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Pédicure-Podologue
Mixte
Instabilité chronique de la cheville : le bilan diagnostic en pédicurie-podologie
DPC
Le pédicure podologue à la libre réception de son patient et peut sans prescription préalable et sans tutelle pratiquer un examen clinique en vue d’établir un diagnostic. Ce dernier lui permettra soit de prendre en charge personnellement le patient soit de le réorienter vers un autre professionnel de santé. Le premier recours en pédicurie-podologie est de plus en plus fréquent en cas d'instabilité chronique de la cheville . Dans le but d’améliorer l’efficience de cette primo consultation spécifique, le pédicure podologue doit acquérir une méthodologie de diagnostic opposable, utiliser à bon escient les examens complémentaires. Pour cela, il peut s’appuyer sur des algorithmes décisionnels comme la CIM10 ou autres outils validés. Nous proposons dans ce cadre une action de formation : 190. Bilan diagnostic. Les objectifs généraux : Améliorer la pratique clinique devant une instabilité chronique de la cheville, S’aider des outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, des arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats de consultations et autres examens complémentaires si nécessaire, Porter le bon diagnostic qui appellera une prise en charge ou un ré adressage justement adaptés. Objectif d'apprentissage : A l’issue de la formation l’apprenant doit : Orienter correctement son interrogatoire devant une cheville instable chronique Maitriser la sémiologie orthopédique de base de la cheville et du pied, Réaliser les différents tests cliniques de la cheville et du pied et connaître leur signification, Connaître les examens complémentaires utiles au bilan et savoir expliquer aux patients ceux qui s’avèrent inutiles, Porter le bon diagnostic en s’appuyant sur les algorithmes décisionnels
Masseur-Kinésithérapeute
En présentiel
L'activité physique adaptée (APA): mise en application
DPC
L’activité physique adaptée (APA), comme moyen de prévention ou à titre thérapeutique des affections chroniques est aujourd’hui officiellement reconnue. Cette pratique améliore les trois composantes de la santé définies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : santé physique, santé psychologique, santé sociale. Sa prescription par le médecin pour les maladies chroniques est possible depuis le vote par le Parlement de la loi santé et des amendements Fourneyron qui ont pris effet en mars 2017. Bien que les médecins soient à l’initiative de la prescription de l’APA, les Masseurs kinésithérapeutes reçoivent le plus souvent les patients et soutienne la mise en œuvre en pratique de l’APA. Le succès à moyen et long terme de l’APA ne sera obtenu que s’il s’agit d’une action de masse dans laquelle seront totalement impliqués les kinesithérapeutes . Cette action s’inscrit dans l’orientation N°16« Déploiement de l’activité physique adaptée » et se décline au travers des objectifs pédagogiques suivants : La réalisation du bilan APA et évaluation des besoins du patient ; L’élaboration du parcours d’activité́ physique adaptée ; La coordination avec le médecin prescripteur et suivi du patient ; La sensibilisation au « partenariat patient » et la pratique de l’entretien motivationnel et de l’ETP pour renforcer l’adhésion thérapeutique ; pour ce faire, l’action pourra dispenser un rappel de connaissances sur des pathologies chroniques nécessaire à la réalisation de l’ETP (ex : normes glycémiques dans le cadre de l’activité physique pour le patient diabétique, hygiène de vie pour le patient atteint de cancer...).
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Mixte
Démarche diagnostique en médecine générale devant un tremblement.
DPC
Le tremblement est un motif courant de consultation en médecine générale source d’inquiétude pour le patient qui redoute trop souvent d’être atteint d’une maladie de parkinson et pouvant entrainer une gêne fonctionnelle et /ou psychologique importante. Son diagnostic repose essentiellement sur l’examen clinique, seul à même de proposer un traitement adapté et un suivi au long cours. Mais si un doute diagnostique subsiste il doit pouvoir faire appel à des examens complémentaires dans des situations plus complexes pour une prise en charge alors coordonnée. Les erreurs diagnostiques sont en effet trop fréquentes, à l’origine de prescriptions infondées parfois responsables d’effets indésirables évitables. Pour éviter celles-ci le médecin généraliste dispose d’outils diagnostics informatisés alignés sur la CIM 10, d’ arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats de consultation, des recommandations de l’HAS et des informations données aux patients par les CPAM. Bien que le tremblement essentiel touche 300.000 patients en France, sévère et anxiogène dans10% cas, la maladie de parkinson reste la cause la plus fréquente mais non exclusive de syndrome parkinsonien. De nombreux médicaments peuvent également générer ou aggraver un tremblement préexistant dont il faudra tenir compte dans l’évaluation bénéfice/ risque. Dans ce contexte, ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cette dite étape d’enseignement. Au cours du temps de formation continue, le raisonnement clinique permettant de poser le diagnostic devant des tremblements est traité. Une large place est consacrée aux travaux pratiques. Ainsi, ce programme à l’attention des médecins généralistes s’inscrit au niveau de l’orientation N°99 « Spécificités diagnostiques dans les situations cliniques fréquentes en médecine générale » et se décline au travers des objectifs suivants : - Identifier le tremblement comme un vrai symptôme, - Identifier le retentissement fonctionnel de ce tremblement, - Faire un diagnostic étiologique précis, - S’aider des examens complémentaires utiles, - Orienter le patient vers une prise en charge adaptée.
