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Aide-soignant, Infirmier
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PRISE EN CHARGE ET PREVENTION DE LA VIOLENCE CONJUGALE ET INTRA FAMILIALE
DPC
La réalité de la violence conjugale est un phénomène plurifactoriel qu’il n’est pas forcément facile d’appréhender dans sa globalité. On constate en majorité des situations dégradées où la violence s’est installée de façon répétitive comme moyen d’affirmer l’emprise de l’agresseur à l’égard de sa compagne qu’il instrumentalise mais aussi comme moyen pathologique de s’inscrire dans une relation de couple. Pour analyser les phénomènes de violences, plusieurs approches sont utiles : Tout d’abord une lecture de type sociologique. La violence au sein du couple constitue un phénomène social complexe qui a plusieurs causes et plusieurs formes. Dans une immense majorité des cas, elle est le fait d'un homme envers une femme. Elle s'enracine dans les rapports sociaux de sexe. Les processus sociaux de construction de la masculinité et de la féminité préparent les comportements qui peuvent conduire à la violence conjugale. (L. Gillioz, J. De Puy, V. Ducret : Domination et violence envers la femme dans le couple 1997). La deuxième lecture relève d’une approche psychologique. Elle souligne les fragilités et les troubles de la personnalité présents chez le partenaire violent. Enfin il existe une troisième lecture psycho-criminologique dans le cas de personnalités pour lesquelles la vie en couple constitue une situation à risque. Pour certains, la vie commune, avec l’intimité qu’elle 6 suppose, est un défi du fait de l’immaturité de l’un des partenaires, voire de son égocentrisme, ce qui peut alors dépasser ses capacités de maîtrise. Objectifs généraux Optimiser le repérage et la prise en charge des personnes auteur ou victime de violence conjugale et/ou intrafamiliale Appréhender le cadre juridique et règlementaire Clarifier ses représentations de la violence familiale et conjugale Identifier les mécanismes du passage à l'acte Adapter sa posture professionnelle face aux victimes Adapter sa posture professionnelle face à l'auteur Identifier les ressources pour la prise en soins Identifier les signes d'un syndrome post traumatique
Aide-soignant, Infirmier
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EVALUATION ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR AIGUE
DPC
La douleur aiguë est un phénomène complexe qui peut survenir dans de nombreuses situations médicales, telles que les traumatismes, la chirurgie ou les maladies. Bien que sa prise en charge ait bénéficié de réels progrès, la douleur reste une composante singulière qui nécessite une compréhension approfondie de sa physiologie et de ses différentes dimensions. Dans ce contexte, la formation proposée vise à actualiser les connaissances des soignants sur l'évaluation et la prise en charge de la douleur aiguë, en se concentrant notamment sur la douleur induite par les soins. Il est essentiel que les professionnels de santé disposent de méthodes fiables pour identifier et anticiper la douleur, ainsi que pour la traiter de manière appropriée. La formation est organisée autour d'objectifs généraux et spécifiques, qui permettront aux participants de mieux appréhender les différentes dimensions de la douleur, de se familiariser avec les principes de l'évaluation quantitative et qualitative de la douleur, et d'actualiser leurs connaissances sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux. Il est également important que les soignants adoptent une posture adaptée pour anticiper la douleur induite par les soins, afin d'optimiser l'accompagnement des patients pour leur procurer un meilleur confort, une qualité de vie et une récupération précoce. En somme, cette formation vise à doter les soignants des outils nécessaires pour identifier, évaluer et traiter efficacement la douleur aiguë, et ainsi garantir une prise en charge de qualité pour les patients. La douleur aiguë est un phénomène complexe qui peut survenir dans de nombreuses situations médicales, telles que les traumatismes, la chirurgie ou les maladies. Bien que sa prise en charge ait bénéficié de réels progrès, la douleur reste une composante singulière qui nécessite une compréhension approfondie de sa physiologie et de ses différentes dimensions. Dans