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Mixte
Plaies, cicatrisation et pansements
DPC
L'objectif de cette formation est d'acquérir les bons réflexes face aux différentes plaies que les apprenants sont susceptibles de traiter chez des patients pris en charge à domicile ou en structures médicalisées à l'aide d'apports théoriques, d'illustrations, de photos et d'étude de cas cliniques. A l'issue du parcours de formation, l'apprenant sera capable de prendre en soin les différentes plaies susceptibles d'être rencontrées chez des patients pris en charge à domicile ou en structures médicalisées, selon les recommandations de la HAS. Les objectifs pédagogiques pour y arriver sont : Expliquer l'anatomie de la peau et la physiologie des plaies et de la cicatrisation Reconnaître les différentes plaies : escarres, ulcères de jambes, plaies tumorales, plaies du pied diabétique et brûlures Prendre en charge ces plaies chroniques : détersion, pansements... Evaluer la douleur lors des soins et la prendre en charge selon la prescription et les protocoles Prendre en compte et intégrer les aspects nutritionnels dans sa prise en charge des plaies
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Mixte • 9 heures
Entretien et manipulation des abords veineux centraux
Du 07/09/2025 au 16/10/2025
DPC
Journée de formation pratique par la simulation qui permet d'assurer la continuité de prise en charge des patients porteurs de dispositifs intraveineux de longue durée à domicile ou en établissements de santé en garantissant la sécurité et la qualité des soins.
Médecin Généraliste, Cancérologue
E-learning
L'après cancer du sein
DPC
Si la notion de PARCOURS par pathologie est devenue incontournable au décours des déclinaisons des Plans CANCERS, celle de l’après cancer se précise et prend forme de façon très nette dans le Plan III. Force est d’admettre que le cancer du sein par son taux d’incidence toujours plus élevé et son pronostic de plus en plus favorable, chez des femmes encore en pleine activité tant familiale que professionnelle, illustre parfaitement le propos. Tous s’accordent à confirmer qu’il s’agit d’un problème de santé publique, la patiente devant pouvoir prétendre à une réhabilitation tant professionnelle que personnelle, une prise en charge attentive des effets secondaires dus à la maladie et à ses traitements. Ainsi l’APRES fait partie intégrante de la prise en charge du cancer dans un continuum de vie et de santé. Convergence et difficultés : Ainsi depuis largement plus d’une décennie, le principe de l’après s’intègre progressivement. Mais les questions se multiplient. Car si à la question basique de « faut-il surveiller ? », la réponse est unanime et constante dans le temps, les modalités de l’application du concept divergent et peinent à s’éclaircir. - Qui surveille ? Quelle collaboration entre professionnels ? Peut-on déléguer à des infirmières, dans la suite logique des infirmières de coordination - Comment surveille-t-on ? Les référentiels existent mais sont beaucoup plus hétérogènes dans leur implémentation que ceux des traitements. Trop , pas assez ? Pendant combien de temps ? - Quoi ? le suivi des effets secondaires des traitements, passés ou/et actuels ? La survenue d’une nouvelle manifestation de la maladie locale ou à distance ? L’évaluation des comorbidités, de la qualité de vie, de la prise en charge du mode de vie ? (sédentarité, surpoids, tabac...) - Surveiller ou influencer vers un meilleur après ? autrement dit, sortir du carcan du modèle actuel de suivi, sous entendant pas vraiment guéri ni libre, pour introduire tout le reste c’est-à-dire les mesures d’hygiène de vie et d’amélioration de qualité d’existence… Ainsi de la pertinence des soins et des prises en charge initiales vont se dessiner les contours d’objectifs nouveaux, collectifs et stimulants. Eléments de contenu Partie 1 : Contexte de l’après- cancer du sein : pourquoi c’est important ? Afin de pouvoir répondre aux attentes que le concept de l’APRES sous-entend, il faut avoir l’humilité d’entendre toutes les voix concernées car c’est probablement de la non prise en compte de cette diversité que les expériences les plus louables ont pu échouer. N’est-ce pas tout le sens des PROMS (Patient Reported Outcome MeasureS in cancer patients) qui peinent à se mettre en place chez nous, mais qui sont constitutionnels de toute organisation hospitalière dans bien des pays ? Ainsi confrontons les paroles des patients, les attentes de leurs médecins, qui les côtoient au quotidien, et revisitons les demandes des institutionnels. Partie 2 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue médical, le