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Mixte

Démarche diagnostique en médecine générale devant un tremblement.

DPC

Le tremblement est un motif courant de consultation en médecine générale source d’inquiétude pour le patient qui redoute trop souvent d’être atteint d’une maladie de parkinson et pouvant entrainer une gêne fonctionnelle et /ou psychologique importante. Son diagnostic repose essentiellement sur l’examen clinique, seul à même de proposer un traitement adapté et un suivi au long cours. Mais si un doute diagnostique subsiste il doit pouvoir faire appel à des examens complémentaires dans des situations plus complexes pour une prise en charge alors coordonnée. Les erreurs diagnostiques sont en effet trop fréquentes, à l’origine de prescriptions infondées parfois responsables d’effets indésirables évitables. Pour éviter celles-ci le médecin généraliste dispose d’outils diagnostics informatisés alignés sur la CIM 10, d’ arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats de consultation, des recommandations de l’HAS et des informations données aux patients par les CPAM. Bien que le tremblement essentiel touche 300.000 patients en France, sévère et anxiogène dans10% cas, la maladie de parkinson reste la cause la plus fréquente mais non exclusive de syndrome parkinsonien. De nombreux médicaments peuvent également générer ou aggraver un tremblement préexistant dont il faudra tenir compte dans l’évaluation bénéfice/ risque. Dans ce contexte, ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cette dite étape d’enseignement. Au cours du temps de formation continue, le raisonnement clinique permettant de poser le diagnostic devant des tremblements est traité. Une large place est consacrée aux travaux pratiques. Ainsi, ce programme à l’attention des médecins généralistes s’inscrit au niveau de l’orientation N°99 « Spécificités diagnostiques dans les situations cliniques fréquentes en médecine générale » et se décline au travers des objectifs suivants : - Identifier le tremblement comme un vrai symptôme, - Identifier le retentissement fonctionnel de ce tremblement, - Faire un diagnostic étiologique précis, - S’aider des examens complémentaires utiles, - Orienter le patient vers une prise en charge adaptée.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Médicaments des maladies cardiovasculaires: bon usage et accompagnement du patient par le pharmacien et l'équipe officinale

DPC

Contexte de l’action Le bon usage du médicament est une priorité largement affichée dans le cadre de la Stratégie nationale de santé (2018-2022) et du plan « Ma santé 2022 ». Si ce bon usage n’est pas respectée, le risque d’iatrogénie est présent, notamment chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires (MCV), souvent âgés, vulnérables et polymédiqués parce qu’atteints de plusieurs maladies chroniques qui cohabitent. Près d’1 Français sur 3 meurt d’une MCV. Le poids économique lié à la prise en charge des MCV reste considérable puisque ces dernières constituent environ 30 % des affections de longue durée (ALD). Les MCV doivent être prises en charge le plus précocement possible et le bon usage des médicaments destinés à les traiter est essentiel. En effet, ces médicaments sont au premier rang de ceux pourvoyeurs d’iatrogénie médicamenteuse. Ce programme de formation, adapté à la pratique officinale, est ainsi centré sur les missions essentielles du pharmacien et de son équipe pour le bon usage des médicaments utilisés en cardiologie. Objectifs principaux Permettre aux pharmaciens d’appréhender l’impact médical du mauvais usage du médicament Faciliter l’appropriation par les pharmaciens des outils existants qui permettent un bon usage du médicament, le repérage des situations à risque. Objectifs pédagogiques : 1-Rappel sur les différentes classes médicamenteuses utilisées dans les pathologies cardiovasculaires : focus sur les effets indésirables, les associations… 1.1 Les antihypertenseurs 1.2 Les hypolipémiants 1.3 Les anti-arythmiques 1.4 Les anticoagulants oraux 1.5 Les médicaments post infarctus 1.6 Les médicaments de l’insuffisance cardiaque 2- les conséquences médicales d’un mauvais usage de ces classes médicamenteuses 3- les principaux outils d’analyse des ordonnances Grandes lignes du contenu Cette formation présentielle de 7h , se déroulera avec une alternance de cours magistraux et d’ateliers pratiques Les méthodes pédagogiques affirmative, interrogative et active seront utilisées. Chaque séquence apporte les éléments nécessaires pour dispenser et renouveler les différents traitements de la sphère cardiologique dans des conditions optimales, en adéquation avec les dernières recommandations de la HAS et des sociétés savantes, en y associant toutes les recommandations pour un bon usage. Seront traitées pour chaque pathologie cardiovasculaire abordée, les classes de médicaments, avec les effets indésirables, l’analyse de l’ordonnance, les interactions médicamenteuses, les méfaits de l’automédication, les consignes à donner. Un pré-test aura lieu en début de session ainsi qu’un post test en fin. Chaque séquence sera évaluée par un quizz.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Médicaments des maladies cardiovasculaires: bon usage et accompagnement du patient par le pharmacien et l'équipe officinale-classe virtuelle

