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Pharmacien
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Administration des vaccins à l’officine
DPC
Objectifs pédagogiques La vaccination et la politique vaccinale. A la fin du module, les professionnels de santé sont capables de : – connaître les grands principes de la vaccination ; – connaître les différents types de vaccins (inactivés, vivants atténués…) ; – connaître le cadre règlementaire et les objectifs de santé publique en matière de politique vaccinale et le rôle des acteurs institutionnels ; – connaître les notions de couverture vaccinale, d’efficacité vaccinale, d’immunité collective ; – connaître les grands principes de pharmacovigilance et le cadre règlementaire de signalements des effets indésirables ; – connaître les sources d’information utiles en vaccination. Partie 2 : Administration du vaccin. A la fin du module, les professionnels sont capables de : – savoir vérifier les critères d’éligibilité ; – savoir recueillir le consentement du patient, y compris le cadre légal du consentement pour les mineurs ; – connaître les mesures d’hygiène préalables et la gestion des déchets DASRI ; – connaître les différentes étapes de l’administration avec mise en situation pratique des différents modes d’injection par voie intramusculaire ou par voie sous-cutanée (outils de simulation, pratique sous contrôle d’un professionnel de santé ayant acquis ces techniques d’injection) ; – connaître les modalités de surveillance immédiate et les conseils post-injection ; – savoir traiter une réaction anaphylactique ; – connaître et savoir transmettre des informations au médecin traitant de la personne notamment via les outils dématérialisés de partage et de stockage de documents (Dossier médical partagé, Mon Espace santé, etc.).
Pharmacien
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Prescription des vaccins à l’officine
DPC
Objectifs pédagogiques Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primo-arrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.
Pharmacien
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Bilan partagé de médication - Présentiel
DPC
Objectifs généraux • Améliorer la prise en charge des patients polymédiqués • Organiser la gestion par les patients de leurs produits de santé • Réduire la polymédication • Prévenir la iatrogénie médicamenteuse • Réduire les coûts globaux mensuels des traitements O bjectifs pédagogiques • Alerter le pharmacien d’Officine des conséquences de l’iatrogénie et du défaut d’observance en France chez les patients polymédiqués de plus de 65 ans pour l’impliquer dans la mise en place des BPM. • Maitriser les principes du BPM selon les préconisations de la SFPC pour la pratique des bilans de médication de 2017 et les bonnes pratiques de pharmacie clinique de la SFPC 2022 par le pharmacien d’Officine pour les réaliser selon l’arrêté du 9 mars 2018 portant approbation de l’avenant 12 à la convention nationale du 4 mai 2022, organisant les rapports entres les pharmaciens titulaires d’officine et l’assurance maladie. • Utiliser le vocabulaire et les notions définies au sein du lexique de pharmacie clinique SFPC 2021 • Mettre en œuvre une approche efficace de recrutement des patients polymédiqués de plus de 65 ans, en utilisant des compétences de communication et d'empathie lors des interactions au comptoir de l'officine, afin de favoriser leur adhésion volontaire à la réalisation du BPM et d'assurer leur participation active dans le processus de prise en charge thérapeutique. • Identifier les facteurs de risque liés à l’âge favorisant l’iatrogénèse médicamenteuse pour la prévenir et adapter les traitements. • Maîtriser les 5 points clés de l'analyse pharmaceutique lors du BPM pour optimiser la prise en charge des patients polymédiqués, en identifiant les problèmes potentiels d'adhésion thérapeutique, de mésusage des traitements, de traitements inadaptés, de la fonction rénale et des interactions médicamenteuses. • Être en mesure de réaliser une analyse pharmaceutique approfondie d'une ordonnance, en identifiant les points critiques tels que l'adhésion thérapeutique, le mésusage des traitements, les traitements inadaptés, la fonction rénale et les interactions médicamenteuses, afin de garantir une prise en charge optimale des patients polymédiqués de plus de 65 ans dans le cadre du BPM.
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Mixte
Prescription des vaccins à l’officine
DPC
Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primoarrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.
