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En présentiel

Prise en charge de patients en hémodialyse : les abords vasculaires

DPC

Pour les patients IRCT le traitement par hémodialyse nécessite un abord vasculaire de qualité (voie veineuse artérialisée, voie veineuse centrale). L’indication de mise en dialyse est posée par le néphrologue; le choix de l’abord vasculaire sera décidé en fonction de la qualité du capital veineux du patient par le chirurgien vasculaire; une cartographie précise du capital veineux du patient sera alors effectuée par l’angiologue; la pérennité de cet abord vasculaire nécessite, que l’infirmier, ait une connaissance approfondie de l’anatomie, la physiologie, des complications inhérentes et accompagne le patient en mettant en place des actions éducatives (préservation, surveillance, … de son abord vasculaire). Cette prise en charge pluridisciplinaire du patient en hémodialyse nécessite un travail en étroite collaboration avec chacun des interlocuteurs cités ci-dessus. Cette formation permettra de les rencontrer et d’échanger avec eux. Dans le cadre de cette action de DPC, nous nous centrerons sur des rappels anatomiques, sur les différents types d’abords vasculaires en détaillant pour chacun les indications, le matériel, les rappels techniques de pose, les règles d’hygiène, les complications possibles, l’importance du travail pluri et interdisciplinaire et la participation active du patient (ETP). Le programme a pour objectif de permettre aux professionnels de : Ø Actualiser et approfondir les connaissances relatives aux caractéristiques anatomiques, physiologiques, pathologiques des abords vasculaires Ø Maitriser les différents aspects de la prise en charge des abords vasculaires Ø Rencontrer les différents professionnels spécialisés dans les abords vasculaires Ø Contribuer à améliorer les processus de prise en charge interprofessionnelle Ø Renforcer l’appropriation des bonnes pratiques infirmières en matière de surveillance et de soins des abords vasculaires de patients en hémodialyse. Ø Accroitre l’efficacité des actions infirmières en cas de survenue de complications : prise en charge, transmissions, traçabilité Ø Manipuler des dispositifs médicaux utilisés en hémodialyse Ø D’accompagner le patient dans une démarche éducative

Préparateur en pharmacie, Infirmier


Mixte

Prise en charge des patients en Insuffisance Rénale Chronique Terminale (IRCT) : risque d'erreur médicamenteuse et sécurisation du circuit du médicament

DPC

La réduction des évènements indésirables graves liés à la prise en charge médicamenteuse est un enjeu majeur de santé publique. Dans ce contexte, la Haute Autorité de Santé (HAS) enjoint les établissements de santé à mener des actions de sensibilisation au risque d’erreur médicamenteuse auprès des professionnels de santé. Dans le cadre de cette action DPC, nous nous attacherons particulièrement au déploiement d’une culture déclarative de l’erreur, à l’importance du respect des bonnes pratiques de prescription, dispensation, administration et au développement de connaissances et de compétences auprès des professionnels de santé ciblés, dans l’objectif principal de sécuriser la prise en charge médicamenteuse du patient IRCT. Les objectifs de cette action de formation sont de favoriser l’appropriation de la culture de l’erreur par les professionnels de santé, de sensibiliser au respect des bonnes pratiques afin de garantir le bon usage des médicaments mais aussi de prévenir et limiter les conséquences des erreurs médicamenteuses en renforçant les connaissances des équipes sur les médicaments à risque et les Never Events. Dans le cadre de cette formation, la compréhension du risque médicamenteux dans la prise en charge du patient sera abordée au travers d’exercices et de retours d’expériences ciblés sur la prise en charge du patient IRCT. Suivra ensuite un rappel des bonnes pratiques et du cadre réglementaire, en lien avec une analyse des risques médicamenteux à chaque étape du circuit et du parcours du patient IRCT. Une analyse de scénario sera ensuite traitée de manière interactive avec les participants. Enfin, pour compléter cette formation, un focus sur la prise en charge du patient IRCT sous AntiVitamine K (AVK) (classe médicamenteuse connue comme étant à risque) sera réalisé afin de sécuriser le lien de transition ville-établissement de santé, si sensible pour ces patients ; en effet cette prise en charge nécessite une véritable coordination des soins entre professionnels de santé afin d’éviter toute iatrogénie médicamenteuse. Le programme a pour objectif de permettre aux professionnels de : Ø Développer leurs connaissances relatives au risque médicamenteux Ø Développer une culture de la sécurité : notions de gestion de risque, planification des tâches, respect des bonnes pratiques... Ø Sécuriser les différentes étapes du circuit du médicament : préparation, administration, délivrance… Ø S’approprier une culture de l’erreur et acquérir une culture déclarative de l’erreur Ø Rendre le patient co-acteur de sa prise en charge médicamenteuse (éducation du patient) Ø Développer les compétences spécifiques à la prise en charge de patients sous AntiVitamine K (AVK)

