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Risque hémorragique lié aux actes de radiologie interventionnelle musculo-squelettique

DPC

RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS La radiologie interventionnelle en imagerie musculo-squelettique connaît un essor considérable compte tenu de l’augmentation des indications liée au vieillissement de la population et de l’élargissement de l’éventail des techniques disponibles (infiltrations, biopsies, thermocoagulations, cimentoplasties, vissages…) Parallèlement les médicaments à visée anti-thrombotiques, dont on sait qu’ils augmentent le risque hémorragique en période péri-opératoire, ont vu leur prescription croître auprès de la population générale mais également changer depuis l’apparition récente de nouvelles molécules incluant les antiagrégants de type antiP2Y12 ou les anticoagulants de type “AOD”. Il revient ainsi à l’équipe soignante, lors de la préparation d’une procédure de radiologie interventionnelle, d’intégrer à sa stratégie de prise en charge le double risque hémorragique lié au traitement d’une part et thrombotique lié à la modulation éventuelle de ce dernier d’autre part. La maniement de ces produits en période péri-interventionnelle, incluant les antiagrégants plaquettaires, les antivitamines K et les anticoagulants oraux directs a fait l’objet de recommandations ou de propositions récentes des instances qu’il convient désormais de connaître. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES Les objectifs pédagogiques de ce programme sont pour le participant de : Savoir réduire le risque hémorragique encouru par les patients au cours des procédures de radiologie interventionnelle musculo-squelettique (objectif principal) Savoir reconnaître les produits concernés dans la liste des médicaments des patients (antiagrégants, AVK, héparine et AOD notamment) Savoir évaluer le niveau de risque lié au type de geste réalisé lors d’une procédure interventionnelle musculo-squelettique Savoir évaluer le niveau de risque lié un médicament donné selon sa classe thérapeutique (antiagrégant, AVK, héparine et AOD) Être en mesure de moduler ces traitement lors de la préparation d'une procédure interventionnelle, Connaître la place du bilan d’hémostase dans  la préparation d’une procédure interventionnelle en imagerie musculo-squelettique.

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Diagnostic par l'imagerie d'une masse des parties molles (hors tumeurs graisseuses)

DPC

RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS La découverte d’une masse des parties molles est une situation fréquente que l’examen clinique seul peine souvent à élucider. Dans la démarche diagnostique proposée au patient, l’imagerie joue un rôle majeur en s’attachant à distinguer les lésions typiquement bénignes des lésions dites “indéterminées” dont la nature cancéreuse ne peut être exclue. Le retard diagnostique ou la prise en charge inappropriée de ces dernières grèvent dans certains cas le pronostic fonctionnel et même vital des patients concernés. Ce programme mettra l’emphase sur la sémiologie en échographie des principales masses communément rencontrées en pratique de ville et détaillera la stratégie d’imagerie diagnostique et/ou interventionnelle à mettre en place en vertu des recommandations disponibles. Il a pour but principal d’augmenter la performance diagnostique des imageurs dans l’identification des tumeurs cancéreuses des membres et de la paroi du tronc. NB: Les tumeurs graisseuses seront traitées dans une autre action car elles relèvent de recommandations propres publiées récemment OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES En fin de programme, les objectifs de cette formation seront pour le participant de : Savoir identifier le caractère dit “indéterminé” une lésion des parties molles, posant ainsi la question de sa nature cancéreuse (objectif principal) Savoir indiquer la réalisation de la bonne modalité d’imagerie devant la présence d’une masse des parties molles détectée cliniquement Savoir orienter un patient selon la nature “déterminée” ou “indéterminée” (et potentiellement cancéreuse) en imagerie d’une masse non graisseuse des parties molles dont il serait porteur Savoir orienter en milieu spécialisé les patients suspects de lésion cancéreuse afin d’éviter tout retard de prise en charge thérapeutique Savoir indiquer la réalisation d’une biopsie par l’imagerie ou chirurgicale selon les critères morphologiques constatés.

