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Dermatologue, Endocrinologue, Gynécologue, Médecin Généraliste


Mixte

Place du médecin généraliste, du gynécologue, de l’endocrinologue et du dermatologue dans le parcours de soin d’une femme ayant un hirsutisme

DPC

Justification du programme Lorsqu’une patiente consulte pour une hyperpilosité, elle peut s’adresser à différents médecins : en principe en accès direct soit son médecin généraliste ou un gynécologue, à l’occasion d’une consultation de suivi, d’une demande de contraception, d’un suivi d’infertilité. En principe pour consulter un dermatologue ou un endocrinologue, la patiente doit être adressée par son médecin traitant. Il doit donc y avoir une nécessaire coordination entre ces différents praticiens Le médecin initialement consulté doit être capable de discerner les circonstances d’apparition et les symptômes associés, en fonction duquel il pourra prescrire un bilan de base. Certaines pathologies, comme le déficit en 21 hydroxylase à révélation tardive ou plus exceptionnellement syndrome de Cushing ou étiologie tumorale, nécessitent une prise en charge endocrinienne spécifique. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants devront être capables de Reconnaître les signes cliniques associés qui font évoquer une étiologie spécifique Prescrire un bilan complémentaire adapté et pertinent à la recherche étiologique de cette hyperandrogénie Prescrire une thérapeutique adaptée à chaque situation Objectifs spécifiques Connaître les signes qui orientent vers une étiologie tumorale et les examens complémentaires pour affirmer le diagnostic Connaître les signes qui orientent vers les étiologies endocriniennes les plus fréquentes : syndrome des ovaires polykystiques et bloc enzymatique en 21 OHase à révélation tardive Reconnaître les signes cliniques qui orientent vers une étiologie endocrinienne plus rare (Cushing) Prescrire les examens complémentaires pertinents pour établir le diagnostic étiologique de l’hirsutisme Proposer une orientation thérapeutique adaptée en fonction de l’étiologie (hors origine tumorale et contexte d’infertilité) et connaitre les risques des médicaments les plus couramment utilisées (Acétate de cyprotérone en particulier)

Anatamo-pathologiste, Gynécologue, Médecin Généraliste, Radiologue


En présentiel

Optimiser la prise en charge diagnostique des pathologies mammaires

DPC

JUSTIFICATION DU PROGRAMME Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme : 50 000 nouveaux cas par an. Et la mortalité par cancer du sein est la première cause de mortalité féminine par cancer en France. Il est admis que le pronostic repose sur la précocité du diagnostic et sur la qualité de la prise en charge. Nous rencontrons plusieurs situations : certaines patientes consultent pour une anomalie qu’elles ont palpé, pour d’autres patientes, c’est le praticien qui découvre une anomalie lors de l’examen clinique périodique ; ces situations sont les plus « simples ». Mais nous avons aussi à prendre en charge des lésions infra-cliniques, découvertes par le dépistage. Tout particulièrement pour ces lésions infra-cliniques, les stratégies diagnostiques et le matériel d’imagerie en pathologie mammaire ont beaucoup évolué ces dernières années, ce qui nécessite de diffuser de nouvelles informations et recommandations. La bonne connaissance de ces démarches diagnostiques par les gynécologues permettra une meilleure coordination avec les radio-sénologues et une meilleure prise en charge des patientes. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants seront capables : 1-D’utiliser à bon escient les stratégies diagnostiques en imagerie sénologique. 2-De choisir les modalités de prélèvements adaptées à la situation. 3- D’adapter la prise en charge en fonction des anomalies dépistées. Objectifs spécifiques 1. Définir la conduite à tenir devant une image classée ACR3. 2. Connaître les indications de l’IRM mammaire 3. Savoir quels types de prélèvements demander en fonction de l’anomalie détectée. 4. S’assurer de la qualité et de la cohérence de la démarche diagnostique jusqu’aux résultats anatomopathologiques 5. Orienter la prise en charge en fonction des résultats anatomopathologiques obtenus par les prélèvements percutanés.