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Accompagnement fin de vie et soins palliatifs

DPC

La loi 2016 créant de nouveaux droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie ainsi que le plan national 2021-2024 « Développement des soins palliatifs et accompagnement de la fin de vie » qui poursuit la dynamique du Plan 2015-2018 prévoit de soutenir la formation de l’ensemble des acteurs pour garantir une prise en charge à la fois pertinente et conforme aux volontés exprimées par les personnes malades. Dans ce cadre un référentiel pour l’élaboration d’un parcours de DPC soins palliatifs a été édité. Cet outil vise à diffuser une culture palliative. Le développement d’une culture palliative et l’accompagnement des personnes malades et en fin de vie nécessitent de mobiliser l’ensemble des professionnels du secteur sanitaire et médico-social. Sensibiliser et former les professionnels au développement d’une culture de soins palliatifs est essentiel tant pour les patients que pour les soignants. Effectivement, ces derniers sont confrontés à la mort et la maîtrise de leur rôle professionnel ne suffit pas dans cette relation rapprochée avec le mourant. Les équipes soignantes se trouvent parfois démunies ou en difficulté dans le cadre de cette prise en charge spécifique des patients en fin de vie et de leurs familles. Impliquer la personne dans les décisions qui la concernent, soulager la douleur, apaiser la souffrance psychique, soutenir les proches, conduite une réflexion éthique en équipe sont des compétences déterminantes et emblématiques des mesures portées par le plan national soins palliatifs. Cet accompagnement complexe et difficile demande aux professionnels d’acquérir certaines capacités et compétences afin de mieux appréhender et personnaliser ces situations de soins. L’objectif global du programme est d’apporter des connaissances « socles » aux professionnels afin de développer une culture palliative en équipe pluri professionnelle et d’intégrer une démarche éthique dans la pratique soignante. Le programme « Accompagnement fin de vie – Soins palliatifs » permettra aux professionnels de : Ø Connaître les éléments de définition autour des notions de Soins Palliatifs et Fin de vie Ø Connaitre la législation relative aux Soins Palliatifs Ø S’initier à l’approche multidisciplinaire pour répondre aux besoins spécifiques des personnes en fin de vie et de leurs proches. Ø Développer et partager des attitudes humanistes telles que le respect des valeurs sur lesquelles se fondent les Soins Palliatifs Ø S’orienter vers des prises de décision intégrant la démarche éthique des situations palliatives. Ø Connaitre les notions de douleur, souffrance, vécu psychologique de la perte Ø Réfléchir au concept de « mort » et à leurs mécanismes de défense

Masseur-Kinésithérapeute, Orthophoniste, Pédicure-Podologue, + 2 autres


En présentiel

Développer ses compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient – Praticien ETP - 42 heures

DPC

L’Éducation thérapeutique du patient concerne prioritairement, mais non exclusivement aujourd’hui, les maladies chroniques et associe les professionnels de santé exerçant en établissements de santé et en secteur ambulatoire autant que les patients et leur environnement familial, social et culturel. La formation « Développer ses compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient – Praticien ETP » s’attachera donc à accompagner les acteurs de santé dans l’acquisition, le développement, le renforcement, la mobilisation de leurs savoirs et compétences, afin de dispenser l’ETP et contribuer à la conception, la mise en œuvre et l’évaluation de programmes d’ETP adapté au contexte de vie des patients. La formation « Développer ses compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient – Praticien ETP - 42 heures » a ainsi pour finalité de former à l’éducation thérapeutique du patient les acteurs de santé impliqués dans des programmes d’ETP, ou ayant un tel projet, en leur permettant d’acquérir, renforcer et/ou mobiliser leurs compétences techniques, relationnelles, pédagogiques et organisationnelles. La formation valorisera et priorisera la mixité professionnelle des participants. Le programme « Développer ses compétences pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient – Praticien ETP - 42 heures » a pour objectif de permettre aux professionnels de : Ø S’impliquer dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation d’un programme d’éducation thérapeutique Ø Appliquer la méthodologie spécifique à l’ETP Ø Développer une culture commune de l’ETP et des compétences collectives en ETP pour une démarche partagée et coordonnée Et pour objectifs spécifiques : Ø S’approprier les concepts fondamentaux de l’ETP Ø Développer les attitudes appropriées (posture éducative) dans la relation avec le patient et/ou son entourage Ø Réaliser des entretiens individuels qui prennent en compte la singularité du patient. Ø Animer des activités d’éducation (individuelle et/ou de groupe) qui facilitent les apprentissages du patient Ø Participer à l’évaluation de l’ETP Ø Assurer une continuité de l’éducation du patient tout au long de son parcours de soin Ø Développer les attitudes appropriées (posture professionnelle) dans la relation avec les acteurs de santé

