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Prise en charge diagnostique et thérapeutique du syndrome d'apnée du sommeil

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : Le syndrome d’apnées du sommeil (également appelé syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil ou SAHOS) se manifeste par des interruptions répétées et incontrôlées du rythme respiratoire au cours du sommeil. Il représente un facteur de risque de maladie cardiovasculaire, de syndrome métabolique et de diabète, et peut être à l’origine d’une part importante des accidents de la route et de troubles psychiques variés. Son approche diagnostique implique l’évaluation de la probabilité clinique et la prise en compte des facteurs de comorbidité. La présence d’un risque personnel et social lié à la maladie définit l’urgence de l’évaluation. La polysomnographie complète en laboratoire, de réalisation complexe, demeure l’examen diagnostique de choix pour confirmer la maladie et en définir la gravité. Toutefois, la polygraphie ventilatoire, de réalisation plus simple, peut dans certains cas permettre de réduire les délais diagnostiques et d’amorcer le traitement plus rapidement chez une bonne proportion des patients. Enfin, le choix du dispositif médical, pression positive continue (PPC), orthèse d’avancée mandibulaire (OAM) ou encore traitement chirurgical, dépend de la sévérité des symptômes. Cette action de formation permettra aux participants de mettre en place la stratégie diagnostique et thérapeutique devant une suspicion de syndrome d’apnée du sommeil, et d’expliquer aux patients les méthodes de prise en charge. b. Objectifs généraux : · Mettre en place la stratégie diagnostique devant une suspicion de Syndrome d’Apnée du Sommeil · Expliquer aux patients les méthodes de prise en charge c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Maitriser les données actuelles de la science incluant le SAS comme facteur de risque cardio-neuro-respiratoire 2. Définir une stratégie diagnostique adaptée aux différents phénotypes cliniques du Syndrome d’Apnée du Sommeil et aux autres étiologies de somnolence diurne excessive 3. Citer les principaux résultats notifiés sur les enregistrements de polygraphie ventilatoire et de polysomnographie afin d’appréhender la sévérité du SAS et la nécessité d’une prise en charge thérapeutique 4. Identifier les différentes possibilités thérapeutiques à expliquer au patient dans le cadre d’un SAS, en tenant compte de la sévérité

Neurologue, ORL, Pneumologue, Cardiologue


Mixte

Classe Virtuelle – Prise en charge diagnostique et thérapeutique du syndrome d'apnée du sommeil

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : Le syndrome d’apnées du sommeil (également appelé syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil ou SAHOS) se manifeste par des interruptions répétées et incontrôlées du rythme respiratoire au cours du sommeil. Il représente un facteur de risque de maladie cardiovasculaire, de syndrome métabolique et de diabète, et peut être à l’origine d’une part importante des accidents de la route et de troubles psychiques variés. Son approche diagnostique implique l’évaluation de la probabilité clinique et la prise en compte des facteurs de comorbidité. La présence d’un risque personnel et social lié à la maladie définit l’urgence de l’évaluation. La polysomnographie complète en laboratoire, de réalisation complexe, demeure l’examen diagnostique de choix pour confirmer la maladie et en définir la gravité. Toutefois, la polygraphie ventilatoire, de réalisation plus simple, peut dans certains cas permettre de réduire les délais diagnostiques et d’amorcer le traitement plus rapidement chez une bonne proportion des patients. Enfin, le choix du dispositif médical, pression positive continue (PPC), orthèse d’avancée mandibulaire (OAM) ou encore traitement chirurgical, dépend de la sévérité des symptômes. Cette action de formation permettra aux participants de mettre en place la stratégie diagnostique et thérapeutique devant une suspicion de syndrome d’apnée du sommeil, et d’expliquer aux patients les méthodes de prise en charge. b. Objectifs généraux : · Mettre en place la stratégie diagnostique devant une suspicion de Syndrome d’Apnée du Sommeil · Expliquer aux patients les méthodes de prise en charge c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Maitriser les données actuelles de la science incluant le SAS comme facteur de risque cardio-neuro-respiratoire 2. Définir une stratégie diagnostique adaptée aux différents phénotypes cliniques du Syndrome d’Apnée du Sommeil et aux autres étiologies de somnolence diurne excessive 3. Citer les principaux résultats notifiés sur les enregistrements de polygraphie ventilatoire et de polysomnographie afin d’appréhender la sévérité du SAS et la nécessité d’une prise en charge thérapeutique 4. Identifier les différentes possibilités thérapeutiques à expliquer au patient dans le cadre d’un SAS, en tenant compte de la sévérité

