20 formations DPC Ethical Formation disponibles

Aide-soignant, Sage-Femme, Médecin Généraliste, Infirmier

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Ethique médicale et paramédicale : comprendre et pratiquer

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Contexte Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels de la santé sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques sanitaires et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. D’où l’importance d’une réflexion éthique en établissement de soin comme en cabinet libéral. Des apports théoriques et pratiques quant à l’exercice de la pratique effective d’une démarche autonome de réflexion éthique sont alors requis pour les professionnels de santé afin d’appréhender au mieux ces questionnements. La difficulté démarre avec sa pratique : l’éthique (dont l’éthique médicale) est une discipline propre, une branche de la philosophie, vieille de 2500 ans. Avec ses concepts, ses théories, ses méthodes et ses références historiques, qu’on ne saurait réinventer. S’il est vrai que l’objet de l’éthique médicale et paramédicale est apporté par les pratiques de la médecine et du soin (matériaux indispensables), leurs questionnements obéissent à une discipline qui leur est extérieure, à laquelle il est recommandé de s'initier. Objectif général Maîtriser la notion d'éthique et savoir mieux traiter les grandes questions d’éthique médicale et hospitalière dans la prise de décision en contexte d’incertitude. Objectifs spécifiques Maîtrise des notions d’éthique, de morale, déontologie, etc. Comprendre les enjeux éthiques des situations critiques récurrentes dans les pratiques médicales et paramédicales. Analyse des pratiques depuis la question éthique. Identification des ressources du territoire en matière de réflexion éthique.

Aide-soignant, Infirmier

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Crise suicidaire de la personne âgée : repérage et conduite à tenir

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Chaque année, près de 10 500 personnes décèdent par suicide (soit près de trois fois plus que par accident de la circulation) et entre 176 000 et 200 000 tentatives de suicide donnent lieu à une intervention du système de soins. Si le suicide concerne tous les âges, le taux de suicide est nettement plus élevé chez les personnes âgées de 75 ans et plus : 33,3 pour 100 000 habitants contre 15,4 pour les 25-54 ans et 18,1 pour les 55-74 ans. Le suicide est rarement motivé par une recherche de la mort en soi : il vise d’abord la fin d’une souffrance. C’est pourquoi, le plus souvent, il est susceptible de répondre à une forme de prévention. Selon l’HAS, les premières manifestations de la crise suicidaire sont difficiles à cerner : ses aspects sont très variables et les troubles sont parfois inapparents. Nous ne savons donc pas si elle va évoluer vers une rémission spontanée ou vers une tentative de suicide ou d'autres passages à l'acte. C’est pourquoi il est essentiel de repérer une telle crise suicidaire car elle justifie une prise en charge et constitue le moment où une action thérapeutique est possible. Pour faire face à cet enjeu de santé publique, nous proposons aux IDE et aides-soignants travaillant en particulier avec des personnes âgées une formation permettant de construire une culture commune facilitant ainsi le travail partenarial lors de la crise suicidaire ainsi que dans son suivi. Ethical Formation vous propose de faire intervenir un cadre supérieur de santé en psychiatrie, spécialiste de cette thématique. La jo formation mettra en avant des méthodes pédagogiques permettant de mettre en parallèle connaissances sur le sujet et réalités professionnelles. Objectifs Appréhender les aspects historiques, juridiques et éthiques concernant le suicide afin de développer une meilleure compréhension du phénomène de la crise suicidaire Mieux comprendre les conduites suicidaires et les différentes phases quia mènent au passage à l'acte Repérer une crise suicidaire sous ses différentes formes et à ses différents stades Comprendre les spécificités de la crise suicidaire chez la personne âgée Repérer les facteurs de risque, d'urgence et de danger d'une situation suicidaire Conduire un entretien et établir une relation de confiance Connaître et identifier les ressources territoriales Mettre en place un suivi post-crise

Aide-soignant, Infirmier

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Accompagnement de fin de vie, prendre soin et communiquer jusqu’au bout

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Sujet universel par excellence, la fin de vie confronte les soignants à de nombreux questionnements éthiques. Par ailleurs, la population vieillissant, le nombre de cas de maladies chroniques et/ou dégénératives augmentant, les besoins en soins palliatifs se font plus pressants et évoluent rapidement. L’offre en soins palliatifs de demain devra être capable d’accompagner des patients toujours plus âgés et dépendants avec des parcours de plus en plus long et complexes. L’accompagnement de fin de vie  interroge particulièrement nombre de professionnels sur leur manière d’être, leur façon de faire face à ces situations singulières que ce soit en établissement ou au domicile. La part de personnes bénéficiant de soins palliatifs, même si elle est en légère augmentation, reste à ce jour insuffisante. D’après le communiqué de presse de la SFAP du 01/02/22, 100 000 personnes par an ont accès aux soins palliatifs sur le territoire français pour un besoin estimé à plus de 300 000. Dans ce contexte il est essentiel d’engager des actions de formation à destination des professionnels afin de connaître le cadre réglementaire des soins palliatifs, développer une culture palliative et ainsi : Faire évoluer notre regard sur la mort Réfléchir sur la singularité des situations en fin de vie Apporter les soins appropriés Repérer les rôles et missions des structures et des catégories d'intervenants concernés.