ce contexte, la formation proposée vise à actualiser les connaissances des soignants sur l'évaluation et la prise en charge de la douleur aiguë, en se concentrant notamment sur la douleur induite par les soins. Il est essentiel que les professionnels de santé disposent de méthodes fiables pour identifier et anticiper la douleur, ainsi que pour la traiter de manière appropriée. La formation est organisée autour d'objectifs généraux et spécifiques, qui permettront aux participants de mieux appréhender les différentes dimensions de la douleur, de se familiariser avec les principes de l'évaluation quantitative et qualitative de la douleur, et d'actualiser leurs connaissances sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux. Il est également important que les soignants adoptent une posture adaptée pour anticiper la douleur induite par les soins, afin d'optimiser l'accompagnement des patients pour leur procurer un meilleur confort, une qualité de vie et une récupération précoce. En somme, cette formation vise à doter les soignants des outils nécessaires pour identifier, évaluer et traiter efficacement la douleur aiguë, et ainsi garantir une prise en charge de qualité pour les patients. La douleur aiguë est un phénomène complexe qui peut survenir dans de nombreuses situations médicales, telles que les traumatismes, la chirurgie ou les maladies. Bien que sa prise en charge ait bénéficié de réels progrès, la douleur reste une composante singulière qui nécessite une compréhension approfondie de sa physiologie et de ses différentes dimensions. Dans ce contexte, la formation proposée vise à actualiser les connaissances des soignants sur l'évaluation et la prise en charge de la douleur aiguë, en se concentrant notamment sur la douleur induite par les soins. Il est essentiel que les professionnels de santé disposent de méthodes fiables pour identifier et anticiper la douleur, ainsi que pour la traiter de manière appropriée. La formation est organisée autour d'objectifs généraux et spécifiques, qui permettront aux participants de mieux appréhender les différentes dimensions de la douleur, de se familiariser avec les principes de l'évaluation quantitative et qualitative de la douleur, et d'actualiser leurs connaissances sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux. Il est également important que les soignants adoptent une posture adaptée pour anticiper la douleur induite par les soins, afin d'optimiser l'accompagnement des patients pour leur procurer un meilleur confort, une qualité de vie et une récupération précoce. En somme, cette formation vise à doter les soignants des outils nécessaires pour identifier, évaluer et traiter efficacement la douleur aiguë, et ainsi garantir une prise en charge de qualité pour les patients. La douleur aiguë est un phénomène complexe qui peut survenir dans de nombreuses situations médicales, telles que les traumatismes, la chirurgie ou les maladies. Bien que sa prise en charge ait bénéficié de réels progrès, la douleur reste une composante singulière qui nécessite une compréhension approfondie de sa physiologie et de ses différentes dimensions. Dans ce contexte, la formation proposée vise à actualiser les connaissances des soignants sur l'évaluation et la prise en charge de la douleur aiguë, en se concentrant notamment sur la douleur induite par les soins. Il est essentiel que les professionnels de santé disposent de méthodes fiables pour identifier et anticiper la douleur, ainsi que pour la traiter de manière appropriée. La formation est organisée autour d'objectifs généraux et spécifiques, qui permettront aux participants de mieux appréhender les différentes dimensions de la douleur, de se familiariser avec les principes de l'évaluation quantitative et qualitative de la douleur, et d'actualiser leurs connaissances sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux. Il est également important que les soignants adoptent une posture adaptée pour anticiper la douleur induite par les soins, afin d'optimiser l'accompagnement des patients pour leur procurer un meilleur confort, une qualité de vie et une récupération précoce. En somme, cette formation vise à doter les soignants des outils nécessaires pour identifier, évaluer et traiter efficacement la douleur aiguë, et ainsi garantir une prise en charge de qualité pour les patients.