Médecin Généraliste
Mixte
Démarche diagnostique en médecine générale devant un trouble du sommeil.
DPC
Les troubles du sommeil représentent pour le médecin généraliste un ensemble de situations ou de pathologies courantes exigeant un diagnostic étiologique précoce pour empêcher la survenue de conséquences physiques et/ou psychiques potentiellement graves et trop souvent négligées. En effet, la fréquence des troubles du sommeil en population générale est de : · 30% pour l’insomnie occasionnelle, · 10% pour l’insomnie chronique. Le coût économique direct et indirect est évalué à 100 milliards / an en France. La répercussion sur la santé physique (cardiaque, métabolique) et mentale, la qualité et l’espérance de vie n’est plus à contester. Les troubles du sommeil pour les conditions particulières du travail posté représentent 4 millions de personnes. Les hypnotiques sont prescrits essentiellement par les médecins généralistes et représentent prés de 100 millions de boites / an. Tous ces exemples rendent compte de la nécessité d’une démarche diagnostique structurée permettant d’éviter trois écueils, à savoir : • La banalisation de ces troubles parfois par le patient lui-même, • La prescription d’hypnotiques trop systématique et le plus souvent inappropriée, • La demande d’examen(s) complémentaire(s) telle la polysomnographie rarement accessible dans un délai raisonnable. Le médecin généraliste doit pouvoir répondre à cette demande et détecter rapidement les situations relevant de sa seule compétence ou celles nécessitant une prise en charge spécialisée. Sa mission est donc large et l’étape diagnostique a une importance majeure. Elle résulte d’une analyse clinique méthodique et critique. Dans ce cadre, le médecin généraliste doit pouvoir s’aider des outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, des arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats de consultation et des examens complémentaires si nécessaire. Ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cettedite étape d’enseignement. Au cours du temps de formation continue, le raisonnement clinique permettant de poser le diagnostic devant des troubles du sommeil est traité. Une large place est consacrée aux travaux pratiques. Dans ce contexte : l’utilisation de questionnaires dédiés, d’outils cliniques de dépistage facilement accessibles, de dispositifs connectés et des recommandations de l’HAS pour les médecins généralistes permettront un dépistage optimal des patients en soins primaires en adressant quand il le faut, les cas complexes aux spécialistes du sommeil. Ainsi, ce programme à l’attention des médecins généralistes s’inscrit au niveau de l’orientation N°99 « Spécificités diagnostiques dans les situations cliniques fréquentes en médecine générale » et se décline au travers des objectifs suivants : Objectifs Généraux : - Améliorer la pratique clinique devant un trouble du sommeil, S' S’aider des outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, des arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats des consultations et autres examens complémentaires si nécessaire, - Porter le bon diagnostic qui appellera une prise en charge justement adaptée. Objectifs d’apprentissage : A l’issue de la formation, l’apprenant doit : - Connaître le raisonnement clinique devant un trouble du sommeil en soins primaires, - Décrire les différents cadres diagnostiques à l’origine de l’insomnie, - Détailler les critères sur lesquels sont basées les décisions prises, - Valoriser les données cliniques pour éviter le recours aux examens complémentaires inutiles.
Médecin Généraliste
Mixte
Démarche diagnostique en médecine générale devant une asthénie.
