Logo App'Ines

16 formations DPC SFPT disponibles

Recherches populaires

HypnosePathologies neuro-musculosquelettiquesDouleursSport

Affiner votre recherche

Financement

Organisme de formation

Format

-


En présentiel

Douleurs chroniques : quelle place pour les opioïdes, pour qui, pour quoi, quand et comment ?

DPC

Près de 30% des français souffrent de douleur chronique, dont deux tiers d'intensité modérée à sévère nécessitant une prise en charge médicale. Dans ce contexte et dans le cadre de la politique d’amélioration de la prise en charge de la douleur, l'usage des analgésiques opioïdes a fortement augmenté, avec une banalisation de ces médicaments et des usages ne respectant pas les bonnes pratiques, alors que les opioïdes devraient représenter l'exception notamment dans les douleurs chroniques. Les conséquences associées à ces usages ont elles-aussi augmenté : demande croissante de soins pour conduites addictives, majoration des hospitalisations (+167 % de 2000 à 2017) et des décès (+146 %, de 2000 à 2015), sans cependant atteindre l'ampleur outre-Atlantique de la crise des opioïdes. L'objectif de l'atelier est d'optimiser la prise en charge médicamenteuse, dont la prescription juste des opioïdes à partir d'une situation clinique fréquente de dorsolombalgie chronique de l'adulte conduisant au développement d'un trouble de l'usage des opioïdes et à la nécessité d'une substitution opioïde. Elle permettra d'aborder les mécanismes et facteurs psychosociaux associés dont ceux favorisant les risques de mésusage, d'addiction et de surdose (savoir prévenir et repérer à l'aide d'outils, savoir prendre en charge) afin de proposer les approches pharmacologiques et non pharmacologiques les plus adaptées, de manière graduée dans une perspective de parcours de soins selon les ressources territoriales. Au travers de cette situation clinique concrète, l'atelier vise à rendre les participants acteurs de leur formation, afin d'améliorer leurs connaissances et leurs pratiques, en s'appuyant notamment sur les recommandations HAS de 2022 Bon usage des médicaments opioïdes : antalgie, prévention et prise en charge du trouble de l’usage et des surdoses, en abordant les bases théoriques physiopathologiques et pharmacologiques nécessaires

-


En présentiel

Bon usage des médicaments : comment réduire la iatrogénie due aux interactions médicamenteuses ?

DPC

Pour anticiper et contrôler les risques dus aux interactions médicamenteuses, il faut des connaissances pharmacologiques diverses, notamment en pharmacocinétique, métabolisme, pharmacovigilance. Ces disciplines sont abordées dans diverses matières au cours des cursus médicaux et pharmaceutiques, mais sans qu’il existe un enseignement dédié aux interactions médicamenteuses, qui soit articulé et structuré. Cet atelier propose une approche globale des interactions médicamenteuses autour de deux axes, avant et après la mise sur le marché. Le but est d’utiliser sans crainte, et à bon escient, des traitements efficaces, mais souvent délaissés en raison d’interactions médicamenteuses. Le Paxlovid, traitement efficace dans le Covid, a été délaissé en raison d’un profil interactif en apparence complexe, et redouté des prescripteurs. 1/ Les méthodes d’investigation récentes, requises pour déterminer le profil interactif d’un médicament, sont résumées dans la rubrique ad hoc de l’AMM, qui reste souvent incomprise car complexe. L’atelier propose de clarifier le pré-AMM pour acquérir aisance et pragmatisme avec les nouveaux médicaments. 2/ Face à un événement clinique imprévu ou inexpliqué, il faut aussi pouvoir évoquer et expliquer l’éventualité d’une interaction dès que le patient reçoit plus d’un médicament. L’atelier propose de dispenser, rappeler, clarifier les bases nécessaires pour envisager ce lien de causalité. Que l’on soit en pré- ou en post-AMM, évaluer une interaction médicamenteuse, c’est aussi bien identifier une interaction, connue ou non, sur un faisceau d’éléments convergents, que ne pas alerter sur une interaction suspectée, mais insuffisamment convaincante. Des mises en garde non justifiées peuvent en effet priver les patients d'une association efficace, d’où une perte de chance.

