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Diagnostic par l'imagerie d'une masse des parties molles (hors tumeurs graisseuses)
DPC
RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS La découverte d’une masse des parties molles est une situation fréquente que l’examen clinique seul peine souvent à élucider. Dans la démarche diagnostique proposée au patient, l’imagerie joue un rôle majeur en s’attachant à distinguer les lésions typiquement bénignes des lésions dites “indéterminées” dont la nature cancéreuse ne peut être exclue. Le retard diagnostique ou la prise en charge inappropriée de ces dernières grèvent dans certains cas le pronostic fonctionnel et même vital des patients concernés. Ce programme mettra l’emphase sur la sémiologie en échographie des principales masses communément rencontrées en pratique de ville et détaillera la stratégie d’imagerie diagnostique et/ou interventionnelle à mettre en place en vertu des recommandations disponibles. Il a pour but principal d’augmenter la performance diagnostique des imageurs dans l’identification des tumeurs cancéreuses des membres et de la paroi du tronc. NB: Les tumeurs graisseuses seront traitées dans une autre action car elles relèvent de recommandations propres publiées récemment OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES En fin de programme, les objectifs de cette formation seront pour le participant de : Savoir identifier le caractère dit “indéterminé” une lésion des parties molles, posant ainsi la question de sa nature cancéreuse (objectif principal) Savoir indiquer la réalisation de la bonne modalité d’imagerie devant la présence d’une masse des parties molles détectée cliniquement Savoir orienter un patient selon la nature “déterminée” ou “indéterminée” (et potentiellement cancéreuse) en imagerie d’une masse non graisseuse des parties molles dont il serait porteur Savoir orienter en milieu spécialisé les patients suspects de lésion cancéreuse afin d’éviter tout retard de prise en charge thérapeutique Savoir indiquer la réalisation d’une biopsie par l’imagerie ou chirurgicale selon les critères morphologiques constatés.
Médecin Généraliste, Médecin MPR, Rhumatologue, Radiologue
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Risque hémorragique lié aux actes de radiologie interventionnelle musculo-squelettique
DPC
RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS La radiologie interventionnelle en imagerie musculo-squelettique connaît un essor considérable compte tenu de l’augmentation des indications liée au vieillissement de la population et de l’élargissement de l’éventail des techniques disponibles (infiltrations, biopsies, thermocoagulations, cimentoplasties, vissages…) Parallèlement les médicaments à visée anti-thrombotiques, dont on sait qu’ils augmentent le risque hémorragique en période péri-opératoire, ont vu leur prescription croître auprès de la population générale mais également changer depuis l’apparition récente de nouvelles molécules incluant les antiagrégants de type antiP2Y12 ou les anticoagulants de type “AOD”. Il revient ainsi à l’équipe soignante, lors de la préparation d’une procédure de radiologie interventionnelle, d’intégrer à sa stratégie de prise en charge le double risque hémorragique lié au traitement d’une part et thrombotique lié à la modulation éventuelle de ce dernier d’autre part. La maniement de ces produits en période péri-interventionnelle, incluant les antiagrégants plaquettaires, les antivitamines K et les anticoagulants oraux directs a fait l’objet de recommandations ou de propositions récentes des instances qu’il convient désormais de connaître. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES Les objectifs pédagogiques de ce programme sont pour la participant de : Savoir réduire le risque hémorragique encouru par les patients au cours des procédures de radiologie interventionnelle musculo-squelettique (objectif principal) Maîtriser les enjeux de la prise de médicaments antithrombotiques dans un contexte de radiologie interventionnelle musculo-squelettique Savoir reconnaître les produits concernés dans la liste des médicaments des patients (antiagrégants, AVK, héparine et AOD notamment) Savoir évaluer le niveau de risque lié au type de geste réalisé lors d’une procédure interventionnelle musculo-squelettique Savoir évaluer le niveau de risque lié un médicament donné selon sa classe thérapeutique (antiagrégant, AVK, héparine et AOD) Être en mesure de moduler ces traitement lors de la préparation d'une procédure interventionnelle, Connaître la place du bilan d’hémostase dans la préparation d’une procédure interventionnelle en imagerie musculo-squelettique.
Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin nucléaire, Radiologue
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Pertinence des actes de diagnostic par l’imagerie chez le patient porteur d’une tumeur graisseuse des membres et de la paroi du tronc
DPC
RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS Les tumeurs graisseuses bénignes, appelées “lipomes”, sont très fréquentes puisqu’elles toucheraient 2,1% de la population générale. Les tumeurs graisseuses malignes, appelées “liposarcomes”, sont de pronostic plus sombre du fait du risque de progression locale ou générale (métastases) mais également de récidive post-opératoire qui est accentué en cas de mauvaise prise en charge initiale. Certains liposarcomes des membres, dits “atypiques”, sont de présentation similaire à celle des lipomes et n’en sont différenciés que par le biais d’une approche rigoureuse associant des moyens d’imagerie diagnostique (échographie, IRM) et parfois interventionnelle (biopsie). Les erreurs d’orientation et de prise en charge des patients porteurs d’une tumeur graisseuse des membres sont à l’origine de conséquences fonctionnelles ou vitales sérieuses pour les patients. La stratégie diagnostique par l’imagerie des tumeurs graisseuses de membres a, à cet égard, fait l’objet d’une mise au point du Groupe Sarcome France en 2018 puis d’un consensus d’experts européens en Octobre 2021. Ce parcours de formation a vocation à diffuser plus largement ces référentiels auprès des prescripteurs et des médecins en charge de l’imagerie des patients porteurs de tumeurs graisseuses des membres et de la paroi du tronc. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES - Savoir prescrire ou pratiquer le bon examen d’imagerie diagnostique (échographie, IRM) ou interventionnelle (biopsie) chez un patient porteur d’une tumeur graisseuse (objectif principal) - Savoir explorer et décrire une tumeur graisseuse par l’imagerie - Savoir suspecter la présence d’une tumeur graisseuse maligne sur la base d’atypies de morphologie et de taille - Savoir réaliser une biopsie de tumeur graisseuse - Savoir orienter le patient dans le bon parcours de soin selon l’aspect et le contexte rencontrés
Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin MPR, + 2 autres
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Échographie des nerfs superficiels : outil de prévention et de prise en charge de la douleur
DPC
RÉSUMÉ : Les nerfs superficiels sont à l’origine de douleurs neuropathiques invalidantes dont le diagnostic a longtemps été difficile compte tenu de l’absence d’outil diagnostic fiable que ce soit par l’imagerie ou l’électromyographie. Depuis quelques années, ces nerfs superficiels sont devenus accessibles à l’échographie du fait de l’amélioration de la résolution spatiale de l’outil. Parallèlement, les données de la littérature se sont étoffées concernant l’anatomie fine de ces nerfs mais également leur implication dans des douleurs que ce soit dans le cadre de lésions tumorales, canalaires mais surtout traumatiques et en particulier dans le contexte post-opératoire. Ce programme a pour but de populariser l’utilisation de l’échographie dans la prise en charge des patients souffrant de douleurs liées à une lésion des nerfs superficiels. OBJECTIFS : En fin de programme, les médecins ayant suivi la formation seront capables de : ● Intégrer précocement l’échographie dans le diagnostic et la prise en charge des douleurs neuropathiques induites par la lésion d’un nerf superficiel afin de réduire le nomadisme médical ● Suspecter cliniquement la présence d’une souffrance des nerfs superficiels chez un patient et en particulier de ceux les plus exposés aux traumatismes ● Comprendre la physiopathologie des douleurs induites par une lésion traumatique, canalaire ou tumorale d’un nerf superficiel ● Identifier par l’échographie les nerfs superficiels les plus exposés aux traumatismes ● Prévenir la survenue de lésions iatrogènes des nerfs superficiels par un repérage échographique préalable à certains gestes percutanés
Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin nucléaire, + 3 autres
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Tuméfactions des parties molles à reconnaître en imagerie: sémiologie radiologique et stratégie diagnostique
DPC
La découverte d’une tuméfaction sous-cutanée est une situation clinique fréquente que l’examen clinique seul peine souvent à élucider. Dans la démarche diagnostique et thérapeutique proposée au patient, l’imagerie joue un rôle prépondérant et s’attachera à reconnaître les lésions typiquement bénignes des lésions tumorales typiquement malignes, laissant entre ces deux catégories une zone d’ombre des lésions dites “indéterminées” qu’il conviendra de biopsier. La pertinence de prescription des examens complémentaires (scanner, IRM, examens isotopiques voire biopsie percutanée) sera basée sur le respect des règles sémiologiques ainsi que des recommandations disponibles, dans le but d’éviter des coûts inutiles et une éventuelle iatrogénie. Les objectifs de ce programme seront pour le participant de : - réduire la prescription d’examens inutiles compte-tenu des risques de iatrogénie et de coûts de santé impliqués (objectif principal) - connaître les signes spécifiques permettant d’affirmer la nature d’une tuméfaction des parties molles sur les seules données des examens d’imagerie, - savoir hiérarchiser les examens d’imagerie dans la démarche diagnostique d’une lésion osseuse fortuite - réduire la prescription d’examens inutiles compte-tenu des risques de iatrogénie et de coûts de Santé impliqués, - intégrer les référentiels disponibles dans sa pratique quotidienne de la médecine.
