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Repérage du risque suicidaire chez des patients présentant des troubles psychiatriques
DPC
La France fait partie des pays européens les plus touchés par le suicide. En effet, en 2016, on comptait 9 300 décès par suicide en France métropolitaine. A ce chiffre s’ajoutent environ 200 000 tentatives de suicide par an donnant lieu à un contact avec le système de soins. Le suicide est la première cause de mortalité chez les 25-34 ans et la deuxième chez les 15-24 ans, après les accidents de la voie publique. Les données de la littérature sur la prévention du suicide sont abondantes pour la prévention primaire et la prévention tertiaire mais pauvres pour la prévention secondaire. Cela tient au fait que les premières manifestations de la crise suicidaire sont difficiles à cerner : ses aspects sont très variables, les troubles sont parfois inapparents, lorsqu'ils existent ils se manifestent par des signes peu spécifiques et permettent peu de prévoir si la crise va évoluer vers une rémission spontanée ou vers une tentative de suicide ou d'autres passages à l'acte. Il n'y a pas un consensus international sur ses critères de définition. Pourtant il est essentiel de repérer une telle crise suicidaire car elle justifie une prise en charge et constitue un moment fécond où une action thérapeutique est possible. La circulaire du 30 juillet 1992 définit l’urgence psychiatrique comme une demande dont la réponse ne peut être différée : il y a urgence à partir du moment où quelqu'un se pose la question, qu'il s'agisse du patient, de l'entourage ou du médecin : elle nécessite une réponse rapide et adéquate de l'équipe soignante afin d'atténuer le caractère aigu de la souffrance psychique. Ce séminaire a pour objectif de permettre aux professionnels de santé, de savoir comment repérer puis réagir face à une urgence psychiatrique
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Démarche diagnostique en orthopédie pédiatrique : Boiterie et trouble de la démarche
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Résumé et contexte La démographie en France est d’un pédiatre pour 5300 enfants, 88 % des enfants sont suivis par un médecin généraliste. L’orthopédie pédiatrique est un vaste sujet tant par les domaines concernés que par la période intéressée. •La boiterie et troubles de la démarche sont des anomalies de la marche dont les causes sont multiples. C’est un signe d’appel mais sans spécificité étiologique ou anatomique. L’enjeu est de distinguer les boiteries nécessitant une prise en charge chirurgicale urgente, car les séquelles peuvent être redoutables et les simples troubles de la démarche nécessitant une simple surveillance. Le médecin de l’enfant se doit par une démarche diagnostique, minutieuse, si besoin en s’aidant d’arbres décisionnels, de classification (DRC, CIM, CISP) élaborer des hypothèses diagnostiques. Les causes sont multiples Synovite aiguë transitoire, Ostéochondrite, (Legg Perthes Calvé)., Epiphysiolyse., Pathologie rhumatismale, Leucoses aiguës, Tumeurs bénignes ou malignes, fracture en cheveu du tibia, lésions du pied, déformations des pieds ou arthrite septique. C’est l’analyse des données cliniques (terrain , anamnèse, signes positifs et négatifs…). qui va permettre une orientations diagnostiques qui elle-même va orienter la prescription d’examens complémentaires à bon escients et et déterminer le degré d’urgence à la prise en charge Ce programme est destiné aux médecins généralistes, et a pour but d’optimiser la prise en charge et le dépistage des situations orthopédiques du jeune enfant. Objectifs Objectifs généraux de formation. Améliorer le raisonnement clinique en soins primaires d’un trouble de la démarche chez un enfant Les objectifs pédagogiques . Deux séquences d’une demi-journée. Séquence 1 . Différencier les divers diagnostics envisageables en fonction de l’âge devant une boiterie Analyser les critères de l’examen clinique et de l’interrogatoire afin de prescrire les examens complémentaires les plus pertinents devant une boiterie Identifier les urgences orthopédiques devant une boiterie Séquence 2. Différencier les divers diagnostics envisageables en fonction de l’âge induisant un trouble de la démarche Identifier les déformations des pieds induisant un trouble de la démarche.