Gynécologue, Hématologue, Médecin Généraliste, + 13 autres


En présentiel

Impacts sanitaires de la pollution de l’air extérieur sur les populations : conséquences respiratoires et extrarespiratoires

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) : La pollution de l’air extérieur est un phénomène complexe et en constante évolution. Dans l’air, divers éléments chimiques, biologiques et physiques peuvent être délétères pour la santé humaine. Selon l’OMS, 92% des humains respirent un air malsain et la pollution de l’air extérieur est responsable chaque année de 4 à 8 millions de décès prématurés. Lors des pics de pollution, l’exposition aigüe peut se manifester par des irritations oculaires ou des voies respiratoires, des crises d’asthme, une exacerbation de troubles cardio-vasculaires et respiratoires pouvant conduire à une hospitalisation. A long-terme, les polluants de l’air favoriseraient l’accroissement d’événements de santé, induisant une surmortalité et une baisse de l’espérance de vie, avec le développement de maladies chroniques telles que : cancers, pathologies cardiovasculaires, troubles neurologiques, troubles du développement, etc. Ainsi, la pollution de l’air extérieur est un problème de santé publique majeur aux facettes multiples. Les pathologies respiratoires et extra-respiratoires pouvant être liées à la pollution de l’air exterieur, selon les données actuelles de la sciences, doivent être connues par les médecins afin qu’il évoque la possibilité d’un lien dans une situation clinique évocatrice. Des mesures de prévention doivent être prises tant sur le plan individuel que collectif. Des recommandations sanitaires ont été définies par le ministère chargé de la santé, afin de protéger les personnes les plus fragiles : éviter le sport en plein air en cas de pic de pollution, limiter les sorties à proximité des grands axes routiers… Ces informations doivent être délivrées par le médecin aux patients, notamment en prévention secondaire, pour réduire l’exposition, en individualisant les recommandations pour réduire l’exposition. A l’issue de la formation, le participant sera en capacité d’avoir une vision globale et rationnelle sur les conséquences de la pollution de l’air exterieur, identifier les pathologies respiratoires et extra-respiratoires pouvant être en lien avec cette pollution. Ainsi, il informera les patients pour réduire leur exposition. b. Objectifs généraux : · Repérer les pathologies respiratoires et extra-respiratoires pouvant être les conséquences de la pollution de l’air extérieur sur la santé selon les données scientifiques actuelles · Informer les patients des conséquences possibles de la pollution de l’air extérieur sur la santé en termes de pathologies respiratoires et extra-respiratoires c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Lister les composantes des différentes catégories de polluants de l’air extérieur 2. Identifier les pathologies respiratoires pouvant être les conséquences de la pollution de l’air extérieur sur la santé selon les données scientifiques actuelles 3. Citer les pathologies extra-respiratoires pouvant être les conséquences de la pollution de l’air extérieur sur la santé selon les données scientifiques actuelles 4. Enoncer les informations à délivrer aux patients pour réduire leur exposition aux composants nocifs de l’air exterieur

Médecin Généraliste


En présentiel

Démarche diagnostique devant un motif de consultation fréquent mais complexe : le patient se plaignant de vertiges

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Les sensations vertigineuses sont un motif de consultation fréquent et ont des étiologies multiples. Une démarche diagnostique précise, selon les recommandations actuelles, permet de distinguer les situations d’urgence des pathologies bénignes, au premier rang desquelles figure le vertige positionnel paroxystique bénin. L’approche clinique repose sur un examen systématisé dont le temps principal est l’examen oculomoteur. À partir de ces éléments, il est essentiel pour le médecin de premier recours de connaitre les indications des explorations fonctionnelles auditives et vestibulaires ainsi que de l’imagerie, afin d’orienter le patient vers les structures adéquates. Dans le cadre des réunions d’évaluation des pratiques professionnelles, seront mis en lumière les expériences rencontrées au cours de l’activité professionnelle des participants. Ensemble, les participants se référeront à la littérature scientifique actuelle et aux recommandations de bonnes pratiques pour identifier les améliorations nécessaires de leurs pratiques, dans le cadre de la démarche diagnostique devant une patient se plaignant de vertiges. L’objectif, à terme, est de favoriser l’intégration pérenne des évaluations des pratiques professionnelles à l’activité des participants. b. Objectifs généraux : Le participant pourra : 1. Décrire sa pratique par rapport aux besoins et à la qualité du service rendu au patient 2. Sélectionner les recherches à effectuer afin d’obtenir une utilisation optimale des ressources de santé 3. Organiser sa pratique dans un dispositif d’EPP pérenne. Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas.