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Mixte
Surpoids et obésité des enfants et des adolescents : repérage, prévention et orientation à l'officine - Classe virtuelle
DPC
Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. C’est pour cette raison qu’en 2001 en France, le ministère de la santé met en place le Plan National Nutrition Santé (PNNS) pour 5 ans afin de réduire ce phénomène. À l’heure actuelle, nous suivons les recommandations du PNNS 4 élaboré pour les années 2019 à 2023. D’après les données mesurées dans les études ENNS et Esteban, la prévalence du surpoids (obésité incluse) des enfants est restée stable entre 2006 et 2015. Elle était estimée à 18 % en 2006 et 17 % en 2015 (l’obésité seule étant passée de 3 % à 4 %). Concernant l’influence du niveau d’étude des familles, la prévalence du surpoids (obésité incluse) est restée supérieure chez les enfants dont les personnes de référence étaient les moins diplômées. Malgré la stabilisation sur 10 ans, la prévalence du surpoids et de l’obésité reste importante, ce qui requiert des politiques publiques ambitieuses pour en inverser la tendance et réduire ses effets sur la santé. Ces résultats confirment également la nécessité de prendre en compte les inégalités sociales de santé dans la définition et la mise en place des politiques de santé publique.1 Par ailleurs, le surpoids et l’obésité sont multifactoriels et leur traitement ne peut se résumer à l’atteinte d’un objectif pondéral. Seuls une exploration fine de la situation avec la personne et l’appui de compétences de professionnels formés à l’obésité permettent de personnaliser le projet de soins et d’accompagnement et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées.2 Dans ce contexte, comment développer la dimension de prévention de ces troubles par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et d’orientation initiale dans le système de soins des enfants à risque de surpoids et d’obésité. 1-https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2017/etude-esteban-2014-2016-chapitre-corpulence-stabilisation-du-surpoids-et-de-l-obesite-chez-l-enfant-et-l-adulte 2-https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-02/guide._parcours_surpoids-obesite_de_ladulte.pdf
Préparateur en pharmacie, Pharmacien
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Surpoids et obésité des enfants et des adolescents : repérage, prévention et orientation à l'officine - Présentiel
DPC
Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. C’est pour cette raison qu’en 2001 en France, le ministère de la santé met en place le Plan National Nutrition Santé (PNNS) pour 5 ans afin de réduire ce phénomène. À l’heure actuelle, nous suivons les recommandations du PNNS 4 élaboré pour les années 2019 à 2023. D’après les données mesurées dans les études ENNS et Esteban, la prévalence du surpoids (obésité incluse) des enfants est restée stable entre 2006 et 2015. Elle était estimée à 18 % en 2006 et 17 % en 2015 (l’obésité seule étant passée de 3 % à 4 %). Concernant l’influence du niveau d’étude des familles, la prévalence du surpoids (obésité incluse) est restée supérieure chez les enfants dont les personnes de référence étaient les moins diplômées. Malgré la stabilisation sur 10 ans, la prévalence du surpoids et de l’obésité reste importante, ce qui requiert des politiques publiques ambitieuses pour en inverser la tendance et réduire ses effets sur la santé. Ces résultats confirment également la nécessité de prendre en compte les inégalités sociales de santé dans la définition et la mise en place des politiques de santé publique.1 Par ailleurs, le surpoids et l’obésité sont multifactoriels et leur traitement ne peut se résumer à l’atteinte d’un objectif pondéral. Seuls une exploration fine de la situation avec la personne et l’appui de compétences de professionnels formés à l’obésité permettent de personnaliser le projet de soins et d’accompagnement et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées.2 Dans ce contexte, comment développer la dimension de prévention de ces troubles par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et d’orientation initiale dans le système de soins des enfants à risque de surpoids et d’obésité. 1-https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2017/etude-esteban-2014-2016-chapitre-corpulence-stabilisation-du-surpoids-et-de-l-obesite-chez-l-enfant-et-l-adulte 2-https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-02/guide._parcours_surpoids-obesite_de_ladulte.pdf
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Mixte
Dénutrition des personnes âgées : repérage, prévention et orientation à l'officine - Classe virtuelle
DPC
Selon le scénario central des projections de population publiées par l’Insee en 2016, si les tendances démographiques se maintenaient, la France compterait 76,4 millions d’habitants au 1 er janvier 2070. La quasi-totalité de la hausse de la population d’ici 2070 concernerait les personnes âgées de 65 ans ou plus, avec une augmentation particulièrement forte pour les personnes de 75 ans ou plus. Jusqu’en 2040, la proportion des personnes de 65 ans ou plus progresserait fortement : à cette date, plus d’un habitant sur quatre aurait 65 ans ou plus. Cette forte augmentation est inéluctable et résulte majoritairement de l’amélioration de l’espérance de vie qui s’est déjà produite, ainsi que de l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations issues du baby-boom. Après 2040, la part des 65 ans ou plus continuerait à progresser mais plus modérément. En 2070, leur part pourrait atteindre 28,7 %. Cette augmentation de la part des 65 ans et plus pousse nos politiques à mettre en place des stratégies afin de favoriser un vieillissement en bonne santé. La question du vieillissement en bonne santé concerne tout le monde et consiste à créer des conditions qui permettent aux individus d’être et de faire ce qu’ils considèrent important tout au long de leur vie [1] . La dénutrition touche plus près de 3 millions de Français, parmi lesquels au moins un tiers a plus de 70 ans. Cette situation est particulièrement préoccupante dans la mesure où la dénutrition s’accompagne d’un accroissement de la morbidité (chutes, fractures, hospitalisations, infections nosocomiales), de la perte d’autonomie et de la mortalité , quelle que soit la cause de la dénutrition. Qui plus est, ces complications sont elles-mêmes des facteurs de dénutrition, installant les personnes âgées dans un cercle vicieux qui peut accélérer la fin de vie. Les données épidémiologiques montrent en effet que le risque de dénutrition s’accroît avec la perte d’autonomie : près d’une personne âgée dénutrie sur 7 vit à domicile et près d’une sur 4 dans une unité de soins de longue durée [2] . Dans ce contexte, comment développer la dimension de repérage, de prévention et de prise en charge de la dénutrition par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et de prise en charge dans le système de soins des personnes âgées dénutris ou à risque de dénutrition. [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus
Préparateur en pharmacie, Pharmacien
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Dénutrition des personnes âgées : repérage, prévention et orientation à l'officine - Présentiel
DPC
Selon le scénario central des projections de population publiées par l’Insee en 2016, si les tendances démographiques se maintenaient, la France compterait 76,4 millions d’habitants au 1 er janvier 2070. La quasi-totalité de la hausse de la population d’ici 2070 concernerait les personnes âgées de 65 ans ou plus, avec une augmentation particulièrement forte pour les personnes de 75 ans ou plus. Jusqu’en 2040, la proportion des personnes de 65 ans ou plus progresserait fortement : à cette date, plus d’un habitant sur quatre aurait 65 ans ou plus. Cette forte augmentation est inéluctable et résulte majoritairement de l’amélioration de l’espérance de vie qui s’est déjà produite, ainsi que de l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations issues du baby-boom. Après 2040, la part des 65 ans ou plus continuerait à progresser mais plus modérément. En 2070, leur part pourrait atteindre 28,7 %. Cette augmentation de la part des 65 ans et plus pousse nos politiques à mettre en place des stratégies afin de favoriser un vieillissement en bonne santé. La question du vieillissement en bonne santé concerne tout le monde et consiste à créer des conditions qui permettent aux individus d’être et de faire ce qu’ils considèrent important tout au long de leur vie [1] . La dénutrition touche plus près de 3 millions de Français, parmi lesquels au moins un tiers a plus de 70 ans. Cette situation est particulièrement préoccupante dans la mesure où la dénutrition s’accompagne d’un accroissement de la morbidité (chutes, fractures, hospitalisations, infections nosocomiales), de la perte d’autonomie et de la mortalité , quelle que soit la cause de la dénutrition. Qui plus est, ces complications sont elles-mêmes des facteurs de dénutrition, installant les personnes âgées dans un cercle vicieux qui peut accélérer la fin de vie. Les données épidémiologiques montrent en effet que le risque de dénutrition s’accroît avec la perte d’autonomie : près d’une personne âgée dénutrie sur 7 vit à domicile et près d’une sur 4 dans une unité de soins de longue durée [2] . Dans ce contexte, comment développer la dimension de repérage, de prévention et de prise en charge de la dénutrition par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et de prise en charge dans le système de soins des personnes âgées dénutris ou à risque de dénutrition. [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus
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Promotion de la vaccination à l'officine - En ligne
