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Médecin Généraliste


Mixte

Formation à l'ECG et participation à un registre (classe virtuelle)

DPC

Contexte La réalisation de l’électrocardiogramme (ECG) se heurte, outre son caractère coûteux et chronophage, à sa complexité d’interprétation, toujours plus exhaustive et subtile pour un professionnel non entraîné. La mission du médecin généraliste et le cadre de sa pratique encouragent au contraire à une lecture ciblée, dépendante de l’indication et du tableau clinique. Pour cibler cette lecture, les données sur les signes ECG aujourd’hui disponibles sont pour la plupart issues de contextes de soins secondaires ou d’examens systématiques et rarement reliées au contexte clinique. La littérature est quasi-inexistante sur la conduite à tenir pratique pour le médecin généraliste, telle que la signature ou non du certificat de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive, ou l’urgence de l’orientation vers un cardiologue ou un service hospitalier. Pour éclairer nos pratiques, ce DPC a donc pour objectif d’accompagner les participants dans la réalisation et la lecture de l’ECG en contexte de médecine générale, tout en constituant un registre de tracés d’ ECG couplées avec des données cliniques et aux décisions prises. Ce registre permettra de hiérarchiser les signes cliniques et ECG selon leur fréquence, leur sensibilité et leur spécificité, pour rendre notre lecture plus faisable et plus pertinente. Ce registre, créé dans le cadre de l’étude EGG (ElectrocardioGram in General practice) est géré par l’association professionnelle de médecins généralistes :CNGE-IRMG-Association. Il est déclaré à la CNIL, a reçu l’approbation du Comité d’Ethique du CHU de St Etienne le 15/05/2019. • Ses grandes lignes de contenu : • Poser une indication pertinente de l’ECG en médecine générale • Maîtriser les modalités de réalisation de l’ECG • Interpréter correctement les ECG typiques des principales pathologies à rechercher en contexte de médecine générale • Mettre en place une prise en charge adaptée aux pathologies suspectées et à leur degré de certitude • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). 1. Soirée initiale • Poser l’indication d’ECG en médecine générale • Mettre en œuvre un ECG • Lire et interpréter un tracé ECG typique • Connaitre les modalités d’inclusion et de recueil des données de l’étude EGG 2. Recueil des ECG pendant 3 mois • Inclure les patients éligibles et les prendre en charge • Mettre en place un suivi à 1 mois • Recueillir les données cliniques et ECG sur le CRF en ligne 3. Soirée finale • - Identifier les améliorations possibles dans les indications et l’interprétation des ECGs .