DPC

Contexte de l’action Le bon usage du médicament est une priorité largement affichée dans le cadre de la Stratégie nationale de santé (2018-2022) et du plan « Ma santé 2022 ». Si ce bon usage n’est pas respectée, le risque d’iatrogénie est présent, notamment chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires (MCV), souvent âgés, vulnérables et polymédiqués parce qu’atteints de plusieurs maladies chroniques qui cohabitent. Près d’1 Français sur 3 meurt d’une MCV. Le poids économique lié à la prise en charge des MCV reste considérable puisque ces dernières constituent environ 30 % des affections de longue durée (ALD). Les MCV doivent être prises en charge le plus précocement possible et le bon usage des médicaments destinés à les traiter est essentiel. En effet, ces médicaments sont au premier rang de ceux pourvoyeurs d’iatrogénie médicamenteuse. Ce programme de formation, adapté à la pratique officinale, est ainsi centré sur les missions essentielles du pharmacien et de son équipe pour le bon usage des médicaments utilisés en cardiologie. Objectifs principaux Permettre aux pharmaciens d’appréhender l’impact médical du mauvais usage du médicament Faciliter l’appropriation par les pharmaciens des outils existants qui permettent un bon usage du médicament, le repérage des situations à risque. Objectifs pédagogiques : 1-Rappel sur les différentes classes médicamenteuses utilisées dans les pathologies cardiovasculaires : focus sur les effets indésirables, les associations… 1.1 Les antihypertenseurs 1.2 Les hypolipémiants 1.3 Les anti-arythmiques 1.4 Les anticoagulants oraux 1.5 Les médicaments post infarctus 1.6 Les médicaments de l’insuffisance cardiaque 2- les conséquences médicales d’un mauvais usage de ces classes médicamenteuses 3- les principaux outils d’analyse des ordonnances Grandes lignes du contenu Cette formation en classe virtuelle de 7H avec l’outil ZOOM, se déroulera avec une alternance de cours magistraux et d’ateliers pratiques Les méthodes pédagogiques affirmative, interrogative et active seront utilisées. Chaque séquence apporte les éléments nécessaires pour dispenser et renouveler les différents traitements de la sphère cardiologique dans des conditions optimales, en adéquation avec les dernières recommandations de la HAS et des sociétés savantes, en y associant toutes les recommandations pour un bon usage. Seront traitées pour chaque pathologie cardiovasculaire abordée, les classes de médicaments, avec les effets indésirables, l’analyse de l’ordonnance, les interactions médicamenteuses, les méfaits de l’automédication, les consignes à donner. Un pré-test aura lieu en début de session ainsi qu’un post test en fin. Chaque séquence sera évaluée par un quizz.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Maladies neurodégénératives : médicaments et prise en charge des patients à l’officine