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, + 3 autres


En présentiel

Développer une culture et des pratiques de bientraitance

DPC

La démarche de bientraitance s’inscrit dans le cadre général de l’évaluation et de l’amélioration de la qualité de vie des personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux ainsi que dans les établissements de santé. Cette démarche intègre le respect des droits des usagers vulnérables, dont l’effectivité constitue un des enjeux du développement de la démocratie sanitaire et médico-sociale. La bientraitance est un critère d’évaluation de la qualité des pratiques au sein des structures. L’amélioration de la qualité des soins et « du prendre soin », de l’accompagnement vers l’autonomie, de la qualité de vie des usagers passe notamment par la culture de la bientraitance dans les services de soins et d’aide pour le bénéfice des  usagers « fragiles » et des professionnels. Au-delà du concept de prévention de la maltraitance, la notion de culture de la bientraitance relève d’une conception du « prendre  soin » (dans son sens le plus large) qui place l’intérêt et le bien-être de la personne accompagnée au cœur de l’intention et de l’action quotidienne du professionnel. Ce programme a pour objectifs de : Ø De soutenir les professionnels qui cherchent à actualiser leurs connaissances et être plus performant face aux attentes des personnes prises en charge et de leurs familles. Ø De sensibiliser les personnels à la culture de la bientraitance par la connaissance de recommandations communes à tous, et par la réflexion concernant certaines prises en charge. Ø D ’ harmoniser les pratiques professionnelles des professionnels afin d ’ offrir aux usagers une offre d ’ accompagnement et de soins qui prennent davantage en compte les aspirations et désirs de la personne. Ø D ’ am é liorer le travail d ’é quipe multidisciplinaire et interdisciplinaire A l’issue du programme, les professionnels seront en capacité : Ø D ’ identifier et de rep é rer les situations de maltraitance, les dispositifs l é gaux pour lutter contre la maltraitance Ø De mettre en place une politique de Bientraitance dans la relation et l ’ aide apport é e aux actes de la vie quotidienne, dans la place laissée aux familles. Ø De confronter sa pratique professionnelle face aux recommandations actuelles, et de se questionner de mani è re continue face aux gestes et à la relation mis en place aupr è s des usagers. Ø De pr é venir l ’ installation d ’ une situation maltraitante en exer ç ant sa vigilance au quotidien, en recherchant des solutions adapt é es au projet de vie personnalis é de chaque usager.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

La douleur : comment l'évaluer, la retranscrire, la prévenir quand c'est possible - Quelles spécificités auprès de la personne âgée ?

DPC

La prise en charge de la douleur est une activité de soins que les professionnels réalisent tous les jours. Les usagers sont les acteurs actifs de leur prise en charge. Leur participation est essentielle pour évaluer l’intensité de la douleur et l’efficacité des traitements. Le contexte législatif aujourd’hui impose aux établissements de prendre en charge la dimension douloureuse qu’évoque l’usager, de retracer cette prise en charge de la douleur dans des fiches identifiées, et les recommandations ANESM imposent de mettre en place le projet de soins individualisé de l’usager, et notamment en prenant en compte cet aspect de prise en charge de la douleur. Le programme « La douleur : comment l’évaluer, la retranscrire, la prévenir quand c’est possible - Quelles spécificités auprès de la personne âgée ?.» a pour objectif de permettre aux professionnels de : ► Comprendre les mécanismes de la Douleur pour mieux la repérer. ► Savoir évaluer la douleur. ► Utiliser la grille d’évaluation appropriée à l’usager selon son mode de communication. ► Prendre en compte la souffrance morale des personnes âgées. ► Identifier les douleurs induites par les soins et savoir les prévenir. ► Savoir comment utiliser des thérapies non-médicamenteuses. ► Favoriser la facilité de retranscription de l’évaluation de la douleur durant les transmissions par l’équipe pluridisciplinaire.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Développer une culture et des pratiques de Bientraitance à domicile