suivi. Ensuite, définissons les populations dans leur diversité et attachons nous à trouver comment s’adapter aux différents profils, selon les besoins et nécessités, liés essentiellement à l’adhésion aux traitements au long cours et à leur répercussion. Partie 3 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue psycho social Enfin, envisageons les moyens mis en place et déployés pour œuvrer sur le versant psychosocial, et donc en quelque sorte en agissant dans une dynamique de prévention secondaire Objectifs pédagogiques : - Connaître les points de vigilance de l'après-cancer, les règlementations institionnelles tout en prennant en compte les attentes des patients - Connaître les recommandations pour le suivi médical après le cancer du sein et savoir es adapter aux différents profils de cancer du sein pour une meilleur pertinence du suivi - Favoriser l'adhérence de la patiente à l'hormonothérapie - Connaître les aspects psycho sociaux liés à l'après-cancer, l'expliquer à la patiente et favoriser son engagement
Médecin Généraliste, Cancérologue
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L'après cancer du sein
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Si la notion de PARCOURS par pathologie est devenue incontournable au décours des déclinaisons des Plans CANCERS, celle de l’après cancer se précise et prend forme de façon très nette dans le Plan III. Force est d’admettre que le cancer du sein par son taux d’incidence toujours plus élevé et son pronostic de plus en plus favorable, chez des femmes encore en pleine activité tant familiale que professionnelle, illustre parfaitement le propos. Tous s’accordent à confirmer qu’il s’agit d’un problème de santé publique, la patiente devant pouvoir prétendre à une réhabilitation tant professionnelle que personnelle, une prise en charge attentive des effets secondaires dus à la maladie et à ses traitements. Ainsi l’APRES fait partie intégrante de la prise en charge du cancer dans un continuum de vie et de santé. Convergence et difficultés : Ainsi depuis largement plus d’une décennie, le principe de l’après s’intègre progressivement. Mais les questions se multiplient. Car si à la question basique de « faut-il surveiller ? », la réponse est unanime et constante dans le temps, les modalités de l’application du concept divergent et peinent à s’éclaircir. - Qui surveille ? Quelle collaboration entre professionnels ? Peut-on déléguer à des infirmières, dans la suite logique des infirmières de coordination - Comment surveille-t-on ? Les référentiels existent mais sont beaucoup plus hétérogènes dans leur implémentation que ceux des traitements. Trop , pas assez ? Pendant combien de temps ? - Quoi ? le suivi des effets secondaires des traitements, passés ou/et actuels ? La survenue d’une nouvelle manifestation de la maladie locale ou à distance ? L’évaluation des comorbidités, de la qualité de vie, de la prise en charge du mode de vie ? (sédentarité, surpoids, tabac...) - Surveiller ou influencer vers un meilleur après ? autrement dit, sortir du carcan du modèle actuel de suivi, sous entendant pas vraiment guéri ni libre, pour introduire tout le reste c’est-à-dire les mesures d’hygiène de vie et d’amélioration de qualité d’existence… Ainsi de la pertinence des soins et des prises en charge initiales vont se dessiner les contours d’objectifs nouveaux, collectifs et stimulants. Eléments de contenu Partie 1 : Contexte de l’après- cancer du sein : pourquoi c’est important ? Afin de pouvoir répondre aux attentes que le concept de l’APRES sous-entend, il faut avoir l’humilité d’entendre toutes les voix concernées car c’est probablement de la non prise en compte de cette diversité que les expériences les plus louables ont pu échouer. N’est-ce pas tout le sens des PROMS (Patient Reported Outcome MeasureS in cancer patients) qui peinent à se mettre en place chez nous, mais qui sont constitutionnels de toute organisation hospitalière dans bien des pays ? Ainsi confrontons les paroles des patients, les attentes de leurs médecins, qui les côtoient au quotidien, et revisitons les demandes des institutionnels. Partie 2 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue médical, le suivi. Ensuite, définissons les populations dans leur diversité et attachons nous à trouver comment s’adapter aux différents profils, selon les besoins et nécessités, liés essentiellement à l’adhésion aux traitements au long cours et à leur répercussion. Partie 3 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue psycho social Enfin, envisageons les moyens mis en place et déployés pour œuvrer sur le versant psychosocial, et donc en quelque sorte en agissant dans une dynamique de prévention secondaire Objectifs pédagogiques : - Connaître les points de vigilance de l'après-cancer, les règlementations institionnelles tout en prennant en compte les attentes des patients - Connaître les recommandations pour le suivi médical après le cancer du sein et savoir es adapter aux différents profils de cancer du sein pour une meilleur pertinence du suivi - Favoriser l'adhérence de la patiente à l'hormonothérapie - Connaître les aspects psycho sociaux liés à l'après-cancer, l'expliquer à la patiente et favoriser son engagement