DPC

En accompagnant les patients dans leur plan de soins, le pharmacien d’officine participe à l’optimisation de leurs traitements médicamenteux et favorise le meilleur rapport coût/efficacité des thérapeutiques mises en place, ceci en collaboration avec les autres professionnels de santé. Cela est particulièrement vrai dans le domaine des maladies chroniques, notamment celui des maladies neurodégénératives (MND). Ce programme, adapté à la pratique officinale, se concentre sur les traitements des trois affections les plus fréquentes, intégrées depuis 2014 dans un plan commun (Plan maladies neurodégénératives 2014-2019), prolongé d’une « Feuille de route MND 2021-2022 » établie par le ministère de la Santé. Il s’agit de la maladie de Parkinson, de la maladie d’Alzheimer et de la sclérose en plaques. Les deux premières constituent un important problème de santé publique, en raison du vieillissement de la population. La sclérose en plaques, quant à elle, est la première cause de handicap non traumatique du sujet jeune qu’il faudra aider à maintenir une qualité de vie la plus acceptable possible pendant de très nombreuses années. Ces trois maladies doivent être prises en charge (et donc diagnostiquées) le plus précocement possible. Un certain nombre de signes, peuvent laisser suspecter leur début. Lorsqu’un patient ou son entourage évoque tel ou tel symptôme ainsi révélateur, le pharmacien doit être à même d’orienter le patient vers une consultation médicale. Ces trois maladies ont un impact majeur, non seulement sur les patients, mais aussi sur leurs proches, impact accentué par l’absence de traitement curatif. Il convient donc d’utiliser au mieux les traitements à visée symptomatique, de veiller à leur bonne observance et de gérer convenablement leurs effets indésirables. Le développement de thérapeutiques non médicamenteuses doit aussi retenir l’attention. Ce programme, adapté à la pratique officinale, est ainsi centré sur les missions essentielles du pharmacien et de son équipe, notamment : - aider le patient et son aidant éventuel à comprendre la maladie et les objectifs des traitements prescrits, à bien gérer ses derniers et à respecter une bonne observance ; - aider le patient et son aidant à s’adapter à l’évolution de sa maladie ; - faire connaître au patient et à son aidant l’éventail des thérapeutiques non médicamenteuses qui contribuent à l’amélioration de la pertinence des soins. Cette formation s’inscrit dans le cadre de l’approfondissement des connaissances, en s’appuyant sur des enseignements magistraux et des mises en situation autour de cas patient. Sont abordés, pour chacune des trois maladies : • des rappels épidémiologiques ; • la physiopathologie, les symptômes et leur évolution tout au long de la maladie ; • un rappel des éléments du diagnostic ; • les traitements médicamenteux de la maladie : différentes classes thérapeutiques, mode d’action, bonne utilisation, effets indésirables, interactions médicamenteuses ; • les éléments de l’environnement social et médical. Dans ce cadre, cette formation s’inscrit au niveau de l’orientation prioritaire N°28 « Dépistage et prise en charge des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, SEP) » et se traduit au travers des objectifs suivants : 1. Identifier les symptômes rapportés par un patient et pouvant faire suspecter un problème d’ordre neurodégénératif afin d’orienter vers une consultation médicale ; 2. Effectuer l’analyse pharmaceutique d’une ordonnance de neurologie : vérification des posologies, de l’absence de contre-indications et/ou d’interactions médicamenteuses et redondances médicamenteuses avec d’autres prescriptions en cours ; 3. Explique au patient les modalités de son traitement médicamenteux, afin d’en assurer le bon usage et la bonne observance et d’éviter tout risque d’iatrogénie ; de vérifier si les examens biologiques indispensables au suivi du traitement sont bien effectués au rythme adéquat ; 4. Apporter au patient et à son aidant éventuel tous les conseils pour gérer le quotidien et garantir la qualité de vie la plus acceptable possible.

Rhumatologue


En présentiel

Prévention de la chronicisation des pathologies douloureuses du poignet et de la main

DPC

Les douleurs chroniques invalidantes du poignet de la main sont un motif de consultation des plus fréquents après 50 ans. Cette symptomatologie se voit que le poignet ou la main aient été soumis ou non à des efforts mécaniques intenses et répétés. Deux étiologies dominent : L’arthrose La chondrocalcinose Cette symptomatologie douloureuse va devenir rapidement une source de handicap fonctionnel majeur, réduisant les performances des actes de la vie quotidienne après 60 ans. Afin d’ éviter une décompensation rapide il est indispensable de porter un diagnostic précoce, précis des douleurs du poignet ou de la main pour proposer ensuite une prise en charge adaptée. Le rhumatologue est très souvent mis à contribution dans cette démarche. Les objectifs généraux seront : - Analyser les douleurs de poignet et de la main : aiguë, chronique, dégénérative, micro cristalline, ou tendinopathie. - Revue des traitements classiques de ses pathologies. - Développer les nouveaux traitements : PRP, cellules souches etc. Les objectifs spécifiques seront - Etablir un examen clinique précis et minutieux afin d’ établir un diagnostic et une prise en charge adaptée à cette douleur. - Définir les examens complémentaires nécessaires à la confirmation du diagnostic - Répertorier les diagnostics différentiels - Poser au final un diagnostic étiologique - Établir un protocole de traitement médico chirurgical et/ou de rééducation fonctionnelle.