Gynécologue


Mixte

Choix des outils thérapeutiques dans les troubles de la statique pelvienne

DPC

Résumé et objectifs JUSTIFICATION DU PROGRAMME Les troubles de la statique pelvienne constituent un problème majeur de santé publique, du fait de leur fréquence, de leur retentissement sur la qualité de la vie.et de leur coût pour la collectivité En effet, les prolapsus génitaux sont source de douleurs pelviennes chroniques avec recours plus fréquent aux antalgiques, incontinence urinaire et/ou fécale, handicapante et coûteuse, prescription accrue d’arrêts de travail. Chez la femme âgée, l’incontinence induit en outre une perte d’autonomie et accélère l’entrée en institution. Les troubles de la statique pelvienne s’installent le plus souvent à l’occasion d’un accouchement par voie basse : il est donc impératif de dépister et prendre en charge les anomalies de la statique pelvienne dès l’examen post natal. Lorsqu’ils deviennent symptomatiques, les prolapsus doivent être traités efficacement, en fonction de l’anomalie anatomique et de la gêne fonctionnelle occasionnée Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants seront capables de - recenser les outils thérapeutiques à disposition du praticien pour remédier aux troubles de la statique pelvienne - connaitre les bénéfices et limites de chacun d’eux - orienter la patiente en fonction du désordre anatomique et fonctionnel vers l’attitude thérapeutique la plus adaptée Objectifs spécifiques Rééducation périnéale et prolapsus 1. Connaitre les principes de la rééducation périnéale 2. Stadifier le trouble par un testing chiffré des muscles releveurs 3. S’assurer de la compliance et des résultats de la rééducation Place du pessaire 1. Connaitre les différents types de pessaires 2. Apprendre à la patiente les modalités d’usage du pessaire prescrit 3. Vérifier régulièrement l’efficacité et la bonne tolérance du dispositif Place de la chirurgie par voie haute 1. Connaitre les différentes techniques 2. Connaitre les indications et contrindications pour chacune d’elles 3. Informer la patiente des avantages/inconvénients de chacune Chirurgie par voie basse 1. Connaitre les différentes techniques 2. Connaitre les indications et contrindications de chacune d’elles 3. Informer la patiente des avantages/inconvénients de chacune

Anatamo-pathologiste, Endocrinologue, Gynécologue, Médecin Généraliste


Mixte

Nouvelles stratégies dans le dépistage du cancer du col utérin : comprendre, prendre en charge les résultats des tests

DPC

Résumé et objectifs Justification du programme : Tous les ans en France, le cancer invasif du col utérin touche 3000 femmes entraine environ 1100 décès. Bien que l’introduction du dépistage par la cytologie ait permis une diminution de l’incidence de cette pathologie, cette diminution se fait moins rapidement depuis 2010 et la survie des femmes atteintes tend à se dégrader. Jusqu’en juillet 2020, ce dépistage reposait sur les recommandations françaises de 2010 avec la réalisation d’un examen cytologique tous les 3 ans chez les femmes asymptomatiques de 25 à 65 ans. Mais le taux de couverture du dépistage reste insuffisant depuis plusieurs années (autour de 60%) avec une stabilité du taux d’incidence de ce cancer et une survie qui tend à se dégrader. Ceci a conduit l’HAS à réévaluer les modalités du dépistage du CCU avec la mise en place d’un dépistage organisé. Cette réévaluation a fait adopter une nouvelle stratégie mettant le dépistage virologique au premier plan chez les femmes de plus de 30 ans tout en maintenant une stratégie de dépistage cytologique seulement entre 25 et 30 ans. Il s’agit de s’appuyer sur la forte valeur prédictive négative du test HPV-HR pour pouvoir trier les patientes méritant un approfondissement du diagnostic et les patientes test HPV-HR négatif pour lesquelles le suivi ultérieur peut être espacé. Ainsi, plusieurs rapports et recommandations se sont succédé entre 2014 et 2020 pouvant donner une information foisonnante qu’il convient de synthétiser et de clarifier. En effet le dépistage virologique par le test HPV est à la fois plus sensible et moins spécifique que le dépistage par l’examen cytologique. L’infection à HPV dans 90% des cas est transitoire, et toutes les infections ne se traduiront pas par un cancer. C’est pourquoi le changement de stratégie mis en œuvre doit pour être efficace, toucher toutes les femmes mais ne pas engendrer de sur-traitement, et donc il doit s’appuyer sur l’adhésion et la compréhension des professionnels de santé qui le mettent en œuvre. Ce programme s’est appuyé sur l’expérience actuelle de mise en place du programme de dépistage par les CRDC . Objectifs primaires : 1/Connaître les nouvelles modalités du dépistage du CCU en fonction de l’âge des femmes. 2/Comprendre la nouvelle stratégie de dépistage avant et après 30 ans ainsi que ses objectifs 3/ Connaitre et appliquer les arbres décisionnels du dépistage virologique par test HPV 4/ Pouvoir informer les patientes et développer leur adhésion à cette stratégie. 5/Connaitre et appliquer les points clefs de la prise en charge des résultats anormaux Objectifs secondaires : • Savoir gérer le dépistage virologique positif pour éviter les sur-diagnostics, les sur-traitements et les surcoûts (y compris en termes de stress inutile chez les patientes) • Mettre en place une organisation pratique pour la prise en charge et le suivi des résultats pour éviter les perdues-de-vue • Soutenir l’objectif du dépistage dans les populations habituellement sous-dépistées