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La gestion de l'agressivité

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C’est un constat devenu malheureusement banal : les services sanitaires, médico-sociaux, éducatifs sont régulièrement confrontés à des situations d’agressivité ou de violence. Cet état de fait dépasse largement les services de psychiatrie pour concerner tout l’hôpital. Tous ces actes violents sont une réalité qu’il faut regarder en face. Ce n’est pas une fatalité et des mesures concrètes peuvent améliorer la situation. Il est vrai que vivre une situation agressive, violente, gérer un état d’agitation, peut être une expérience difficile. Ce qu’il faut comprendre, c’est que face à ce type de situation, toutes les compétences communicationnelles, empathiques, techniques qui nous sont habituelles dans une relation soignant/soigné sont au mieux diminuées, voire totalement court-circuitées. Ce programme de formation répond à la fois aux objectifs de l’ONVS et aux recommandations de l’HAS. Il se veut clair, précis, pragmatique. Il n’a pas la prétention de régler toutes les situations et n’empêchera pas la survenue imprévisible d’un évènement violent ou agressif. Ce programme pose néanmoins les fondamentaux indispensable à la gestion d’un évènement agressif ou violent. Nous travaillons sur la gestion du stress, sur le comportement et la communication en situation. La méthode fait appel à des gestes de défense, de protection et de maîtrise face à des sujets violents. Les différentes techniques sont très simples, peu nombreuses et polyvalentes, utilisables en état de stress, applicables par toutes et tous. Toutes les réponses apportées s’inscrivent dans une démarche légale et éthique. Elles sont extrêmement mesurées et à chaque fois adaptées au contexte de travail qu’il soit sanitaire, éducatif ou médico-social. Les objectifs pédagogiques sont clairement définis et la méthode est accessible à tous les professionnels qui souhaitent améliorer leurs capacités à gérer ce type de situations. Objectifs : Renforcer ses connaissances sur les différentes motivations de la violence et de l’agressivité ; Acquérir une communication adaptée en situation d'agressivité ; Désamorcer les situations d’agressivités grâce aux principes fondamentaux de la négociation de crise ; Développer sa capacité d’agir en situation de violence physique, seul et à plusieurs ; Apprendre à rester maître de soi en situation difficile ; Adopter le bon comportement, dans une démarche éthique , pour prévenir et prendre en charge les situations d’agressivité et de violence. Objectifs :

Aide-soignant, Infirmier

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Manutention du corps humain : les gestes et postures qui préviennent les troubles musculo-squelettiques chez les personnels soignants

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Les professionnels de santé, en particulier les aides-soignants et les infirmiers, ne bénéficient que de quelques heures consacrées à la manutention du corps humain durant leur formation initiale. Cependant, la manutention des personnes représente une part non négligeable de l'activité des professionnels de santé sur le terrain. Les personnes accompagnées sont souvent invalides, ou douloureuses, ou handicapées, ou avec des rétractions importantes, ou en surcharge pondérale, ou à l’inverse très maigres. Les lits médicalisés ont apporté un grand confort de travail aux professionnels et ont permis la réduction des pathologies lombaires. Il faut néanmoins constater que mal utilisés, ces lits médicalisés entraînent de nouvelles pathologies tout aussi graves au niveau des cervicales. Dès lors, apprendre les bons gestes et les bonnes postures devient un incontournable dans la lutte pour la prévention des troubles musculo-squelettiques chez les aides-soignants et les infirmiers. Cette formation a donc pour objectif général d'apprendre aux participants à manutentionner en prenant soin de son corps (en en connaissant les capacités et les limites) et en utilisant un toucher bienveillant avec la personne accompagnée. Lors de ces deux jours de formations, les participants poursuivront les objectifs suivants : - Prise de conscience des mouvement de son corps - Savoir travailler avec tout son corps sans se limiter à solliciter la force des bras - Prise de conscience de la place du toucher dans la manutention d'une personne via la sensibilisation au toucher sensitif - Maîtriser les mouvements les plus courants dans le respect de soi et de la personne aidée : les rehaussements au lit, le passage en position assise, les transferts assis/debout, assis/assis, allongé/assis. A noter qu'une expérimentation des levés au sol sera aussi proposée.

