensus sur « les indications de la curarisation en anesthésie » a été conduite en 1999 et publiée en 2000, précisant les conditions d’utilisation des curares pour l’intubation de la trachée, le geste opératoire, leurs effets secondaires et les règles de sécurité lors de la curarisation peropératoire et de la décurarisation, chez l’adulte et l’enfant. La curarisation a depuis été abordée dans d’autres référentiels (« Prise en charge des voies aériennes en anesthésie adulte, à l'exception de l'intubation difficile », « Intubation difficile », « Sédation, analgésie en pré hospitalier », « Sédation, analgésie en réanimation »), qui argumentaient les effets positifs de la curarisation sur les conditions d’intubation pour l’opérateur et pour le patient, chez l’adulte en particulier. Plusieurs éléments sont intervenus depuis cette première conférence de consensus sur « les indications de la curarisation en anesthésie », comme la possibilité d’injecter un curare non dépolarisant avec ou sans vérification préalable de la capacité à ventiler efficacement au masque, les effets positifs de la curarisation sur les conditions d’intubation pour l’opérateur et le patient (incluant la pédiatrie et l’électro-convulsivothérapie), le développement d’alternatives à l’intubation pour le contrôle des voies aériennes comme les dispositifs supra-glottiques, ou l’impact positif du monitorage de la curarisation sur la gestion de la curarisation. Ce programme DPC d’une durée totale de cinq heures se compose d’une étape d’évaluation des pratiques professionnelles des participants sur l’utilisation des curares en anesthésie par la méthode d’audit clinique, avant et après une le visionnage de vidéos cognitives sur ce même thème. Il comprend également trois cas cliniques à analyser via la méthode ALARM. Il a pour objectif d’actualiser les connaissances ainsi que les bonnes pratiques de curarisation et de décurarisation des médecins anesthésistes-réanimateurs.

Médecin Généraliste


En présentiel

Initiation à l'échographie clinique musculo-squelettique pour les médecins généralistes

DPC

Cette formation à l'initiation en échographie est à destination de médecins généralistes quel que soit leur mode d’exercice. Elle s'inscrit dans le cadre de l'amélioration des pratiques et de l'approfondissement des connaissances des pratiques diagnostiques et des prises en charges thérapeutiques, l’échographie devenant un outil diagnostic complémentaire pour le médecin généraliste rural, et bientôt pour le médecin généraliste urbain d’autant plus que la désertification gagne les villes. Elle permet également de comparer les pratiques constatées aux recommandations de la Société Savante SFMU au travers des échanges constatés pendant le programme de formation. Au travers de la prise en main de l’échographe et de la sonde lors d'un atelier pratique, cette formation montre au médecin généraliste qu’il est possible, en se formant à l’échographie, d’avoir un diagnostic plus poussé, de rassurer son patient et plus généralement de répondre à un besoin. Au travers de la prise en main de l'échographe et de la sonde, l'atelier forme le médecin généraliste aux bases de l'échographie de l'appareil locomoteur, notamment à travers le repérage et l'identification du muscle supra-épineux. A l’issue de la formation, l’apprenant sera capable de maîtriser la réalisation de l'échographie dans le cadre musculo-squelettique en se référant aux règles de bonnes pratiques, analyser les résultats et ainsi orienter rapidement un diagnostic et la conduite à tenir.

Radiologue


Mixte

IRM du cancer de la prostate

DPC

Cette formation à destination des médecins radiologues se déroule en trois classes virtuelles de trois heures chacune, et s’oriente sur les bonnes pratiques en IRM du cancer de la prostate, depuis sa détection. Chaque présentation est précédée ou suivie d’une analyse de cas cliniques, depuis des vidéos pré-filmées d’IRM de cancer de la prostate présentées par les intervenants. Les présentations et cas cliniques, analysés sur console par les participants, comme lors d'une séance d'interprétation. Un quizz est prévu en même temps que le cas. Après analyse, les réponses au quizz sont affichées et commentées par les experts radiologues (et éventuellement d’autres intervenants) en temps réel. L’objectif de cette formation est d’améliorer les bonnes pratiques des radiologues en matière d’IRM du cancer de la prostate.

Médecin réanimateur


E-learning

Gestion du capital sanguin en pré, per et post opératoire

DPC

La gestion du capital sanguin (ou PBM : Patient Blood Management) est une démarche organisationnelle innovante qui permet d’optimiser la prise en charge des patients devant avoir une intervention chirurgicale à risque hémorragique. Les objectifs du PBM sont à la fois d’éviter (ou de limiter au maximum) le recours à la transfusion non nécessaire, d’éviter l’apparition ou l’aggravation trop importante d’une anémie, et d’améliorer la prise en charge et la tolérance de l’anémie péri-opératoire lorsqu’elle est présente. La mise en œuvre clinique du PBM repose sur 3 piliers : l’optimisation de la masse sanguine du patient, la minimisation des pertes sanguines et l’amélioration de la tolérance du patient à l’anémie. Ces trois piliers (pré, per et post opératoire) sont déclinés à chaque étape de ce programme de formation à réaliser en ligne. Il se compose de plusieurs étapes : 1/ Pré-évaluation des connaissances par QCM 2/ Remplissage d’un questionnaire de structure concernant la mise en place du PBM 3/ Réalisation d’un premier tour d’audit de 10 dossiers sur la gestion du capital sanguin à toutes les étapes du parcours opératoire (hors obstétrique) 4/ Visionnage de vidéos pédagogiques sur la thématique, réalisées par des experts 5/ Téléchargement de documents pédagogiques sur la thématique (recommandations et outils pratiques) 6/ Analyse de quatre cas cliniques autour de la thématique de l'épargne sanguine et de la transfusion, en utilisant la méthode ALARM, méthode valorisée par la Haute Autorité de Santé dans le cadre de l'accréditation des médecins. 7/ Second tour d’audit clinique 8/ Post-évaluation des connaissances par QCM L’objectif de ce programme est d’accompagner la sortie récente des recommandations de la HAS sur la gestion du capital sanguin par une évaluation des pratiques en la matière, outil incitatif à la mise en place d’actions d’amélioration, permettant d’optimiser la prise en charge des patients devant avoir une intervention chirurgicale à risque hémorragique.

Médecin réanimateur


En présentiel

Optimisation du parcours de prise en charge des patients âgés et/ou porteurs de comorbidités

DPC

L’augmentation des maladies chroniques liées, non seulement à l’âge, mais aussi aux modes de vie, impose une adaptation des parcours de prise en charge opératoire des patients. Aujourd’hui, le parcours de prise en charge des patients se co-construit avec de multiples services, dès le préopératoire et jusqu’à la sortie du patient. Les médecins anesthésistes-réanimateurs doivent se former à ces évolutions, et être en mesure d’optimiser la prise en charge de leur patient, dans un souci de gestion du risque, mais aussi d’un meilleur confort de prise en charge. Cette demi-journée de formation d’une durée de 03h30 est centrée sur l’optimisation des parcours de prise en charge des patients. A travers les dernières recommandations scientifiques en la matière relatives notamment aux paramètres contrôlés par l’anesthésiste dans le cadre de la RAAC, seront abordés les thèmes de la pré-habilitation, de prise en charge pré-opératoire des comorbididités, jusqu’aux outils de suivi post-opératoire. Compte tenu de ses spécificités, le patient âgé sera abordé dans chaque thème, en particulier dans celui relevant des unités post-opératoires de gériatrie. L’objectif de cette formation est de sensibiliser les médecins anesthésistes à l’optimisation des prises en charge anesthésiques des patients porteurs de comorbidités, de la période préopératoire à la période postopératoire.