DPC

« La démarche de bientraitance s’inscrit dans le cadre général de l’évaluation et de l’amélioration de la qualité de vie des personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux ainsi que dans les établissements de santé. Cette démarche intègre le respect des droits des usagers vulnérables, dont l’effectivité constitue un des enjeux du développement de la démocratie sanitaire et médico-sociale. La bientraitance est un critère d’évaluation de la qualité des pratiques au sein des structures. » L’amélioration de la qualité des soins et « du prendre soin », de l’accompagnement vers l’autonomie, de la qualité de vie des usagers passe notamment par la culture de la bientraitance dans les services de soins et d’aide pour le bénéfice des usagers « fragiles » et des professionnels. Au-delà du concept de prévention de la maltraitance, la notion de culture de la bientraitance relève d’une conception du « prendre soin » (dans son sens le plus large) qui place l’intérêt et le bien-être de la personne accompagnée au cœur de l’intention et de l’action quotidienne du professionnel. Ce programme a pour objectifs de : ► De soutenir les professionnels qui cherchent à actualiser leurs connaissances et être plus performant face aux attentes des personnes soignées et de leurs familles. ► De sensibiliser les personnels à la culture de la bientraitance par la connaissance de recommandations communes à tous, et par la réflexion concernant certaines prises en charge. ► D’harmoniser les pratiques professionnelles des professionnels afin d’offrir aux usagers une offre d’accompagnement et de soins qui prennent davantage en compte les aspirations et désirs de la personne. ► D’améliorer le travail d’équipe multidisciplinaire et interdisciplinaire A l’issue du programme, les professionnels seront en capacité : ► D’identifier et de repérer les situations de maltraitance, les dispositifs légaux pour lutter contre la maltraitance ► De mettre en place une politique de Bientraitance dans la relation et l’aide apportée aux actes de la vie quotidienne (lever, toilette/habillage, repas, nuit…), dans la place laissée aux familles. ► De confronter sa pratique professionnelle face aux recommandations ANESM actuelles, et de se questionner de manière continue face aux gestes et à la relation mis en place auprès des usagers. ► De prévenir l’installation d’une situation maltraitante en exerçant sa vigilance au quotidien, en recherchant des solutions adaptées au projet de soins personnalisé de chaque usager.

Aide-soignant, Diététicien, Ergothérapeute, Infirmier


En présentiel

Développer une culture et des pratiques de Bientraitance

DPC

Axe prioritaire 2020 en matière de développement des compétences des personnels des établissements relevant de la fonction publique hospitalière – Instruction n°DGOS/RH4/DGCS/4B/2019/160 du 8 Juillet 2019. La démarche de bientraitance s’inscrit dans le cadre général de l’évaluation et de l’amélioration de la qualité de vie des personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux ainsi que dans les établissements de santé. Cette démarche intègre le respect des droits des usagers vulnérables, dont l’effectivité constitue un des enjeux du développement de la démocratie sanitaire et médico-sociale. La bientraitance est un critère d’évaluation de la qualité des pratiques au sein des structures. L’amélioration de la qualité des soins et « du prendre soin », de l’accompagnement vers l’autonomie, de la qualité de vie des usagers passe notamment par la culture de la bientraitance dans les services de soins et d’aide pour le bénéfice des usagers « fragiles » et des professionnels. Au-delà du concept de prévention de la maltraitance, la notion de culture de la bientraitance relève d’une conception du « prendre soin » (dans son sens le plus large) qui place l’intérêt et le bien-être de la personne accompagnée au cœur de l’intention et de l’action quotidienne du professionnel. Ce programme a pour objectifs de : ► De soutenir les professionnels qui cherchent à actualiser leurs connaissances et être plus performant face aux attentes des personnes soignées et de leurs familles. ► De sensibiliser les personnels à la culture de la bientraitance dans chacun de leurs services par la connaissance de recommandations communes à tous, et par la réflexion concernant certaines prises en charge. ► D’harmoniser les pratiques professionnelles des professionnels afin d’offrir aux usagers une offre d’accompagnement et de soins qui prennent davantage en compte les aspirations et désirs de la personne. ► D’améliorer le travail d’équipe multidisciplinaire et interdisciplinaire A l’issue du programme, les professionnels seront en capacité : ► D’identifier et de repérer les situations de maltraitance, les dispositifs légaux pour lutter contre la maltraitance ► De mettre en place une politique de Bientraitance dans la relation et l’aide apportée aux actes de la vie quotidienne (lever, toilette/habillage, repas, nuit…), dans la place laissée aux familles. ► De confronter sa pratique professionnelle face aux recommandations ANESM actuelles, et de se questionner de manière continue face aux gestes et à la relation mis en place auprès des usagers. ► De prévenir l’installation d’une situation maltraitante en exerçant sa vigilance au quotidien, en recherchant des solutions adaptées au projet de vie personnalisé de chaque usager.