DPC
La fatigue : un symptôme complexe mais très fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique. L'asthénie peut avoir des causes très variées. « Docteur je suis fatigué », une phrase entendue au quotidien par le médecin de premier recours. Reconnaître dans ce symptôme, une véritable asthénie, un cancer ignoré, un cancer compliqué, une maladie inflammatoire, des effets iatrogènes relève de la sémiologie en médecine. Pour diagnostiquer une asthénie, le médecin généraliste interroge la personne qui consulte sur la fatigue ressentie, son intensité et sa fréquence. Le but de ces questions est de savoir s'il s'agit d'une fatigue passagère ou permanente et s'il existe des causes facilement identifiables. Sa mission est donc large et cette étape diagnostique a donc une importance majeure. Elle résulte d’une analyse clinique méthodique et critique et dont le bilan complémentaire doit servir à exclure certains diagnostics et rassurer le patient, mais il a une faible probabilité d’identifier une pathologie sous-jacente. L’enjeu est donc de le hiérarchiser de manière appropriée. Dans ce cadre, le médecin généraliste doit pouvoir s’aider des outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, des arbres décisionnels, du dictionnaire des résultats de consultations et des examens complémentaires si nécessaire. Ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cettedite étape d’enseignement. Au cours du temps de formation continue, le raisonnement clinique permettant de poser le diagnostic devant une asthénie est traité. Une large place est consacrée aux travaux pratiques Dans ce cadre, ce programme intégré s’adresse aux Médecins Généralistes et s’inscrit dans la fiche de cadrage n°99 « Spécificités diagnostiques dans les situations cliniques fréquentes en médecine générale » et a pour objectifs : Les objectifs généraux sont : · Diagnostiquer la pathologie sous-jacente à l’asthénie à partir des symptômes décrits par le patient et de l’examen clinique général, · Utiliser les outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, les arbres décisionnels et autres examens complémentaires si nécessaire. Les objectifs spécifiques sont : - Diagnostiquer l’origine d’une fatigue chronique, - Diagnostiquer l’origine d’une fatigue iatrogène, - Diagnostiquer l’origine d’une fatigue avec syndrome inflammatoire.
Médecin Généraliste
Mixte
Suivi gynécologique par le médecin généraliste : les anomalies du cycle menstruel .
DPC
Les anomalies du cycle menstruel sont pour les femmes une cause d’inquiétude fréquente. Le plus souvent d’origine bénigne elles peuvent aussi révéler des pathologies plus graves et éventuellement nécessiter une prise en charge d’urgence. A ce jour, dans le cadre du suivi gynécologique, beaucoup de femmes consultent leur médecin généraliste pour cette symptomatologie anxiogène. Il est donc important de former les médecins généralistes à la reconnaissance et à la prise en charge de ces anomalies du cycle menstruel. Ce programme répond à cette demande et aborde les principales étiologies dans ce domaine ainsi que les examens complémentaires et les traitements éventuels adaptés. Les différentes anomalies du cycle abordées seront illustrées par des cas cliniques. Dans ce cadre cet enseignement, pour les médecins généralistes, s’inscrit au niveau de la fiche de cadrage N°95 – Suivi de grossesse et suivi gynécologique (dysménorrhée, ménopause, troubles fonctionnels ) et se décline autour des objectifs suivants : Objectifs généraux - Reconnaitre les situations d’urgence en cas d’un saignement ou d’un retard de règles, - S’aider des examens complémentaires contributifs, - Etablir un diagnostic et une prise en charge, - Reconnaitre et nommer le syndrome prémenstruel. Objectifs spécifiques : A l’issue de cet enseignement, les participants seront capables de : - Prendre en charge les anomalies du cycle et établir un traitement éventuel ou une abstention thérapeutique
Médecin Généraliste
Mixte
Suivi de la ménopause par le médecin généraliste.
DPC
Avec l’augmentation de la durée de la vie, les femmes vont passer un tiers de leur vie ménopausée. La ménopause n’est pas une maladie. Cependant, la carence en œstrogènes qui lui est associée, peut se manifester par des symptômes qui affectent parfois la qualité de la vie des patientes. La vigilance dans leur suivi est primordiale afin d’éviter l’apparition de pathologies potentiellement graves (fractures ostéoporotiques, maladies cardio-vasculaires, cancers ...) De plus, souvent les enfants partis, la femme a du temps pour elle, pour sa vie intime. Suite à un veuvage ou un divorce, elle fait de nouvelles rencontres, elle a de nouveaux partenaires et questionne sur la sexualité. A ce jour, environ un tiers des femmes confient leur suivi gynécologique au médecin généraliste. Ainsi au cours de cette formation, le participant apprendra à repérer et prendre en charge tout ce qui empêcherait la femme ménopausée d'avoir une vie relationnelle, fonctionnelle et intime épanouie. Ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cettedite étape d’enseignement. Au cours du temps de formation continue, le raisonnement clinique concernant la femme ménopausée est traité. Une large place est consacrée aux travaux pratiques sous forme d’analyse de cas cliniques. Dans ce cadre, ce programme s’adresse aux Médecins Généralistes et s’inscrit dans la fiche de cadrage n°95 « Suivi de grossesse et suivi gynécologique (dysménorrhée, ménopause, troubles fonctionnels) » et a pour objectifs : Objectifs généraux : · Reconnaître les signes de la ménopause, · Connaître les risques liés à la ménopause, · Connaître les traitements de la ménopause, · Prendre en charge le suivi de la femme ménopausée (ennuis gynécologiques, sexualité...). Objectifs spécifiques : · Traiter les bouffées de chaleur, · Conseiller un traitement hormonal de ménopause, · Dépister et prendre en charge les troubles et les risques liés à la ménopause, · Donner des conseils alimentaires liés aux troubles de la ménopause, · Connaitre les modifications sexuelles liées à l’âge.
