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Mixte

FC Angine et Cystite complète – Délivrance des antibiotiques après un TROD - Elearning / CV

DPC

Contexte L’État est pleinement engagé dans la lutte contre l’antibiorésistance à travers la mise en œuvre d’une feuille de route interministérielle pour la maîtrise de l’antibiorésistance publiée dès 2016. Sept ministères sont mobilisés pour décliner de façon coordonnée les interventions nécessaires en santé humaine, animale et environnementale en adéquation avec l’approche « Une seule santé » prônée par l’Organisation mondiale de la santé. Cette mobilisation vient d’être reconfirmée via la stratégie 2022-2025 de prévention des infections et de l’antibiorésistance en santé humaine qui repose sur deux piliers : la prévention et le contrôle des infections, ciblant à la fois les infections communautaires et celles associées aux soins et le bon usage des antibiotiques. Dans ce contexte les pharmaciens d’officine les conditions de mise en œuvre de la nouvelle compétence de délivrance sans ordonnance de certains médicaments par les pharmaciens d'officine après réalisation d'un TROD ont été fixées par un décret et un arrêté publiés au Journal officiel du 18 juin 2024. Initialement limité aux pharmaciens d’officine exerçant dans le cadre d'une structure d'exercice coordonné ou d’une CPTS, cette nouvelle compétence est désormais étendue à tous les pharmaciens d’officine, sous réserve de justifier d’une formation dont les modalités sont précisées par arrêté. Objectifs Amélioration de l’usage des antibiotiques : - Maîtrise des recommandations de bonne pratique en matière d’antibioprophylaxie ; - Connaissance des exigences réglementaires relatives à la délivrance sans ordonnance d’antibiotiques après la réalisation d’un TROD et des recommandations en vigueur, dont celles de la HAS ; - Identification des situations d’infections pour lesquelles le pharmacien peut délivrer sans ordonnance des antibiotiques après la réalisation d’un TROD ; - Identification des facteurs d’exclusion et de gravité d’une infection et des situations qui imposent au pharmacien d’officine d’adresser le patient au médecin ; - Justification du traitement antibiotique pertinent selon la situation du patient ; Sécurisation de la délivrance antibiotique : - Vérification des modalités de prescription prévues et d’absence d’interactions médicamenteuses - Identification des situations nécessitant de référer au prescripteur et de se coordonner avec le médecin traitant. Accompagnement et explications au patient de la démarche d’hygiène et de prévention des infections le concernant (dont le portage d’une bactérie multi-résistante aux antibiotiques) et promotion des principes de bon usage des antibiotiques auprès des patients ; Réponse aux attentes du public : conseiller le patient présentant des symptômes évoquant une infection virale bénigne en s’appuyant si besoin sur la réalisation d’un TROD ou l’orienter à bon escient en cas de suspicion de signes de gravité ;

-


En présentiel

Biomédicaments et biosimilaires Substitution et accompagnement pharmaceutique

DPC

• Acquérir/Actualiser les connaissances du pharmacien d’officine sur le biomédicament et le biosimilaire: o Connaitre et prendre conscience de l’intérêt général et des enjeux médico-sociaux-économiques que peut représenter la prescription et la délivrance de ces nouveaux thérapeutiques aujourd’hui et demain o définitions, réglementation, fabrication, évaluation, classification, interchangeabilité/substitution • Adapter l’exercice professionnel aux enjeux des nouvelles thérapeutiques o Mettre en place une procédure qualité de dispensation des biothérapies o Appliquer la charte de dispensation des médicaments biosimilaires • Informer le patient de manière objective sur le biomédicament et le biosimilaire o Dispenser une information scientifique validée par les Autorités de Santé o Utiliser des sources spécifiques d’informations pour les conseils liés au mode d’administration et de conservation • Améliorer l’adhésion thérapeutique, l’observance et la persistance des patients au traitement biosimilaire o Organiser un rdv biosimilaire o Instaurer un suivi d’observance lors d’un renouvellement • Sécuriser le lien Ville-Hôpital o Partager l’information avec tous les professionnels de santé participant à la prise en charge du patient o Appréhender les besoins et les obligations de chaque professionnel de santé

Pharmacien


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Administration des vaccins à l’officine