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Épisode dépressif caractérisé de l’adulte : Repérage et prise en charge
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Résumé et contexte La réactualisation récente de la recommandation HAS en octobre 2017 permet de revenir sur ce trouble très fréquent. La dépression est l’une des maladies psychiques les plus répandues. Chaque année, près de 8 % des Français de 15 à 75 ans (soit plus de 3 millions de personnes) vivent une dépression, et près de 19 % des adultes (soit près de 8 millions de personnes) ont vécu ou vivront une dépression au cours de leur vie [1] En 2006, l’AFSSAPS [2] rappelle que les antidépresseurs doivent être utilisés dans les épisodes dépressifs caractérisés d’intensité modéré à sévère. En effet, de nombreuses études ont montré que l’efficacité des antidépresseurs s’accroît avec la sévérité de l’épisode [3] . 6 antidépresseurs sur 10 sont prescrits par des médecins généralistes [4] . Le nombre de jours d’inactivité liés à des problèmes de santé est plus élevé chez les sujets souffrant de troubles mentaux [5] . Cela confirme l’importance des troubles mentaux dans les coûts sociétaux en France. Or, un traitement par antidépresseur diminue le nombre de jour d’inactivité chez les patients souffrant de dépression. [6] Une meilleure formation des médecins de premier recours et notamment des médecins généralistes permettraient une prise en charge des patients dépressifs et donc une meilleure prise en charge de ces derniers. Objectifs Objectifs généraux · Faciliter le repérage des troubles anxio-dépressifs à tout âge, avec l’aide d’outils adaptés · Assurer un juste traitement médicamenteux en lien avec les dernières recommandations · Faciliter les orientations adaptées le cas échéant. Objectifs pédagogiques et opérationnels · Identifier les signes d’alerte, évocateurs d’un état dépressif caractérisé, y compris ceux spécifiques aux différentes populations, permettant un repérage le plus précoce possible quel que soit le motif de recours ; · Appréhender les signes d’alerte d’aggravation de la maladie dépressive. · Décrire les différentes thérapeutiques médicamenteuses, indiquées dans le syndrome dépressif. · Identifier les effets indésirables des différentes classes thérapeutiques utilisables [7] . · Décrire les différentes prises en charge par des thérapies non médicamenteuses en lien avec les recommandations actuelles dans l’arsenal thérapeutique et dans la limite des champs d’activité du professionnel · Décrire les parcours de soins, orientations efficaces et prévention des ruptures de prise en charge, d’un patient présentant un syndrome dépressif caractérisé. [1] Beck F, Guilbert P, Gautier A. Baromètre santé 2005 - Attitudes et comportements de santé. INPES. 2005; [2] AFSSAPS. Bon usage des médicamens antidépresseurs dans le traitement des troubles dépressifs et des troubles anxieux de l’adulte. 2006 [3] Fournier JC, DeRubeis RJ, Hollon SD, Dimidjian S, Amsterdam JD, Shelton RC, et al. Antidepressant Drug effects and Depression Severity: A Patient-Level Meta-Analysis. JAMA J Am Med Assoc. 2010. [4] Olie J-P, El Omari F, Spadone C, Lepine J-P. Résultats d’une enquête sur l’usage des antidépresseurs en population générale française. Encéphale. 2002 [5] Perte d’activité due à des problèmes de santé habituels : résultats français de l’étude OMS sur les troubles mentaux (WMH) [Internet]. [cité 4 déc 2016]. Disponible sur: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700614000499 [6] Souetre E, Lozet H, Martin P, Lecanu JP, Gauthier JM, Beuzen JN, et al. [Work loss and depression. Impact of fluoxetine]. Therapie. avr 1993 [7] Revue PRESCRIRE 2014 Profils d'effets indésirables de médicaments psychotropes [1] Beck F, Guilbert P, Gautier A. Baromètre santé 2005 - Attitudes et comportements de santé. INPES. 2005; [2] AFSSAPS. Bon usage des médicamens antidépresseurs dans le traitement des troubles dépressifs et des troubles anxieux de l’adulte. 2006 [3] Fournier JC, DeRubeis RJ, Hollon SD, Dimidjian S, Amsterdam JD, Shelton RC, et al. Antidepressant Drug effects and Depression Severity: A Patient-Level Meta-Analysis. JAMA J Am Med Assoc. 2010. [4] Olie J-P, El Omari F, Spadone C, Lepine J-P. Résultats d’une enquête sur l’usage des antidépresseurs en population générale française. Encéphale. 