Médecin Généraliste


En présentiel

Troubles "DYS" chez l'enfant

DPC

Contexte de l’action Les Troubles nommés « DYS » sont des Troubles Spécifiques du langage et des Apprentissages (TSLA)1, neurodéveloppementaux, survenant chez des enfants normalement intelligents, sans étiologie explicative, qui résistent malgré une prise en charge adaptée. Des interventions précoces et appropriées sont susceptibles d’en limiter les conséquences 2. Les TSLA sont bien distincts des troubles pathologiques des apprentissages secondaires à des troubles neurologiques, sensoriels, psychologiques, et socio-éducatifs. Les TSLA sont un réel handicap reconnu par la loi de 2005 3 qui touchent 8 % des enfants1-2 avec des conséquences majeures sur leur scolarité, leur développement personnel, leur estime de soi, leur intégration professionnelle et dans la société 2 Les TSLA selon l’OMS 1présentent un retard pathologique de plus de -2 écarts-types, ou 24 mois. Ils sont : - la dysphasie (de la parole), - la dyslexie (de la lecture) - la dysorthographie (de l’orthographe) , - la dyscalculie (des fonctions logico-mathématiques), - la dysgraphie (de l’écriture), - la dyspraxie (du geste), ou TAC (trouble de l’automatisation de la coordination) Les TSLA représentent un tel enjeu de santé publique que l’Académie Nationale de Médecine4 a publié des recommandations : • Les dépister le plus tôt possible, • Améliorer leur prise en charge, • Développer des recherches sur l’évaluation des pratiques courantes, • Promouvoir la formation des médecins (généralistes et autres spécialistes) • Revaloriser les actes spécialisés correspondants. Le parcours de santé de l’HAS1 recommande le repérage précoce des enfants en difficulté, la mise en place d’une pédagogie différentiée, et en cas de persistance la réalisation d’un diagnostic de trouble des apprentissages secondaire ou spécifique. Un diagnostic posé rapidement permet la mise en place de mesures adaptées à l’enfant (soins, adaptation pédagogique, aménagement des examens). Dans ce contexte, une formation des médecins généralistes au repérage des troubles DYS semble tout à fait justifiée. Bibliographie succincte : 1- Comment améliorer le parcours de santé d’un enfant avec troubles spécifiques du langage et des apprentissages ? Guide HAS 2017 2- Expertise Collective ; Dyslexie, Dysorthographie, Dyscalculie, INSERM 2007 3- JORF, Loi 2005 loi du 11 février 2005, - n°2005-102 4- Recommandation de l’Académie nationale de médecine : Dépister et prévenir la dyslexie et les troubles associés, du 28 septembre 2015 • Ses grandes lignes de contenu : - Rappel des définitions de troubles « DYS » - Critères d’identification et repérage des troubles dys au cabinet de médecine générale - Prescription et interprétation du bilan orthophonique - Description des prises en charges existantes, et des dispositifs d’aide - • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). - Être capable de repérer un trouble « DYS » o Identifier des difficultés scolaires o Faire la part entre un troubles des apprentissages et un trouble »Dys » o Reconnaître un trouble « DYS » pouvant expliquer les difficultés scolaires Prescrire et comprendre un bilan orthophonique - Connaître les prises en charge adaptées - Savoir rédiger les formulaires de demande d’aide - Être capable de réaliser un test de dépistage de la dyslexie (test de Maadox)

Médecin Généraliste


Mixte

Formation à l'ECG et participation à un Registre

DPC

Contexte La réalisation de l’électrocardiogramme (ECG) se heurte, outre son caractère coûteux et chronophage, à sa complexité d’interprétation, toujours plus exhaustive et subtile pour un professionnel non entraîné. La mission du médecin généraliste et le cadre de sa pratique encouragent au contraire à une lecture ciblée, dépendante de l’indication et du tableau clinique. Pour cibler cette lecture, les données sur les signes ECG aujourd’hui disponibles sont pour la plupart issues de contextes de soins secondaires ou d’examens systématiques et rarement reliées au contexte clinique. La littérature est quasi-inexistante sur la conduite à tenir pratique pour le médecin généraliste, telle que la signature ou non du certificat de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive, ou l’urgence de l’orientation vers un cardiologue ou un service hospitalier. Pour éclairer nos pratiques, ce DPC a donc pour objectif d’accompagner les participants dans la réalisation et la lecture de l’ECG en contexte de médecine générale, tout en constituant un registre de tracés d’ ECG couplées avec des données cliniques et aux décisions prises. Ce registre permettra de hiérarchiser les signes cliniques et ECG selon leur fréquence, leur sensibilité et leur spécificité, pour rendre notre lecture plus faisable et plus pertinente. Ce registre, créé dans le cadre de l’étude EGG (ElectrocardioGram in General practice) est géré par l’association professionnelle de médecins généralistes :CNGE-IRMG-Association. Il est déclaré à la CNIL, a reçu l’approbation du Comité d’Ethique du CHU de St Etienne le 15/05/2019. • Ses grandes lignes de contenu : • Poser une indication pertinente de l’ECG en médecine générale • Maîtriser les modalités de réalisation de l’ECG • Interpréter correctement les ECG typiques des principales pathologies à rechercher en contexte de médecine générale • Mettre en place une prise en charge adaptée aux pathologies suspectées et à leur degré de certitude • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). 1. Soirée initiale • Poser l’indication d’ECG en médecine générale • Mettre en œuvre un ECG • Lire et interpréter un tracé ECG typique • Connaitre les modalités d’inclusion et de recueil des données de l’étude EGG 2. Recueil des ECG pendant 3 mois • Inclure les patients éligibles et les prendre en charge • Mettre en place un suivi à 1 mois • Recueillir les données cliniques et ECG sur le CRF en ligne 3. Soirée finale • - Identifier les améliorations possibles dans les indications et l’interprétation des ECGs .