Radiologue


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Dépistage échographique de l’endométriose

DPC

Résumé L’endométriose relève du développement ectopique de tissu endométrial au sein du péritoine, des ovaires, de l’environnement rectal ou vésical voire en dehors du bassin. Cette maladie est à l’origine de désordres invalidants, incluant des dysménorrhées, des dyspareunies et des douleurs pelviennes chroniques occasionnant un très fort retentissement médical et psycho-social (1,2). Dans certains cas, elle est également source d’infertilité (3). Cette maladie toucherait 10 % des femmes en âge de procréer à l’échelle mondiale, soit 190 millions de personnes (4). Elle représente donc un problème majeur de santé publique. Malgré cette forte prévalence, l’endométriose est souvent diagnostiquée tardivement du fait de sa méconnaissance du grand public mais également des professionnels de santé. Le délai moyen avant diagnostic , est estimé entre 5 et 12 ans (5). Ce constat est à l’origine d’un fort nomadisme médical des patientes ce qui retarde d’autant la mise en place de thérapeutiques ciblées incluant les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les analgésiques (1), les médicaments hormonaux tels que les méthodes contraceptives ou plus récemment les analogues de la GnRH (6). Dans certains cas, la chirurgie est même indiquée. En Décembre 2017, la HAS a publié une recommandation de bonne pratique concernant la “prise en charge de l’endométriose” (7). Cette recommandation détaille notamment la place de l’échographie de première intention dans le dépistage de la maladie et l’orientation précoce des patientes dans un circuit de soin. Récemment, les sociétés savantes ont par ailleurs émis des recommandations de bonne pratique de visant à définir des règles de savoir-faire et de savoir-être lors de la pratique de l’échographie gynécologique (8). Elles traitent des règles d’accueil, d’information, d’interaction et d’hygiène relatives à la pratique de l’échographie gynécologique. Ces dernières recommandations font partie intégrante du dépistage de l’endométriose par l’échographie de première intention et seront traitées dans cette action de formation (8). Agarwal SK et al. Clinical diagnosis of endometriosis: a call to action. Am J Obstet Gynecol. 2019; 220(4): 354.e1-354.e12 Simoens S et al. The burden of endometriosis: costs and quality of life of women with endometriosis and treated in referral centres. Hum Reprod. 2012; 27(5): 1292-9 Carbonnel M et al. Endométriose. Les items de la Revue du praticien 2023; 73(2): 209-215. https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/endometriosis da Silva MCM, Ferreira LPS, Della Giustina A. It is time to change the definition: Endometriosis is no longer a pelvic disease. Clinics 2024; 79: 100326 Giudice LC et al. Once daily oral relugolix combination therapy versus placebo in patients with endometriosis-associated pain: two replicate phase 3, randomised, double-blind, studies (SPIRIT 1 and 2). Lancet 2022; 399(10343): 2267-2279 Prise en charge de l’endométriose- Recommandation de bonne pratique de la HAS, Décembre 2017 Recommandations de bonnes pratiques en échographie gynécologique, Société d’imagerie de la Femme (SIFEM), Juillet 2022. Les objectifs de ce programme sont pour le participant de : Savoir accueillir, informer et interagir avec une patiente lors de la pratique de l’échographie endovaginale dans un contexte clinique propice à la découverte d’une endométriose Savoir reconnaître à l’interrogatoire les signes évocateurs d’une endométriose Savoir reconnaître les signes échographiques d’endométriose selon les différents phénotypes possibles Savoir orienter les patientes vers la bonne filière de soin et de diagnostic selon les constatations faites par l’échographie de première intention

Radiologue


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Caractérisation par l'imagerie des tumeurs hépatiques de découverte fortuite