Dermatologue, Endocrinologue, Gynécologue, Médecin Généraliste


Mixte

Place du médecin généraliste, du gynécologue, de l’endocrinologue et du dermatologue dans le parcours de soin d’une femme ayant un hirsutisme

DPC

Résumé et objectifs Justification du programme Lorsqu’une patiente consulte pour une hyperpilosité, elle peut s’adresser à différents médecins : en principe en accès direct soit son médecin généraliste ou un gynécologue, à l’occasion d’une consultation de suivi, d’une demande de contraception, d’un suivi d’infertilité. En principe pour consulter un dermatologue ou un endocrinologue, la patiente doit être adressée par son médecin traitant. Il doit donc y avoir une nécessaire coordination entre ces différents praticiens Le médecin initialement consulté doit être capable de discerner les circonstances d’apparition et les symptômes associés, en fonction duquel il pourra prescrire un bilan de base. Certaines pathologies, comme le déficit en 21 hydroxylase à révélation tardive ou plus exceptionnellement syndrome de Cushing ou étiologie tumorale, nécessitent une prise en charge endocrinienne spécifique. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants devront être capables de Reconnaître les signes cliniques associés qui font évoquer une étiologie spécifique Prescrire un bilan complémentaire adapté et pertinent à la recherche étiologique de cette hyperandrogénie Prescrire une thérapeutique adaptée à chaque situation Objectifs spécifiques Connaître les signes qui orientent vers une étiologie tumorale et les examens complémentaires pour affirmer le diagnostic Connaître les signes qui orientent vers les étiologies endocriniennes les plus fréquentes : syndrome des ovaires polykystiques et bloc enzymatique en 21 OHase à révélation tardive Reconnaître les signes cliniques qui orientent vers une étiologie endocrinienne plus rare (Cushing) Prescrire les examens complémentaires pertinents pour établir le diagnostic étiologique de l’hirsutisme Proposer une orientation thérapeutique adaptée en fonction de l’étiologie (hors origine tumorale et contexte d’infertilité) et connaitre les risques des médicaments les plus couramment utilisées (Acétate de cyprotérone en particulier)

Anatamo-pathologiste, Gynécologue, Médecin Généraliste, Radiologue


En présentiel

Optimiser la prise en charge diagnostique des pathologies mammaires

DPC

JUSTIFICATION DU PROGRAMME Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme : 50 000 nouveaux cas par an. Et la mortalité par cancer du sein est la première cause de mortalité féminine par cancer en France. Il est admis que le pronostic repose sur la précocité du diagnostic et sur la qualité de la prise en charge. Nous rencontrons plusieurs situations : certaines patientes consultent pour une anomalie qu’elles ont palpé, pour d’autres patientes, c’est le praticien qui découvre une anomalie lors de l’examen clinique périodique ; ces situations sont les plus « simples ». Mais nous avons aussi à prendre en charge des lésions infra-cliniques, découvertes par le dépistage. Tout particulièrement pour ces lésions infra-cliniques, les stratégies diagnostiques et le matériel d’imagerie en pathologie mammaire ont beaucoup évolué ces dernières années, ce qui nécessite de diffuser de nouvelles informations et recommandations. La bonne connaissance de ces démarches diagnostiques par les gynécologues permettra une meilleure coordination avec les radio-sénologues et une meilleure prise en charge des patientes. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants seront capables : 1-D’utiliser à bon escient les stratégies diagnostiques en imagerie sénologique. 2-De choisir les modalités de prélèvements adaptées à la situation. 3- D’adapter la prise en charge en fonction des anomalies dépistées. Objectifs spécifiques 1. Définir la conduite à tenir devant une image classée ACR3. 2. Connaître les indications de l’IRM mammaire 3. Savoir quels types de prélèvements demander en fonction de l’anomalie détectée. 4. S’assurer de la qualité et de la cohérence de la démarche diagnostique jusqu’aux résultats anatomopathologiques 5. Orienter la prise en charge en fonction des résultats anatomopathologiques obtenus par les prélèvements percutanés.