Infirmier


En présentiel

Mieux gérer les situations de violence au sein des établissements de santé et des structures médico-sociales

DPC

Dans son rapport 2019, l’Observatoire National des Violences en milieu de Santé (ONVS) répertorie 23 360 signalements d’atteintes aux personnes et aux biens effectués par 426 établissements sanitaires pour l’année 2018. Les principales personnes exposées sont les soignants et plus généralement toute personne au contact d’un public fragilisé (agents de sécurité, personnel administratif). Depuis 2000, le Ministère de la Santé, via l’édition de la circulaire sur le thème de la prévention et de l’accompagnement des situations de violence dans les établissements de santé, préconise la formation du personnel travaillant dans ces établissements. Dans son guide méthodologique relatif à la prévention des atteintes aux personnes et aux biens en milieu de santé d’Avril 2017, l’ONVS souhaite aider tous les personnels qui travaillent en milieu de santé à s’approprier pleinement cette thématique. Parmi les 6 actions concrètes préconisées, la formation régulière des salariés est nécessaire afin de maîtriser les procédures de gestion des risques auxquels ils sont confrontés, mais aussi gérer les situations conflictuelles et désamorcer la violence des usagers. Le programme « Mieux gérer les situations de violence au sein des établissements de santé et des structures médico-sociales » a pour objectif de permettre aux stagiaires de : ► Mieux comprendre l’agressivité ► Prévenir et gérer au mieux les situations de violences ► Maîtriser les procédures d’alerte ► Identifier et appliquer le mode d’intervention le plus approprié ► Connaître les risques juridiques et sociaux.

Aide-soignant, Infirmier


En présentiel

Accompagnement fin de vie et soins palliatifs

DPC

La loi 2016 créant de nouveaux droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie ainsi que le plan national de soins palliatifs et de fin de vie 2015-2018 qui vise à « Améliorer la fin de vie en France » prévoient de mobiliser les professionnels du système de santé notamment par leur formation. Dans ce cadre un référentiel pour l’élaboration d’un parcours de DPC soins palliatifs a été élaboré. Cet outil vise à diffuser une culture palliative. Le développement d’une culture palliative et l’accompagnement des personnes malades et en fin de vie nécessitent de mobiliser l’ensemble des professionnels du secteur sanitaire et médico-social. Sensibiliser et former les professionnels au développement d’une culture de soins palliatifs est essentiel tant pour les patients que pour les soignants. Effectivement, ces derniers sont confrontés à la mort et la maîtrise de leur rôle professionnel ne suffit pas dans cette relation rapprochée avec le mourant. Les équipes soignantes se trouvent parfois démunies ou en difficulté dans le cadre de cette prise en charge spécifique des patients en fin de vie et de leurs familles. Impliquer la personne dans les décisions qui la concernent, soulager la douleur, apaiser la souffrance psychique, soutenir les proches, conduite une réflexion éthique en équipe sont des compétences déterminantes et emblématiques des mesures portées par le plan national soins palliatifs. Cet accompagnement complexe et difficile demande aux professionnels d’acquérir certaines capacités et compétences afin de mieux appréhender et personnaliser ces situations de soins. L’objectif global de la formation est d’apporter des connaissances « socles » aux professionnels afin de développer une culture palliative en équipe pluri professionnelle et d’intégrer une démarche éthique dans la pratique soignante. Le programme « Accompagnement fin de vie – Soins palliatifs » permettra aux professionnels de : ► Connaitre les notions de douleur, souffrance, vécu psychologique de la perte ► Réfléchir au concept de « mort » et à leurs mécanismes de défense ► Connaitre la législation relative aux soins palliatifs ► Développer et partager des attitudes humanistes telles que le respect des valeurs sur lesquelles se fondent les soins palliatifs ► S’orienter vers des prises de décision intégrant la démarche éthique des situations palliatives. ► S’initier à l’approche multidisciplinaire pour répondre aux besoins spécifiques des personnes en fin de vie et de leurs proches.