DPC

A- RÉSUMÉ/ IDENTIFICATION DES BESOINS Les tumeurs hépatiques bénignes représentent un groupe hétérogène de tumeurs kystiques ou tissulaires qu’elles soient hypo- ou hypervasculaires (1,2). La prévalence de certains types histologiques et la fréquence des examens d’imagerie dans la population générale explique le fait que ces tumeurs sont fréquemment détectées fortuitement. La plupart de ces lésions ne présentent aucun risque et restent quiescentes tout au long de la vie. Toutefois, certains types histologiques exposent leur porteur à des complications graves et nécessitent un suivi (3, 4). Dans certains cas, l’aspect en imagerie d’une tumeur hépatiques de découverte fortuite peut susciter une inquiétude quant à sa nature réellement bénigne. Ces constats soulignent la nécessité d’appliquer aux tumeurs hépatiques de découverte fortuite une stratégie de diagnostic et de prise en charge qui a fait l’objet de recommandations européennes dans le passé (5). Ce parcours a pour but principal d’exposer aux médecins radiologues les stratégies diagnostiques et les modalités de lecture des examens d’imagerie réalisés dans le cadre de la caractérisation des tumeurs hépatiques de découverte fortuite. International working group. Terminology of nodular hepatocellular lesions. Hepatology 1995; 22: 983-993. Vilgrain V, Régent D. Imagerie de l’abdomen. 1056 pages, Ed. Lavoisier, Paris, 2010 Zucman-Rossi J et al. Genotype-phenotype correlation in hepatocellular adenoma: new classification and relationship with HCC. Hepatology. 2006; 43(3): 515-24 van Aalten SM, de Man RA, IJzermans JN, Terkivatan T. Systematic review of haemorrhage and rupture of hepatocellular adenomas. Br J Surg. 2012 Jul; 99(7): 911-6 European Association for the Study of the Liver (EASL). EASL Clinical Practice Guidelines on the management of benign liver tumours. J Hepatol. 2016 Aug; 65(2): 386-98 NB : le Professeur Valérie Vilgrain, auteure de ce parcours de formation, est membre du groupe de travail européen à l’origine de la recommandation de l’EASL 2016 (5). B- OBJECTIFS Les objectifs de ce programme sont pour le participant de : Savoir indiquer la bonne stratégie d’imagerie devant la découverte fortuite d’une tumeur hépatique de découverte fortuite au vu des recommandations disponibles Savoir conduire un examen d’imagerie (scanner et IRM notamment) dans le cadre du diagnostic fortuit d’une tumeur hépatique Savoir identifier par l’imagerie les principales tumeurs hépatiques survenant dans ce contexte Savoir rédiger un compte-rendu d’imagerie dans un contexte de tumeur hépatique

Radiologue


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Caractérisation par l'imagerie des tumeurs hépatiques en contextes carcinologique ou à risque

DPC

A- RÉSUMÉ Le cancer du foie représente le cinquième cancer le plus fréquent et la seconde cause de mortalité en contexte néoplasique si l’on intègre les fréquentes métastases hépatiques (1). Le carcinome hépatocellulaire représente la tumeur primitive du foie la plus fréquente puisqu’elle compte pour 90% du total (1). Le cholangiocarcinome intra-hépatique, nettement plus rare, représente la seconde entité histologique la plus fréquente (2). Ces deux entités engagent le pronostic vital quand elles sont diagnostiquées tardivement chez les sujets à risques et ont fait l’objet de recommandations récentes visant à préciser leur modalités de dépistage, de diagnostic et de traitement (1,2). Le diagnostic par l’imagerie de ces tumeurs primitives intègrent, comme pour les métastases hépatiques, l’échographie, le scanner avec injection et l’IRM avec injection (1, 2, 3). Ce parcours a pour but principal d’exposer aux médecins radiologues les stratégies d’utilisation et les modalités de lecture des examens d’imagerie dans la caractérisation des tumeurs hépatiques malignes dans divers contextes carcinologiques ou à risque. European Association for the Study of the Liver Clinical Practice Guidelines: Management of hepatocellular carcinoma. J Hepatol. 2018 Jul;69(1):182-236. European Association for the Study of the Liver. EASL-ILCA Clinical Practice Guidelines on the management of intrahepatic cholangiocarcinoma. J Hepatol. 2023 Jul;79(1): 181-208. Vilgrain V, Régent D. Imagerie de l’abdomen. 1056 pages, Ed. Lavoisier, Paris, 2010 NB : le professeur Valérie Vilgrain, auteure de ce parcours de formation, est membre du groupe de travail européen à l’origine de la recommandation de l’EASL 2018 (1) et dernier auteur de ce même travail. B- OBJECTIFS Les objectifs de ce programme sont pour le participant de : Savoir indiquer la bonne stratégie d’imagerie dans le diagnostic et le suivi des principales tumeurs hépatiques survenant dans un contexte carcinologique ou à risque Savoir conduire un examen d’imagerie dans le cadre du diagnostic et du suivi des principales tumeurs hépatiques survenant dans ces contextes Savoir identifier par l’imagerie les principales tumeurs hépatiques survenant dans ces contextes Savoir conduire le bilan pré-thérapeutique par l’imagerie de ces tumeurs hépatiques Savoir classer les lésions selon les classifications en vigueur, afin de guider la prise en charge des patients Savoir rédiger un compte-rendu d’imagerie dans un contexte de tumeur hépatique

Médecin Généraliste, Médecin MPR, Rhumatologue, Radiologue


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Risque hémorragique lié aux actes de radiologie interventionnelle musculo-squelettique