2002 [5] Perte d’activité due à des problèmes de santé habituels : résultats français de l’étude OMS sur les troubles mentaux (WMH) [Internet]. [cité 4 déc 2016]. Disponible sur: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700614000499 [6] Souetre E, Lozet H, Martin P, Lecanu JP, Gauthier JM, Beuzen JN, et al. [Work loss and depression. Impact of fluoxetine]. Therapie. avr 1993 [7] Revue PRESCRIRE 2014 Profils d'effets indésirables de médicaments psychotropes [1] Beck F, Guilbert P, Gautier A. Baromètre santé 2005 - Attitudes et comportements de santé. INPES. 2005; [2] AFSSAPS. Bon usage des médicamens antidépresseurs dans le traitement des troubles dépressifs et des troubles anxieux de l’adulte. 2006 [3] Fournier JC, DeRubeis RJ, Hollon SD, Dimidjian S, Amsterdam JD, Shelton RC, et al. Antidepressant Drug effects and Depression Severity: A Patient-Level Meta-Analysis. JAMA J Am Med Assoc. 2010. [4] Olie J-P, El Omari F, Spadone C, Lepine J-P. Résultats d’une enquête sur l’usage des antidépresseurs en population générale française. Encéphale. 2002 [5] Perte d’activité due à des problèmes de santé habituels : résultats français de l’étude OMS sur les troubles mentaux (WMH) [Internet]. [cité 4 déc 2016]. Disponible sur: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700614000499 [6] Souetre E, Lozet H, Martin P, Lecanu JP, Gauthier JM, Beuzen JN, et al. [Work loss and depression. Impact of fluoxetine]. Therapie. avr 1993 [7] Revue PRESCRIRE 2014 Profils d'effets indésirables de médicaments psychotropes
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Démarche diagnostique devant un trouble du sommeil chez l’enfant et l’adolescence
DPC
Résumé Les troubles du sommeil chez l’enfant, classés G47.0 dans la CIM10, très prévalents dans la population pédiatrique (entre 35 et 46 % selon l’âge), ont de nombreuses répercussions cliniques et psychologiques. Le principal risque est celui de pérennisation en cas de non-intervention. Avant de parler de troubles du sommeil, il convient de rappeler ses caractéristiques chez le nourrisson l’enfant et l’adolescent. Le sommeil évolue suivant les périodes de la vie pour aboutir à l’adolescence à un profil de type adulte avec des particularités. Chez le nourrisson et l’enfant il faudra différencier ce qui relève d’un trouble du rythme veille-sommeil, d’une pathologie organique (digestive, manifestation neurologique, TSA, apnée du sommeil) ou d’ un trouble des interactions mère-bébé et rechercher une dépression maternelle, des difficultés de séparation. Lorsque les troubles sont sévères ils mettent en jeu l’équilibre familial. A l’adolescence les troubles du sommeil sont rarement un motif de consultation malgré leur fréquence et sont souvent banalisés. Ils peuvent pourtant être un signe d’alerte de difficultés importantes, du simple mal-être à la dépression avérée en passant par des consommations abusives (écrans, cannabis, alcool). Les conséquences d’un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité sont la fatigue, les réveils tardifs sources de retards ou d’absentéisme scolaire, des difficultés de concentration et d’apprentissage (mémoire), la perturbation des autres rythmes biologiques Toutes ces situations justifient une consultation longue, dédiée au sommeil. Le médecin doit alors identifier par un interrogatoire minutieux la ou les causes de ce trouble et les solutions à y apporter, si besoin en faisant appel à d’autres ressources de soins. Objectifs Objectifs généraux · Un renforcement des connaissances sur la physiologie du sommeil de l'enfant et de l’adolescent · Une meilleure approche de la démarche de diagnostic différentiel entre trouble comportemental et trouble organique Objectifs pédagogiques et opérationnels Première demi-journée Ø S’approprier la physiologie du sommeil du nourrisson et de l'enfant. Ø Définir une démarche de diagnostic différentiel entre trouble comportemental et trouble organique Ø Acquérir les conseils à donner et les traitements non médicamenteux Deuxième demi-journée Ø S’approprier la physiologie du sommeil de l’adolescent Ø Définir une démarche de diagnostic différentiel entre trouble comportemental et troubles psychiatriques Ø Acquérir les conseils à donner et les traitements non médicamenteux Résumé Toutes ces situations justifient une consultation longue, dédiée au sommeil. Le médecin doit alors identifier par un interrogatoire minutieux la ou les causes de ce trouble et les solutions à y apporter, si besoin en faisant appel à d’autres ressources de soins.