DPC

Objectifs pédagogiques La vaccination et la politique vaccinale. A la fin du module, les professionnels de santé sont capables de : – connaître les grands principes de la vaccination ; – connaître les différents types de vaccins (inactivés, vivants atténués…) ; – connaître le cadre règlementaire et les objectifs de santé publique en matière de politique vaccinale et le rôle des acteurs institutionnels ; – connaître les notions de couverture vaccinale, d’efficacité vaccinale, d’immunité collective ; – connaître les grands principes de pharmacovigilance et le cadre règlementaire de signalements des effets indésirables ; – connaître les sources d’information utiles en vaccination. Partie 2 : Administration du vaccin. A la fin du module, les professionnels sont capables de : – savoir vérifier les critères d’éligibilité ; – savoir recueillir le consentement du patient, y compris le cadre légal du consentement pour les mineurs ; – connaître les mesures d’hygiène préalables et la gestion des déchets DASRI ; – connaître les différentes étapes de l’administration avec mise en situation pratique des différents modes d’injection par voie intramusculaire ou par voie sous-cutanée (outils de simulation, pratique sous contrôle d’un professionnel de santé ayant acquis ces techniques d’injection) ; – connaître les modalités de surveillance immédiate et les conseils post-injection ; – savoir traiter une réaction anaphylactique ; – connaître et savoir transmettre des informations au médecin traitant de la personne notamment via les outils dématérialisés de partage et de stockage de documents (Dossier médical partagé, Mon Espace santé, etc.).

Pharmacien


En présentiel

Prescription des vaccins à l’officine

DPC

Objectifs pédagogiques Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primo-arrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.

Pharmacien


En présentiel

Bilan partagé de médication - Présentiel

DPC

Objectifs généraux • Améliorer la prise en charge des patients polymédiqués • Organiser la gestion par les patients de leurs produits de santé • Réduire la polymédication • Prévenir la iatrogénie médicamenteuse • Réduire les coûts globaux mensuels des traitements O bjectifs pédagogiques • Alerter le pharmacien d’Officine des conséquences de l’iatrogénie et du défaut d’observance en France chez les patients polymédiqués de plus de 65 ans pour l’impliquer dans la mise en place des BPM. • Maitriser les principes du BPM selon les préconisations de la SFPC pour la pratique des bilans de médication de 2017 et les bonnes pratiques de pharmacie clinique de la SFPC 2022 par le pharmacien d’Officine pour les réaliser selon l’arrêté du 9 mars 2018 portant approbation de l’avenant 12 à la convention nationale du 4 mai 2022, organisant les rapports entres les pharmaciens titulaires d’officine et l’assurance maladie. • Utiliser le vocabulaire et les notions définies au sein du lexique de pharmacie clinique SFPC 2021 • Mettre en œuvre une approche efficace de recrutement des patients polymédiqués de plus de 65 ans, en utilisant des compétences de communication et d'empathie lors des interactions au comptoir de l'officine, afin de favoriser leur adhésion volontaire à la réalisation du BPM et d'assurer leur participation active dans le processus de prise en charge thérapeutique. • Identifier les facteurs de risque liés à l’âge favorisant l’iatrogénèse médicamenteuse pour la prévenir et adapter les traitements. • Maîtriser les 5 points clés de l'analyse pharmaceutique lors du BPM pour optimiser la prise en charge des patients polymédiqués, en identifiant les problèmes potentiels d'adhésion thérapeutique, de mésusage des traitements, de traitements inadaptés, de la fonction rénale et des interactions médicamenteuses. • Être en mesure de réaliser une analyse pharmaceutique approfondie d'une ordonnance, en identifiant les points critiques tels que l'adhésion thérapeutique, le mésusage des traitements, les traitements inadaptés, la fonction rénale et les interactions médicamenteuses, afin de garantir une prise en charge optimale des patients polymédiqués de plus de 65 ans dans le cadre du BPM.