DPC

RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS La radiologie interventionnelle en imagerie musculo-squelettique connaît un essor considérable compte tenu de l’augmentation des indications liée au vieillissement de la population et de l’élargissement de l’éventail des techniques disponibles (infiltrations, biopsies, thermocoagulations, cimentoplasties, vissages…) Parallèlement les médicaments à visée anti-thrombotiques, dont on sait qu’ils augmentent le risque hémorragique en période péri-opératoire, ont vu leur prescription croître auprès de la population générale mais également changer depuis l’apparition récente de nouvelles molécules incluant les antiagrégants de type antiP2Y12 ou les anticoagulants de type “AOD”. Il revient ainsi à l’équipe soignante, lors de la préparation d’une procédure de radiologie interventionnelle, d’intégrer à sa stratégie de prise en charge le double risque hémorragique lié au traitement d’une part et thrombotique lié à la modulation éventuelle de ce dernier d’autre part. La maniement de ces produits en période péri-interventionnelle, incluant les antiagrégants plaquettaires, les antivitamines K et les anticoagulants oraux directs a fait l’objet de recommandations ou de propositions récentes des instances qu’il convient désormais de connaître. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES Les objectifs pédagogiques de ce programme sont pour la participant de : Savoir réduire le risque hémorragique encouru par les patients au cours des procédures de radiologie interventionnelle musculo-squelettique (objectif principal) Maîtriser les enjeux de la prise de médicaments antithrombotiques dans un contexte de radiologie interventionnelle musculo-squelettique Savoir reconnaître les produits concernés dans la liste des médicaments des patients (antiagrégants, AVK, héparine et AOD notamment) Savoir évaluer le niveau de risque lié au type de geste réalisé lors d’une procédure interventionnelle musculo-squelettique Savoir évaluer le niveau de risque lié un médicament donné selon sa classe thérapeutique (antiagrégant, AVK, héparine et AOD) Être en mesure de moduler ces traitement lors de la préparation d'une procédure interventionnelle, Connaître la place du bilan d’hémostase dans  la préparation d’une procédure interventionnelle en imagerie musculo-squelettique.

Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin nucléaire, Radiologue


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Pertinence des actes de diagnostic par l’imagerie chez le patient porteur d’une tumeur graisseuse des membres et de la paroi du tronc

DPC

RÉSUMÉ/ ÉVALUATIONS DES BESOINS Les tumeurs graisseuses bénignes, appelées “lipomes”, sont très fréquentes puisqu’elles toucheraient 2,1% de la population générale. Les tumeurs graisseuses malignes, appelées “liposarcomes”, sont de pronostic plus sombre du fait du risque de progression locale ou générale (métastases) mais également de récidive post-opératoire qui est accentué en cas de mauvaise prise en charge initiale. Certains liposarcomes des membres, dits “atypiques”, sont de présentation similaire à celle des lipomes et n’en sont différenciés que par le biais d’une approche rigoureuse associant des moyens d’imagerie diagnostique (échographie, IRM) et parfois interventionnelle (biopsie). Les erreurs d’orientation et de prise en charge des patients porteurs d’une tumeur graisseuse des membres sont à l’origine de conséquences fonctionnelles ou vitales sérieuses pour les patients. La stratégie diagnostique par l’imagerie des tumeurs graisseuses de membres a, à cet égard, fait l’objet d’une mise au point du Groupe Sarcome France en 2018 puis d’un consensus d’experts européens en Octobre 2021. Ce parcours de formation a vocation à diffuser plus largement ces référentiels auprès des prescripteurs et des médecins en charge de l’imagerie des patients porteurs de tumeurs graisseuses des membres et de la paroi du tronc. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES - Savoir prescrire ou pratiquer le bon examen d’imagerie diagnostique (échographie, IRM) ou interventionnelle (biopsie) chez un patient porteur d’une tumeur graisseuse (objectif principal) - Savoir explorer et décrire une tumeur graisseuse par l’imagerie - Savoir suspecter la présence d’une tumeur graisseuse maligne sur la base d’atypies de morphologie et de taille - Savoir réaliser une biopsie de tumeur graisseuse - Savoir orienter le patient dans le bon parcours de soin selon l’aspect et le contexte rencontrés

Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin MPR, + 2 autres


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Échographie des nerfs superficiels : outil de prévention et de prise en charge de la douleur