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Démarche diagnostique devant des symptômes gastroentérologiques pédiatriques
DPC
Résumé Dans le système de soins français, le médecin généraliste est le médecin de 1er recours. Parmi les problèmes de santé liés à la pathologie, il intervient pour partie à un stade précoce et indifférencié des maladies. A ce stade, les symptômes présentés par le patient peuvent s’éteindre à tout moment, comme ils peuvent signer le début d’une maladie grave. Nous étudierons successivement, les plus fréquents des symptômes gastroentérologiques pouvant survenir chez un enfant, à savoir : · Le symptôme « diarrhée » est très fréquent, et les enfants en bas âge (< 4 ans) sont 2 fois plus touchés. · La constipation est un problème courant pendant l’enfance. Il est souvent mal identifié pourtant les conséquences sont à la fois somatiques et psychologiques et peuvent avoir des répercussions à l’âge adulte. · Le reflux gastro œsophagien (RGO) représente la première cause de plainte de vomissements chez le nourrisson pour les parents. Il convient de distinguer un RGO simple ne nécessitant pas d’exploration · Douleurs abdominales : Atteignant 10 à 15 % des enfants d’âge scolaire, souffrant d’une classification obscure, d’une physiopathologie mal connue, de multiples causes organiques possibles mais rares et d’un pronostic incertain quoique bénin, les douleurs abdominales chroniques sont quasiment un problème de santé publique chez l’enfant comme chez l’adulte Pour nous aider dans notre stratégie décisionnelle, il est proposé de s’appuyer sur des arbres décisionnels, notamment ceux éditer par la Société Française de Pédiatrie (Pas-à-Pas) Objectifs de formation Objectifs généraux de formation . Adopter une démarche diagnostique chez l’enfant devant des symptômes gastroentérologiques · Une constipation de l’enfant en fonction de l’âge · Une diarrhée aiguée de l’enfant · Des régurgitations du nourrisson. · Des douleurs abdominales chroniques ou récurrentes Les objectifs pédagogiques et opérationnels · Définir le symptôme de diarrhée aiguée et de constipation à l’aide du DRC Améliorer et faciliter le raisonnement clinique devant un symptôme de diarrhée et de constipation Optimiser et justifier de façon argumentée les décisions prises en terme de recours aux examens complémentaires. Définir le symptôme de régurgitation simple et de reflux gastro œsophagien à l’aide du DRC chez l’enfant Optimiser et justifier de façon argumentée les décisions prises en terme de recours aux examens complémentaires devant un symptôme de reflux chez l’enfant. Améliorer et faciliter le raisonnement clinique pour orienter son diagnostic devant une douleur abdominale chronique ou récurrente. Résumé Objectifs de formation
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Examens obligatoires de l’adolescent de 11 à 16 ans
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Objectifs Objectifs généraux ü Maitriser l’examen obligatoire de l’enfant de 11 -13 et 15-16 ans Objectifs pédagogiques et opérationnels Première demi-journée ü S’approprier acquisitions psychomotrices des items du carnet de santé entre 11 et 16 ans (dimensions praxique, psychologique) ü Identifier les vaccinations obligatoires et facultatives à cet âge Deuxième demi-journée ü Maitriser les stades de la maturation pubertaire (item du carnet de santé) ü Caractériser les étapes du développement pubertaire normal. ü Identifier un retard ou une avance pubertaire Résumé Le médecin traitant de l’enfant a des missions particulières. - Il assure le suivi dans la durée, de l’enfant au sein de son entourage tout au long de son développement. - Son rôle est majeur dans la prévention et le repérage précoce d’anomalie du développement staturale, afin de mettre en place une prise en charge optimale pour limiter les répercussions à l’âge adulte. Un examen obligatoire est prévu entre 11 et 13 ans et entre 15 et 16 ans. Ces examens vont porter sur l’état de santé global aussi bien somatique, que neuromoteur, praxique et psychologique. C’est aussi l’âge du début de la puberté. Il sera important pour le médecin de connaitre les stades pubertaires et de dépister les anomalies. Il est nécessaire de ne pas méconnaître les causes organiques, afin de ne pas retarder une prise en charge adaptée. Objectifs Résumé
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Mixte
Quand prescrire une électrophorèse des protéines sériques et conduite à tenir en cas d'une immunoglobuline monoclonale ?
