Logo App'Ines

98 formations DPC PRAXIPHARM disponibles

Recherches populaires

HypnosePathologies neuro-musculosquelettiquesDouleursSport

Affiner votre recherche

Financement

Organisme de formation

Format

Pharmacien


Mixte

Prescription des vaccins à l'officine (arrêté du 08/08/2023) - présentiel et e-learning

DPC

Pour être autorisé à prescrire, les pharmaciens d’officine titulaires et adjoints doivent valider la formation relative à la prescription des vaccins. Les 4 parties suivantes seront abordées : Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primo-arrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.

Pharmacien


Mixte

Prescription des vaccins à l'officine (arrêté du 08/08/2023) - classe virtuelle et e-learning

DPC

Pour être autorisé à prescrire, les pharmaciens d’officine titulaires et adjoints doivent valider la formation relative à la prescription des vaccins. Les 4 parties suivantes seront abordées : Partie 1 : Maladies à prévention vaccinale - Connaître, pour chaque maladie à prévention vaccinale inscrite dans le calendrier des vaccinations, les principaux signes cliniques, les modes de transmission, le fardeau épidémiologique et les populations à risque. Partie 2 : Calendrier des vaccinations - Connaître les principales recommandations du calendrier des vaccinations de l’adulte et de l’enfant (primo-vaccination, rappel, vaccination de rattrapage) : population cible, contre-indications - Connaître les principales recommandations vaccinales concernant les professionnels de santé. Partie 3 : Traçabilité et la transmission de l’information - Connaître les informations relatives à la vaccination à saisir dans le carnet de vaccination du patient - Connaître les différents outils numériques d’enregistrement des vaccinations (DMP, Mon espace santé, carnet de vaccination électronique, etc) et les différents modes de transmission sécurisés des informations du professionnel vaccinateur au médecin traitant. Partie 4 : Savoir prescrire en pratique - Connaître les principaux déterminants de l’hésitation vaccinale, savoir argumenter face aux fausses nouvelles, savoir convaincre avec une information claire et objective - Savoir mener un entretien de manière à recueillir les antécédents médicaux et les traitements en cours - Savoir reconnaître les situations complexes de personnes à orienter vers le médecin : ex : primo-arrivant, schéma vaccinal inconnu, incomplet ou aberrant, suspicion d’immunodépression, suspicion d’antécédent d’anaphylaxie à un vaccin. Ces situations seront illustrées avec des cas pratiques.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


Mixte

Dénutrition des personnes âgées : repérage, prévention et orientation à l'officine - modalité classe virtuelle

DPC

Selon le scénario central des projections de population publiées par l’Insee en 2016, si les tendances démographiques se maintenaient, la France compterait 76,4 millions d’habitants au 1 er janvier 2070. La quasi-totalité de la hausse de la population d’ici 2070 concernerait les personnes âgées de 65 ans ou plus, avec une augmentation particulièrement forte pour les personnes de 75 ans ou plus. Jusqu’en 2040, la proportion des personnes de 65 ans ou plus progresserait fortement : à cette date, plus d’un habitant sur quatre aurait 65 ans ou plus. Cette forte augmentation est inéluctable et résulte majoritairement de l’amélioration de l’espérance de vie qui s’est déjà produite, ainsi que de l’arrivée dans cette classe d’âge de toutes les générations issues du baby-boom. Après 2040, la part des 65 ans ou plus continuerait à progresser mais plus modérément. En 2070, leur part pourrait atteindre 28,7 %. Cette augmentation de la part des 65 ans et plus pousse nos politiques à mettre en place des stratégies afin de favoriser un vieillissement en bonne santé. La question du vieillissement en bonne santé concerne tout le monde et consiste à créer des conditions qui permettent aux individus d’être et de faire ce qu’ils considèrent important tout au long de leur vie [1] . La dénutrition touche plus près de 3 millions de Français, parmi lesquels au moins un tiers a plus de 70 ans. Cette situation est particulièrement préoccupante dans la mesure où la dénutrition s’accompagne d’un accroissement de la morbidité (chutes, fractures, hospitalisations, infections nosocomiales), de la perte d’autonomie et de la mortalité , quelle que soit la cause de la dénutrition. Qui plus est, ces complications sont elles-mêmes des facteurs de dénutrition, installant les personnes âgées dans un cercle vicieux qui peut accélérer la fin de vie. Les données épidémiologiques montrent en effet que le risque de dénutrition s’accroît avec la perte d’autonomie : près d’une personne âgée dénutrie sur 7 vit à domicile et près d’une sur 4 dans une unité de soins de longue durée [2] . Dans ce contexte, comment développer la dimension de repérage, de prévention et de prise en charge de la dénutrition par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et de prise en charge dans le système de soins des personnes âgées dénutris ou à risque de dénutrition. [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus [1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496228#:~:text=Par%20rapport%20%C3%A0%202013%2C%20la,(%2B%207%2C8%20millions). [2] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3297932/fr/diagnostiquer-plus-precocement-la-denutrition-chez-la-personne-agee-de-70-ans-et-plus