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L'après cancer du sein
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Si la notion de PARCOURS par pathologie est devenue incontournable au décours des déclinaisons des Plans CANCERS, celle de l’après cancer se précise et prend forme de façon très nette dans le Plan III. Force est d’admettre que le cancer du sein par son taux d’incidence toujours plus élevé et son pronostic de plus en plus favorable, chez des femmes encore en pleine activité tant familiale que professionnelle, illustre parfaitement le propos. Tous s’accordent à confirmer qu’il s’agit d’un problème de santé publique, la patiente devant pouvoir prétendre à une réhabilitation tant professionnelle que personnelle, une prise en charge attentive des effets secondaires dus à la maladie et à ses traitements. Ainsi l’APRES fait partie intégrante de la prise en charge du cancer dans un continuum de vie et de santé. Convergence et difficultés : Ainsi depuis largement plus d’une décennie, le principe de l’après s’intègre progressivement. Mais les questions se multiplient. Car si à la question basique de « faut-il surveiller ? », la réponse est unanime et constante dans le temps, les modalités de l’application du concept divergent et peinent à s’éclaircir. - Qui surveille ? Quelle collaboration entre professionnels ? Peut-on déléguer à des infirmières, dans la suite logique des infirmières de coordination - Comment surveille-t-on ? Les référentiels existent mais sont beaucoup plus hétérogènes dans leur implémentation que ceux des traitements. Trop , pas assez ? Pendant combien de temps ? - Quoi ? le suivi des effets secondaires des traitements, passés ou/et actuels ? La survenue d’une nouvelle manifestation de la maladie locale ou à distance ? L’évaluation des comorbidités, de la qualité de vie, de la prise en charge du mode de vie ? (sédentarité, surpoids, tabac...) - Surveiller ou influencer vers un meilleur après ? autrement dit, sortir du carcan du modèle actuel de suivi, sous entendant pas vraiment guéri ni libre, pour introduire tout le reste c’est-à-dire les mesures d’hygiène de vie et d’amélioration de qualité d’existence… Ainsi de la pertinence des soins et des prises en charge initiales vont se dessiner les contours d’objectifs nouveaux, collectifs et stimulants. Eléments de contenu Partie 1 : Contexte de l’après- cancer du sein : pourquoi c’est important ? Afin de pouvoir répondre aux attentes que le concept de l’APRES sous-entend, il faut avoir l’humilité d’entendre toutes les voix concernées car c’est probablement de la non prise en compte de cette diversité que les expériences les plus louables ont pu échouer. N’est-ce pas tout le sens des PROMS (Patient Reported Outcome MeasureS in cancer patients) qui peinent à se mettre en place chez nous, mais qui sont constitutionnels de toute organisation hospitalière dans bien des pays ? Ainsi confrontons les paroles des patients, les attentes de leurs médecins, qui les côtoient au quotidien, et revisitons les demandes des institutionnels. Partie 2 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue médical, le suivi. Ensuite, définissons les populations dans leur diversité et attachons nous à trouver comment s’adapter aux différents profils, selon les besoins et nécessités, liés essentiellement à l’adhésion aux traitements au long cours et à leur répercussion. Partie 3 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue psycho social Enfin, envisageons les moyens mis en place et déployés pour œuvrer sur le versant psychosocial, et donc en quelque sorte en agissant dans une dynamique de prévention secondaire Objectifs pédagogiques : - Connaître les points de vigilance de l'après-cancer, les règlementations institionnelles tout en prennant en compte les attentes des patients - Connaître les recommandations pour le suivi médical après le cancer du sein et savoir es adapter aux différents profils de cancer du sein pour une meilleur pertinence du suivi - Favoriser l'adhérence de la patiente à l'hormonothérapie - Connaître les aspects psycho sociaux liés à l'après-cancer, l'expliquer à la patiente et favoriser son engagement