Médecin Généraliste, Pédiatre
En présentiel
Prévenir le surpoids et l'obésité chez l'enfant et l'adolescent.
DPC
Véritable enjeu de santé publique, l’excès de poids à savoir, le surpoids et l’obésité, est défini par l’Organisation Mondiale de la Santé comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle pouvant nuire à la santé. La dernière étude en vigueur sur l’état nutritionnel de la population est l’étude de Santé Publique Esteban (2014 - 2015). Les données suivantes résultent de cette enquête. Chez les enfants âgés de 6 à 17 ans, en 2015, les prévalences observées étaient de 17% de surpoids dont 4% d’obésité impliquant l’amélioration du repérage précoce du surpoids et de l’obésité des enfants dès l’âge de 3 ans. S’agissant de l’ensemble des troubles des conduites alimentaires (TCA : anorexie, boulimie, hyperphagie boulimique) et selon la HAS, la boulimie touche environ 1,5 % des 11–20 ans et concerne environ trois jeunes filles pour un garçon. Le surpoids et l’obésité de l'enfant sont particulièrement complexes et nécessitent une approche spécifique. Chez les enfants, si la situation est installée à la puberté, le risque de rester en surpoids ou obèse est élevé (entre 20 et 50% avant la puberté et entre 50 et 70% après la puberté). Chez l’enfant, la courbe de l’indice de masse corporelle (IMC) doit être tracée dès les premiers mois de la vie et surveillée attentivement au minimum 2 à 3 fois par an à la recherche de signes d’alerte : ascension continue de la courbe IMC, rebond d’adiposité précoce ou changement rapide de couloir vers le haut. Une enquête auprès des parents révèle que 65% des parents n’accordent pas une attention particulière au poids de leur enfant parce qu’il leur parait grandir et grossir normalement, or le surpoids chez l’enfant et l’adolescent n’est pas toujours détectable au premier coup d’œil. Il convient donc d 'analyser afin de mettre en place les conditions favorables à une éducation thérapeutique indispensable pour la détection de cette véritable maladie chronique. Dans ce contexte, le médecin généraliste en tant que médecin traitant, ou le pédiatre ont un rôle très important à assurer dans le repérage précoce des troubles nutritionnels, des premiers bilans à réaliser et l'orientation vers une prise en charge adaptée, notamment lors des 20 examens médicaux obligatoires jusqu’au 18 ans du jeune. Ce programme débute par un focus sur les mauvais comportements alimentaires conduisant au surpoids et à l'obésité, leur dépistage et la prévention à mettre en place en matière de nutrition. Sont abordés ensuite les principales causes du surpoids et de l’obésité de l’enfant et de l’adolescent et leurs différentes prises en charge ainsi que les traitements des pathologies induites. Ce programme se termine par les modalités pratiques d’accompagnement du patient et/ ou son entourage. Des analyses de cas pratiques complètent cet enseignement. Ce programme s’inscrit au niveau de l’orientation n°17 : Repérage et prise en charge des troubles nutritionnels et se décline au travers des objectifs suivants : Objectifs généraux : - Acquérir les connaissances nécessaires à la prévention du surpoids et de l’obésité infantile, - Détecter les environnements défavorables à une alimentation saine, - Proposer et mettre en place une stratégie thérapeutique et d'accompagnement. Pour atteindre pleinement ces objectifs les objectifs pédagogiques suivant sont déployés : - Décrire les principales causes du surpoids et de l’obésité chez l’enfant et l’adolescent, - Dépister précocement les erreurs et les facteurs nutritionnels menant au surpoids, - Prévenir l'installation du surpoids efficacement par la mise en place d'une alimentation saine, - Définir les bonnes pratiques en matière de nutrition adaptée à chaque patient, - Intégrer les différents traitements du surpoids et de l’obésité et leurs conséquences, - Proposer une stratégie d'accompagnement au patient et / ou son entourage.