Pharmacien


Mixte

Prescription des vaccins à l’officine

DPC

Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primoarrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


Mixte

Surpoids et obésité des enfants et des adolescents : repérage, prévention et orientation à l'officine - Classe virtuelle

DPC

Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. C’est pour cette raison qu’en 2001 en France, le ministère de la santé met en place le Plan National Nutrition Santé (PNNS) pour 5 ans afin de réduire ce phénomène. À l’heure actuelle, nous suivons les recommandations du PNNS 4 élaboré pour les années 2019 à 2023. D’après les données mesurées dans les études ENNS et Esteban, la prévalence du surpoids (obésité incluse) des enfants est restée stable entre 2006 et 2015. Elle était estimée à 18 % en 2006 et 17 % en 2015 (l’obésité seule étant passée de 3 % à 4 %). Concernant l’influence du niveau d’étude des familles, la prévalence du surpoids (obésité incluse) est restée supérieure chez les enfants dont les personnes de référence étaient les moins diplômées. Malgré la stabilisation sur 10 ans, la prévalence du surpoids et de l’obésité reste importante, ce qui requiert des politiques publiques ambitieuses pour en inverser la tendance et réduire ses effets sur la santé. Ces résultats confirment également la nécessité de prendre en compte les inégalités sociales de santé dans la définition et la mise en place des politiques de santé publique.1 Par ailleurs, le surpoids et l’obésité sont multifactoriels et leur traitement ne peut se résumer à l’atteinte d’un objectif pondéral. Seuls une exploration fine de la situation avec la personne et l’appui de compétences de professionnels formés à l’obésité permettent de personnaliser le projet de soins et d’accompagnement et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées.2 Dans ce contexte, comment développer la dimension de prévention de ces troubles par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et d’orientation initiale dans le système de soins des enfants à risque de surpoids et d’obésité. 1-https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2017/etude-esteban-2014-2016-chapitre-corpulence-stabilisation-du-surpoids-et-de-l-obesite-chez-l-enfant-et-l-adulte 2-https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-02/guide._parcours_surpoids-obesite_de_ladulte.pdf

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Surpoids et obésité des enfants et des adolescents : repérage, prévention et orientation à l'officine - Présentiel

DPC

Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. C’est pour cette raison qu’en 2001 en France, le ministère de la santé met en place le Plan National Nutrition Santé (PNNS) pour 5 ans afin de réduire ce phénomène. À l’heure actuelle, nous suivons les recommandations du PNNS 4 élaboré pour les années 2019 à 2023. D’après les données mesurées dans les études ENNS et Esteban, la prévalence du surpoids (obésité incluse) des enfants est restée stable entre 2006 et 2015. Elle était estimée à 18 % en 2006 et 17 % en 2015 (l’obésité seule étant passée de 3 % à 4 %). Concernant l’influence du niveau d’étude des familles, la prévalence du surpoids (obésité incluse) est restée supérieure chez les enfants dont les personnes de référence étaient les moins diplômées. Malgré la stabilisation sur 10 ans, la prévalence du surpoids et de l’obésité reste importante, ce qui requiert des politiques publiques ambitieuses pour en inverser la tendance et réduire ses effets sur la santé. Ces résultats confirment également la nécessité de prendre en compte les inégalités sociales de santé dans la définition et la mise en place des politiques de santé publique.1 Par ailleurs, le surpoids et l’obésité sont multifactoriels et leur traitement ne peut se résumer à l’atteinte d’un objectif pondéral. Seuls une exploration fine de la situation avec la personne et l’appui de compétences de professionnels formés à l’obésité permettent de personnaliser le projet de soins et d’accompagnement et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées.2 Dans ce contexte, comment développer la dimension de prévention de ces troubles par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et d’orientation initiale dans le système de soins des enfants à risque de surpoids et d’obésité. 1-https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2017/etude-esteban-2014-2016-chapitre-corpulence-stabilisation-du-surpoids-et-de-l-obesite-chez-l-enfant-et-l-adulte 2-https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-02/guide._parcours_surpoids-obesite_de_ladulte.pdf

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


Mixte

Dénutrition des personnes âgées : repérage, prévention et orientation à l'officine - Classe virtuelle