Rhumatologue
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L'IRM des articulations sacro-iliaques en pratique quotidienne
DPC
Dix ans après les recommandations ASAS 2009, l’IRM des articulations sacro-iliaques conserve une place de choix parmi les critères diagnostiques des spondylarthropathies. La littérature récente a toutefois souligné le manque de performance diagnostique de cet outil quand des règles des réalisation et de lecture strictes ne sont pas appliquées. Ceci plaide notamment pour une meilleure prise en compte de la localisation des modifications oedémateuses mais aussi des anomalies structurales à condition qu’elles conservent une bonne spécificité. A cet égard, la place du scanner sera également abordée. Les objectifs de ce programme seront pour le participant de: - intégrer l’anatomie la plus utile à l’analyse des articulations sacro-iliaques par l’imagerie. - comprendre l’intérêt des principaux plans et séquences d’étude utilisés en scanner et en IRM. - Intégrer les bases physiopathologiques des remaniements dégénératifs et inflammatoires. - En connaître les signes sémiologiques utiles en scanner et en IRM. - Connaître les principaux pièges diagnostiques ainsi que la valeur des différents signes. - Connaître la place des différentes modalités d’imagerie dans le bilan d’une articulation sacro-iliaque. - Savoir rédiger un compte-rendu d’imagerie dans le cadre du bilan d’une souffrance sacro-iliaque supposée.
Médecin urgentiste
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Urgences traumatiques du membre supérieur : sémiologie radiologique et stratégie diagnostique
DPC
L’imagerie occupe une place centrale dans la prise en charge des urgences traumatologiques. Elle permet la caractérisation des lésions traumatiques et en oriente la prise en charge par l'urgentiste et le traumatologue. La prescription de clichés est la première étape de la démarche d'imagerie. Consécutivement, leur lecture sera rigoureuse et répondra de règles de lecture strictes dans le but d'établir un diagnostic final ou, le cas échéant, de proposer selon les recommandations un examen complémentaire adapté parmi lesquels comptent l'échographie, le scanner et l'IRM. Ce programme a pour but de proposer des protocoles d'imagerie de débrouillage ou plus orientés, de rappeler la radioanatomie normale des principaux segments du membre supérieur, de proposer une sémiologie radiographique simple et applicable dans la pratique quotidienne et de faire le lien entre l'image pathologique et la conduite à tenir qui en découle par l’urgentiste et le chirurgien. L’emphase sera mise sur les cas cliniques illustrant les situations cliniques rencontrées en pratique. Les objectifs de ce programme seront de: - améliorer les pratiques des praticiens (stratégies diagnostiques) prenant en charge des patients traumatisés du membre supérieur dans un service d’urgence (objectif principal), - comprendre l’intérêt et les modalités de réalisation des principales incidences radiographiques utiles à l'exploration des urgences traumatiques du membre supérieur, - intégrer les bases physiopathologiques des principales fractures du membre supérieur rencontrées en pratique de ville et hospitalière connaître les signes sémiologiques utiles et l'implication des types lésionnels dans la prise en charge des patients - connaître la place de chaque modalité d'imagerie dans la démarche diagnostique d'une urgence traumatique
Chirurgien, Médecin du travail, Médecin Généraliste, + 5 autres
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Tumeurs osseuses fortuites: sémiologie radiologique et stratégie diagnostique
DPC
La découverte fortuite d'une lésion osseuse sur un examen d'imagerie est une situation fréquente qui est source de nombreuses questions tant sur un plan diagnostique que sur le plan de la prise en charge du patient. Ces tumeurs et pseudo-tumeurs peuvent être de nature fibreuse, kystique, osseuse, cartilagineuse, graisseuse et notochordale. Une connaissance précise du contexte clinique du patient est un pré-requis indispensable à la démarche diagnostique. Il reviendra par la suite à l’équipe soignante de définir sur la base des images disponibles si un diagnostic formel peut être proposé ou si d'autres examens doivent être demandés (scanner, IRM, examens isotopiques voire biopsie percutanée). Le cas échéant, leur prescription devra alors s'articuler de façon pertinente et en ligne avec les recommandations disponibles dans la littérature en sachant que l’errance diagnostique est source de coût inutiles, de retard de prise en charge et de iatrogénie. Les objectifs de ce programme seront pour le participant de : - réduire la prescription d’examens inutiles compte-tenu des risques de iatrogénie et de coûts de santé impliqués (objectif principal) - connaître les signes spécifiques permettant d’affirmer la nature d’une lésion osseuse découverte fortuitement en imagerie, - savoir hiérarchiser les examens d’imagerie dans la démarche diagnostique d’une lésion osseuse fortuite, - intégrer les référentiels disponibles dans sa pratique quotidienne de la médecine.