Aide-soignant, Infirmier
En présentiel
La démarche palliative en cancérologie
DPC
CONTEXTE / FINALITÉS • Donner aux soignants les connaissances leur permettant d’acquérir une démarche palliative participative dans la prise en charge de patients en situation palliative • Définir les modalités de partenariat avec les acteurs de la transversalité, les établissements hospitaliers, les EHPAD, les HAD et les acteurs de terrain : IDE libérales et médecins généralistes • Donner aux soignants les connaissances leur permettant une prise en charge optimale des symptômes chez le patient en situation palliative en institution ou à domicile • Acquérir des aptitudes pour accompagner le patient et sa famille • Apprendre à gérer un décès et ses formalités administratives OBJECTIFS DE LA FORMATION • Définir les soins curatifs, les soins de support et les soins palliatifs dans une perspective de continuité des soins (passage du curatif au palliatif) • Connaitre les principaux textes de loi et circulaires relatifs aux soins palliatifs • Aborder les principes éthiques qui guident les soins palliatifs • Pouvoir échanger afin d’améliorer nos pratiques communes de prise en charge • Connaître les symptômes les plus fréquents en soins palliatifs, savoir les identifier, connaitre leurs particularités de prise en charge • Intégrer l’approche psychologique dans la prise en charge des patients en situation palliative : pour le patient, son entourage et pour les équipes • Connaître les démarches administratives concernant le décès ELEMENTS DE CONTENU 1ère journée : • Cadre éthique et juridique : définitions, les différentes lois • Modalités de dispensation des soins palliatifs et modes de financement • Passage du curatif au palliatif, importance des soins de support • La base de la réflexion éthique en soins palliatifs • Cas cliniques sur l’obstination déraisonnable et les directives anticipées 2ème journée : • Prise en charge des différents symptômes rencontrés en soins palliatifs : • Symptômes digestifs, respiratoires et la prise en charge terminale de fin de vie • Discussion, échanges et réflexion éthique autour de cas cliniques 3ème journée : • Intégrer l’approche psychologique dans la prise en charge des patients en situation palliative pour le patient, pour l’entourage et pour les équipes • Processus de deuil en soins palliatifs • Quand la mort survient : Quelles prises en charge ? particularités administratives • Don du corps, don d’organes, autopsie
Médecin Généraliste, Cancérologue
En présentiel
L'après cancer du sein
DPC
Si la notion de PARCOURS par pathologie est devenue incontournable au décours des déclinaisons des Plans CANCERS, celle de l’après cancer se précise et prend forme de façon très nette dans le Plan III. Force est d’admettre que le cancer du sein par son taux d’incidence toujours plus élevé et son pronostic de plus en plus favorable, chez des femmes encore en pleine activité tant familiale que professionnelle, illustre parfaitement le propos. Tous s’accordent à confirmer qu’il s’agit d’un problème de santé publique, la patiente devant pouvoir prétendre à une réhabilitation tant professionnelle que personnelle, une prise en charge attentive des effets secondaires dus à la maladie et à ses traitements. Ainsi l’APRES fait partie intégrante de la prise en charge du cancer dans un continuum de vie et de santé. Convergence et difficultés : Ainsi depuis largement plus d’une décennie, le principe de l’après s’intègre progressivement. Mais les questions se multiplient. Car si à la question basique de « faut-il surveiller ? », la réponse est unanime et constante dans le temps, les modalités de l’application du concept divergent et peinent à s’éclaircir. - Qui surveille ? Quelle collaboration entre professionnels ? Peut-on déléguer à des infirmières, dans la suite logique des infirmières de coordination - Comment surveille-t-on ? Les référentiels existent mais sont beaucoup plus hétérogènes dans leur implémentation que ceux des traitements. Trop , pas assez ? Pendant combien de temps ? - Quoi ? le suivi des effets secondaires des traitements, passés ou/et actuels ? La survenue d’une nouvelle manifestation de la maladie locale ou à distance ? L’évaluation des comorbidités, de la qualité de vie, de la prise en charge du mode de vie ? (sédentarité, surpoids, tabac...) - Surveiller ou influencer vers un meilleur après ? autrement dit, sortir du carcan du modèle actuel de suivi, sous entendant pas vraiment guéri ni libre, pour introduire tout le reste c’est-à-dire les mesures d’hygiène de vie