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Mixte

Formation (1 journée) à l'ECG et participation à un Registre

DPC

Contexte La réalisation de l’électrocardiogramme (ECG) se heurte, outre son caractère coûteux et chronophage, à sa complexité d’interprétation, toujours plus exhaustive et subtile pour un professionnel non entraîné. La mission du médecin généraliste et le cadre de sa pratique encouragent au contraire à une lecture ciblée, dépendante de l’indication et du tableau clinique. Pour cibler cette lecture, les données sur les signes ECG aujourd’hui disponibles sont pour la plupart issues de contextes de soins secondaires ou d’examens systématiques et rarement reliées au contexte clinique. La littérature est quasi-inexistante sur la conduite à tenir pratique pour le médecin généraliste, telle que la signature ou non du certificat de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive, ou l’urgence de l’orientation vers un cardiologue ou un service hospitalier. Pour éclairer nos pratiques, ce DPC a donc pour objectif d’accompagner les participants dans la réalisation et la lecture de l’ECG en contexte de médecine générale, tout en constituant un registre de tracés d’ ECG couplées avec des données cliniques et aux décisions prises. Ce registre permettra de hiérarchiser les signes cliniques et ECG selon leur fréquence, leur sensibilité et leur spécificité, pour rendre notre lecture plus faisable et plus pertinente. Ce registre, créé dans le cadre de l’étude EGG (ElectrocardioGram in General practice) est géré par l’association professionnelle de médecins généralistes :CNGE-IRMG-Association. Il est déclaré à la CNIL, a reçu l’approbation du Comité d’Ethique du CHU de St Etienne le 15/05/2019. • Ses grandes lignes de contenu : • Poser une indication pertinente de l’ECG en médecine générale • Maîtriser les modalités de réalisation de l’ECG • Interpréter correctement les ECG typiques des principales pathologies à rechercher en contexte de médecine générale • Mettre en place une prise en charge adaptée aux pathologies suspectées et à leur degré de certitude • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). • Poser l’indication d’ECG en médecine générale • Réaliser un ECG • Lire et interpréter un tracé ECG typique - Identifier les améliorations possibles dans les indications et l’interprétation des ECGs . • Connaitre les modalités d’inclusion et de recueil des données pour le Registre de l’étude EGG • Inclure les patients éligibles et les prendre en charge • Recueillir les données cliniques et ECG sur le Registre en ligne • Mettre en place un suivi à 1 mois