Médecin Généraliste


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Individualiser et optimiser la prise en charge du patient dépressif selon les recommandations de bonnes pratiques

DPC

a. Résumé de l’action (synopsis) Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas sur le thème « Individualiser et optimiser la prise en charge du patient dépressif selon les recommandations de bonnes pratiques ». En France, 1 personne sur 5 présentera un épisode dépressif au cours de sa vie. Il s’agit d’un motif très fréquent de consultation en médecine générale. Il est important dans l’exercice libéral du médecin généraliste de prendre en charge précocement le patient souffrant d’épisode dépressif caractérisé, aux différents âges de la vie. Cette prise en charge est individualisée. Elle dépend du profil du patient, de la sévérité des troubles, des comorbidités, de l’environnement du patient …  Le médecin généraliste utilisera l’arsenal thérapeutique, dans la limite de son champ d’activité, avec notamment des traitements non médicamenteux et médicamenteux, en respectant les recommandations de bonnes pratiques. Le rôle de médecin spécialisé en médecine générale peut aussi, selon la sévérité des symptômes de l’affection psychiatrique graves, relever de la coordination de soins au sein d’une équipe pluridisciplinaire. Dans le cadre des réunions d’évaluation des pratiques professionnelles, seront mis en lumière les expériences rencontrées au cours de l’activité professionnelle des participants et mettront en exergue la variété des difficultés relatives à la prise en charge de nos patients atteints de ces troubles sévères. Ensemble les participants se référeront à la littérature scientifique actuelle et aux recommandations de bonnes pratiques pour répondre aux problématiques présentées par les participants. L’objectif, à terme, est l’amélioration des pratiques professionnelles et favoriser l’intégration pérenne des évaluations des pratiques professionnelles à l’activité des participants. b. Objectifs généraux : Confronter sa pratique pour diagnostiquer et traiter les syndromes dépressifs sévères aux différents âges de la vie. Le participant pourra : 1. Décrire sa pratique par rapport aux besoins et à la qualité du service rendu au patient 2. Sélectionner les recherches à effectuer afin d’obtenir une utilisation optimale des ressources de santé 3. Choisir le meilleur coût-efficacité de ses stratégies de prise en charge 4. Organiser sa pratique dans un dispositif d’EPP pérenne Il s’agit d’une action d’analyse des pratiques avec revue de dossiers et analyse de cas.

Médecin réanimateur, Cardiologue, ORL, + 19 autres


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Les enjeux de la santé numérique

DPC

Résumé: Les enjeux de la santé numérique sont multiples et touchent à la plupart des domaines du monde médical, social et médico-social Le numérique permet en déjà d’être plus efficace pour prendre un rendez-vous médical, pour effectuer les démarches administratives de pré-admission dans un établissement de santé, pour consulter à distance et être suivi en continu en dehors des consultations. Il permet aussi d’améliorer la fluidité des parcours de soins et la qualité de la prise en charge des patients notamment en évitant les examens superflus et les erreurs médicamenteuses. Du fait de la crise sanitaire, l’augmentation des admissions aux urgences et du recours à la télémédecine a notamment montré l’utilité pour les professionnels de santé et du médico-social autorisés d’avoir accès aux données des patients, notamment dans le cadre d’une consultation du dossier. La mise en place progressive en 2022 de « Mon espace santé » permettra de connaître les antécédents médicaux, les allergies, les comorbidités, voire la personne de confiance ou les directives anticipées à terme. Mais, le numérique en santé ne peut être bénéfique que s’il est encadré, responsable, protecteur et humanisé. A l’avenir les possibilités offertes par le numériques en santé et l’intelligence artificielle vont s’élargir que ce soit au niveau des suivis et de l’adaptation des traitements, du risque de redondance des examens, de la recherche scientifique et du diagnostic des maladies rares par exemple. Il est donc fondamental que les médecins soient formés au sujet de ces évolutions et à tous ces nouveaux usages afin que le virage numérique en santé soit une réussite. Objectifs généraux : Les objectifs généraux de cette formation sont : - sensibiliser les participants aux enjeux de la santé numériques - détailler les utilisations des outils mis à leur disposition et - fournir aux participants les modes d’emploi indispensables à leur pratique face à l’évolution de la e-santé en médecine. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le médecin sera en capacité de : Objectif 1 - Définir les nouveaux enjeux de la santé numérique Objectif 2 - Expliquer les rôles que peuvent jouer les nouveaux outils numériques en santé Objectif 3 - Définir les freins possibles au développement de ces outils numériques Objectif 4 - Décrire la place de l’intelligence artificielle dans le futur développement des outils numériques en santé