Gynécologue, Médecin Généraliste, Pédiatre, Pharmacien


En présentiel

Bon usage des médicaments : comment prendre en compte les risques foetotoxiques des médicaments ?

DPC

Le bon usage des médicaments implique une juste utilisation de ceux-ci, en particulier chez la femme enceinte ou ayant un projet de grossesse, chez laquelle la prise en compte des conséquences éventuelles pour l’enfant à naître est indispensable. En cas de traitement pendant la grossesse, le risque de malformation pour l’enfant à naître est le plus redouté des professionnels et des patientes, alors qu’il demeure exceptionnel. Le risque de foetotoxicité, c’est-à-dire les effets sur la croissance fœtale, la maturation histologique ou la fonction des organes en place et les conséquences fœtales fonctionnelles (par ex : insuffisance rénale et IEC, canal artériel et AINS, troubles du neuro-développement et acide valproïque…) est moins connu, alors qu’il est relativement élevé pour certains médicaments et potentiellement source de mort fœtale ou de séquelle. Par ailleurs, comme en témoignent les études récentes sur les troubles du neuro-développement avec certains anti-épileptiques, les connaissances scientifiques évoluent très rapidement dans le domaine des risques inhérents aux médicaments pris pendant la grossesse, ce qui nécessite une mise à jour régulière des connaissances. Afin d'améliorer les pratiques des participants dans les conseils relatifs au bon usage des médicaments pendant la grossesse et chez la femme en âge de procréer, l es objectifs sont de les sensibiliser à la problématique spécifique du risque foetotoxique de certains médicaments, pour qu’ils : 1/ prennent en compte les types d’atteintes possibles en lien avec la foetotoxicité des médicaments (effets sur la croissance fœtale, la maturation histologique ou la fonction des organes en place et les conséquences fœtales fonctionnelles) que ces derniers soient débutés ou poursuivis au 2ème et/ou 3ème trimestre de la grossesse donc après la période à risque de malformation 2/ reconnaissent les médicaments et classes de médicaments pour lesquels un effet foetotxique est possible ou attendu, et est relativement fréquent 3/ soient capables d’anticiper ces risques en prenant en compte le risque de grossesse non planifiée en cas de traitement chronique foetotoxique chez la femme en âge de procréer (ex : IEC ou ARA II pour une HTA)

Gériatre, Médecin Généraliste, Médecin interne, + 6 autres


En présentiel

Bon usage des médicaments : comment bien réaliser une déprescription ?

DPC

Le bon usage des médicaments implique une juste utilisation de ceux-ci, c’est-à-dire savoir les introduire mais aussi savoir les interrompre au bon moment chez le bon patient de façon sécuritaire. Depuis quelques années, un mouvement international sur la déprescription médicamenteuse, promeut cette démarche de qualité des soins (1-5). La France accuse un certain retard dans ce domaine et une formation sur le processus de déprescription est devenu indispensable. La déprescription est un processus de planification visant à réduire ou à arrêter les médicaments chroniques qui n’ont plus d’effets bénéfiques ou qui peuvent être nuisibles (6). Le but est de réduire la polymédication, lutter contre la iatrogénie et améliorer la qualité de vie. L’implication des patients et des professionnels de la santé, incluant les médecins et les pharmaciens, est nécessaire à la gestion des médicaments, tout particulièrement chez les personnes âgées. Le processus de déprescription passe par une détection des médicaments inappropriés chez un patient polymédiqué, un dialogue avec le patient, son entourage et les professionnels de santé pour s’assurer de l’adhésion et de la coordination du plan d’action proposé et d’en surveiller les effets (7). Comprendre le processus planifié de la déprescription permet d’assurer le succès de cette démarche d’amélioration des soins. Les objectifs de cette formation, à la lumière d’intervenants nationaux et internationaux spécialistes de la question, sont : - - De comprendre les principes et enjeux fondamentaux pour engager un processus de déprescription médicamenteuse, en particulier chez les patients âgés polymédiqués. - - D’être capable d’intégrer ce processus dans sa pratique médicale courante. Références 1- Réseau canadien pour l’usage approprié des médicaments et la déprescription (CaDeN) (https://www.reseaudeprescription.ca/ 2- Australian Deprescribing Network (ADeN) https://www.australiandeprescribingnetwork.com.au/ 3- U.S. Deprescribing Research Network (UsDeN) https://deprescribingresearch.org/ 4- Network of European Researchers in Deprescribing (NERD) https://deprescribing.eu/ 5- Deprescribing.org https://deprescribing.org/ 6- Reeve, E. , Gnjidic, D. , Long, J. , and Hilmer, S. (2015) A systematic review of the emerging definition of ‘deprescribing’ with network analysis: implications for future research and clinical practice.. Br J Clin Pharmacol, 80: 1254–1268 7- Scott IA, Hilmer SN, Reeve E, et al. Reducing Inappropriate Polypharmacy: The Process of Deprescribing. JAMA Intern Med. 2015;175(5):827–834