Médecin Généraliste


Mixte

Mieux prescrire le dosage du PSA en médecine générale

DPC

Contexte : La prescription en médecine générale d’un dosage du PSA (Prostate Specific Antigen) pour un homme de plus de 50 ans et asymptomatique est encore quasiment systématique malgré les études ayant montré l’inefficacité, voire la nuisance d’un dépistage du cancer de la prostate par cet examen. En 2011, ont été effectué 4,156 millions de dosages du PSA chez les hommes sans cancer de la prostate connu ; la prescription est faite par les généralistes dans 87% des cas. (1) Les recommandations françaises (2),(et étrangères, déconseillent par pratique du dépistage. La HAS a également publié un rapport (3) montrant, que même chez les patients dits à haut risque, il n’y avait pas d’intérêt démontré à un dépistage par PSA. Le Collège de la Médecine Générale et l’Institut National du Cancer ont publié conjointement deux guides relayant ses recommandations. Le site de l’Assurance Maladie (4) diffuse également ces documents. Le programme proposé ici associe une formation sur les recommandations et les échanges à avoir avec les patients, et une évaluation des pratiques avant et après la formation. 1- https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/Cancer_de_la_prostate_-_du_depistage_par_dosage_de_PSA_aux_effets_secondaires_des_traitements__2009-2011_.pdf 2- https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2010-06/depistage_du_cancer_de_la_prostate_-_analyse_des_nouvelles_donnees_rapport.pdf 3- https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2012-04/rapport_dorientation_-_cancer_de_la_prostate_2012-04-03_16-39-9_898.pdf 4- https://www.ameli.fr/medecin/exercice-liberal/memos/depistage-et-prevention/depistage-cancer-prostate Grandes lignes de contenu de la formation : former les médecins généralistes - à l’identification des situations de prescriptions - à la prise en compte du risque de « sur-dépistage » et de ses conséquences - à la nécessaire information du patient Objectifs : Général : Mieux prescrire le dosage du PSA Spécifiques : - Identifier, dans sa pratique, les motifs de prescription de dosages de PSA - Identifier les différentes situations dans lesquelles la prescription d’un dosage de PSA peut être évoquée avec le patient - Savoir argumenter sur l’absence d’intérêt de ce dépistage - Savoir fournir au patient les informations pertinentes et les documents utiles

Médecin Généraliste


Mixte

Optimiser les prescriptions chez la personne âgée

DPC

Contexte : La personne âgée est caractérisée comme appartenant à une tranche d’âge > 75 ans ou > 65 ans et polypathologique selon la Haute Autorité de Santé. Le vieillissement est associé à l’altération des mécanismes d’adaptation et homéostasiques avec une augmentation du risque de maladies et de décès [1] Ainsi, les personnes âgées sont volontiers polypathologiques ; 6 pathologies en moyenne pour les 65 ans et plus [2]. Selon l’OMS, la polymédication est « l’administration de nombreux médicaments de façon simultanée ou l’administration d’un nombre excessif de médicaments ». Jörgensen quant à lui considère dans son étude que la polymédication commence à partir de 5 médicaments [3]. Les causes de la polymédication chez la personne âgée sont multiples mais le nombre de pathologies serait le premier déterminant de la polymédication [4].Les personnes âgées consomment plus de médicaments : 17.5 boites par an chez les 60-69 ans, 20.2 boites par an chez les 70-79 ans quand les 20-29 ans en consomment 7.0 boites par an ¬|5] Ce qui en terme économique se traduit par une dépense pharmaceutique moyenne pour l’année 2000 de 850€ en moyenne par personne de 65 ans et plus , dépense moyenne qui augmente avec l’âge : 971€ pour les 75 ans et plus[5] . Sur le plan clinique les conséquences de la polymédication sont nombreuses : augmentation du risque d’effets secondaires et d’interactions médicamenteuses, diminution de l’observance, augmentation du risque d’avoir un médicament potentiellement inapproprié sur l’ordonnance et altération de la qualité de vie du fait des syndromes gériatriques (chutes, confusion, dénutrition ou troubles cognitifs) [4} 1. Grimley Evans J. Ageing and medecine. J Intern Med 2000 ;247 : 159-67 2. Allonier C, Dourgnon P, Rochereau T. Enquête sur la santé et la protection sociale 2008 (ESPS). IRDES. Juin 2010. Rapport n° 547 (biblio n° 1800). 3. Jörgensen T, Johansson S, Kennerfalk A, Wallander MA, Svärdsudd K. Prescription drug use, diagnoses, and healthcareutilizationamong the elderly. Ann Pharmacother. 2001 Sep;35(9):1004–9 4. V. Pire et al., Polymédication chez la personne âgée, Louvain Medical, 2009 ;128(7):235-40 5. Auvrey L. Sermet C. Consommations et prescriptions pharmaceutiques chez les personnes âgées. Un état des lieux. Gérontologie et société. 2002 avr ;103 :13-27 Grandes lignes de contenu de la formation : Former les médecins généralistes : - à la prise en compte des risques de la polymédication chez la personne âgée - à l’identification des médicaments les plus à risque - à l’optimisation de la prescription Objectif principal : - Optimiser la prescription médicamenteuse chez la personne âgée Objectifs secondaires : - Définir la personne âgée - Identifier les situations de polypathologies - Identifier les situations de polymédication - Connaitre les conséquences de la polymédication - Réévaluer les situations de polymédication - Identifier les médicaments potentiellement inappropriés - Connaitre des outils pour optimiser la prescription médicamenteuse