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INTRODUCTION : · Faire le point sur les nouvelles compétences vaccinales des pharmaciens chez les adultes et adolescents de plus de 16ans (sauf ID) avec les vaccins non vivants pour un certain nombre de pathologies. Ouvrir sur les perspectives (recommandations HAS) PARTIE 1 : Généralités sur la vaccination · Connaître les grands principes de la vaccination et les enjeux en terme de santé publique. · Informer les pharmaciens sur le circuit du vaccin de la fabrication à la commercialisation ainsi que sur les différents acteurs institutionnels intervenant (CPAM, ANSM, HAS, HCSP, santé publique France, OMS, EMA…) · Sensibiliser le pharmacien sur l’histoire de la vaccination et son importance en terme de santé publique. · Avoir une meilleure connaissance sur les mécanismes d’action des différents vaccins. · Connaître le calendrier vaccinal et maîtriser les différents schémas de vaccination. · Favoriser le suivi du calendrier vaccinal selon l’âge mais aussi selon la profession (notamment professionnels de santé), le contexte de voyage… PARTIE 2 : Vaccination par pathologies · Mise à jour des connaissances sur les principales maladies à prévention vaccinale : fréquence, épidémiologie, étiologies, transmission, clinique, complications, gravité et prévention. · Connaître les différents vaccins administrables en pharmacie et maîtriser les schémas vaccinaux (âge, nombre de doses, délais…) · Définir les populations cibles éligibles aux vaccins pouvant être prescrits/administrés par le pharmacien d’officine. PARTIE 3 : Communiquer sur la vaccination en officine • Renforcer le rôle des pharmaciens en matière de promotion de la vaccination auprès des patients mais aussi des professionnels de santé eux-mêmes. • Appliquer l’argumentation de l’entretien motivationnel appliqué à la réticence vaccinale. • Savoir argumenter pour lever les réticences vaccinales, répondre aux craintes et idées reçues. • Savoir argumenter spécifiquement pour améliorer le recours à la vaccination des professionnels de santé eux-mêmes et les sensibiliser aux enjeux et intérêts. • Savoir communiquer sur la vaccination auprès des patients et en faire la promotion dans un but de santé publique. • Être en mesure d’expliquer les bénéfices/risques de la vaccination aux patients et obtenir leur consentement libre et éclairé. • Transmettre l’information de manière sécurisée au médecin traitant dans un but de pluriprofessionnalité. • Assurer une traçabilité de l’acte vaccinal (DP, DMP, carnet de vaccination, attestation de vaccination…) PARTIE 4 : Sécuriser la dispensation et l’administration des vaccins en officine • Connaître le cadre législatif à la vaccination en officine. • Repérer les contre-indications, effets indésirables et interactions médicamenteuses de chaque vaccin. • Être en mesure de gérer les cas particuliers et savoir réorienter vers une consultation médicale (immunodéprimés, hémophiles, grossesse…). • Être en mesure de gérer et d’assurer la qualité de la chaîne du froid. • Faire un rappel sur les protocoles de dilution et de reconstitution des doses. • Faire un rappel sur les techniques d’injection en IM et SC (notion déjà validée et acquise lors de la formation initiale DPC validante vaccination anti-grippale). • Faire un rappel sur la conduite à tenir en cas de choc anaphylactique et d’accident d’exposition au sang SC (notion déjà validée et acquise lors de la formation initiale DPC validante vaccination anti-grippale). • Connaitre les procédures d’élimination des déchets d’activités de soins à risques infectieux produits dans le cadre de la vaccination
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Promotion de la vaccination à l'officine - Classe virtuelle
DPC
Contexte La France, comme de nombreux pays européens, fait face depuis plusieurs années, à une défiance et une hésitation des citoyens envers la vaccination. Les couvertures vaccinales contre des maladies infectieuses fréquentes étaient en baisse et sont insuffisantes pour éviter l’apparition de foyers endémiques voire des épidémies d’ampleur nationale comme celle de la rougeole en 2010-11. Par ailleurs, l e parcours vaccinal de la population est complexe et constitue un frein à la vaccination. Un travail de simplification a été réalisé par les pouvoirs publics et les opportunités de vaccination ont été revues afin d’augmenter la couverture vaccinale. Par décret, les compétences vaccinales des pharmaciens sont ainsi élargies à l’administration de certains vaccins pour une population désignée. Objectifs pédagogiques Connaître les principes de la vaccinologie et les principes de prescription du calendrier vaccinal Améliorer la communication officinale pour promouvoir la vaccination en vue d’ améliorer la couverture vaccinale Appréhender l’offre vaccinale et optimiser le parcours vaccinal des publics concernés Maitriser les requis et/ou pré-requis nécessaires à la pratique de ces vaccinations Renforcer les compétences pour l’administration des vaccins inscrits dans la liste des vaccinations possibles à l’officine Sensibiliser sur l’importance des rattrapages HPV et Méningocoque C en population générale et chez la femme enceinte à la vaccination contre la coqueluche