Endocrinologue, Gériatre, Hématologue, + 8 autres


En présentiel

Chambre des erreurs : améliorer la qualité et la sécurité des soins et du patient par la mise en situation

DPC

Tous les professionnels de santé prescripteurs sont confrontés à la problématique de la juste prise en charge du patient, tant au niveau de la qualité que de la sécurité des soins, mais également en termes de bientraitance, prises de décisions et accompagnement de cette prise de décision…. Cet atelier propose une mise en situation autour d’un « patient » pris en charge à l’hôpital, qui permet d’aborder ces différents points et met le prescripteur en situation « réelle » de prise en charge du patient. Les objectifs de l’atelier (améliorer la prise en charge des patients en prévenant/analysant les erreurs) se définissent à partir d’erreurs ou de situation à risque d’erreurs proposées dans la chambre de simulation : - concernant le patient : antécédents, motif d’hospitalisation, symptômes observés (aigus et chroniques), - concernant ses prescriptions : traitement à domicile, traitement à l’hôpital (indications, posologies, durées de traitement), - concernant son bien-être et son confort, - concernant des préoccupations d’hygiène et des questions réglementaires. Chacun de ces éléments doit être analysé et amener à une réflexion / amélioration/ correction / décision de la part du praticien, seul ou en équipe (pour dans ce cas discuter de la gestion du risque).

Gériatre, Médecin du travail, Médecin Généraliste, + 6 autres


En présentiel

Bon usage des psychotropes : comment optimiser la prescription

DPC

Certains troubles mentaux figurent parmi les situations médicales les plus rencontrées en médecine, notamment en premier recours. Les enjeux de la prescription des médicaments psychotropes sont multiples, tant sur le plan du profil de risque que sur l’efficacité. En effet, les médicaments psychotropes ont en commun (i) d’avoir une action centrale et périphérique (ii) d’avoir des propriétés pharmacodynamiques multiples en se fixant sur plusieurs cibles. Or les médicaments psychotropes et les critères diagnostiques des pathologies ont évolué au cours des dernières années et de nouveaux médicaments doivent être intégrés dans l’arsenal thérapeutique, et de nouveaux risques, notamment de mésusage, sont identifiés. Les objectifs de cette formation, à la lumière des recommandations récentes, sont : - D’optimiser la prescription des psychotropes en intégrant les médicaments les plus récents et donner les principaux outils orientant l’avis psychopharmacologique concernant le choix d’un médicament et ses alternatives en particulier en fonction du profil de risque. - D’envisager la déprescription de médicaments, notamment dans le cadre de mésusage et/ou de pharmacodépendance

Endocrinologue, Gériatre, Hématologue, + 8 autres


En présentiel

Chambre des erreurs : améliorer la qualité et la sécurité des soins et du patient par la mise en situation

DPC

Tous les professionnels de santé prescripteurs sont confrontés à la problématique de la juste prise en charge du patient, tant au niveau de la qualité que de la sécurité des soins, mais également en termes de bientraitance, prises de décisions et accompagnement de cette prise de décision…. Cet atelier propose une mise en situation autour d’un « patient » pris en charge à l’hôpital, qui permet d’aborder ces différents points et met le prescripteur en situation « réelle » de prise en charge du patient. Les objectifs de l’atelier (améliorer la prise en charge des patients en prévenant/analysant les erreurs) se définissent à partir d’erreurs ou de situation à risque d’erreurs proposées dans la chambre de simulation : - concernant le patient : antécédents, motif d’hospitalisation, symptômes observés (aigus et chroniques), - concernant ses prescriptions : traitement à domicile, traitement à l’hôpital (indications, posologies, durées de traitement), - concernant son bien-être et son confort, - concernant des préoccupations d’hygiène et des questions réglementaires. Chacun de ces éléments doit être analysé et amener à une réflexion / amélioration/ correction / décision de la part du praticien, seul ou en équipe (pour dans ce cas discuter de la gestion du risque).