Aide-soignant, Infirmier
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REPERAGE ET PRISE EN CHARGE DE LA DENUTRITION DES ADULTES
DPC
La prévalence de la dénutrition augmente avec l’âge. En France on estime qu'elle touche 2 millions d’individus, dont 400 000 personnes âgées à domicile, 270 000 personnes âgées en EHPAD. Elle concerne 10 % des personnes de plus de 70 ans vivant à domicile, 10 % des enfants hospitalisés, 30 % des personnes hospitalisées et 40 % des malades atteints de cancer. Ses conséquences sont nombreuses et particulièrement délétères chez le public vulnérable : elle multiplie le risque de décès par 2 à 4, le risque de morbidité par 2 à 6 et altère la qualité de vie. La dénutrition est associée à l’augmentation des infections, des troubles de la marche et des chutes, des fractures, des escarres, qui contribuent à la fragilité et à la perte d’autonomie. La dénutrition est d’ailleurs un facteur prédictif d’institutionnalisation. Elle a été repérée, dans le cadre du PAERPA (Parcours santé des aînés), comme étant l’un des quatre facteurs majeurs d’hospitalisation des personnes âgées de plus de 75 ans (Ministère des affaires sociales, de la santé et du droit des femmes, 2014). La dénutrition constitue donc un véritable enjeu de santé publique, qui va continuer à s’amplifier dans les années à venir avec le vieillissement de la population. Ce thème figure dans les priorités fixées par le gouvernement et annoncées par le comité interministériel pour la santé en 2018. En effet, il prévoit notamment de « sensibiliser les séniors aux bienfaits de l’activité physique et de l’alimentation favorable à la santé et la mise en place de mesures préventives des chutes et de la dénutrition, à domicile comme en établissements sociaux et médico-sociaux ». De même, les Projets Régionaux de Santé, ont fixé une orientation stratégique autour de la promotion collective de l’autonomie dans une société inclusive, et plus particulièrement un objectif opérationnel sur l’anticipation et la prévention de la perte d’autonomie chez les personnes de plus de 65 ans. Cette formation vise à développer les connaissances et compétences en matières de besoins nutritionnels, de repérage, d'évaluation et de prise en charge des adultes et des personnes âgées, selon les recommandations HAS. Objectif général: optimiser les conduites de prévention de la dénutrition Objectifs spécifiques: - Connaître les bases de l’équilibre alimentaire - Connaitre les différentes textures et leurs indications - I dentifier et utiliser les différents outils d’évaluation - Connaître les conséquences de la dénutrition chez la personne vulnérable - Identifier les stratégies à mettre en œuvre face à une problématique de dénutrition - Surveiller les effets des réponses apportées - Effectuer une traçabilité optimale de la problématique nutritionnelle
Aide-soignant, Auxiliaire de puériculture, Diététicien, + 2 autres
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PRISE EN CHARGE PALIATIVE ET ACCOMPAGNEMENT DE LA FIN DE VIE
DPC
La fin de vie, la relation entre les soignants, les familles et les patients s'avère parfois difficile: la recherche de sens de la part du patient et de son entourage, la violence des émotions, la séparation à venir... sont autant de phénomènes qui interviennent dans la prise en charge, qui doivent êtres entendus et accompagnés. Le quotidien est une prise en charge des symptômes, du somatique, mais aussi un accompagnement de l'humain parfois dépourvu face à cette situation extrême. Si les formations initiales des professionnels de santé incluent aujourd'hui ces aspects globaux du soin, il reste néanmoins difficile pour les soignants de les mettre en œuvre au quotidien. En effet, cette approche interpelle le soignant au delà de sa fonction, sur le plan émotionnel et personnel. Comment intégrer dans une prise en charge ces aspects psychologiques du rapport à une fin prochaine sans être submergé, dans la fuite ou en souffrance ? Objectifs : Appréhender les notions juridiques et éthiques Identifier les besoins des patients Prendre en charge les symptômes d'inconfort Identifier les craintes du patient et de son entourage Optimiser ses compétences relationnelles et adopter une posture professionnelle objective Assurer la coordination et la continuité des soins Identifier les causes de souffrance des soignants Travailler en équipe
Aide-soignant, Infirmier
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EVALUATION DU RISQUE SUICIDAIRE ET CONDUITE A TENIR
DPC