Gynécologue


Mixte

Choix des outils thérapeutiques dans les troubles de la statique pelvienne

DPC

Résumé et objectifs JUSTIFICATION DU PROGRAMME Les troubles de la statique pelvienne constituent un problème majeur de santé publique, du fait de leur fréquence, de leur retentissement sur la qualité de la vie.et de leur coût pour la collectivité En effet, les prolapsus génitaux sont source de douleurs pelviennes chroniques avec recours plus fréquent aux antalgiques, incontinence urinaire et/ou fécale, handicapante et coûteuse, prescription accrue d’arrêts de travail. Chez la femme âgée, l’incontinence induit en outre une perte d’autonomie et accélère l’entrée en institution. Les troubles de la statique pelvienne s’installent le plus souvent à l’occasion d’un accouchement par voie basse : il est donc impératif de dépister et prendre en charge les anomalies de la statique pelvienne dès l’examen post natal. Lorsqu’ils deviennent symptomatiques, les prolapsus doivent être traités efficacement, en fonction de l’anomalie anatomique et de la gêne fonctionnelle occasionnée Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants seront capables de - recenser les outils thérapeutiques à disposition du praticien pour remédier aux troubles de la statique pelvienne - connaitre les bénéfices et limites de chacun d’eux - orienter la patiente en fonction du désordre anatomique et fonctionnel vers l’attitude thérapeutique la plus adaptée Objectifs spécifiques Rééducation périnéale et prolapsus 1. Connaitre les principes de la rééducation périnéale 2. Stadifier le trouble par un testing chiffré des muscles releveurs 3. S’assurer de la compliance et des résultats de la rééducation Place du pessaire 1. Connaitre les différents types de pessaires 2. Apprendre à la patiente les modalités d’usage du pessaire prescrit 3. Vérifier régulièrement l’efficacité et la bonne tolérance du dispositif Place de la chirurgie par voie haute 1. Connaitre les différentes techniques 2. Connaitre les indications et contrindications pour chacune d’elles 3. Informer la patiente des avantages/inconvénients de chacune Chirurgie par voie basse 1. Connaitre les différentes techniques 2. Connaitre les indications et contrindications de chacune d’elles 3. Informer la patiente des avantages/inconvénients de chacune

Anatamo-pathologiste, Endocrinologue, Gynécologue, Médecin Généraliste


Mixte

Nouvelles stratégies dans le dépistage du cancer du col utérin : comprendre, prendre en charge les résultats des tests

DPC

Résumé et objectifs Justification du programme : Tous les ans en France, le cancer invasif du col utérin touche 3000 femmes entraine environ 1100 décès. Bien que l’introduction du dépistage par la cytologie ait permis une diminution de l’incidence de cette pathologie, cette diminution se fait moins rapidement depuis 2010 et la survie des femmes atteintes tend à se dégrader. Jusqu’en juillet 2020, ce dépistage reposait sur les recommandations françaises de 2010 avec la réalisation d’un examen cytologique tous les 3 ans chez les femmes asymptomatiques de 25 à 65 ans. Mais le taux de couverture du dépistage reste insuffisant depuis plusieurs années (autour de 60%) avec une stabilité du taux d’incidence de ce cancer et une survie qui tend à se dégrader. Ceci a conduit l’HAS à réévaluer les modalités du dépistage du CCU avec la mise en place d’un dépistage organisé. Cette réévaluation a fait adopter une nouvelle stratégie mettant le dépistage virologique au premier plan chez les femmes de plus de 30 ans tout en maintenant une stratégie de dépistage cytologique seulement entre 25 et 30 ans. Il s’agit de s’appuyer sur la forte valeur prédictive négative du test HPV-HR pour pouvoir trier les patientes méritant un approfondissement du diagnostic et les patientes test HPV-HR négatif pour lesquelles le suivi ultérieur peut être espacé. Ainsi, plusieurs rapports et recommandations se sont succédé entre 2014 et 2020 pouvant donner une information foisonnante qu’il convient de synthétiser et de clarifier. En effet le dépistage virologique par le test HPV est à la fois plus sensible et moins spécifique que le dépistage par l’examen cytologique. L’infection à HPV dans 90% des cas est transitoire, et toutes les infections ne se traduiront pas par un cancer. C’est pourquoi le changement de stratégie mis en œuvre doit pour être efficace, toucher toutes les femmes mais ne pas engendrer de sur-traitement, et donc il doit s’appuyer sur l’adhésion et la compréhension des professionnels de santé qui le mettent en œuvre. Ce programme s’est appuyé sur l’expérience actuelle de mise en place du programme de dépistage par les CRDC . Objectifs primaires : 1/Connaître les nouvelles modalités du dépistage du CCU en fonction de l’âge des femmes. 2/Comprendre la nouvelle stratégie de dépistage avant et après 30 ans ainsi que ses objectifs 3/ Connaitre et appliquer les arbres décisionnels du dépistage virologique par test HPV 4/ Pouvoir informer les patientes et développer leur adhésion à cette stratégie. 5/Connaitre et appliquer les points clefs de la prise en charge des résultats anormaux Objectifs secondaires : • Savoir gérer le dépistage virologique positif pour éviter les sur-diagnostics, les sur-traitements et les surcoûts (y compris en termes de stress inutile chez les patientes) • Mettre en place une organisation pratique pour la prise en charge et le suivi des résultats pour éviter les perdues-de-vue • Soutenir l’objectif du dépistage dans les populations habituellement sous-dépistées