DPC

RÉSUMÉ : Les nerfs superficiels sont à l’origine de douleurs neuropathiques invalidantes dont le diagnostic a longtemps été difficile compte tenu de l’absence d’outil diagnostic fiable que ce soit par l’imagerie ou l’électromyographie. Depuis quelques années, ces nerfs superficiels sont devenus accessibles à l’échographie du fait de l’amélioration de la résolution spatiale de l’outil. Parallèlement, les données de la littérature se sont étoffées concernant l’anatomie fine de ces nerfs mais également leur implication dans des douleurs que ce soit dans le cadre de lésions tumorales, canalaires mais surtout traumatiques et en particulier dans le contexte post-opératoire. Ce programme a pour but de populariser l’utilisation de l’échographie dans la prise en charge des patients souffrant de douleurs liées à une lésion des nerfs superficiels. OBJECTIFS : En fin de programme, les médecins ayant suivi la formation seront capables de : ● Intégrer précocement l’échographie dans le diagnostic et la prise en charge des douleurs neuropathiques induites par la lésion d’un nerf superficiel afin de réduire le nomadisme médical ● Suspecter cliniquement la présence d’une souffrance des nerfs superficiels chez un patient et en particulier de ceux les plus exposés aux traumatismes ● Comprendre la physiopathologie des douleurs induites par une lésion traumatique, canalaire ou tumorale d’un nerf superficiel ● Identifier par l’échographie les nerfs superficiels les plus exposés aux traumatismes ● Prévenir la survenue de lésions iatrogènes des nerfs superficiels par un repérage échographique préalable à certains gestes percutanés

Chirurgien, Médecin Généraliste, Médecin nucléaire, + 3 autres


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Tuméfactions des parties molles à reconnaître en imagerie: sémiologie radiologique et stratégie diagnostique

DPC

La découverte d’une tuméfaction sous-cutanée est une situation clinique fréquente que l’examen clinique seul peine souvent à élucider. Dans la démarche diagnostique et thérapeutique proposée au patient, l’imagerie joue un rôle prépondérant et s’attachera à reconnaître les lésions typiquement bénignes des lésions tumorales typiquement malignes, laissant entre ces deux catégories une zone d’ombre des lésions dites “indéterminées” qu’il conviendra de biopsier. La pertinence de prescription des examens complémentaires (scanner, IRM, examens isotopiques voire biopsie percutanée) sera basée sur le respect des règles sémiologiques ainsi que des recommandations disponibles, dans le but d’éviter des coûts inutiles et une éventuelle iatrogénie. Les objectifs de ce programme seront pour le participant de : - réduire la prescription d’examens inutiles compte-tenu des risques de iatrogénie et de coûts de santé impliqués (objectif principal) - connaître les signes spécifiques permettant d’affirmer la nature d’une tuméfaction des parties molles sur les seules données des examens d’imagerie, - savoir hiérarchiser les examens d’imagerie dans la démarche diagnostique d’une lésion osseuse fortuite - réduire la prescription d’examens inutiles compte-tenu des risques de iatrogénie et de coûts de Santé impliqués, - intégrer les référentiels disponibles dans sa pratique quotidienne de la médecine.

Rhumatologue


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L'IRM des articulations sacro-iliaques en pratique quotidienne

DPC

Dix ans après les recommandations ASAS 2009, l’IRM des articulations sacro-iliaques conserve une place de choix parmi les critères diagnostiques des spondylarthropathies. La littérature récente a toutefois souligné le manque de performance diagnostique de cet outil quand des règles des réalisation et de lecture strictes ne sont pas appliquées. Ceci plaide notamment pour une meilleure prise en compte de la localisation des modifications oedémateuses mais aussi des anomalies structurales à condition qu’elles conservent une bonne spécificité. A cet égard, la place du scanner sera également abordée. Les objectifs de ce programme seront pour le participant de: - intégrer l’anatomie la plus utile à l’analyse des articulations sacro-iliaques par l’imagerie. - comprendre l’intérêt des principaux plans et séquences d’étude utilisés en scanner et en IRM. - Intégrer les bases physiopathologiques des remaniements dégénératifs et inflammatoires. - En connaître les signes sémiologiques utiles en scanner et en IRM. - Connaître les principaux pièges diagnostiques ainsi que la valeur des différents signes. - Connaître la place des différentes modalités d’imagerie dans le bilan d’une articulation sacro-iliaque. - Savoir rédiger un compte-rendu d’imagerie dans le cadre du bilan d’une souffrance sacro-iliaque supposée.