Médecin Généraliste


Mixte

Les IPP chez les personnes âgées: arrêt des traitements inappropriés

DPC

Contexte : La recherche d'une prescription inappropriée, définie comme l'utilisation d'un médicament dont les risques dépassent les bénéfices escomptés (HAS), est une préoccupation quotidienne en soins premiers, en particulier chez les personnes âgées. La prévalence de la consommation d'inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est estimée à près de 40% dans plusieurs études sur les personnes âgées, dont 60% sont inappropriées. Un peu plus de 90% des IPP prescrits proviennent de médecins généralistes. Les IPP ne sont pas identifiés comme des médicaments à déprescrire par les médecins généralistes. Mais ils sont souvent renouvelés de manière inappropriée. Cependant, ils ont des effets secondaires et des problèmes de iatrogénie potentiels : douleurs abdominales et diarrhée fréquente, infection à Clostridium difficile, pneumonie, fracture à risque, malnutrition et risque cardiovasculaire par interaction médicamenteuse…etc. Le rapport bénéfice/ risque peut alors devenir négatif. De plus, ils génèrent un coût sociétal important. Le coût du remboursement des IPP était estimé à 960 millions d'euros en France en 2009. Cette valeur est en réalité beaucoup plus élevée si l'on considère les conséquences de problèmes iatrogènes, les consultations itératives avec le généraliste ou les hospitalisations consécutives. Les seules études portant sur les prescriptions inappropriées d'IPP ont été réalisées à l'hôpital. La formation des médecins généralistes à l’éducation des patients réduirait les prescriptions inappropriées et faciliterait la « déprescription ». Grandes lignes de contenu : Formation destinée à permettre aux médecins d’identifier les prescriptions inappropriées d’IPP et de les « déprescrire ». Objectifs généraux et spécifiques : Objectif principal : - Utiliser l'éducation du patient pour réduire les prescriptions inappropriées d'IPP chez les personnes âgées et faciliter leur « déprescription». Objectifs pédagogiques: - Connaître les indications de prescription d'IPP chez la personne âgée - Connaître les effets secondaires des IPP - Identifier les prescriptions inappropriées d'IPP - Définir le rebond d’acidité - Maîtriser les stratégies pour gérer le rebond d’acidité - S'approprier les quatre stades de l'éducation du patient : diagnostic pédagogique, contrat d’objectifs, activités éducatives et évaluation de l'impact - S’approprier des éléments de l’entretien motivationnel (stratégie OuVER, Échelle d’importance, échelle de confiance, balance décisionnelle incluant les échelles de qualité de vie) - Utiliser l’éducation du patient pour «déprescrire» un IPP inapproprié