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


Mixte

Surpoids et obésité des enfants et des adolescents : repérage, prévention et orientation à l'officine - modalité classe virtuelle

DPC

Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’obésité a atteint les proportions d’une épidémie mondiale conduisant à une augmentation des maladies chroniques associées. C’est pour cette raison qu’en 2001 en France, le ministère de la santé met en place le Plan National Nutrition Santé (PNNS) pour 5 ans afin de réduire ce phénomène. À l’heure actuelle, nous suivons les recommandations du PNNS 4 élaboré pour les années 2019 à 2023. D’après les données mesurées dans les études ENNS et Esteban, la prévalence du surpoids (obésité incluse) des enfants est restée stable entre 2006 et 2015. Elle était estimée à 18 % en 2006 et 17 % en 2015 (l’obésité seule étant passée de 3 % à 4 %). Concernant l’influence du niveau d’étude des familles, la prévalence du surpoids (obésité incluse) est restée supérieure chez les enfants dont les personnes de référence étaient les moins diplômées. Malgré la stabilisation sur 10 ans, la prévalence du surpoids et de l’obésité reste importante, ce qui requiert des politiques publiques ambitieuses pour en inverser la tendance et réduire ses effets sur la santé. Ces résultats confirment également la nécessité de prendre en compte les inégalités sociales de santé dans la définition et la mise en place des politiques de santé publique.1 Par ailleurs, le surpoids et l’obésité sont multifactoriels et leur traitement ne peut se résumer à l’atteinte d’un objectif pondéral. Seuls une exploration fine de la situation avec la personne et l’appui de compétences de professionnels formés à l’obésité permettent de personnaliser le projet de soins et d’accompagnement et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées.2 Dans ce contexte, comment développer la dimension de prévention de ces troubles par les équipes officinales ? Cette formation vise à faciliter l’appropriation, auprès des pharmaciens et des préparateurs, des outils de prévention, de repérage précoce et d’orientation initiale dans le système de soins des enfants à risque de surpoids et d’obésité. 1-https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2017/etude-esteban-2014-2016-chapitre-corpulence-stabilisation-du-surpoids-et-de-l-obesite-chez-l-enfant-et-l-adulte 2-https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-02/guide._parcours_surpoids-obesite_de_ladulte.pdf

Pharmacien


Mixte

Arrêt du tabac : les dépendances et l'accompagnement au sevrage - modalité classe virtuelle

DPC

Résumé de l’action : - La sensibilisation aux bienfaits à l’arrêt du tabac : une étape fondamentale dans toute stratégie d’aide à l’arrêt. Comprendre les généralités. Tests de connaissances. Les principaux aspects abordés au cours de cette sensibilisation sont les suivants : o L’origine des dépendances physique, comportementale et affective. Le rôle du cerveau o Epidémiologie récente du tabagisme o L’évolution des contraintes, le rôle de l’industrie du tabac et des autres acteurs o Les principales substances de la fumée du tabac et leur rôle sur l’organisme o Focus sur le monoxyde de carbone et les goudrons o Les idées reçues sur le tabac o Les formes de tabagisme et les coaddictions o Les facteurs aggravants o Les mesures d’intoxication et les tests de dépendance et de motivation o Les traitements à l’arrêt et le rôle des professionnels de santé o La cigarette électronique, une méthode d’arrêt à part entière ou un piège ? - L’entretien individuel : le praticien va s’efforcer de déterminer la nature du tabagisme de son patient, les caractéristiques de son intoxication et le traitement le mieux adapté à son cas. Idéalement le praticien devrait remplir un dossier individuel de tabacologie. Il est alors possible de proposer au fumeur une stratégie adéquate pour arrêter de fumer. Cette stratégie et le traitement pourront changer dans le temps en fonction de l’évolution du fumeur vers l’arrêt du tabagisme. - Étude de cas réels : o Le ou les formateurs vont développer in-extenso : Un cas réel ayant permis l’arrêt du tabac après plusieurs semaines de suivi. Un cas n’ayant pas permis l’arrêt du tabac -> Analyse de l’échec -> Comment réagir et rebondir ? o Études de cas réels en atelier. Les praticiens sont regroupés par 3 à 5 personnes et vont instruire 5 à 6 cas réels Objectifs : - Permettre aux praticiens d’accompagner, et au moins d’initier la démarche de sevrage de leurs patients dépendants au tabac - Connaître les différents outils de sevrage tabagique à la disposition des consommateurs de tabac - Déterminer la nature et les caractéristiques du tabagisme du patient, effectuer si possible un suivi régulier du patient, repérer les symptômes de manque ou de surdosage et ajuster les stratégies médicamenteuses. Au besoin, à défaut de le suivre, l’adresser à une consultation de tabacologie. - Gérer au mieux les situations d’échecs ou à contrario se servir des expériences réussies pour appréhender au mieux la réalité du terrain.

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


Mixte

Promotion de la vaccination à l'officine - modalité classe virtuelle

DPC

Contexte La France, comme de nombreux pays européens, fait face depuis plusieurs années, à une défiance et une hésitation des citoyens envers la vaccination. Les couvertures vaccinales contre des maladies infectieuses fréquentes étaient en baisse et sont insuffisantes pour éviter l’apparition de foyers endémiques voire des épidémies d’ampleur nationale comme celle de la rougeole en 2010-11. Par ailleurs, l e parcours vaccinal de la population est complexe et constitue un frein à la vaccination. Un travail de simplification a été réalisé par les pouvoirs publics et les opportunités de vaccination ont été revues afin d’augmenter la couverture vaccinale. Par décret, les compétences vaccinales des pharmaciens sont ainsi élargies à l’administration de certains vaccins pour une population désignée. Objectifs pédagogiques Connaître les principes de la vaccinologie et les principes de prescription du calendrier vaccinal Améliorer la communication officinale pour promouvoir la vaccination en vue d’ améliorer la couverture vaccinale Appréhender l’offre vaccinale et optimiser le parcours vaccinal des publics concernés Maitriser les requis et/ou pré-requis nécessaires à la pratique de ces vaccinations Renforcer les compétences pour l’administration des vaccins inscrits dans la liste des vaccinations possibles à l’officine Sensibiliser sur l’importance des rattrapages HPV et Méningocoque C en population générale et chez la femme enceinte à la vaccination contre la coqueluche

Pharmacien


En présentiel

Bilan partagé de médication - présentiel

DPC

Objectifs pédagogiques généraux de la formation Alerter le pharmacien d’Officine des conséquences de l’iatrogénie et du défaut d’observance en France chez les patients polymédiqués de plus de 65 ans pour l’impliquer dans la mise en place des BPM. Maitriser les principes du BPM par le pharmacien d’Officine pour les réaliser selon l’arrêté du 9 mars 2018 portant approbation de l’avenant 12 à la convention nationale du 4 mai 2012, organisant les rapports entres les pharmaciens titulaires d’officine et l’assurance maladie. Identifier les facteurs de risque liés à l’âge favorisant l’iatrogénèse médicamenteuse pour la prévenir et adapter les traitements. Intégrer par le pharmacien d’Officine l’iatrogénie des principales classes pharmacologiques utilisées chez la personne âgée pour être efficace lors de la phase d’analyse des traitements Conduire un bilan de médication avec le patient selon le référentiel SFPC de décembre 2017 Communiquer autour du BPM pour favoriser l’adhésion des prescripteurs et des patients et utiliser les techniques d’entretien pour mener une phase de recueil d’information optimale. S’entrainer au BPM avec des cas pratiques et des jeux de rôles pour acquérir le savoir-faire et le savoir-être.

Pharmacien


En présentiel

Anticancéreux oraux à l'officine - prise en charge globale du patient - présentiel

DPC

Résumé : Contexte et objectifs pédagogiques généraux de la formation Résumé de l’action Le cancer est la maladie la plus mortelle en France devant les pathologies cardiovasculaires. Elle représente une source de dépense conséquente pour l’assurance maladie et la diminution de sa prévalence reste un enjeu de santé publique majeur. À l’heure où les chimiothérapies font partie intégrale de la prise en charge de nombreux patient atteints de cancer, le développement de traitements anticancéreux oraux entraîne une amélioration de la qualité de vie du patient en diminuant grandement le temps passé à l’hôpital et rend le patient acteur de sa maladie. Cependant, ce type de traitement peut entraîner des problèmes d’observance chez certains patients et rendre leur suivi compliqué. Par ailleurs ces thérapies ne sont pas dénuées d’effets indésirables que le patient doit apprendre à gérer seul sans compter les interactions possibles en cas de polymédication. Dans ce contexte, le pharmacien devient alors un acteur central dans son suivi et son accompagnement dans l’évolution de sa maladie de par sa disponibilité et sa proximité avec le patient. Objectifs pédagogiques généraux · Expliquer le contexte de délivrance des anticancéreux oraux à l’officine ainsi que l’environnement quotidien dans lequel évolue le patient sous anticancéreux oraux pour comprendre l’intérêt de la formation · Acquérir des informations générales sur le cancer pour pouvoir faciliter la transmission d’informations au grand public · Comprendre le parcours de soins d’un patient cancéreux pour pouvoir mieux appréhender son accueil à l’officine et intégrer le pharmacien dans ce parcours afin qu’il identifie les missions relevant de ses compétences · Identifier la place des anticancéreux oraux dans l’arsenal thérapeutique, les principales classes et mécanismes d’action pour permettre une meilleure explication du fonctionnement du traitement au patient · Identifier et analyser les différents effets indésirables et interactions liés à chaque famille d’anticancéreux oraux ainsi que les soins de support et conseils associés afin de mieux informer, conseiller et orienter le patient · Approfondir les conseils associés à la délivrance et s’approprier les outils mis à la disposition du pharmacien afin de permettre un bon usage des anticancéreux oraux, sécuriser la prise médicamenteuse et favoriser l’adhésion au traitement · Mettre en œuvre les entretiens pharmaceutiques spécifiques aux patients sous anticancéreux oraux afin d’optimiser les échanges au cours de ces derniers et favoriser la bonne compréhension et le bon usage du traitement par le patient · Maîtriser les fondamentaux de la communication pour permettre d’installer une relation de confiance entre le pharmacien et les patients · Citer les différents événements de santé publique et les diverses actions que peut appliquer le pharmacien pour participer à la prévention des cancers en France Contenu de l’action · Épidémiologie des cancers en France, impact de la maladie sur la qualité de vie et facteurs de risque · Parcours de soins du patient cancéreux et place du pharmacien au sein de celui-ci · Place des anticancéreux oraux dans l’arsenal thérapeutique · Classes et mécanismes d’action des anticancéreux oraux · Effets indésirables, soins de support associés et principales interactions · Conseils associés à la délivrance · Outils permettant un bon usage du médicament, le repérage des situations à risque, l’alerte et · la révision des pratiques · Entretiens pharmaceutiques au sujet des anticancéreux oraux · Accueil et écoute du patient cancéreux au comptoir · Prévention des cancers à l’officine

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Promotion de la vaccination à l'officine - présentiel

DPC

Contexte La France, comme de nombreux pays européens, fait face depuis plusieurs années, à une défiance et une hésitation des citoyens envers la vaccination. Les couvertures vaccinales contre des maladies infectieuses fréquentes étaient en baisse et sont insuffisantes pour éviter l’apparition de foyers endémiques voire des épidémies d’ampleur nationale comme celle de la rougeole en 2010-11. Par ailleurs, l e parcours vaccinal de la population est complexe et constitue un frein à la vaccination. Un travail de simplification a été réalisé par les pouvoirs publics et les opportunités de vaccination ont été revues afin d’augmenter la couverture vaccinale. Par décret, les compétences vaccinales des pharmaciens sont ainsi élargies à l’administration de certains vaccins pour une population désignée. Objectifs pédagogiques Connaître les principes de la vaccinologie et les principes de prescription du calendrier vaccinal Améliorer la communication officinale pour promouvoir la vaccination en vue d’ améliorer la couverture vaccinale Appréhender l’offre vaccinale et optimiser le parcours vaccinal des publics concernés Maitriser les requis et/ou pré-requis nécessaires à la pratique de ces vaccinations Renforcer les compétences pour l’administration des vaccins inscrits dans la liste des vaccinations possibles à l’officine Sensibiliser sur l’importance des rattrapages HPV et Méningocoque C en population générale et chez la femme enceinte à la vaccination contre la coqueluche

Préparateur en pharmacie, Pharmacien


En présentiel

Développer ses conseils diététiques et d’activité physique pour les patients à l’officine.

DPC

Résumé : Contexte et objectifs pédagogiques généraux de la formation Contexte de l’action La nutrition est un déterminant majeur de santé. Dans une perspective de santé publique, elle intègre l’alimentation et l’activité physique. Une nutrition satisfaisante à tous les âges de la vie contribue à la préservation d’un bon état de santé. À l’inverse, une nutrition inadaptée, au sens où elle s’éloigne des recommandations qui sont définies par les groupes d’experts scientifiques, est un facteur de risque des principales maladies chroniques dont souffre la population française en ce début de 21ème siècle : obésité, maladies cardiovasculaires, cancers, diabète de type 2 ou dénutrition. Quant à l’activité physique et sportive, elle est reconnue comme thérapeutique non médicamenteuse par la Haute Autorité de Santé depuis 2011. En effet, notre société est marquée par une forte augmentation de la sédentarité, liée notamment à la tertiarisation des emplois, à l’augmentation des déplacements inactifs et à l’essor du numérique. L’enquête Esteban montre que le temps passé assis ou allongé, notamment devant les écrans, se prolonge, tandis que le temps consacré aux activités physiques dans la plupart de nos actes quotidiens (travail, déplacements, loisirs) est en forte diminution, particulièrement chez les femmes. Seulement 61 % des adultes français seraient selon cette étude « assez actifs physiquement ». La lutte contre l’inactivité physique et la sédentarité requiert ainsi un investissement collectif intense afin de (re)mettre les individus en mouvement. Objectifs pédagogiques généraux Permettre aux titulaires, managers et à leurs collaborateurs de mettre en application les conseils nutritionnels et d’activité physique en regard d’une pathologie au sein de l’officine. A l’issue de cette formation, les participants seront en mesure de : • Maitriser l’équilibre nutritionnel et apporter des conseils adaptés aux patients pour développer l’adoption des bonnes pratiques • Adapter les recommandations d’activité physique selon les patients et leurs besoins pour promouvoir les bienfaits de la remise en mouvement et du sport • Construire un conseil différencié selon les pathologies, associant diététique et activité physique dans l'objectif d’individualiser les recommandations • Maitriser les bases de l’entretien motivationnel pour bien communiquer auprès de ses patients Éléments de programme • Notions utiles de diététiques nécessaires dans l’exercice de l’activité officinal • Outils de l’équilibre alimentaire et conseils diététiques pour les différents repas de la journée • Physiologie de l’activité physique : dépenses énergétiques, recommandations • Connaissances sur la prescription d’activité physique par le médecin • Principales causes des pathologies, facteurs de risques associés et complications • Conseils d’ordre diététique et d’activité pour différentes pathologies : diabètes, dyslipidémies, maladies cardiovasculaires, cancers, pathologies intestinales, goutte, ostéoporose, dénutrition protéino-énergétique • Bases de la communication • Outils et bases de l’entretien motivationnel