et d’amélioration de qualité d’existence… Ainsi de la pertinence des soins et des prises en charge initiales vont se dessiner les contours d’objectifs nouveaux, collectifs et stimulants. Eléments de contenu Partie 1 : Contexte de l’après- cancer du sein : pourquoi c’est important ? Afin de pouvoir répondre aux attentes que le concept de l’APRES sous-entend, il faut avoir l’humilité d’entendre toutes les voix concernées car c’est probablement de la non prise en compte de cette diversité que les expériences les plus louables ont pu échouer. N’est-ce pas tout le sens des PROMS (Patient Reported Outcome MeasureS in cancer patients) qui peinent à se mettre en place chez nous, mais qui sont constitutionnels de toute organisation hospitalière dans bien des pays ? Ainsi confrontons les paroles des patients, les attentes de leurs médecins, qui les côtoient au quotidien, et revisitons les demandes des institutionnels. Partie 2 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue médical, le suivi. Ensuite, définissons les populations dans leur diversité et attachons nous à trouver comment s’adapter aux différents profils, selon les besoins et nécessités, liés essentiellement à l’adhésion aux traitements au long cours et à leur répercussion. Partie 3 : L’après-cancer du cancer du sein du point de vue psycho social Enfin, envisageons les moyens mis en place et déployés pour œuvrer sur le versant psychosocial, et donc en quelque sorte en agissant dans une dynamique de prévention secondaire Objectifs pédagogiques : - Connaître les grandes étapes du suivi d’une patiente après cancer du sein et les recommandations - Savoir accompagner le patient dans sa prise en charge médicamenteuse et dans l’observance - Identifier les facteurs de risque et prescrire les actes ou prestations adéquats - Accompagner la patiente dans sa reprise d'emploi
Infirmier
En présentiel
Prévention et traitement de l’escarre - Prise en charge de la plaie tumorale
DPC
Former les soignants à la prise en charge préventive et curative de l’’escarre : • Maitriser l’échelle d’évaluation du risque usitée à l’ICL : l’échelle de Waterlow • Acquérir et maitriser les connaissances sur les actes préventifs, curatifs(les différents stades) et éducatifs de l’escarre • Acquérir et maitriser les connaissances sur la prise en charge des plaies tumorales extériorisées, superficielles et/ou fistulisées
Manipulateur ERM, Infirmier
En présentiel
Utilisation des Dispositifs intra veineux de longue durée
DPC
CONTEXTE / FINALITÉ Améliorer la sécurité et la qualité de la prise en charge du patient et harmoniser les pratiques de soins et organisationnelles en matière de d’utilisation de dispositifs Intraveineux de longue durée. OBJECTIFS DE FORMATION Manipuler et entretenir les dispositifs intraveineux dans le respect des conditions d’hygiène, de sécurité et de confort optimales pour le patient et le personnel. Connaître les procédures organisationnelles concernant la prise en charge du patient bénéficiant d’une pose de dispositif intraveineux de longue durée des soins Réaliser la traçabilité des gestes réalisés, des dispositifs utilisés et des situations rencontrées Connaitre les différents dispositifs (aiguilles de Huber sécurisées et non sécurisée, seringue saline pré-remplie, sets de soin spécifiques et cathéter à émergence cutanée) Connaître les supports d’information patient ÉLÉMENTS DE CONTENU PARTIE THEORIQUE Organisation de la prise en charge du patient de la prise de rendez-vous jusqu’au jour de pose. Indications de la pose du dispositif d’abord central (CCI, VVCT ou PICC)et présentation des procédures de soins à l’ICL. Gestion des risques : Désobstruction et extravasation. Film : données anatomo-physiologiques et différentes techniques de pose PARTIE PRATIQUE (Ateliers) Présentation du matériel Manipulation du set spécifique Simulation de pose et dépose de l’aiguille de huber sécurisée et non sécurisée Utilisation de la pince de retrait Technique du rinçage en pression positive MÉTHODES & OUTILS PÉDAGOGIQUES Présentation power point + Film Ateliers pratiques
Infirmier
En présentiel
Actualisation des connaissances en chimiothérapie
DPC
L’évolution des traitements de chimiothérapie, la venue de nouvelles thérapies en cancérologie et les recommandations quant à la sécurisation du circuit médicamenteux complexifient l’administration et la gestion des effets secondaires chez les patients recevant la chimiothérapie. La connaissance des traitements de chimiothérapie, de leur mécanisme d’action, de leurs indications et effets secondaires améliorent la prise en charge du patient, son information et éducation lors de ses traitements.