DPC
Résumé U n soin ou un examen est qualifié de pertinent lorsqu’il est dispensé en adéquation avec les besoins du patient et conformément aux données de la science, aux recommandations de la HAS et des sociétés savantes. A ce titre l‘HAS à ce titre a publiée en 2017 une recommandation concernant la prescription une électrophorèse des protéines sériques (EPS) et conduite à tenir en cas d'une immunoglobuline monoclonale. L’électrophorèse des protéines plasmatique (EPS) est un examen demandé fréquemment, le coût en non négligeable est de 14euros31 [1] , il est utile d’en préciser l’utilité et les circonstances nécessitant cet examen. Une EPS est indiquée en présence de signes faisant évoquer une maladie associée à une immunoglobuline monoclonale. Le dépistage systématique d’une IMSI en population générale n’est pas recommandé. L’EPS est un examen de plus en plus couramment prescrit en ville comme à l’hôpital, à titre presque aussi systématique que l’hémogramme et sans idée préconçue. [2] La découverte d’une immunoglobuline monoclonale isolée conduit trop souvent à inquiéter les patients de façon injustifiée car le risque d’évolution vers une maladie maligne est faible. Le recours aux hématologues doit être réfléchi et la surveillance programmée. Au cours de ce séminaire nous déterminerons les signes associés aux principales maladies responsables d’une immunoglobuline monoclonale et les indications principales de la prescription de l’EPS. Ce thème s’adresse aux médecins généralistes, rhumatologues et des gériatres prescripteurs des électrophorèses des protéines. Objectifs de formation Objectifs généraux de formation Prescrire de façon pertinente les électrophorèses des protéines, Objectifs EPP Ø Analyser sa prescription d’EPS à partir de son dossier médical afin de déterminer si celle-ci a été pertinente Ø Analyser quelle a été la conduite tenue en cas d’anomalie de l’électrophorèse des protéines sériques évoquant une immunoglobuline monoclonale ? Les objectifs pédagogiques et opérationnels . Première demi-journée · Spécifier l’indication d’une électrophorèse des protéines, · Analyser une électrophorèse des protéines, Deuxième demi-journée · Distinguer les immunoglobulines monoclonales associées aux myélomes ou aux hémopathies des immunoglobulines monoclonales de signification indéterminée. Maitriser la conduite à tenir en cas d’anomalie de l’électrophorèse des protéines sériques évoquant une immunoglobuline monoclonale ? [1] Ameli TNB [2] HAS Quand prescrire une électrophorèse des protéines sériques (EPS) et conduite à tenir en cas d’une immunoglobuline monoclonale 2017 Résumé Objectifs de formation [1] Ameli TNB [2] HAS Quand prescrire une électrophorèse des protéines sériques (EPS) et conduite à tenir en cas d’une immunoglobuline monoclonale 2017 [1] Ameli TNB [2] HAS Quand prescrire une électrophorèse des protéines sériques (EPS) et conduite à tenir en cas d’une immunoglobuline monoclonale 2017
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Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse par le médecin libéral
DPC
Résumé .L’interruption médicamenteuse de grossesse est possible depuis la fin des années 80 grâce à l’apparition des anti progestérones en association avec les prostaglandines. Le pourcentage d’IVG médicamenteuse ne cesse d’augmenter, en effet en 2021, 74 % des 223300 IVG ont été réalisées par la méthode médicamenteuse. 31 % des IVG ont été pratiquées en cabinet libéral, dans les centres de santé ou les centres de planification et d’éducation familiale (CPEF). Les médecins libéraux, généralistes et gynécologues médicaux, doivent s’approprier cette procédure qui permet d’offrir aux femmes un service de proximité et toute confidentialité et sécurité améliorant ainsi l’accès à l’IVG pour une part plus importante de la population tout en laissant aux femmes le choix de la méthode. Dans cette formation nous aborderons la législation relative à l’IVG et les modalités réglementaires de l’IVG médicamenteuse, l’accueil, les indications et contre-indications, les modalités de prise médicamenteuse, le suivi et les complications éventuelles en s’appuyant notamment sur la recommandation HAS de bonne pratique de l’interruption volontaire de grossesse par méthode médicamenteuse publiée en mars 2021 Objectifs 1. Généraux · Pratiquer des interruptions volontaires de grossesse médicamenteuse en ville. 2. Pédagogiques et opérationnels Première demi-journée. · Connaitre la législation concernant les interruptions volontaires de grossesse médicamenteuse en ville · Identifier les mécanismes d’action de la méthode et les posologies à utiliser · Préciser indications et contre-indications à la méthode médicamenteuse Deuxième demi-journée · Décrire les effets secondaires et complications des interruptions volontaires de grossesse médicamenteuse · Maitriser les modalités de suivi d’une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse · Préciser l’organisation pratique d’une collaboration ville-hôpital Résumé Objectifs
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Repérage du risque suicidaire chez les adolescents.