Pharmacien


E-learning

Les patients sous anticoagulants : rôle du pharmacien

DPC

Les anticoagulants permettent d'éviter des accidents thromboemboliques et des décès. Le nombre de patients sous anticoagulants en France est de l’ordre d’un million de personnes. Cette classe thérapeutique est responsable de nombreuses interactions médicamenteuses et est à l’origine de iatrogénie médicamenteuse. Les anti thrombotiques regroupent principalement 4 classes pharmacologiques : les antiagrégants plaquettaires, les héparines, les antivitamines K (AVK) et les Anticoagulants d’Action Directe (AOD) ou Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO). Avec plus de 70 millions de boîtes vendues par an, dont 44 millions d’antiagrégants plaquettaires (selon le point d’information de l’Assurance Maladie du 15 octobre 2015), environ 10% de la population française a utilisé un anti thrombotique en 2015. Le risque majeur des anticoagulants, toutes familles confondues, est le risque hémorragique en cas de surdosage. Les AVK arrivent en France au premier rang des médicaments responsables d'accidents iatrogènes graves. Il est plus que nécessaire au pharmacien d’officine comme à son équipe, d’être irréprochable sur la gestion des antithrombotiques, d’apporter au patient expertise et conseil, voire même, d’en assurer le suivi par des entretiens thérapeutiques afin d’assurer la bonne prise médicamenteuse par le patient. Ce programme s’inscrit au niveau de l’orientation N°9 « Bon usage des médicaments » et se déclinent autour des objectifs suivants : Objectifs généraux : • Connaître la cascade de l’hémostase • Connaître les différentes catégories de médicaments anti-thrombotiques AVK • Savoir suivre un patient recevant un traitement par AVK • Savoir informer le patient sur la posologie, les modalités de prise et les précautions particulières à respecter lors de la prise du traitement • Connaître les critères biologiques de surveillance du traitement • Connaître la iatrogénie liée aux AVK et savoir proposer des solutions adaptées • Connaître les modalités de renseignement du carnet de suivi remis au patient • Connaître les principales indications des AVK et les INR cibles qui s’y rattachent • Savoir orienter le patient en cas de survenue d’effets secondaires notamment hémorragiques • Connaître les aliments pouvant interférer avec le traitement par AVK • Connaître les aliments à teneur élevée en vitamine K Objectifs spécifiques des AOD : • Connaître les différentes classes d’AOD • Connaître les indications et posologies des AOD (Anticoagulants Oraux Directs) • Connaître les contre-indications, effets indésirables, interactions médicamenteuses et la surveillance biologiques des AOD • Connaître les modalités des interruptions temporaires des AOD Objectifs spécifiques des HBPM et des HNF • Connaître les différents médicaments disponibles • Connaître les indications, contre-indications et éléments de la surveillance d’un traitement par HBPM et HNF A l’issu de la formation le pharmacien doit être capable : • D’assurer la sécurité du patient sous traitement anti-thrombotique en mettant en place les outils nécessaires • De savoir repérer la survenue d’effets secondaires • De savoir répondre aux patients en cas d’oubli de prise, de modification du régime alimentaire ou de tout événement indésirable

Pharmacien


Mixte

Suivi des enfants et des adolescents atteints de dermatite atopique à l'officine (classe virtuelle)