La prévention de la crise suicidaire se caractérise par différentes actions à différents niveaux : La promotion de la santé : tout ce qui permet de façon non spécifique de répondre aux besoins des individus en termes de bien-être physique, psychique et social ; La prévention du suicide : toutes les actions individuelles et collectives qui agissent sur les principaux déterminants du suicide, comprenant l’identification des personnes à risque, le diagnostic et le traitement des troubles psychiques susceptibles de créer une souffrance majeure, ainsi que toutes les mesures générales qui limitent l’accès aux moyens du suicide ; L’intervention en cas de crise suicidaire comprenant les actions appropriées à chacune des étapes de la crise : la phase d’idéation, la phase où le suicide devient une intention, et la phase de programmation de l’acte suicidaire ; La postvention suite à un suicide : l’ensemble des actions pour la prise en charge des personnes qui ont vu la scène, assuré les secours, celles qui avaient noué une relation d’attachement avec cette personne (familles, amis, professionnels, bénévoles), et pour limiter le phénomène de contagion et d’imitation par suicide auprès des personnes vulnérables. Cette postvention peut inclure l’analyse causale des suicides afin de favoriser le retour d’expérience pour améliorer la prévention. Chaque niveau requiert des ressources différentes en termes de connaissances, compétences, professionnels et organisations adaptées. Identifier les représentations des soignants sur le suicide Partager un référentiel commun. Définir la dépression Définir le suicide Repérer une crise suicidaire sous ses différentes formes et à ses différents stades Conduire une entrevue pour aborder la souffrance de la personne en crise, permettre l’expression des émotions et nouer une relation de confiance Evaluer l’urgence, c’est-à-dire d’explorer l’idéation suicidaire, l’existence d’un scénario (où, quand, comment, avec quoi ?) et la dangerosité suicidaire Intervenir, alerter et orienter selon le degré d’urgence et de dangerosité Mettre en œuvre un suivi, prévenir le passage à l’acte ou la récidive Réaliser le suivi de la prise en charge Préparer la transférabilité des acquis
Infirmier
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Annonce d'une maladie grave au patient adulte
DPC
L’annonce du diagnostic ou d’une mauvaise nouvelle (échec thérapeutique, récidive) se caractérise par son unicité et sa multiplicité : chaque annonce est unique étant donné les nombreux facteurs qui la déterminent. L'annonce d'une maladie grave vient ébranler la personne porteuse de la pathologie mais aussi tout son entourage. Un séisme se produit dans son corps mais aussi dans sa vie familiale, professionnelle, sociale, son rôle de mère, de père, d'époux, d'épouse...Autant de conséquences qui permettent de mieux comprendre les états émotionnels et comportements que certains vont avoir tout au long ou par moment de leur parcours de soin. Les soignants se sentent souvent démunis face à ses manifestations, certaines ambivalences, avec souvent une crainte de ne pas savoir quoi dire ou quoi faire pour accompagner au mieux le patient. cette formation permettra de mieux comprendre les processus psychiques en jeu après une annonce de pathologie grave ou d'une récidive, les manifestations de ces processus et enfin permettra aux professionnels d'adapter leur posture professionnelle face aux différentes situations
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PLAIES ET CICATRISATION
DPC
La plaie est quotidienne dans la vie professionnelle du soignant, à fortiori dans les établissements de soins de suite et de réadaptation recevant des patients en post chirurgie. Les derniers chiffres de la Société Française et Francophone des Plaies et Cicatrisation font état d’un réel besoin puisqu’il y a 2,5 millions de plaies en France dont 65% cicatrisent correctement avec l’application de solutions adaptées, validées par la HAS. 35% de ces plaies sont qualifiées de complexes et demandent une prise en charge pluridisciplinaire avec des réels savoirs et savoirs faire. Comme c’est le cas par exemple pour les spécialisations telles que la prise en charge des grands brûlés. Cette prise en charge des plaies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, relève aujourd’hui d’un savoir-faire qui repose sur de la théorie et de la pratique étayées par des recommandations d’experts, elles-mêmes validées par des démarches scientifiques. En la matière, si la prise en charge d’un patient porteur d’une plaie est multidisciplinaire, le rôle du binôme médecin/infirmier est déterminant. En effet, au-delà du seul diagnostic qui permet de définir un traitement étiologique, la stratégie thérapeutique, le choix du pansement approprié « au bon moment » et à tous les stades de la plaie garantit une évolution optimale, préservant la qualité de vie du patient bien souvent impactée par une plaie qui devient chronique. Voilà plusieurs années que la HAS a publié des recommandations sur la prise en charge des plaies chroniques ainsi que des guides de bon usage des pansements. Pour autant, l’évaluation et la prise en charge des plaies font toujours l’objet d’actualisation des pratiques en termes de traitement curatif mais aussi de prévention. La plaie est quotidienne dans la vie professionnelle du soignant, à fortiori dans les établissements de soins de suite et de réadaptation recevant des patients en post chirurgie. Les derniers chiffres de la Société Française et Francophone des Plaies et Cicatrisation font état d’un réel besoin puisqu’il y a 2,5 millions de plaies en France dont 65% cicatrisent correctement avec l’application de solutions adaptées, validées par la HAS. 35% de ces plaies sont qualifiées de complexes et demandent une prise en charge pluridisciplinaire avec des réels savoirs et savoirs faire. Comme c’est le cas par exemple pour les spécialisations telles que la prise en charge des grands brûlés. Cette prise en charge des plaies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, relève aujourd’hui d’un savoir-faire qui repose sur de la théorie et de la pratique étayées par des recommandations d’experts, elles-mêmes validées par des démarches scientifiques. En la matière, si la prise en charge d’un patient porteur d’une plaie est multidisciplinaire, le rôle du binôme médecin/infirmier est déterminant. En effet, au-delà du seul diagnostic qui permet de définir un traitement étiologique, la stratégie thérapeutique, le choix du pansement approprié « au bon moment » et à tous les stades de la plaie garantit une évolution optimale, préservant la qualité de vie du patient bien souvent impactée par une plaie qui devient chronique. Voilà plusieurs années que la HAS a publié des recommandations sur la prise en charge des plaies chroniques ainsi que des guides de bon usage des pansements. Pour autant, l’évaluation et la prise en charge des plaies font toujours l’objet d’actualisation des pratiques en termes de traitement curatif mais aussi de prévention. La plaie est quotidienne dans la vie professionnelle du soignant, à fortiori dans les établissements de soins de suite et de réadaptation recevant des patients en post chirurgie. Les derniers chiffres de la Société Française et Francophone des Plaies et Cicatrisation font état d’un réel besoin puisqu’il y a 2,5 millions de plaies en France dont 65% cicatrisent correctement avec l’application de solutions adaptées, validées par la HAS. 35% de ces plaies sont qualifiées de complexes et demandent une prise en charge pluridisciplinaire avec des réels savoirs et savoirs faire. Comme c’est le cas par exemple pour les spécialisations telles que la prise en charge des grands brûlés. Cette prise en charge des plaies, qu’elles soient aiguës ou chroniques, relève aujourd’hui d’un savoir-faire qui repose sur de la théorie et de la pratique étayées par des recommandations d’experts, elles-mêmes validées par des démarches scientifiques. En la matière, si la prise en charge d’un patient porteur d’une plaie est multidisciplinaire, le rôle du binôme médecin/infirmier est déterminant. En effet, au-delà du seul diagnostic qui permet de définir un traitement étiologique, la stratégie thérapeutique, le choix du pansement approprié « au bon moment » et à tous les stades de la plaie garantit une évolution optimale, préservant la qualité de vie du patient bien souvent impactée par une plaie qui devient chronique. Voilà plusieurs années que la HAS a publié des recommandations sur la prise en charge des plaies chroniques ainsi que des guides de bon usage des pansements. Pour autant, l’évaluation et la prise en charge des plaies font toujours l’objet d’actualisation des pratiques en termes de traitement curatif mais aussi de prévention.
Aide-soignant, Infirmier
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Promouvoir la bientraitance et prévenir la maltraitance dans la pratique du soin et de l’accompagnement
DPC
Promouvoir la bientraitance c'est renforcer un modèle de prise en charge et d'accompagnement des personnes accueillies en établissement et/ou accompagnées à domicile, centré sur leurs besoins, attentes, préférences. C'est favoriser l'implication de la personne dans ses soins et ses activités quotidiennes. Promouvoir la bientraitance constitue l'une des 6 dimensions majeures de l'amélioration de la qualité des soins. Cependant, sa mise en œuvre n'est pas toujours aisée. Elle dépend d'une posture globale qui consiste dans un premier temps à repérer les risques et facteurs de maltraitance qu'ils soient liés à l'usager, au soignant, à l'environnement...C'est une approche, un savoir être. Les objectifs sont: O Identifier ses représentations et définir la bientraitance au quotidien O Connaître et identifier les facteurs de risque de maltraitance O Analyser différentes situations afin d’adopter un autre regard et avoir une autre analyse des situations O Dédramatiser mais responsabiliser. O S’approprier les fondements de la bientraitance O Ajuster la relation de l’institution et du soignant avec l’usager pour être bientraitant O Développer la bientraitance au quotidien O Elaborer une charte de bientraitance ou un guide bonnes pratiques O Elaborer son plan d’amélioration des pratiques