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Objectifs Objectifs généraux. Améliorer les connaissances relatives au développement de l’adolescent afin de conduire une consultation d’adolescent. Repérer les adolescents en souffrance psychique des risques potentiels suicidaires Objectifs pédagogiques.et opérationnels Première demi-journée : Mener un entretien avec un adolescent afin de créer un lien et ne pas en rester à la demande initiale. Identifier les freins à la relation entre médecin et adolescent Deuxième demi-journée : Identifier les éléments clefs sur la physiopathologie en particulier concernant la dépression et les facteurs aggravants. Identifier les situations à risque suicidaire Sensibiliser les participants aux outils d’évaluation et programmes existants sur le repérage et les interventions précoces Résumé L’adolescence et le début de l’âge adulte sont des phases de la vie caractérisées par la transition, la construction de l’identité et l’acquisition de l’autonomie. Ce sont des temps de transformations physiques et psychiques constantes. Ces périodes sont donc sujettes à la vulnérabilité des jeunes qui vont exprimer des besoins variés, en fonction de leur âge, de leur niveau de maturité et de leur environnement. En France, on estime qu’entre 10 à 20 % des jeunes sont en situation de mal-être, A l’instar de ces données, le baromètre santé 2010 de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) montrait qu’environ 15% des jeunes de 15-25 ans déclaraient une situation de souffrance psychique au cours des 4 dernières semaines. On estime que 3 % des 13-19 ans présentent des troubles de l’humeur. Les troubles émotionnels (troubles anxieux et troubles dépressifs) ont un retentissement sur le fonctionnement psychosocial, individuel et familial. Les 12-25 ans déclarent avoir consulté au moins une fois le médecin dans l’année. En moyenne le médecin traitant, pédiatre ou généraliste, est consulté 2,3 fois par an. Ce qui les met en première ligne pour dépister les conduites à risque et mettre en œuvre une démarche éducative. La consultation avec un adolescent demande une implication particulière dans la mesure où le vécu des patients fait souvent écho à celui du soignant (d’adolescence ou de relation avec leurs propres adolescents) et oblige à se confronter aux critères moraux personnels, à sa relation avec la jeunesse, à la sexualité
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Repérage, Evaluation et prise en charge de l’endométriose
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RESUME DE L’ACTION L’endométriose est une pathologie encore relativement méconnue autant par les femmes en âge de procréer qui en souffrent que par les professionnels de santé . Elle peut être asymptomatique découverte alors fortuitement devant des difficultés à concevoir un enfant. Lorsqu’elle se manifeste, l’endométriose est souvent sous-diagnostiquée. Ce retard au diagnostic est responsable d’une errance des patientes atteintes. Repérer les patientes présentant un risque augmenté d’endométriose sans pour autant leur proposer un dépistage systématique de la maladie, reconnaître les symptômes évocateurs et localisateurs de l’endométriose et les rechercher chez toute patiente en activité génitale présentant des douleurs pelviennes chroniques ou récurrentes ou des dysménorrhées intenses, évaluer la douleur et le retentissement personnel et social de la maladie à l’aide d’échelles, poser l’indication de l’examen de première intention, connaître l’arbre décisionnel recommandé pour orienter si nécessaire les patientes vers des professionnels référents en vue d’améliorer la prise en charge diagnostique et thérapeutique, distinguer les différentes ressources d’information et d’aide aux patientes sont les objectifs proposés par ce séminaire aux médecins généralistes en exercice. Ce DPC vise à approfondir les connaissances de ces derniers, concernés par cette pathologie féminine fréquente, en diffusant les références validées. OBJECTIFS Objectifs généraux Eviter le retard diagnostic de l’endométriose symptomatique, S’approprier le parcours de soins d’une patiente atteinte d’une endométriose symptomatique. Objectifs pédagogiques Première demi-journée Ø Décrire par un interrogatoire les symptômes évocateurs et localisateurs de l’endométriose, Ø Evaluer à l’aide d’échelles de douleur et de questionnaires de qualité de vie le retentissement d’une endométriose symptomatique, Ø Justifier les examens de première et seconde intention à la recherche d’une endométriose. Deuxième demi-journée Ø Citer les traitements médicaux de première et seconde intention de l’endométriose douloureuse en l’absence de désir de grossesse, d’infertilité, de signe localisateurs d’endométriose profonde ou d’endométriome à l’échographie : indications, contre-indications, bénéfices et risques de chacun. Ø Préciser les informations utiles et validées à transmettre aux patientes pour les accompagner dans leur maladie et leur parcours de soins.