Radiologue
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Risque hémorragique en radiologie interventionnelle musculo-squelettique
DPC
La radiologie interventionnelle en imagerie musculo-squelettique connaît un essor considérable compte tenu de l’augmentation des indications liée au vieillissement de la population et de l’élargissement de l’éventail des techniques disponibles. Parallèlement les médicaments à visée anti-thrombotiques, dont on sait qu’ils augmentent le risque hémorragique en période péri-opératoire, ont vu leur prescription croître auprès de la population générale mais également changer depuis l’apparition récente de nouvelles molécules incluant les antiagrégants de type antiP2Y12 ou les anticoagulants de type “AOD”. Il revient ainsi à l’équipe soignante, lors de la préparation d’une procédure de radiologie interventionnelle, d’intégrer à sa stratégie de prise en charge le double risque hémorragique lié au traitement, d’une part, et thrombotique lié à la modulation de ce dernier d’autre part. La maniement de ces produits en période péri-interventionnelle, incluant les antiagrégants plaquettaires, les antivitamines K et les anticoagulants oraux directs a fait l’objet de recommandations ou de propositions récentes des instances qu’il convient désormais de connaître. Les objectifs de ce parcours sont pour le participant de: - Savoir réduire le risque hémorragique encouru par les patients lors d’une procédure de radiologie interventionnelle (objectif principal) - Comprendre les enjeux de la prise de médicaments antithrombotiques dans un contexte de radiologie interventionnelle musculo-squelettique - Connaître les médicaments concernés et savoir les reconnaître dans la liste des médicaments des patients (antiagrégants et AOD notamment) - Savoir évaluer le niveau de risque lié au type de geste réalisé lors d’une procédure interventionnelle musculo-squelettique - Savoir évaluer le niveau de risque lié un médicament donné selon sa classe thérapeutique (antiagrégant, AVK, héparine, AOD) - Etre en mesure de moduler ces traitement lors de la préparation d'une procédure interventionnelle, - Connaître la place du bilan d’hémostase dans la préparation d’une procédure interventionnelle en imagerie musculo-squelettique.
Médecin urgentiste
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Urgences traumatiques de la main/ Traumatismes pédiatriques
DPC
L’imagerie occupe une place centrale dans la prise en charge des urgences traumatologiques. Elle permet la caractérisation des lésions traumatiques et en oriente la prise en charge par l'urgentiste et le traumatologue. La prescription de clichés est la première étape de la démarche d'imagerie. Consécutivement, leur lecture sera rigoureuse et répondra de règles de lecture strictes dans le but d'établir un diagnostic final ou, le cas échéant, de proposer selon les recommandations un examen complémentaire adapté parmi lesquels comptent l'échographie, le scanner et l'IRM. Ce programme a pour but de proposer des protocoles d'imagerie de débrouillage ou plus orientés, de rappeler la radioanatomie normale du poignet, de proposer une sémiologie radiographique simple et applicable dans la pratique quotidienne et de faire le lien entre l'image pathologique et la conduite à tenir qui en découle par l’urgentiste et le chirurgien. L’emphase sera mise sur les cas cliniques illustrant les situations cliniques rencontrées en pratique. Les objectifs de ce programme seront pour les participants de: • intégrer l’anatomie utile à l’analyse de clichés radiographiques de la main, • comprendre l’intérêt des principales incidences radiographiques utiles à l’exploration des urgences traumatiques de la main, • intégrer les bases physiopathologiques des principales fractures de la main rencontrées en pratique de ville et hospitalière • connaître les signes sémiologiques utiles et connaîtront l’implication des types lésionnels dans la prise en charge des patients • connaître la place de chaque modalité d’imagerie dans la démarche diagnostique d’une urgence traumatique. • connaître les spécificités des traumatismes pédiatriques