Médecin Généraliste


Mixte

Dépistage et prise en charge des troubles "DYS" chez l'enfant

DPC

• Contexte de l’action Les Troubles nommés « DYS » sont des Troubles Spécifiques du langage et des Apprentissages (TSLA)1, neurodéveloppementaux, survenant chez des enfants normalement intelligents, sans étiologie explicative, qui résistent malgré une prise en charge adaptée. Des interventions précoces et appropriées sont susceptibles d’en limiter les conséquences 2. Les TSLA sont bien distincts des troubles pathologiques des apprentissages secondaires à des troubles neurologiques, sensoriels, psychologiques, et socio-éducatifs. Les TSLA sont un réel handicap reconnu par la loi de 2005 3 qui touchent 8 % des enfants1-2 avec des conséquences majeures sur leur scolarité, leur développement personnel, leur estime de soi, leur intégration professionnelle et dans la société 2 Les TSLA selon l’OMS 1présentent un retard pathologique de plus de -2 écarts-types, ou 24 mois. Ils sont : - la dysphasie (de la parole), - la dyslexie (de la lecture) - la dysorthographie (de l’orthographe) , - la dyscalculie (des fonctions logico-mathématiques), - la dysgraphie (de l’écriture), - la dyspraxie (du geste), ou TAC (trouble de l’automatisation de la coordination) Les TSLA représentent un tel enjeu de santé publique que l’Académie Nationale de Médecine4 a publié des recommandations : • Les dépister le plus tôt possible, • Améliorer leur prise en charge, • Développer des recherches sur l’évaluation des pratiques courantes, • Promouvoir la formation des médecins (généralistes et autres spécialistes) • Revaloriser les actes spécialisés correspondants. Le parcours de santé de l’HAS1 recommande le repérage précoce des enfants en difficulté, de mettre en place une pédagogie différentiée, et en cas de persistance de réaliser un diagnostic de trouble des apprentissages secondaire ou spécifique. Un diagnostic posé rapidement permet la mise en place de mesures adaptées à l’enfant (soins, adaptation pédagogique, aménagement des examens). Dans ce contexte, une formation des médecins généralistes au repérage des troubles DYS semble tout à fait justifiée. Bibliographie succincte : 1- Comment améliorer le parcours de santé d’un enfant avec troubles spécifiques du langage et des apprentissages ? Guide HAS 2017 2- Expertise Collective ; Dyslexie, Dysorthographie, Dyscalculie, INSERM 2007 3- JORF, Loi 2005 loi du 11 février 2005, - n°2005-102 4- Recommandation de l’Académie nationale de médecine : Dépister et prévenir la dyslexie et les troubles associés, du 28 septembre 2015 • Ses grandes lignes de contenu : - Rappel des définitions de troubles « DYS » - Critères d’identification et repérage des troubles dys au cabinet de médecine générale - Prescription et interprétation du bilan orthophonique - Description des prises en charges existantes, et des dispositifs d’aide - • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). - Être capable de repérer un trouble « DYS » o Identifier des difficultés scolaires o Faire la part entre un troubles des apprentissages et un trouble »Dys » o Reconnaître un trouble « DYS » pouvant expliquer les difficultés scolaires Prescrire et comprendre un bilan orthophonique - Connaître les prises en charge adaptées - Savoir rédiger les formulaires de demande d’aide - Être capable de réaliser un test de dépistage de la dyslexie (test de Maadox)