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La gestion de l'agressivité

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Contexte C’est un constat devenu malheureusement banal : les services sanitaires, médico-sociaux, éducatifs sont régulièrement confrontés à des situations d’agressivité ou de violence. Cet état de fait dépasse largement les services de psychiatrie pour concerner tout l’hôpital. L’Observatoire National des Violences en milieu de Santé (ONVS) a traité 14508 atteintes aux personnes et 4197 atteintes aux biens pour la seule année de 2016. La moitié des atteintes aux personnes correspondent à des violences physiques et sont en grande partie (50%) qualifiées de « niveau 3 » (coups, bousculade, crachats) : il s’agit de la gravité ressentie par la personne à l’origine du signalement. Tous ces actes violents sont une réalité qu’il faut regarder en face. Ce n’est pas une fatalité et des mesures concrètes peuvent améliorer la situation. Devant ces résultats, l’ONVS publie un guide de la prévention des atteintes aux personnes et aux biens en milieu de santé depuis avril 2017. Dans ce guide, l’ONVS rappelle l’importance du déploiement d’action de formation comportant des éléments de pratiques, le but in fine, étant d’éviter la survenue d’un évènement violent et de mieux le gérer s’il survient. La Haute Autorité de Santé élabore de son côté un guide sur « mieux prévenir et prendre en charge les situations de violence ». La finalité de ce guide, est de renforcer les compétences des équipes soignantes pour prévenir et prendre en charge les situations de violence en hospitalisation. Ce programme de formation répond à la fois aux objectifs de l’ONVS et aux recommandations de l’HAS. Il se veut clair, précis, pragmatique. Il n’a pas la prétention de régler toutes les situations et n’empêchera pas la survenue imprévisible d’un évènement violent ou agressif. Ce programme pose néanmoins les fondamentaux indispensable à la gestion d’un évènement agressif ou violent. Nous travaillons sur la gestion du stress, sur le comportement et la communication en situation. La méthode fait appel à des gestes de défense, de protection et de maîtrise face à des sujets violents. Les différentes techniques sont très simples, peu nombreuses et polyvalentes, utilisables en état de stress, applicables par toutes et tous. Toutes les réponses apportées s’inscrivent dans une démarche légale et éthique. Elles sont extrêmement mesurées et à chaque fois adaptées au contexte de travail qu’il soit sanitaire, éducatif ou médico-social. Les objectifs pédagogiques sont clairement définis et la méthode est accessible à tous les professionnels qui souhaitent améliorer leurs capacités à gérer ce type de situations. Objectifs: - Renforcer ses connaissances sur les différentes motivations de la violence et de l’agressivité - Acquérir une communication adaptée en situation d'agressivité  - Développer sa capacité d’agir en situation de violence physique, seul et à plusieurs  - Apprendre à rester maître de soi en situation difficile - Adopter le bon comportement, dans une démarche éthique, pour prévenir et prendre en charge les situations d’agressivité et de violence

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La gestion de l'agressivité

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Contexte C’est un constat devenu malheureusement banal : les services sanitaires, médico-sociaux, éducatifs sont régulièrement confrontés à des situations d’agressivité ou de violence. Cet état de fait dépasse largement les services de psychiatrie pour concerner tout l’hôpital. L’Observatoire National des Violences en milieu de Santé (ONVS) a traité 14508 atteintes aux personnes et 4197 atteintes aux biens pour la seule année de 2016. La moitié des atteintes aux personnes correspondent à des violences physiques et sont en grande partie (50%) qualifiées de « niveau 3 » (coups, bousculade, crachats) : il s’agit de la gravité ressentie par la personne à l’origine du signalement. Tous ces actes violents sont une réalité qu’il faut regarder en face. Ce n’est pas une fatalité et des mesures concrètes peuvent améliorer la situation. Devant ces résultats, l’ONVS publie un guide de la prévention des atteintes aux personnes et aux biens en milieu de santé depuis avril 2017. Dans ce guide, l’ONVS rappelle l’importance du déploiement d’action de formation comportant des éléments de pratiques, le but in fine, étant d’éviter la survenue d’un évènement violent et de mieux le gérer s’il survient. La Haute Autorité de Santé élabore de son côté un guide sur « mieux prévenir et prendre en charge les situations de violence ». La finalité de ce guide, est de renforcer les compétences des équipes soignantes pour prévenir et prendre en charge les situations de violence en hospitalisation. Ce programme de formation répond à la fois aux objectifs de l’ONVS et aux recommandations de l’HAS. Il se veut clair, précis, pragmatique. Il n’a pas la prétention de régler toutes les situations et n’empêchera pas la survenue imprévisible d’un évènement violent ou agressif. Ce programme pose néanmoins les fondamentaux indispensable à la gestion d’un évènement agressif ou violent. Nous travaillons sur la gestion du stress, sur le comportement et la communication en situation. La méthode fait appel à des gestes de défense, de protection et de maîtrise face à des sujets violents. Les différentes techniques sont très simples, peu nombreuses et polyvalentes, utilisables en état de stress, applicables par toutes et tous. Toutes les réponses apportées s’inscrivent dans une démarche légale et éthique. Elles sont extrêmement mesurées et à chaque fois adaptées au contexte de travail qu’il soit sanitaire, éducatif ou médico-social. Les objectifs pédagogiques sont clairement définis et la méthode est accessible à tous les professionnels qui souhaitent améliorer leurs capacités à gérer ce type de situations. Objectifs: - Renforcer ses connaissances sur les différentes motivations de la violence et de l’agressivité - Acquérir une communication adaptée en situation d'agressivité  - Développer sa capacité d’agir en situation de violence physique, seul et à plusieurs  - Apprendre à rester maître de soi en situation difficile - Adopter le bon comportement, dans une démarche éthique, pour prévenir et prendre en charge les situations d’agressivité et de violence