Infirmier
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Gestion de la violence et de l’agressivité des patients et de leur entourage
DPC
Les compétences relationnelles et les attitudes professionnelles sont de plus en plus souvent mises à l’épreuve lors de la prise en charge des patients à l’hôpital. Aux urgences, où se concentre au quotidien souffrance et stress, les situations peuvent vite dégénérer. En effet, de par sa mission le service des urgences cristallise les frustrations liées à cette rencontre paradoxale entre urgences et attentes. Les missions du SAU : accueillir et prendre en charge des populations aux Urgences vitales et fonctionnelles Urgences non vitales Urgences à caractère social amène les agents à devoir adapter leurs comportements en permanence pour faire face aux multiples situations rencontrées. Le « cocktail », issu - Des problématiques des publics accueillis, - Des contextes inhérents aux motifs de venues aux urgences, - Des contraintes structurelles et organisationnelles du service - De la gestion émotionnelle des professionnels, est potentiellement déclencheur de manifestations d’agressivité et de risque de passage à l’acte. Pour continuer de fonctionner en sécurité pour les équipes et les patients, une collaboration entre les personnels des urgences et du service sécurité incendie s’impose pour intervenir dans les situations de violence physique, même si ce n’est pas la mission principale de ces deux corps de métier C’est pourquoi l’IFAP, conscient des enjeux souhaite mettre en place un dispositif de formation en ce sens qui s’appuiera sur une procédure institutionnelle visant à définir le rôle, les missions et les conduites à tenir des différents acteurs. Mieux prévenir et gérer ces situations repose sur l’acquisition de compétences relationnelles, de techniques de désamorçage des comportements agressifs mais aussi sur la connaissance de soi et la prise en compte de ses modes de réaction en situation d’agressivité. Le renforcement des savoir-faire relationnels et pratiques des personnels représente un enjeu majeur pour l’efficience du service et la qualité de la prestation rendue à l’usager au service des urgences. Cette démarche est indispensable pour accéder à ses ressources et mieux vivre sa profession. OBJECTIFS - Comprendre les mécanismes de l’agressivité et de la violence - Repérer les situations marquées par l’agressivité et la violence, les facteurs déclenchants de l’agressivité - Connaître les différents aspects juridiques en lien avec l’agressivité et dans le contexte d’un accueil multiculturel. - Savoir adapter ses réponses aux situations d’agressivité rencontrées : verbales, physiques, émotionnelles - Maintenir une bonne relation soigné/soignant - Connaître la dimension et les ressources collectives (service, pôle, institution) dans la gestion des situations de violence et d’agressivité.
Infirmier
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Soins infirmiers et surveillance des patients souffrant de pathologies cardiaques
DPC
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité en France pour les plus de 65 ans et les femmes. Les données épidémiologiques font des maladies cardiovasculaires une priorité de santé publique avec le développement d'actions de dépistage et de prévention. En France, plus de 2 millions de personnes souffrent de maladies cardiovasculaires et sont en ALD et plus de 20 millions sont à risque. Les patients nécessitent un suivi rigoureux et régulier au titre des maladies chroniques. Pour ce faire, de plus en plus de cardiologues libéraux et hospitaliers travaillent en véritable collaboration avec les Infirmiers et ou les IPA pour assurer la surveillance de leurs patients, l'éducation secondaire et le suivi des patients stabilisés (IPA). Cette formation a pour but d'optimiser les connaissances et compétences des infirmiers qui souhaitent exercer principalement en cardiologie en secteur hospitalier ou auprès de cardiologues libéraux Les objectifs de la formation sont: - Savoir identifier les facteurs de risque ou de gravité des maladies cardiovasculaires - Connaitre et comprendre les principales pathologies cardiaques et les stratégies thérapeutiques - Connaitre les principaux examens diagnostics et thérapeutiques - Savoir préparer un patient pour un ECG et savoir différencier un ECG normal d'un ECG avec anomalies - Comprendre le rôle de l'infirmier dans le parcours de soin du patient atteint d'une pathologie cardiaque - Connaitre les spécificités de la maladie chronique et ajuster sa posture éducative - Rappeler les bonnes pratiques de gestes d'urgence