Médecin Généraliste


Mixte

L'électrocardiogramme en Médecine Générale

DPC

Contexte La réalisation de l’électrocardiogramme (ECG) se heurte, outre son caractère coûteux et chronophage, à sa complexité d’interprétation, toujours plus exhaustive et subtile pour un professionnel non entraîné. La mission du médecin généraliste et le cadre de sa pratique encouragent au contraire à une lecture ciblée, dépendante de l’indication et du tableau clinique. Pour cibler cette lecture, les données sur les signes ECG aujourd’hui disponibles sont pour la plupart issues de contextes de soins secondaires ou d’examens systématiques et rarement reliées au contexte clinique. La littérature est quasi-inexistante sur la conduite à tenir pratique pour le médecin généraliste, telle que la signature ou non du certificat de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive, ou l’urgence de l’orientation vers un cardiologue ou un service hospitalier. Pour éclairer nos pratiques, ce DPC a donc pour objectif d’accompagner les participants dans la réalisation et la lecture de l’ECG en contexte de médecine générale, tout en constituant une mégabase de données ECG intégrées au contexte clinique et à la prise en charge en médecine générale. Cette base permettra de hiérarchiser les signes cliniques et ECG selon leur fréquence, leur sensibilité et leur spécificité, pour rendre notre lecture plus faisable et plus pertinente. • Ses grandes lignes de contenu : • Poser une indication pertinente de l’ECG en médecine générale • Maîtriser les modalités de réalisation de l’ECG • Interpréter correctement les ECG typiques des principales pathologies à rechercher en contexte de médecine générale • Mettre en place une prise en charge adaptée aux pathologies suspectées et à leur degré de certitude • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). 1. Soirée initiale • Poser l’indication d’ECG en médecine générale • Mettre en œuvre un ECG • Lire et interpréter un tracé ECG typique • Connaitre les modalités d’inclusion et de recueil des données de l’étude EGG 2. Recueil des ECG pendant 3 mois • Inclure les patients éligibles et les prendre en charge • Mettre en place un suivi à 1 mois • Recueillir les données cliniques et ECG sur le CRF en ligne 3. Soirée finale • Adapter sa lecture à la valeur diagnostique des signes ECG telle que retrouvée dans les données préliminaires de l’étude EGG

Médecin Généraliste


Mixte

Formation à l'ECG et participation à un registre (classe virtuelle)

DPC

Contexte La réalisation de l’électrocardiogramme (ECG) se heurte, outre son caractère coûteux et chronophage, à sa complexité d’interprétation, toujours plus exhaustive et subtile pour un professionnel non entraîné. La mission du médecin généraliste et le cadre de sa pratique encouragent au contraire à une lecture ciblée, dépendante de l’indication et du tableau clinique. Pour cibler cette lecture, les données sur les signes ECG aujourd’hui disponibles sont pour la plupart issues de contextes de soins secondaires ou d’examens systématiques et rarement reliées au contexte clinique. La littérature est quasi-inexistante sur la conduite à tenir pratique pour le médecin généraliste, telle que la signature ou non du certificat de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive, ou l’urgence de l’orientation vers un cardiologue ou un service hospitalier. Pour éclairer nos pratiques, ce DPC a donc pour objectif d’accompagner les participants dans la réalisation et la lecture de l’ECG en contexte de médecine générale, tout en constituant un registre de tracés d’ ECG couplées avec des données cliniques et aux décisions prises. Ce registre permettra de hiérarchiser les signes cliniques et ECG selon leur fréquence, leur sensibilité et leur spécificité, pour rendre notre lecture plus faisable et plus pertinente. Ce registre, créé dans le cadre de l’étude EGG (ElectrocardioGram in General practice) est géré par l’association professionnelle de médecins généralistes :CNGE-IRMG-Association. Il est déclaré à la CNIL, a reçu l’approbation du Comité d’Ethique du CHU de St Etienne le 15/05/2019. • Ses grandes lignes de contenu : • Poser une indication pertinente de l’ECG en médecine générale • Maîtriser les modalités de réalisation de l’ECG • Interpréter correctement les ECG typiques des principales pathologies à rechercher en contexte de médecine générale • Mettre en place une prise en charge adaptée aux pathologies suspectées et à leur degré de certitude • Ses grands objectifs généraux et spécifiques déclinés sous forme de verbe (identifier, définir, reconnaître, rappeler…). 1. Soirée initiale • Poser l’indication d’ECG en médecine générale • Mettre en œuvre un ECG • Lire et interpréter un tracé ECG typique • Connaitre les modalités d’inclusion et de recueil des données de l’étude EGG 2. Recueil des ECG pendant 3 mois • Inclure les patients éligibles et les prendre en charge • Mettre en place un suivi à 1 mois • Recueillir les données cliniques et ECG sur le CRF en ligne 3. Soirée finale • - Identifier les améliorations possibles dans les indications et l’interprétation des ECGs .