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Introduction à l'hypnoanalgésie en équipe de soins

DPC

Objectif n°1 : Comprendre la nouvelle organisation territoriale santé de la loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé. Objectif n°2 : Connaître les modalités du travail en équipes de soins primaires Objectif n°3 : Définir la douleur, en connaître les différents mécanismes Objectif n°4 : Appréhender le principe de l'hypnose, ses définitions, ses principales caractéristiques, les repères historiques et les données expérimentales Objectif n°5 : Identifier les intérêts, les limites et les enjeux éthiques de l'hypnose dans sa pratique professionnelle Objectif n°6 : Connaître différentes techniques de prise en charge de la douleur par l'hypnose Objectif n°7 : Maîtriser les différentes étapes d'une séance d'hypnoanalgésie. Résumé de l'action : En janvier 2016, la France s'est dotée d'une nouvelle organisation territoriale des soins. Désormais, les professionnels de santé sont encouragés à s'organiser en équipe pour un meilleur suivi et une meilleure coordination des soins pour une patientèle ou une population donnée. Les professionnels paramédicaux peuvent être à l'initiative des ces nouvelles organisations. Dans le cadre de ces équipes de soins ou communautés territoriales de santé, ils pourront, sous la tutelle d'un médecin et sur prescription médicale, mettre en œuvre des techniques d'hypnoanalgésie. C'est cette double finalité que recherche cette formation : comprendre les modalités de l'exercice en équipe de soin pour pouvoir proposer au patient une prise en charge de la douleur complémentaire, maîtrisée et coordonnée.

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Soins infirmiers et accompagnement d'un patient souffrant de troubles du comportement liés à une démence neurodégénérative

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Résumé : La population française se faisant vieillissante, le nombre de personnes atteintes de démences neurodégénératives va augmentant. Ces pathologies sont accompagnées de troubles du comportement et engendrer des conduites et des attitudes inadaptées : retrait, apathie, somnolence, ou au contraire agitation, déambulation, désinhibition, etc. Une situation stressante et épuisante pour l'entourage. L'IDEL, en actualisant ses connaissances des maladies neurodégnératives et des modalité d'accompagnement des aidants, peut améliorer grandement la prise en soin de ces patients. Objectifs de la formation Appréhender le plan 2014-2019 concernant l'ensemble des malades atteints d'Alzheimer, de Parkinson, de sclérose en plaques et des maladies neurodégénératives Actualiser les connaissances relatives aux démences séniles et à l’Alzheimer Comprendre les comportements associés Développer les soins relationnels et de confort Intégrer les modalités d’accompagnement de la personne et de sa famille

Infirmier

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Prévention et gestion du risque de maltraitance au domicile

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Contexte : L’infirmier(e) libéral(e) est régulièrement confronté(e) à des situations de vulnérabilité de ses patients et de ses proches, des comportements pouvant être assimilés à de la maltraitance, des problématiques éthiques, des prise de décisions en rapport à des situations vécues comme non bienveillantes. Comment peut-il (elle) se positionner, identifier les risques et y apporter son regard professionnel et respectueux des droits du patient ? Objectifs : - Savoir repérer et prévenir les différentes formes de maltraitance
 - Identifier les facteurs institutionnels et professionnels conduisant à la maltraitance
 - Clarifier les concepts et les enjeux liés à la bientraitance
 - Identifier les principes constitutifs d’une prise en charge des usagers en bientraitance