DPC

La dermatite atopique, aussi appelée eczéma atopique, est une maladie chronique inflammatoire de la peau. Elle se développe préférentiellement chez le nourrisson et l’enfant, mais peut persister voire apparaître parfois chez l’adolescent et même chez l’adulte. Elle est caractérisée par une sècheresse cutanée associée à des lésions de type eczéma (rougeurs et démangeaisons, vésicules, suintement et croûtes) qui évoluent par poussées. La dermatite atopique se développe à partir de l’âge de trois mois. La majorité des dermatites atopiques disparaissent au cours de l’enfance (50% avant 5 ans), mais 10 à 15% des cas persistent jusqu’à l’âge adulte. Cette maladie fréquente impacte la qualité de vie de ces enfants et adolescents et de leur famille. Cette altération est essentiellement due à un défaut de soins (car complexe) et à la corticophobie très souvent ! En effet, il est évoqué que 80% des dermatites atopiques cliniquement sévères sont en fait des dermatites atopiques insuffisamment traitées. Le traitement des dermatites atopiques se fondent avant tout sur des soins locaux. Un traitement de fond vise à lutter contre la sécheresse cutanée et à restaurer la fonction de barrière de la peau. Il passe par l’application quotidienne d’émollients (crèmes hydratantes). Lors d’une poussée, les soins visent à réduire l’inflammation et les démangeaisons, pour soulager le patient et éviter une surinfection. L’application d’un dermocorticoïde, d’un immunomodulateur, d’une solution antiseptique, avec éventuellement des antihistaminiques en comprimé en complément, aident le patient à traverser la crise. Un traitement de base bien conduit a un réel impact sur le rythme des poussées et il est essentiel que les membres de l’équipe officinale éduquent le patient et/ou son entourage dès le plus jeune âge. Les membres de l’équipe officinale doivent être conscients des risques de la corticophobie ; ces derniers représentant un obstacle majeur à la prise en charge du patient. Ce sont des acteurs clé de par leur disponibilité et leur rôle dans la délivrance du traitement. Ce programme s’inscrit au niveau de l’orientation N°9 – Bon usage des médicaments et se décline au travers des objectifs suivants : - Connaitre les mécanismes de la dermatite atopique et les leviers sur lesquels il est possible d’agir afin de pouvoir l’expliquer aux patients et/ou à l’entourage, - Reconnaitre les différentes typologies de lésions (aigües ou chroniques) afin d’adapter le traitement, - Connaitre la stratégie thérapeutique visant à améliorer la qualité de vie du patient (nombre de poussée, prurit etc), - Eduquer le patient en renforçant sa compréhension, - Sécuriser la délivrance des dermacorticoïdes, - Lutter contre la corticophobie. Ce programme est parfaitement adapté de manière à être dispensé en classe virtuelle : deux séquences de 3 heures 30.

Pharmacien


Mixte

Suivi des enfants et des adolescents atteints de dermatite atopique à l'officine.

DPC

La dermatite atopique, aussi appelée eczéma atopique, est une maladie chronique inflammatoire de la peau. Elle se développe préférentiellement chez le nourrisson et l’enfant, mais peut persister voire apparaître parfois chez l’adolescent et même chez l’adulte. Elle est caractérisée par une sècheresse cutanée associée à des lésions de type eczéma (rougeurs et démangeaisons, vésicules, suintement et croûtes) qui évoluent par poussées. La dermatite atopique se développe à partir de l’âge de trois mois. La majorité des dermatites atopiques disparaissent au cours de l’enfance (50% avant 5 ans), mais 10 à 15% des cas persistent jusqu’à l’âge adulte. Cette maladie fréquente impacte la qualité de vie de ces enfants et adolescents et de leur famille. Cette altération est essentiellement due à un défaut de soins (car complexe) et à la corticophobie très souvent ! En effet, il est évoqué que 80% des dermatites atopiques cliniquement sévères sont en fait des dermatites atopiques insuffisamment traitées. Le traitement des dermatites atopiques se fondent avant tout sur des soins locaux. Un traitement de fond vise à lutter contre la sécheresse cutanée et à restaurer la fonction de barrière de la peau. Il passe par l’application quotidienne d’émollients (crèmes hydratantes). Lors d’une poussée, les soins visent à réduire l’inflammation et les démangeaisons, pour soulager le patient et éviter une surinfection. L’application d’un dermocorticoïde, d’un immunomodulateur, d’une solution antiseptique, avec éventuellement des antihistaminiques en comprimé en complément, aident le patient à traverser la crise. Un traitement de base bien conduit a un réel impact sur le rythme des poussées et il est essentiel que les membres de l’équipe officinale éduquent le patient et/ou son entourage dès le plus jeune âge. Les membres de l’équipe officinale doivent être conscients des risques de la corticophobie ; ces derniers représentant un obstacle majeur à la prise en charge du patient. Ce sont des acteurs clé de par leur disponibilité et leur rôle dans la délivrance du traitement. Ce programme s’inscrit au niveau de l’orientation N°9 – Bon usage des médicaments et se décline au travers des objectifs suivants : - Connaitre les mécanismes de la dermatite atopique et les leviers sur lesquels il est possible d’agir afin de pouvoir l’expliquer aux patients et/ou à l’entourage, - Reconnaitre les différentes typologies de lésions (aigües ou chroniques) afin d’adapter le traitement, - Connaitre la stratégie thérapeutique visant à améliorer la qualité de vie du patient (nombre de poussée, prurit etc), - Eduquer le patient en renforçant sa compréhension, - Sécuriser la délivrance des dermacorticoïdes, - Lutter contre la corticophobie.