Médecin Généraliste
En présentiel
Echographie par le médecin généraliste : séquence perfectionnement
DPC
L’échographie, le stéthoscope du XXIème siècle ! Ou comment nous approprier et inclure l’échographie dans notre pratique quotidienne de soignant de premier recours ? L’objectif de cette formation est d’acquérir des connaissances approfondies dans le domaine de l’échographie clinique dans le but d’obtenir une véritable compétence théorique et pratique, fondée sur l’apprentissage et la pratique des différentes modalités d’exercice de l’échographie. L’utilisation de l'échographie par le médecin généraliste permet de réduire l’incertitude diagnostique, faciliter l’accès au plateau technique et renforcer la pertinence du parcours de soins des patients en soins primaires. Cette formation orientée vers la pratique est réservée aux médecins généralistes ayant déjà été initiés à cette technique de diagnostic (DU ou autres cursus validés). Il s’agit donc d’une action de perfectionnement et ce programme s’attachera à répondre aux besoins des médecins généralistes en matière de réalisation de gestes techniques en échographie dans le cadre de l’amélioration du parcours de soin. Cette action de formation continue de trois jours se déroule de la façon suivante : après les rappels anatomiques, physiologiques et physiopathologiques par appareil, les présentations échographiques physiologique et pathologique sont abordés. Un atelier pratique clôture chaque cas étudié. Dans ce cadre, ce programme s’adresse aux médecins généralistes et conformément à l’orientation N°97 « Gestes techniques utiles dans la pratique de la médecine générale » les objectifs de cette orientation sont traités dans ce programme et vont se décliner au travers des objectifs généraux et pédagogiques suivants : Objectifs généraux : · Identifier les pathologies ou les situations nécessitant la réalisation du geste technique, · Réaliser le geste technique en se référant aux règles de bonnes pratiques, · Appréhender les bénéfices et risques de la pratique de l’échographie, · Analyser les résultats en se basant sur les référentiels liés à chaque geste technique, Objectifs spécifiques : • Pratiquer l’échographie pour éliminer une colique néphrétique, • Pratiquer l’échographie pour rechercher une colique hépatique, • Pratiquer l’échographie abdominale, compartimentée, avec organisation de routine, • Pratiquer l’échographie devant une masse cervicale et l’échographie de thyroïde, • Pratiquer l’échographie ostéo-articulaire et musculaire, • Pratiquer l’échographie vasculaire (artérielle et veineuse), • Pratiquer l’échographie devant une masse tissulaire superficielle.
Gynécologue, Médecin Généraliste, Médecin interne, Endocrinologue
Mixte
Hyperandrogénies chez la femme : Nouveautés dans le diagnostic et la prise en charge
DPC
L’hyperandrogénie dont l’expression clinique est souvent l’hirsutisme est une pathologie fréquente qui nécessite toujours une exploration bien conduite, afin de ne pas méconnaitre certains diagnostics de maladies génétiques ou tumorales ayant un impact dans la prise en charge des femmes. La publication récente par la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie et l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament d'un rapport détaillant une étude pharmaco-épidémiologique de cohorte à partir des données du Système National des Données de Santé sur l’exposition prolongée à de fortes doses d’acétate de cyprotérone et le risque de méningiome chez la femme a conduit les sociétés savantes à actualiser ses recommandations sur les traitements anti-androgènes. Bien que les gynécologues soient souvent en première ligne pour le diagnostic et la prise en charge de ces troubles fréquents. D’autres spécialités peuvent également être confrontées à cette problématique. Dans ce contexte, ce programme s’inscrit au niveau de l’orientation prioritaire N°34 : « Prise en charge des problématiques de santé de la femme : contraception, suivi de grossesse jusqu’au post-partum, endométriose, spécificité du risque cardiovasculaire, ménopause, troubles fonctionnels gynécologiques, interruption volontaire de grossesse (IVG) » Et plus particulièrement au niveau des troubles fonctionnels gynécologiques. Cette action de DPC de quatre heures se décline autour des objectifs suivants : - Connaitre le bilan de première intention à réaliser devant une spanioménorrhée, un hirsutisme, - Savoir diagnostiquer un syndrome des ovaires polykystiques, - Connaitre l’algorithme de choix du traitement de l’hirsutisme, - Savoir explorer une spanioménorrhée, - Savoir éliminer une tumeur endocrine sécrétante, - Connaitre la place des modifications du style de vie dans la prise en charge du Syndrome des Ovaires PolyKystiques – SOPK, - Mettre en application ces connaissances méthode active sur cas clinique.