Dermatologue, Endocrinologue, Gynécologue, Médecin Généraliste


Mixte

Place du médecin généraliste, du gynécologue, de l’endocrinologue et du dermatologue dans le parcours de soin d’une femme ayant un hirsutisme

DPC

Résumé et objectifs Justification du programme Lorsqu’une patiente consulte pour une hyperpilosité, elle peut s’adresser à différents médecins : en principe en accès direct soit son médecin généraliste ou un gynécologue, à l’occasion d’une consultation de suivi, d’une demande de contraception, d’un suivi d’infertilité. En principe pour consulter un dermatologue ou un endocrinologue, la patiente doit être adressée par son médecin traitant. Il doit donc y avoir une nécessaire coordination entre ces différents praticiens Le médecin initialement consulté doit être capable de discerner les circonstances d’apparition et les symptômes associés, en fonction duquel il pourra prescrire un bilan de base. Certaines pathologies, comme le déficit en 21 hydroxylase à révélation tardive ou plus exceptionnellement syndrome de Cushing ou étiologie tumorale, nécessitent une prise en charge endocrinienne spécifique. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants devront être capables de Reconnaître les signes cliniques associés qui font évoquer une étiologie spécifique Prescrire un bilan complémentaire adapté et pertinent à la recherche étiologique de cette hyperandrogénie Prescrire une thérapeutique adaptée à chaque situation Objectifs spécifiques Connaître les signes qui orientent vers une étiologie tumorale et les examens complémentaires pour affirmer le diagnostic Connaître les signes qui orientent vers les étiologies endocriniennes les plus fréquentes : syndrome des ovaires polykystiques et bloc enzymatique en 21 OHase à révélation tardive Reconnaître les signes cliniques qui orientent vers une étiologie endocrinienne plus rare (Cushing) Prescrire les examens complémentaires pertinents pour établir le diagnostic étiologique de l’hirsutisme Proposer une orientation thérapeutique adaptée en fonction de l’étiologie (hors origine tumorale et contexte d’infertilité) et connaitre les risques des médicaments les plus couramment utilisées (Acétate de cyprotérone en particulier)

Anatamo-pathologiste, Gynécologue, Médecin Généraliste, Radiologue


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Optimiser la prise en charge diagnostique des pathologies mammaires

DPC

JUSTIFICATION DU PROGRAMME Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme : 50 000 nouveaux cas par an. Et la mortalité par cancer du sein est la première cause de mortalité féminine par cancer en France. Il est admis que le pronostic repose sur la précocité du diagnostic et sur la qualité de la prise en charge. Nous rencontrons plusieurs situations : certaines patientes consultent pour une anomalie qu’elles ont palpé, pour d’autres patientes, c’est le praticien qui découvre une anomalie lors de l’examen clinique périodique ; ces situations sont les plus « simples ». Mais nous avons aussi à prendre en charge des lésions infra-cliniques, découvertes par le dépistage. Tout particulièrement pour ces lésions infra-cliniques, les stratégies diagnostiques et le matériel d’imagerie en pathologie mammaire ont beaucoup évolué ces dernières années, ce qui nécessite de diffuser de nouvelles informations et recommandations. La bonne connaissance de ces démarches diagnostiques par les gynécologues permettra une meilleure coordination avec les radio-sénologues et une meilleure prise en charge des patientes. Objectifs généraux A l’issue de cette formation, les participants seront capables : 1-D’utiliser à bon escient les stratégies diagnostiques en imagerie sénologique. 2-De choisir les modalités de prélèvements adaptées à la situation. 3- D’adapter la prise en charge en fonction des anomalies dépistées. Objectifs spécifiques 1. Définir la conduite à tenir devant une image classée ACR3. 2. Connaître les indications de l’IRM mammaire 3. Savoir quels types de prélèvements demander en fonction de l’anomalie détectée. 4. S’assurer de la qualité et de la cohérence de la démarche diagnostique jusqu’aux résultats anatomopathologiques 5. Orienter la prise en charge en fonction des résultats anatomopathologiques obtenus par les prélèvements percutanés.