Pharmacien


Mixte

Anticancéreux par voie orale : Dispensation et entretiens pharmaceutiques

DPC

Ce programme, adapté à la pratique officinale, répond ainsi à un enjeu majeur de santé publique : acquérir une méthodologie d’entretien avec le patient pour dispenser les anticancéreux par voie orale de façon optimale. Les objectifs de ce programme sont: - d’accompagner de façon personnalisée les patients dans la gestion de leurs traitements anticancéreux et de leurs soins de support ; - d’améliorer la qualité de vie des patients et leur autonomie ; - d’améliorer la bonne observance des traitements. Il permettra à l’apprenant : - de maîtriser ses connaissances de base sur les médicaments de chimiothérapies anticancéreuses administrées per os (chimiothérapie conventionnelle, thérapies ciblées, hormonothérapie) ; - de connaître et savoir utiliser tous les outils qu’il a à sa disposition pour bien dispenser et informer le patient ; - d’être compétent pour expliquer au patient comment gérer de façon optimale son traitement ; - d’être capable de répondre aux besoins du patient à son niveau de parcours de soins et de communiquer avec l’équipe d’oncologie de l’hôpital ; - d’avoir développé ses compétences de pharmacien clinicien. Cette formation s’inscrit dans le cadre d’un programme intégré combinant : - une action d’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) - une action de formation continue (FC) Après un premier tour d'audit clinique, la FC alternera des enseignements et des ateliers. Seront abordés successivement l’intérêt, l’organisation et la structuration d’un entretien pharmaceutique puis les différentes thérapies anticancéreuses orales, les fiches supports indispensables pour réaliser un entretien puis une série d’ateliers interactifs avec un entretien portant sur différents cas de patients. Cette étape se terminera par un focus sur les points forts à retenir ; Ensuite aura lieu le second tour d’audit réalisé dans les mêmes conditions que le premier.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Accompagnement de la femme ménopausée à l'officine: rôle du pharmacien et de l'équipe officinale

DPC

Entre deux visites chez le gynécologue ou le médecin traitant, les femmes qui abordent la période de la ménopause s’adressent régulièrement à leur pharmacien pour avoir des réponses aux questions qu’elles se posent ou pour décrire une problématique de santé. Le pharmacien et plus largement l’équipe officinale doivent être en mesure de répondre à cette patiente, de la rassurer et surtout de l’orienter judicieusement an cas de problème avéré. Dans ce cadre, ce programme s’inscrit au niveau de l’Orientation prioritaire N° 34 « Prise en charge des problématiques de santé de la femme : contraception, suivi de grossesse jusqu’au post-partum, endométriose, spécificité du risque cardiovasculaire, ménopause, troubles fonctionnels gynécologiques, interruption volontaire de grossesse (IVG) » et se décline au travers des objectifs suivants : Objectifs principaux: • Savoir reconnaitre les signes de la ménopause • Connaitre les risques de la ménopause • Connaitre les traitements de la ménopause Objectifs opérationnels : • Connaître le vécu et les interrogations des femmes sur la péri-ménopause et la ménopause • Reconnaître les symptômes de la péri-ménopause et de la ménopause, les distinguer de ceux liés au vieillissement • Connaître les risques liés à la ménopause • Connaître les différentes prises en charge de la ménopause leurs bénéfices, leurs risques La formation, après un prétest et présentations d’usage, débutera par une présentation didactique sur la ménopause, les anomalies et les problèmes qu’elle pose parfois (ménométrorragies, prise de poids, dépression…) et sera suivi par un travail en ateliers au cours des quels chaque participant présentera un ou deux cas rencontrés dans son officine et comment il les a gérés. Des échanges ont lieu entre participants et expert. La deuxième partie de la formation sera consacrée aux traitements et aux pathologies possibles en lien avec la ménopause ainsi qu’aux recommandations de l’HAS. Après un exposé didactique, un travail en ateliers permettra aux participants de travailler sur les cas rencontrés à l’officine et d’échanger avec l’expert. La formation se terminera par un post test et la réponse au questionnaire de satisfaction. Les méthodes affirmative, interrogative et active sont utilisées tout au long de cette action de formation continue.