Gériatre, Médecin du travail, Médecin Généraliste, + 6 autres


En présentiel

Bon usage des psychotropes : comment optimiser la prescription

DPC

Certains troubles mentaux figurent parmi les situations médicales les plus rencontrées en médecine, notamment en premier recours. Les enjeux de la prescription des médicaments psychotropes sont multiples, tant sur le plan du profil de risque que sur l’efficacité. En effet, les médicaments psychotropes ont en commun (i) d’avoir une action centrale et périphérique (ii) d’avoir des propriétés pharmacodynamiques multiples en se fixant sur plusieurs cibles. Or les médicaments psychotropes et les critères diagnostiques des pathologies ont évolué au cours des dernières années et de nouveaux médicaments doivent être intégrés dans l’arsenal thérapeutique, et de nouveaux risques, notamment de mésusage, sont identifiés. Les objectifs de cette formation, à la lumière des recommandations récentes, sont : - D’optimiser la prescription des psychotropes en intégrant les médicaments les plus récents et donner les principaux outils orientant l’avis psychopharmacologique concernant le choix d’un médicament et ses alternatives en particulier en fonction du profil de risque. - D’envisager la déprescription de médicaments, notamment dans le cadre de mésusage et/ou de pharmacodépendance

Endocrinologue, Gériatre, Hématologue, + 8 autres


En présentiel

Chambre des erreurs : améliorer la qualité et la sécurité des soins et du patient par la mise en situation

DPC

Tous les professionnels de santé prescripteurs sont confrontés à la problématique de la juste prise en charge du patient, tant au niveau de la qualité que de la sécurité des soins, mais également en termes de bientraitance, prises de décisions et accompagnement de cette prise de décision…. Cet atelier propose une mise en situation autour d’un « patient » pris en charge à l’hôpital, qui permet d’aborder ces différents points et met le prescripteur en situation « réelle » de prise en charge du patient. Les objectifs de l’atelier (améliorer la prise en charge des patients en prévenant/analysant les erreurs) se définissent à partir d’erreurs ou de situation à risque d’erreurs proposées dans la chambre de simulation : - concernant le patient : antécédents, motif d’hospitalisation, symptômes observés (aigus et chroniques), - concernant ses prescriptions : traitement à domicile, traitement à l’hôpital (indications, posologies, durées de traitement), - concernant son bien-être et son confort, - concernant des préoccupations d’hygiène et des questions réglementaires. Chacun de ces éléments doit être analysé et amener à une réflexion / amélioration/ correction / décision de la part du praticien, seul ou en équipe (pour dans ce cas discuter de la gestion du risque).

Gériatre, Médecin du travail, Médecin Généraliste, + 6 autres


En présentiel

Bon usage des psychotropes : comment optimiser la prescription

DPC

Certains troubles mentaux figurent parmi les situations médicales les plus rencontrées en médecine, notamment en premier recours. Les enjeux de la prescription des médicaments psychotropes sont multiples, tant sur le plan du profil de risque que sur l’efficacité. En effet, les médicaments psychotropes ont en commun (i) d’avoir une action centrale et périphérique (ii) d’avoir des propriétés pharmacodynamiques multiples en se fixant sur plusieurs cibles. Or les médicaments psychotropes et les critères diagnostiques des pathologies ont évolué au cours des dernières années et de nouveaux médicaments doivent être intégrés dans l’arsenal thérapeutique, et de nouveaux risques, notamment de mésusage, sont identifiés. Les objectifs de cette formation, à la lumière des recommandations récentes, sont : - D’optimiser la prescription des psychotropes en intégrant les médicaments les plus récents et donner les principaux outils orientant l’avis psychopharmacologique concernant le choix d’un médicament et ses alternatives en particulier en fonction du profil de risque. - D’envisager la déprescription de médicaments, notamment dans le cadre de mésusage et/ou de pharmacodépendance