Médecin réanimateur, Cardiologue, ORL, + 19 autres


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Robotisation en santé : quels apports pour les patients ?

DPC

Résumé: Un robot est un automate équipé de capteurs et d’actionneurs (moteurs) lui permettant de recevoir des informations sur son environnement, de se déplacer, et d’agir, pour aider des personnes ayant des besoins spéciaux. Il peut être social, quand il simule des comportements sociaux, par exemple, échanger des indices communicatifs non verbaux ou dialoguer avec un humain. En médecine, les robots sont présents dans plusieurs domaines. Les premiers développés étaient des robots d’assistance aux chirurgiens. Les prothèses et les membres artificiels font appels à la robotique. D’autres robots sont utilisés comme assistant aux personnes en situation de faiblesse. Ainsi le développement de robots autonomes capables de se déplacer, de prothèses robotisées, de robots d’assistance aux personnes dépendantes améliore l’autonomie des personnes âgées, permettant un maintien à domicile. Les enfants présentant un handicap peuvent aussi bénéficier de ces nouvelles technologies. Ils permettent notamment une prise en charge du handicap physique, ou un accompagnement dans des hospitalisations. Certains sont programmés pour la prise en charge des déficits en lien avec les troubles du spectre de l’autisme. Cette formation permet aux médecins participants d’approfondir leurs connaissances sur l’utilisation des robots en médecine, domaine en rapide évolution, en particulier pour les patients âgés dépendants ou pour les enfants souffrant de handicap. Objectifs généraux : Connaître les possibilités d’utilisation des robots en médecine et l’apport pour les patients âgés dépendants, ou pour les enfants souffrant de handicap. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Définir les propriétés d’un robot dans le champ médical 2. Lister les différentes possibilités d’utilisations du robot dans le champ médical 3. Citer les possibilités d’utilisation des robots pour l’accompagnement des personnes âgées dépendantes 4. Citer les possibilités d’utilisation des robots pour la prise en charge des enfants présentant un handicap

Médecin réanimateur, Cardiologue, ORL, + 27 autres


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Les objets connectés médicaux : une évolution incontournable pour le médecin

DPC

Résumé: Le terme « objets connectés » en santé s'est imposé pour désigner une rupture qui n'est pas seulement technologique, mais aussi sociétale : le suivi du patient autrefois réservé au monde médical devient accessible au grand public. Il devient donc nécessaire d'adapter le système de santé et les pratiques médicales à ces nouvelles technologies. Les patients peuvent suivre facilement l'évolution de leurs paramètres de santé en consultant leurs données directement sur leur smartphone ou leur montre connectée et les adresser à leur médecin traitant. Bientôt, tout sera connecté (du plus sérieux au plus délirant) : fourchette « minceur » connectée, tensiomètre connecté, balance connectée, brosse à dent connectée, pilulier connecté et bien d'autres encore… Mais quelle est la valeur et la fiabilité de toutes ces données, comment le médecin peut-il les exploiter en concertation avec le patient ? Comment stocker de façon sécurisée toutes ces données ? Qui en est le propriétaire ? Le patient ou les « data centers » des multinationales ? Les objets connectés vont changer complètement toute l'équation de gestion de prévention des maladies chroniques. Ils peuvent être de formidables outils de prévention en santé et une aide précieuse pour les malades et leurs médecins à condition de bien connaître leurs limites et leurs problématiques. Cette action de formation permettra aux participants médecins d’approfondir l’utilisation des données des objets connectés, et de prévoir l’évolution future de leur outil de travail dans un cadre sécurisé et réglementaire. Objectifs généraux : Connaître les objets connectés utilisés en médecine, pour mieux exploiter les données recueillies et leurs limites, en concertation avec les attentes du patient. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Citer les objets connectés utilisés en médecine 2. Lister les propriétés des objets connectés 3. Lister les moyens de sécurisation des données du patient connecté 4. Définir l’utilité de ces nouveaux outils technologiques en concertation avec les attentes du patient