DPC

Selon le scénario central des projections de population publiées par l’Insee en 2016, si les tendances démographiques se maintenaient, la France compterait 76,4 millions d’habitants au 1 er janvier 2070. La quasi-totalité de la hausse de la population d’ici 2070 concernerait les personnes âgées de 65 ans ou plus, avec une augmentation particulièrement forte pour les personnes de 75 ans ou plus. Jusqu’en 2040, la proportion des personnes de 65 ans ou plus progresserait fortement : à cette date, plus d’un habitant sur quatre aurait 65 ans ou plus. Cette forte augmentation est inéluctable et résulte majoritairement de l’amélioration de l’espérance de vie qui s’est déjà produite, ainsi que de l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations issues du baby-boom. Après 2040, la part des 65 ans ou plus continuerait à progresser mais plus modérément. En 2070, leur part pourrait atteindre 28,7 %. Cette augmentation de la part des 65 ans et plus pousse nos politiques à mettre en place des stratégies afin de favoriser un vieillissement en bonne santé. La question du vieillissement en bonne santé concerne tout le monde et consiste à créer des conditions qui permettent aux individus d’être et de faire ce qu’ils considèrent important tout au long de leur vie [1] . La dénutrition touche plus près de 3 millions de Français, parmi lesquels au moins un tiers a plus de 70 ans. Cette situation est particulièrement préoccupante dans la mesure où la dénutrition s’accompagne d’un accroissement de la morbidité (chutes, fractures, hospitalisations, infections nosocomiales), de la perte d’autonomie et de la mortalité , quelle que soit la cause de la dénutrition. Qui plus est, ces complications sont elles-mêmes des facteurs de dénutrition, installant les personnes âgées dans un cercle vicieux qui peut accélérer la fin de vie. Les données épidémiologiques montrent en effet que le risque de dénutrition s’accroît avec la perte d’autonomie : près d’une personne âgée dénutrie sur 7 vit à domicile et près d’une sur 4 dans une unité de soins de longue durée [2] . Dans ce contexte, comment développer la dimension de repérage, de prévention et de prise en charge de la dénutrition par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et de prise en charge dans le système de soins des personnes âgées dénutris ou à risque de dénutrition. [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


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Dénutrition des personnes âgées : repérage, prévention et orientation à l'officine - Présentiel

DPC

Selon le scénario central des projections de population publiées par l’Insee en 2016, si les tendances démographiques se maintenaient, la France compterait 76,4 millions d’habitants au 1 er janvier 2070. La quasi-totalité de la hausse de la population d’ici 2070 concernerait les personnes âgées de 65 ans ou plus, avec une augmentation particulièrement forte pour les personnes de 75 ans ou plus. Jusqu’en 2040, la proportion des personnes de 65 ans ou plus progresserait fortement : à cette date, plus d’un habitant sur quatre aurait 65 ans ou plus. Cette forte augmentation est inéluctable et résulte majoritairement de l’amélioration de l’espérance de vie qui s’est déjà produite, ainsi que de l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations issues du baby-boom. Après 2040, la part des 65 ans ou plus continuerait à progresser mais plus modérément. En 2070, leur part pourrait atteindre 28,7 %. Cette augmentation de la part des 65 ans et plus pousse nos politiques à mettre en place des stratégies afin de favoriser un vieillissement en bonne santé. La question du vieillissement en bonne santé concerne tout le monde et consiste à créer des conditions qui permettent aux individus d’être et de faire ce qu’ils considèrent important tout au long de leur vie [1] . La dénutrition touche plus près de 3 millions de Français, parmi lesquels au moins un tiers a plus de 70 ans. Cette situation est particulièrement préoccupante dans la mesure où la dénutrition s’accompagne d’un accroissement de la morbidité (chutes, fractures, hospitalisations, infections nosocomiales), de la perte d’autonomie et de la mortalité , quelle que soit la cause de la dénutrition. Qui plus est, ces complications sont elles-mêmes des facteurs de dénutrition, installant les personnes âgées dans un cercle vicieux qui peut accélérer la fin de vie. Les données épidémiologiques montrent en effet que le risque de dénutrition s’accroît avec la perte d’autonomie : près d’une personne âgée dénutrie sur 7 vit à domicile et près d’une sur 4 dans une unité de soins de longue durée [2] . Dans ce contexte, comment développer la dimension de repérage, de prévention et de prise en charge de la dénutrition par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et de prise en charge dans le système de soins des personnes âgées dénutris ou à risque de dénutrition. [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus