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En présentiel

La prise en charge et le suivi des plaies en HAD

DPC

La prévention des plaies, le traitement des plaies représentent une problématique quotidienne de soins. En pratique courante dans de nombreux lieux d’exercice, les infirmiers réalisent des soins de plaies aigues et chroniques. Connaître les différentes plaies, comprendre leurs complications, différencier les pansements et évaluer les risques sont les objectifs essentiels d’une prise en charge adaptée. Lutter contre l’apparition des escarres et optimiser les prises en charge sont des engagements nécessaires à toute structure dans le but de répondre aux recommandations et aux contraintes budgétaires. Les plaies représentent ainsi une problématique de santé conséquente tant sur le plan médico-économique que sur le volet qualité de vie des patients qui en sont porteurs. En effet, la prise en charge des plaies implique un coût non négligeable : dispositifs médicaux, soins infirmiers, consultations médicales, spécialisées ou non, hospitalisations, traitements médicamenteux et non médicamenteux, matériel médico-technique spécifique. Par ailleurs, les éléments d’impact sur la qualité de vie sont multiples : appauvrissement de la vie sociale, préjudice esthétique, diminution de l’activité physique, troubles de l’humeur, perturbation de l’image corporelle. Ce programme a pour objectifs de permettre aux professionnels de : Ø Actualiser les connaissances relatives aux caractéristiques anatomiques et physiologiques de la plaie Ø Actualiser les connaissances relatives au processus de cicatrisation et son évolution Ø Actualiser les connaissances relatives aux plaies rencontrées à domicile : escarre, ulcère, pied diabétique, plaie tumorale Ø Maîtriser l’évaluation de la plaie Ø Choisir ou prescrire le bon pansement Ø Connaître les principes généraux et les conditions d’utilisation du TPN, de l’électrostimulation et du JETOX en HAD Ø S’approprier les bonnes pratiques afin de contribuer à améliorer les processus de prise en charge interprofessionnelle Ø Mettre en œuvre une démarche clinique globale auprès des patients porteurs de plaie

Aide-soignant


En présentiel

Prise en charge des patients en Insuffisance Rénale Chronique Terminale (IRCT) : prévention et prise en charge de la dénutrition

DPC

En plus des médicaments et des séances de dialyse, vivre avec une insuffisance rénale impose au patient d’adapter son alimentation. L’adhésion du patient aux conseils diététiques est un axe majeur dans sa prise en charge. L’insuffisance rénale terminale va induire des besoins nutritionnels et des adaptations spécifiques de l’alimentation selon le profil du patient mais aussi selon le stade de la maladie ou la technique de traitement utilisée. Il est démontré également que dans cette pathologie la prévalence de la dénutrition reste élevée (au moins 25 % d’après le registre REIN 2019) et nécessite une Prise en Charge (PEC) et un suivi régulier afin de réduire le risque de mortalité. Dans le cadre de cette action DPC, nous souhaitons sensibiliser les professionnels soignants aux recommandations nutritionnelles propres à l’insuffisance rénale. Les objectifs de cette action de formation sont de remettre à jour les connaissances des soignants, de promouvoir les bonnes pratiques en matière de conseils nutritionnels au travers d’un discours commun relayé par les soignants dans les unités de dialyse et d’impliquer les soignants dans la PEC de la dénutrition. Dans le cadre de cette formation, l’analyse des besoins nutritionnels sera abordée à l’aide d’une présentation des bases de la nutrition pour la population générale avec un focus sur les besoins spécifiques du patient en IRCT. Nous proposerons des cas pratiques et inviterons les participants à nous faire part de leur propre retour d’expérience que nous analyserons ensemble. Nous mettrons ensuite l’accent sur la dénutrition dans l’optique de mettre en avant l’importance du travail de collaboration IDE/AS/Médecin néphrologue/MED/DIET, sans oublier l’entourage, afin d’apporter une continuité dans la PEC. Enfin pour compléter cette formation, nous aborderons également le volet Education Thérapeutique avec la présentation d’outils existants suivi d’une mise en pratique. Le programme a pour objectif de permettre aux professionnels de : Ø Actualiser et approfondir leurs connaissances et compétences relatives à la PEC nutritionnelle du Patient IRCT Ø Comprendre le rôle d’une nutrition adaptée Ø Connaître les recommandations nutritionnelles Ø Connaître et repérer les critères diagnostic de dénutrition Ø Assurer le suivi dans le dépistage et la PEC de la dénutrition Ø Contribuer à améliorer les processus de PEC inter professionnelle, et plus globalement avec tous les acteurs intervenant autour du Patient (aidants familiaux ; IDE libéraux ; Diététicien(ne)s d’EHPAD ; Tuteur ; …) Ø Rendre le patient co-acteur de sa prise en charge nutritionnelle (éducation du patient) Ø D’engager les professionnels de santé à prendre conscience de l’importance de la nutrition

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, Infirmier


En présentiel

Développer une culture et des pratiques de Bientraitance

DPC

Axe prioritaire 2020 en matière de développement des compétences des personnels des établissements relevant de la fonction publique hospitalière – Instruction n°DGOS/RH4/DGCS/4B/2019/160 du 8 Juillet 2019. La démarche de bientraitance s’inscrit dans le cadre général de l’évaluation et de l’amélioration de la qualité de vie des personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux ainsi que dans les établissements de santé. Cette démarche intègre le respect des droits des usagers vulnérables, dont l’effectivité constitue un des enjeux du développement de la démocratie sanitaire et médico-sociale. La bientraitance est un critère d’évaluation de la qualité des pratiques au sein des structures. L’amélioration de la qualité des soins et « du prendre soin », de l’accompagnement vers l’autonomie, de la qualité de vie des usagers passe notamment par la culture de la bientraitance dans les services de soins et d’aide pour le bénéfice des usagers « fragiles » et des professionnels. Au-delà du concept de prévention de la maltraitance, la notion de culture de la bientraitance relève d’une conception du « prendre soin » (dans son sens le plus large) qui place l’intérêt et le bien-être de la personne accompagnée au cœur de l’intention et de l’action quotidienne du professionnel. Ce programme a pour objectifs de : ► De soutenir les professionnels qui cherchent à actualiser leurs connaissances et être plus performant face aux attentes des personnes soignées et de leurs familles. ► De sensibiliser les personnels à la culture de la bientraitance dans chacun de leurs services par la connaissance de recommandations communes à tous, et par la réflexion concernant certaines prises en charge. ► D’harmoniser les pratiques professionnelles des professionnels afin d’offrir aux usagers une offre d’accompagnement et de soins qui prennent davantage en compte les aspirations et désirs de la personne. ► D’améliorer le travail d’équipe multidisciplinaire et interdisciplinaire A l’issue du programme, les professionnels seront en capacité : ► D’identifier et de repérer les situations de maltraitance, les dispositifs légaux pour lutter contre la maltraitance ► De mettre en place une politique de Bientraitance dans la relation et l’aide apportée aux actes de la vie quotidienne (lever, toilette/habillage, repas, nuit…), dans la place laissée aux familles. ► De confronter sa pratique professionnelle face aux recommandations ANESM actuelles, et de se questionner de manière continue face aux gestes et à la relation mis en place auprès des usagers. ► De prévenir l’installation d’une situation maltraitante en exerçant sa vigilance au quotidien, en recherchant des solutions adaptées au projet de vie personnalisé de chaque usager.

Infirmier


En présentiel

Mieux gérer les situations de violence au sein des établissements de santé et des structures médico-sociales

DPC

Dans son rapport 2019, l’Observatoire National des Violences en milieu de Santé (ONVS) répertorie 23 360 signalements d’atteintes aux personnes et aux biens effectués par 426 établissements sanitaires pour l’année 2018. Les principales personnes exposées sont les soignants et plus généralement toute personne au contact d’un public fragilisé (agents de sécurité, personnel administratif). Depuis 2000, le Ministère de la Santé, via l’édition de la circulaire sur le thème de la prévention et de l’accompagnement des situations de violence dans les établissements de santé, préconise la formation du personnel travaillant dans ces établissements. Dans son guide méthodologique relatif à la prévention des atteintes aux personnes et aux biens en milieu de santé d’Avril 2017, l’ONVS souhaite aider tous les personnels qui travaillent en milieu de santé à s’approprier pleinement cette thématique. Parmi les 6 actions concrètes préconisées, la formation régulière des salariés est nécessaire afin de maîtriser les procédures de gestion des risques auxquels ils sont confrontés, mais aussi gérer les situations conflictuelles et désamorcer la violence des usagers. Le programme « Mieux gérer les situations de violence au sein des établissements de santé et des structures médico-sociales » a pour objectif de permettre aux stagiaires de : ► Mieux comprendre l’agressivité ► Prévenir et gérer au mieux les situations de violences ► Maîtriser les procédures d’alerte ► Identifier et appliquer le mode d’intervention le plus approprié ► Connaître les risques juridiques et sociaux.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Accompagnement fin de vie et soins palliatifs

DPC

La loi 2016 créant de nouveaux droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie ainsi que le plan national de soins palliatifs et de fin de vie 2015-2018 qui vise à « Améliorer la fin de vie en France » prévoient de mobiliser les professionnels du système de santé notamment par leur formation. Dans ce cadre un référentiel pour l’élaboration d’un parcours de DPC soins palliatifs a été élaboré. Cet outil vise à diffuser une culture palliative. Le développement d’une culture palliative et l’accompagnement des personnes malades et en fin de vie nécessitent de mobiliser l’ensemble des professionnels du secteur sanitaire et médico-social. Sensibiliser et former les professionnels au développement d’une culture de soins palliatifs est essentiel tant pour les patients que pour les soignants. Effectivement, ces derniers sont confrontés à la mort et la maîtrise de leur rôle professionnel ne suffit pas dans cette relation rapprochée avec le mourant. Les équipes soignantes se trouvent parfois démunies ou en difficulté dans le cadre de cette prise en charge spécifique des patients en fin de vie et de leurs familles. Impliquer la personne dans les décisions qui la concernent, soulager la douleur, apaiser la souffrance psychique, soutenir les proches, conduite une réflexion éthique en équipe sont des compétences déterminantes et emblématiques des mesures portées par le plan national soins palliatifs. Cet accompagnement complexe et difficile demande aux professionnels d’acquérir certaines capacités et compétences afin de mieux appréhender et personnaliser ces situations de soins. L’objectif global de la formation est d’apporter des connaissances « socles » aux professionnels afin de développer une culture palliative en équipe pluri professionnelle et d’intégrer une démarche éthique dans la pratique soignante. Le programme « Accompagnement fin de vie – Soins palliatifs » permettra aux professionnels de : ► Connaitre les notions de douleur, souffrance, vécu psychologique de la perte ► Réfléchir au concept de « mort » et à leurs mécanismes de défense ► Connaitre la législation relative aux soins palliatifs ► Développer et partager des attitudes humanistes telles que le respect des valeurs sur lesquelles se fondent les soins palliatifs ► S’orienter vers des prises de décision intégrant la démarche éthique des situations palliatives. ► S’initier à l’approche multidisciplinaire pour répondre aux besoins spécifiques des personnes en fin de vie et de leurs proches.

Infirmier


En présentiel

Plaies et cicatrisation

DPC

La prévention des escarres, le traitement des plaies sont des préoccupations quotidiennes pour l'ensemble des équipes hospitalières et extra-hospitalières. Connaître les différentes plaies, comprendre leurs complications, différencier les pansements et évaluer les risques sont les objectifs essentiels d’une prise en charge adaptée. Lutter contre l’apparition des escarres et optimiser les prises en charge sont des engagements nécessaires à toute structure dans le but de répondre aux recommandations et aux contraintes budgétaires. En effet la prise en charge des plaies implique un coût non négligeable : dispositifs médicaux, soins infirmiers, consultations médicales, spécialisées ou non, hospitalisations, traitements médicamenteux et non médicamenteux, matériel médico-technique spécifique. Par ailleurs, les éléments d’impact sur la qualité de vie sont multiples : appauvrissement de la vie sociale, préjudice esthétique, diminution de l’activité physique, troubles de l’humeur, perturbation de l’image corporelle. Le programme « Plaies et cicatrisation » a pour objectif de permettre aux professionnels de : ► Savoir adapter la prise en charge des plaies à chaque stade de son évolution ► Connaître le principe du pansement humide dans le traitement des plaies ► Se repérer dans le classement des grandes catégories de pansements ► Améliorer la prise en charge des personnes à risque de développer des escarres ► Connaître les facteurs favorisant l’apparition des escarres ► Définir une stratégie pour lutter efficacement contre l’apparition de l’escarre

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

La douleur : comment l'évaluer, la retranscrire, la prévenir quand c'est possible - Quelles spécificités auprès de la personne âgée ?

DPC

La prise en charge de la douleur est une activité de soins que les professionnels réalisent tous les jours. Les usagers sont les acteurs actifs de leur prise en charge. Leur participation est essentielle pour évaluer l’intensité de la douleur et l’efficacité des traitements. Le contexte législatif aujourd’hui impose aux établissements de prendre en charge la dimension douloureuse qu’évoque l’usager, de retracer cette prise en charge de la douleur dans des fiches identifiées, et les recommandations ANESM imposent de mettre en place le projet de soins individualisé de l’usager, et notamment en prenant en compte cet aspect de prise en charge de la douleur. Le programme « La douleur : comment l’évaluer, la retranscrire, la prévenir quand c’est possible - Quelles spécificités auprès de la personne âgée ?.» a pour objectif de permettre aux professionnels de : ► Comprendre les mécanismes de la Douleur pour mieux la repérer. ► Savoir évaluer la douleur. ► Utiliser la grille d’évaluation appropriée à l’usager selon son mode de communication. ► Prendre en compte la souffrance morale des personnes âgées. ► Identifier les douleurs induites par les soins et savoir les prévenir. ► Savoir comment utiliser des thérapies non-médicamenteuses. ► Favoriser la facilité de retranscription de l’évaluation de la douleur durant les transmissions par l’équipe pluridisciplinaire.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Accompagner les personnes atteintes de la Maladie Alzheimer et démences apparentées

DPC

Les maladies neuro-dégénératives (MND) sont aujourd’hui un enjeu majeur de santé publique. Les études convergent pour anticiper une augmentation significative du nombre de personnes concernées en lien avec le vieillissement de la population. L’évolution vers une plus grande dépendance liée à la progression des démences chez le sujet âgé, entraîne des modifications dans sa prise en charge et dans les modalités d’accueil. Au-delà du nombre des personnes malades, les enjeux en matière d’amélioration des parcours de soins de ces personnes sont majeurs et ont été confirmés dans le cadre du Plan National MND et de sa déclinaison en régions par les ARS. Cela exige ainsi une professionnalisation des acteurs en institution mais aussi à domicile. Les professionnels doivent pouvoir adapter leurs pratiques et développer leurs compétences pour répondre aux besoins spécifiques en gérontologie. Le programme « Accompagner les personnes atteintes de la Maladie Alzheimer et démences apparentées » a pour objectif de permettre aux professionnels de prendre en charge de façon spécifique des personnes atteintes de démence d’Alzheimer en vue d’améliorer leur qualité de vie et celle de leurs proches. Au terme du programme, le professionnel doit être capable de : ► Connaître les modes de dépistage, les manifestations des pathologies démentielles de la personne âgée, leurs différents stades d’évolution ► Prendre en charge les troubles du comportement ► Adapter son comportement afin d’optimiser la prise en charge dans les actes de la vie quotidienne et la communication ► Appliquer les techniques de communication et d’animation adaptées à la personne démente ► Travailler en équipe pluridisciplinaire ► Élaborer un projet individualisé en adéquation avec les troubles de la personne démente

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, Infirmier


En présentiel

Développer une culture et des pratiques de Bientraitance

DPC

Axe prioritaire 2020 en matière de développement des compétences des personnels des établissements relevant de la fonction publique hospitalière – Instruction n°DGOS/RH4/DGCS/4B/2019/160 du 8 Juillet 2019. La démarche de bientraitance s’inscrit dans le cadre général de l’évaluation et de l’amélioration de la qualité de vie des personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux ainsi que dans les établissements de santé. Cette démarche intègre le respect des droits des usagers vulnérables, dont l’effectivité constitue un des enjeux du développement de la démocratie sanitaire et médico-sociale. La bientraitance est un critère d’évaluation de la qualité des pratiques au sein des structures. L’amélioration de la qualité des soins et « du prendre soin », de l’accompagnement vers l’autonomie, de la qualité de vie des usagers passe notamment par la culture de la bientraitance dans les services de soins et d’aide pour le bénéfice des usagers « fragiles » et des professionnels. Au-delà du concept de prévention de la maltraitance, la notion de culture de la bientraitance relève d’une conception du « prendre soin » (dans son sens le plus large) qui place l’intérêt et le bien-être de la personne accompagnée au cœur de l’intention et de l’action quotidienne du professionnel. Ce programme a pour objectifs de : ► De soutenir les professionnels qui cherchent à actualiser leurs connaissances et être plus performant face aux attentes des personnes soignées et de leurs familles. ► De sensibiliser les personnels à la culture de la bientraitance dans chacun de leurs services par la connaissance de recommandations communes à tous, et par la réflexion concernant certaines prises en charge. ► D’harmoniser les pratiques professionnelles des professionnels afin d’offrir aux usagers une offre d’accompagnement et de soins qui prennent davantage en compte les aspirations et désirs de la personne. ► D’améliorer le travail d’équipe multidisciplinaire et interdisciplinaire A l’issue du programme, les professionnels seront en capacité : ► D’identifier et de repérer les situations de maltraitance, les dispositifs légaux pour lutter contre la maltraitance ► De mettre en place une politique de Bientraitance dans la relation et l’aide apportée aux actes de la vie quotidienne (lever, toilette/habillage, repas, nuit…), dans la place laissée aux familles. ► De confronter sa pratique professionnelle face aux recommandations ANESM actuelles, et de se questionner de manière continue face aux gestes et à la relation mis en place auprès des usagers. ► De prévenir l’installation d’une situation maltraitante en exerçant sa vigilance au quotidien, en recherchant des solutions adaptées au projet de vie personnalisé de chaque usager.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Prise en charge de la Maladie Alzheimer et démences apparentées à domicile

DPC

Les maladies neuro-dégénératives (MND) sont aujourd’hui un enjeu majeur de santé publique. Les études convergent pour anticiper une augmentation significative du nombre de personnes concernées en lien avec le vieillissement de la population. L’évolution vers une plus grande dépendance liée à la progression des démences chez le sujet âgé, entraîne des modifications dans sa prise en charge et dans les modalités d’accueil. Au-delà du nombre des personnes malades, les enjeux en matière d’amélioration des parcours de soins de ces personnes sont majeurs et ont été confirmés dans le cadre du Plan National MND et de sa déclinaison en régions par les ARS. Cela exige ainsi une professionnalisation des acteurs en institution mais aussi à domicile. Les professionnels doivent pouvoir adapter leurs pratiques et développer leurs compétences pour répondre aux besoins spécifiques en gérontologie. Le programme « Prise en charge de la Maladie d’Alzheimer et démences apparentées à domicile » a pour objectif de permettre aux professionnels de prendre en charge de façon spécifique des personnes atteintes de démence d’Alzheimer en vue d’améliorer leur qualité de vie et celle de leurs proches. Au terme du programme, le professionnel doit être capable de : ► Connaître les modes de dépistage, les manifestations des pathologies démentielles de la personne âgée, leurs différents stades d’évolution ► Prendre en charge les troubles du comportement ► Adapter son comportement afin d’optimiser la prise en charge dans les actes de la vie quotidienne et la communication ► Appliquer les techniques de communication adaptées à la personne démente