Cardiologue, Médecin Généraliste, Pédiatre


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Maître de stage : un autre métier

DPC

Résumé: Le Maître de Stage des Universités (MSU) est un médecin qui accueille un étudiant ou un interne dans sa structure et lui assure un enseignement dans le cadre de ses pratiques en libéral. Il participe à la formation des étudiants durant leurs études médicales. En cela le tuteur doit pouvoir acquérir les compétences pour accueillir un étudiant et lui permettre de poursuivre sa formation dans un cadre non hospitalier. Ce programme vise à la prise de conscience par le tuteur de la complexité d’observer une consultation, de l’analyser de manière rationnelle sans en faire encore une évaluation. « Je ne juge pas la décision en fonction de celle que je considère comme pertinente mais je veux comprendre le mécanisme décisionnel de l’autre. » Objectifs généraux : Construire une nouvelle compétence du médecin/formateur en situation de consultation au bénéfice du médecin stagiaire. Identifier les différences entre processus d’apprentissage et d’enseignement. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1ère ½ journée 1- Définir le rôle d’enseignant du MSU et sa place au sein du Département de Médecine Générale dans la faculté régionale. 2- Citer le cadre légal et réglementaire des stages ambulatoires en Médecine Générale. 3- Expliquer le montage pédagogique et les différentes phases du stage : observation, supervisions directe et indirecte. 2ème ½ journée 4- Décrire l’organisation du premier contact avec l’étudiant. 5- Identifier les compétences professionnelles à construire par l’étudiant. 3ème ½ journée 6- Décrire les caractéristiques pédagogiques nécessaires au futur MSU. 7- Définir la notion de modèle d’enseignant et intégrer le «rôle de modèle». 8- Expliquer à l’étudiant comment utiliser des outils d’observation de la consultation. 4ème ½ journée 9- Citer les outils de supervision de l’étudiant. 10- Définir les moyens d’évaluation à mettre en oeuvre pour une rétroaction efficace. 11- Evaluer le résultat de la prescription pédagogique pour les différentes compétences.

Médecin réanimateur, Cardiologue, ORL, + 20 autres


En présentiel

Robotisation en santé : quels apports pour les patients ?

DPC

Résumé: Un robot est un automate équipé de capteurs et d’actionneurs (moteurs) lui permettant de recevoir des informations sur son environnement, de se déplacer, et d’agir, pour aider des personnes ayant des besoins spéciaux. Il peut être social, quand il simule des comportements sociaux, par exemple, échanger des indices communicatifs non verbaux ou dialoguer avec un humain. En médecine, les robots sont présents dans plusieurs domaines. Les premiers développés étaient des robots d’assistance aux chirurgiens. Les prothèses et les membres artificiels font appels à la robotique. D’autres robots sont utilisés comme assistant aux personnes en situation de faiblesse. Ainsi le développement de robots autonomes capables de se déplacer, de prothèses robotisées, de robots d’assistance aux personnes dépendantes améliore l’autonomie des personnes âgées, permettant un maintien à domicile. Les enfants présentant un handicap peuvent aussi bénéficier de ces nouvelles technologies. Ils permettent notamment une prise en charge du handicap physique, ou un accompagnement dans des hospitalisations. Certains sont programmés pour la prise en charge des déficits en lien avec les troubles du spectre de l’autisme. Cette formation permet aux médecins participants d’approfondir leurs connaissances sur l’utilisation des robots en médecine, domaine en rapide évolution, en particulier pour les patients âgés dépendants ou pour les enfants souffrant de handicap. Objectifs généraux : Connaître les possibilités d’utilisation des robots en médecine et l’apport pour les patients âgés dépendants, ou pour les enfants souffrant de handicap. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : 1. Définir les propriétés d’un robot dans le champ médical 2. Lister les différentes possibilités d’utilisations du robot dans le champ médical 3. Citer les possibilités d’utilisation des robots pour l’accompagnement des personnes âgées dépendantes 4. Citer les possibilités d’utilisation des robots pour la prise en charge des enfants présentant un handicap